Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mardi 30 avril 2013

Joyeuses fêtes de Camerone ! … 150 ans !



"Legio patria nostra"



La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au devant du convoi, une compagnie. La 3ème compagnie du Régiment Étranger fut désignée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.


Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3ème compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.
Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.
Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorité du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, devant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.
À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.
Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et a mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.
L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Léonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »
« Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.
« On ne refuse rien à des hommes comme vous ! » répond l’officier.
Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.
L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment Étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.
En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :

ILS FURENT ICI MOINS DE SOIXANTE
OPPOSÉS À TOUTE UNE ARMÉE
SA MASSE LES ÉCRASA
LA VIE PLUTÔT QUE LE COURAGE
ABANDONNA CES SOLDATS FRANÇAIS
LE 30 AVRIL 1863
À LEUR MÉMOIRE LA PATRIE ÉLEVA CE MONUMENT











Construirán mausoleo en honor a Clement Maudet

Miguel Olvera Caballero
[El Sol de Córdoba, 30 de abril de 2013]

Huatusco, Veracruz.- Un mausoleo en honor al subteniente Clement Maudet, de la Legión Extranjera que murió en la batalla de Camarón de Tejeda, acontecida en 1863, construirá el Ayuntamiento de Huatusco para honrar su memoria y estrechar los lazos de amistad entre Francia y México.

Lo anterior lo anunció la síndica única del Ayuntamiento, Nadia Torres Demuner, en el marco de la conmemoración del 150 aniversario de ese enfrentamiento, donde participaron destacados huatusqueños, como Francisco y Manuel Marrero y cuya madre asistió al sub teniente que posteriormente falleció y fue sepultado en el templo de San Antonio.

Por su parte, el coronel ayudante al general de la Legión Extranjera, Le Cour Maison, destacó que la presencia de la delegación francesa y la conmemoración de la batalla que se desarrolló en Camarón de Tejeda fortalecen la amistad entre México y Francia, pues recuerda a ambas naciones la protección que en Huatusco se dio a los legionarios heridos en el enfrentamiento.

"Para la legión extranjera el nombre de mama Juana es muy importante por la acogida que dio al sub teniente y en la mente de cada legionario mama Juana está presente", remató el coronel de la Legión Extranjera.

Entre los invitados de honor se encontraron el coronel Le Cour Maison; la representante de la embajada francesa, Lygie De Schuyter; Joaquín Talavera Sánchez, presidente de la asociación Camarone, así como veteranos de la Legión Extranjera y funcionarios municipales e invitados como el cronista de la ciudad, Marcelino López Páez.

El evento se efectuó la mañana de ayer en los bajos del Palacio Municipal, donde se leyó una breve reseña de la batalla entre las fuerzas francesas y mexicanas el 30 de abril de 1863 y donde cayeron abatidos la mayoría de soldados franceses.

Posteriormente, la representación francesa, incluidos varios veteranos de guerra, escoltada por elementos de la Secretaría de Marina Armada de México, se trasladó al panteón municipal, donde se colocó la primera piedra del mausoleo en honor al subteniente Clement Maudet.

EL MITO DE CAMARÓN

Tan importante e impactante fue la batalla de Camarón de Tejeda para los franceses, en especial para la Legión Extranjera, que cada año se recuerda ese enfrentamiento de manera solemne. El relato oficial de "Camerone" se lee cada 30 de abril delante de las tropas en cualquier parte del mundo donde se encuentren.

La Legión tenía por misión asegurar en 120 kilómetros, la circulación y seguridad de convoyes. El coronel Jeannigros, que estaba al mando, se enteró que un gran convoy que llevaba 3 millones en efectivo, material de sitio y municiones está en camino hacia Puebla. El capitán Danjou le convenció de enviar una compañía, designándose la tercer Compañía del Regimiento extranjero. A falta de oficiales disponibles, Danjou tomó el mando y los sub oficiales Mauder, portabandera y Vilain, pagador, se unieron al grupo voluntariamente.

