Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 15 septembre 2011

Aux militants du cochon déifié…

La pesante et angoissante menace du poulet halal de chez Auchan… par A moy que chault !

extrait :
… …« Je ne suis, ordinairement, aucunement solidaire des pharisiens intégristes cathos, mais lorsque l'on compisse le Christ dans une exposition et que ceux-ci défoncent à coups de marteaux « l’œuvre d'art », je suis de cœur et d'instinct, à défaut d'intelligence, de leur côté, malgré les désaccords abyssaux. Je suppose qu'il en est de même pour les musulmans lorsque l'on colle un cochon mort sur un chantier de mosquée, et de ce fait, en choisissant de s'attaquer non pas à un phénomène politique, économique et social qu'est l'immigration mais à une foi, une religion qu'est l'islam, on se place forcément sur le terrain de l'exacerbation des antagonismes et de la guerre civile. »


Rumeurs d’alliance Bloc Identitaire - Front national : Fabrice Robert répond à "Minute"

Depuis samedi dernier, les rumeurs bruissent d’une alliance entre le Front national et le Bloc Identitaire. On évoque même le ralliement de certains cadres identitaires au FN. Fabrice Robert, dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Minute donne son point de vue.


Fabrice Robert a d’abord indiqué, au sujet du retrait de la candidature d’Arnaud Gouillon à la présidentielle : Ce n’est pas un échec, car la logique électoraliste n’est pas au cœur de la démarche politique du Bloc. (…) Sur le plan pratique, nous ne renonçons que pour des raisons financières, mais, en quelques mois, en faisant avec les moyens du bord, nous avons réuni 76 promesses de signatures: c’est autant que le NPA d’Olivier Besancenot. Pour une petite structure comme le BI, c’est franchement une belle victoire !”

Le président du Bloc Identitaire insiste également sur la primauté de l’action dans la rue : “Nous voulons surtout développer notre mouvement au niveau de la base. Nous allons prochainement lancer une nouvelle vague d’actions, sur le modèle de l’apéro saucisson-pinard ou des Assises de l’islamisation…(…) Sans nous, Marine Le Pen ou les députés de la Droite populaire n’auraient jamais abordé ce cas concret d’islamisation. Nous préférons empêcher la création d’une mosquée que faire 2 % à une élection ! Nos actions futures vont encore créer le débat et faire bouger les choses. C’est ça, notre vrai objectif.”

Revenant plus précisément sur l’idée que le retrait du candidat identitaire de la présidentielle aurait été négocié avec le FN, Fabrice Robert affirme : “Je vous garantis qu’il y a eu des éclats de rire, à notre université d’été, lorsque nous avons eu vent de cette rumeur. Il n’y a pas d’accord avec le Front. Nous travaillons sur le terrain depuis huit ans, en toute indépendance. Ce n’est pas pour négocier quelques petites circonscriptions… D’autant, je le répète, que les élections sont un domaine secondaire de notre action. Et quels que soient nos accords ou contacts éventuels – aussi bien avec Jacques Peyrat, à Nice, pour les dernières cantonales, que, dans le futur, avec d’autres partenaires – notre action est soumise à un impératif : nous ne changeons pas d’un iota  l’ADN identitaire. Dans le cadre d’une alliance électorale, le Bloc identitaire est à prendre à 100 % ou à laisser.


Marine Le Pen en liberté… "Tarte à la crème" comme elle définit son programme, sur une radio israrélienne !

La présidente du Front National, invitée de la radio israélienne 90FM pérore très consensuellement avec  Stéphane Calvo et Matthias Inbar. Elle agite sans vergogne l'épouvantail du « fondamentalisme islamiste » qui menacerait les femmes et les homosexuels en France, stigmatise l’Iran, s’en prend à Christian Bouchet et à l’Œuvre Française, dénonce les tentatives de boycott d’Israël, demande l’arrêt du « terrorisme palestinien », se réjouit du départ de la « météorite Soral », n’exclut pas une guerre contre l’Iran, et n’a pas un mot pour dénoncer l’épuration ethnique en Palestine ou l’arsenal nucléaire israélien… Qui dit mieux ?

Ce qui sépare un Bruno Gollnisch d’une Marine Le Pen, indépendamment des convictions affichées, c’est avant tout leur personnalité, leur force de caractère, leurs valeurs personnelles, leur intégrité, leur culture ou encore leur indépendance vis à vis des réseaux de pouvoir.  Aucune ambigüité…







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