El 30 de abril, a la una de la madrugada, la tercera compañía con tres oficiales y sesenta y dos hombres, se puso en marcha y cerca de las siete de la mañana, cerca de Palo Verde, se detuvieron para tomar café. En ese momento el enemigo se desplegó y se inició el combate inmediatamente. El capitán Danjou hizo cerrar el cuadrado y batiéndose en retirada, rechazó victoriosamente varias cargas de caballería, infligiendo al enemigo unas primeras pérdidas graves.

Al llegar a la altura de la posada de Camerone, amplio edificio que contenía un patio rodeado de un muro de tres metros de alto, decidió pertrecharse allí para inmovilizar al enemigo y retrasar de esa forma durante el mayor tiempo posible el momento en que este pudiera atacar al convoy.

Mientras sus hombres organizaban con celeridad defensa de esta posada, un oficial mexicano, haciendo valer la enorme superioridad numérica intimó al capitán Danjou para que se rinda. Este hizo contestar, "tenemos cartuchos y no nos rendiremos". Luego, levantando la mano, juró defenderse hasta la muerte y hace prestar a sus hombres el mismo juramento. Son las diez y desde esa hora y hasta las seis de la tarde, esos sesenta hombres, que no habían comido ni bebido desde la víspera, a pesar del sofocante calor, el hambre y la sed, resistieron a dos mil mexicanos, ochocientos de ellos jinetes y un mil doscientos infantes.

A medio día, el capitán Danjou murió a causa de una bala en medio del pecho. A las dos, el subteniente Valían cayó por una bala en la frente, en ese momento, el coronel mexicano consiguió prender fuego a la posada. A pesar del calor y el humo que venían a aumentar sus sufrimientos, los legionarios siguieron aguantando pero muchos resultaron heridos. A las cinco, alrededor del subteniente Maudet solamente quedaron 12 hombres en estado de combate. En ese momento, el coronel mexicano reunió a sus hombres y les dijo que se iban a cubrir de vergüenza si ni conseguían abatir a ese puñado de valientes (un legionario que comprendía el español iba traduciendo mientras hablaba). Los mexicanos se dispusieron a dar el asalto general por las brechas que consiguieron abrir, pero anteriormente, el coronel Milán dirigió un nuevo requerimiento al subteniente, que lo rechazó con desprecio.

Ya consumado el asalto final, no quedaron alrededor de Maudet mas que cinco hombres, el cabo Maine, los legionarios Cattau, Wenzel, Constantin y Leonhart. Cada uno de ellos conservó un cartucho, con la bayoneta a punto y refugiados en una esquina del patio plantaron cara. A una señal, descargaron sus fusiles a boca jarro sobre el enemigo y se precipitaron sobre ellos a bayoneta.

El subteniente Maudet y dos legionarios cayeron mortalmente heridos, Maine y sus dos camaradas estaban a punto de ser masacrados cuando un oficial mexicano se precipitó hacia ellos y los salvó gritándoles, "ríndanse". Como repuesta, recibieron un, "no nos rendiremos si no nos prometen coger y cuidar a nuestros heridos y si no nos dejan las armas" sus bayonetas seguían amenazadoras. Al final, como respuesta del oficial obtuvieron un "no se les niega nada a unís hombres como ustedes".

Los sesenta hombres del capitán Danjou mantuvieron su juramento hasta el final, durante once horas resistieron a dos mil enemigos, de los que abatieron a trescientos y herido a otros tantos. Con su sacrificio, salvando el convoy, cumplieron la misión que les fue confiada.

Para los mexicanos la lucha no fue menos cruenta, el soldado Barrientos, que fue el primero en entrar al patio de la Hacienda avanzó sin mirar atrás, creyendo que el enfrentamiento había terminado, lo primero que le sorprendió al entrar fue el suelo, que tenía un color oscuro, el tapiz de la sangre derramada en ese lugar.

Segundos después el soldado cayó abatido por tres disparos, lanzados por el puñado de legionarios que resistían con sus uniformes ya grises y el rostro casi negro por la pólvora y sociedad. El soldado Barrientos murió solo, frente a los sitiados.

Al término de la batalla y volver a Huatusco, la celebración se transpiraba en el aire en el peso de la madrugada se oyeron cascos de caballos que llegaban presurosos y voces de hombres que casi gritaban: ¡Ganamos!, ¡Vencimos!, ¡Les dimos en la madre a los franceses!. Y así terminó la batalla de Camarón, de la que hoy, se festejará su 150 aniversario.



El Novio de la muerte



Himno de la Legión española. El Novio de la muerte.
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Nadie en el Tercio sabía
quien era aquel legionario
tan audaz y temerario
que a la Legión se alistó.

Nadie sabía su historia,
más la Legión suponía
que un gran dolor le mordía
como un lobo, el corazón.

Más si alguno quien era le preguntaba
con dolor y rudeza le contestaba:

Soy un hombre a quien la suerte
hirió con zarpa de fiera;
soy un novio de la muerte
que va a unirse en lazo fuerte
con tal leal compañera.

Cuando más rudo era el fuego
y la pelea más fiera
defendiendo su Bandera
el legionario avanzó.

Y sin temer al empuje
del enemigo exaltado,
supo morir como un bravo
y la enseña rescató.

Y al regar con su sangre la tierra ardiente,
murmuró el legionario con voz doliente:

Soy un hombre a quien la suerte
hirió con zarpa de fiera;
soy un novio de la muerte
que va a unirse en lazo fuerte
con tal leal compañera.

Cuando, al fin le recogieron,
entre su pecho encontraron
una carta y un retrato
de una divina mujer.

Y aquella carta decía:
"...si algún día Dios te llama
para mi un puesto reclama
que buscarte pronto iré".

Y en el último beso que le enviaba
su postrer despedida le consagraba.

Por ir a tu lado a verte
mi más leal compañera,
me hice novio de la muerte,
la estreché con lazo fuerte
y su amor fue mi ¡Bandera!

lundi 29 avril 2013

La Voix de la Russie : entretien en direct et sans tabous avec le président Vladimir Poutine


Fuyons la propagande des journaleux empaffés du PAF…
et informons-nous avec La Voix de la Russie…



Au sommaire de cette édition du 29 avril 2013 :

- 11ème édition de "ligne directe" : le président Poutine répond en direct et sans tabous aux questions des citoyens russes
- Le mouvement Rossiya témoigne de la nouvelle vitalité de la démocratie russe
- Boston : attentat ou nouveau complot ?
- Syrie : entretien exceptionnel avec la représentation diplomatique syrienne à Paris
- Exclusivité Prorussia.tv grâce à l'agence fédérale Gosconcert : le festival du Kremlin musical depuis la Galerie des Armures

samedi 27 avril 2013

Toulouse : Le pont de l'Infamie… 19 mars 1962, un "maire" ose célébrer une capitulation !!!


Attentat contre le Chevalier Bayard fomenté par Cohen qui prétend débaptiser le pont dédié à l'honneur du Chevalier pour y inscrire la date infâme de la capitulation d'Évian du 19 mars 1962…
En 1504, Pierre Teillard, dit le chevalier Bayard, accomplit un de ses plus hauts faits d’armes sur le Garigliano … Sa vaillance, son adresse et son endurance font merveille…  440 ans plus tard, en mai 1944, la bataille du Garigliano permit aux troupes du Corps Expéditionnaire Français du général Juin de déborder puis d’enfoncer les lignes allemandes permettant ainsi aux Alliés de reprendre leur progression vers Rome, interrompue depuis janvier 1944, corps Expéditionnaire composé de soldats issus de l’Armée d’Afrique et donc d’une grande partie de Pieds-noirs, le maréchal Juin étant lui-même le plus célèbre d’entre eux. Bayard était donc tout le contraire d'un DeGaulle, ce dernier ayant été un soldat contesté, un résistant contesté, un général contesté. Dès lors, comment peut-on débaptiser le pont Bayard à Toulouse pour lui donner celui de "pont du 19 mars 1962", ou une victoire militaire fut transformée en capitulation politique par Charles le Mauvais, le traître DeGaulle et infâme criminel compulsif ?
Le pont de la Honte… 19 mars 1962 : Cohen, ce prétendu maire insulte effrontément la mémoire de dizaines de milliers de Harkis, Pieds-noirs et Métropolitains assassinés après la capitulation d'Évian… 



Après les insultes publiques proférées ce 27 avril contre les victimes de la capitulation d'Évian, André Aussignac, soldat métropolitain capturé par le FLN en juillet 1962, s'adresse au "maire" de Toulouse, Cohen :





*      *     * 




LE CERCLE ALGÉRIANISTE DE TOULOUSE AVAIT DONNÉ RENDEZ-VOUS AUX FRANÇAIS PATRIOTES, HARKIS, PIEDS-NOIRS, MÉTROPOLITAINS CE SAMEDI 27 AVRIL UN PEU AVANT DIX HEURES AU PONT BAYARD POUR MANIFESTER LEUR INDIGNATION

Le maire socialiste de Toulouse avec la complicité du communo-quillard Darmanin de la sinistre FNACA persiste dans son intention de radier le nom du chevalier Bayard pour y substituer la date de l'infâme capitulation de DeGaulle face au FLN applaudie par tous les lâches quillards,  traîtres et ennemis communistes de la France… 

Ainsi le Pont Bayard serait débaptisé pour devenir "pont  du 19 mars 1962"

Une ignominie face à laquelle les nationalistes et patriotes ne peuvent rester sans réaction… Donc rendez-vous est pris pour demain samedi 27 avril avant 10 heures, Pont du Chevalier Bayard, pour manifester notre indignation. Nous ne devons pas laisser faire et ne pas réagir vivement.

Merci de diffuser ce message le plus largement possible. 

Ghislaine Delmond
Présidente du Cercle algérianiste de Toulouse
Présidente du CEFANOM


Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire

Quand Cohen assassine le Chevalier Bayard… avec l'outrecuidance des Quillards du 19-Mars1962

"Pont Bayard" de Toulouse : capitulation de Cohen, député-maire-pas-longtemps-encore !

19 mars : Honte à DeGaulle et à Flanby… Que vive à jamais l'exemple de Jean Bastien-Thiry !


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Michel Delenclos : "19 mars 1962 ? Waterloo !"
"Une véritable mine d'or pour les chercheurs" (Maurice Faivre)

Michel Delenclos : "19 mars 1962 ? Waterloo !
Conséquences et interprétations des accords d'Évian
Préface du général Maurice Faivre
Éditions L'Harmattan

Le livre - L'auteur revient ici sur les "Déclarations gouvernementales du 19 mars 1962 relatives à l'Algérie", au sujet desquelles certains entretiennent encore la confusion. L'emploi fréquent des référendums, le scrutin d'autodétermination, les disparitions, les enlèvements, les prisonniers et les massacres collectifs de civils et de militaires... tous les évènements qui ont précédé cet accord en expliquent le dénouement tragique. "Une véritable mine d'or pour les chercheurs", selon le général et historien Maurice Faivre.

Le mot de l’auteur

Ce livre ouvert à « Monsieur le président de la République, Mmes, MM. les Députés et Sénateurs, Maires et Citoyens de France », redonne toute sa place à l'Histoire car, comme le soulignait l'ancien président de la République, Jacques Chirac : « ... le moment est venu pour nous tous, Français, de porter un regard de vérité sur une histoire méconnue, une histoire déformée, une histoire effacée... ».

« "L'accord de cessez-le-feu" devait mettre fin aux opérations militaires et à toute action armée sur l'ensemble du territoire en Algérie le 19 mars 1962 à 12h00 ». Il n'en fut rien. Le FLN poursuivit sa guerre révolutionnaire : les disparitions, enlèvements et les assassinats collectifs programmés vont se multiplier chez les civils comme chez les militaires jusqu'en juillet 1964. Au point même que l'ancien négociateur, Robert Buron, face à cette folie meurtrière, laissera tomber : « Le passage des Huns ! » (L'Aurore du 17.05.1962).

L'emploi fréquent du référendum pour l'Algérie est avéré anticonstitutionnel par les juristes comme par les parlementaires, comme le clame le député du Nord, Paul Reynaud, le 26 avril 1962 : « Toutes les grandes questions sont réglées en passant par-dessus la tête des représentants du peuple. On soumet à ce dernier, par la voie référendaire, des matières qu'on enlève au Parlement… Là où la Constitution n'est plus respectée, il n'y a plus de République ».

L'après 19 mars 1962 deviendra champ de bataille du présent et objet de marchandage : à l'Assemblée nationale, au Sénat, au sein des mouvements et associations pour ou contre la célébration du 19 mars. Mais les discours et les communiqués politiques comme la propagande n'occulteront pas les données historiques.

Cet ouvrage donne la parole aux Algériens comme aux Français qui se sont affrontés durant plus de sept ans. Le lecteur découvrira, au fil des chapitres : l'origine historique de l'Accord du 1er novembre 1954, la crise du FLN depuis 1961 et après le "cessez-le-feu", les analyses et commentaires des journalistes, observateurs et juristes, les promesses et discours de tout bords, la chronologie des faits, l'utilisation des référendums et de l'autodétermination, les travaux et analyses des historiens pour comprendre la finalité des accords, les effectifs et pertes militaires et des harkis, les civils disparus, les actions en faveur des prisonniers français, le devenir des sépultures françaises, les gouvernements successifs durant la guerre de 1954 à 1962, etc.

Michel Henri Delenclos
Chercheur en Histoire

Concours de circonstances : alors que l'ignare imbécile Cohen tague son pont de l'Infâmie, le prix d’Histoire récompense Michel Delenclos pour son ouvrage « 19 mars 1962 ? Waterloo ! », au « Salon national des artistes et écrivains » d'Antibes.

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En guise d'avertissement au socialo Cohen et au communard-quillard Darmanin…






NotreJournal - Toulouse : "Pont du 19 mars" ? N’est-ce pas un peu tard ?

Le Pilori : Lettre ouverte contre le 19 mars 1962

Marcel Berthomé, maire de Saint-Seurin-sur-l’Isle : un Homme d'Honneur





Flanby risée des Chinois… Braguette ouverte à sa descente d'avion… Une récidive, après l'Algérie…


Flanby à sa descente d'avion en Chine… Braguette ouverte… Une récidive, après l'Algérie… Ce qui est le plus déplorable, c'est que ses hôtes chinois l'aient noté et le fassent remarquer… Flanby, risée des Asiatiques, pourtant eux généralement si discrets, si habiles à éviter toute moquerie directe, toute blessure d'amour propre… Une preuve, s'il en fallait encore, de la piètre estime dans laquelle nos amis chinois tiennent ce Flanby-là… Et ils ne sont pas seuls de par le Monde…


图说【喷嚏图卦20130426】有胆的你们放马过来… 【4】开放的法国总统奥朗德到达中国访问


DSK avait au moins la pudeur, lui, de très vite savoir retrouver une tenue correcte…
Le vrai scandale n'est pas ce qui ce passe dans l'intimité d'une chambre d'hôtel
mais dans ce que l'on affiche en public… Le suppléant à DSK en a-t-il conscience ?
… Aussi indécent et ridicule qu'un mariage pédé-goudou…

La haine destructrice à Flanby est sans bornes : voilà qu’il s'acharne contre le bon goût…


M. Hollande, vous n’avez aucune conscience, et je ne vous considère pas comme mon président…
« Le nœud de cravate tire-bouchonné, la chemise qui sort du pantalon, la braguette ouverte. La prochaine fois que vous allez en Algérie, monsieur le président, portez donc une djellaba ! »

Et en Chine ?



vendredi 26 avril 2013

Le Président Andry Rajoelina au Vatican, en audience pontificale




Audience Pontificale du Président Andry Rajoelina au Vatican

Le Président de la Transition à Madagascar, SEM Andry Rajoelina, a quitté la Grande Île, ce mercredi 24 avril, dans la soirée, pour honorer l’Audience Pontificale avec Sa Sainteté le Pape François, qui a eu lieu au Vatican, ce vendredi 26 avril à 11 heures (heure de Rome).

Après cette audience avec le Souverain Pontife, le Président Andry Rajoelina a eu un entretien avec Son Éminence le Cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d’État de Sa Sainteté, à la Prima Loggia du Palais Apostolique.


Vatican : Andry Rajoelina se rend chez le pape François

Rajoelina doit rencontrer le pape François

Le Président Andry Rajoelina au Vatican, en audience pontificale


Le couple présidentiel, Mialy et Andry Rajoelina, reçu affectueusement par le Pape François



jeudi 25 avril 2013

Flanby et sa concubine ambassadeurs des charcutiers en Chine… ou la bravitude perdue…


Flanby et sa concubine ambassadeurs des charcutiers…

Aujourd'hui : Flanby ambassadeur des charcutiers en Chine

À défaut de "bravitude" on vendra des cochons… L’affaire est loin d’être "anecdotique", souligne-t-on anxieux à l’Élysée… Depuis trois ans, les marchands français de cochons négocient avec les autorités chinoises les termes d'un indispensable protocole sanitaire qui autoriserait l’importation de charcuteries françaises. Tout devait être bouclé avant l’arrivée de Flanby… mais un obstacle de dernière minute pourrait contrarier ces projets. Alertées par le scandale de la viande chevaline, les autorités chinoises s'inquiètent de n'avoir pas visité les établissements français susceptibles d’exporter.


C'était hier : Bravant les rafales de vent, Ségolène Royal salue un "symbole du temps qui demeure" et déclare solennellement devant les caméras du monde entier : "Comme le disent les Chinois, un Chinois qui ne vient pas sur la Grande muraille n’est pas un brave et un Chinois qui vient sur la Grande muraille conquiert la bravitude".

Flanby et sa concubine gagneront-ils cette bravitude ou se confineront-ils dans la vente de cochons ?


mercredi 24 avril 2013

Marianne


La République, on ne le dira jamais assez, n'est pas la France. Elle n'est pas l'aboutissement d'une longue tradition germée dans l'humus de l'âme et du sol français, développée au fil des nobles races successives qui la firent et dont le dernier rejeton péri, encore enfant, dans l'une de ses infâmes geôles, au nom de la Liberté, de l'Égalité et de la Fraternité. Ce n'est même pas le fruit, plus ou moins mûri, d'aspirations partagées au décours de son histoire. Ce n'est le fait que d'une faction de conjurés, de bêtes sauvages, cyniques et malfaisantes, d'anthropophages qui ne parvinrent à l'imposer que par le meurtre, l'assassinat juridique et le génocide.

La République n'est pas autre chose qu'un monstrueux parasite, un hideux greffon artificiel, pareil à un chancre purulent sur le corps valétudinaire d'une noble fille, qu'il va bien falloir finir par extraire avant qu'elle n'en crève.


Marianne dans tous ses états : 
La république en caricature de Daumier à Plantu par 
Guillaume Doizy, Jacky Houdré - Alternatives


Saynètes : "Les tanneries de peaux humaines" et "Lecture de la lettre aux soldats de la république"

Enregistrement de deux saynètes issues du spectacle "Terreur en Vendée":






Du printemps français au sursaut contre-révolutionnaire…

Du printemps français au sursaut contre-révolutionnaire…




À l'Élysée, à Matignon, à l'Assemblée nationale ainsi qu'au Sénat, l'essentiel de la clique politicienne s'obstine à rester sourde et aveugle au mécontentement croissant du pays réel mobilisé depuis des mois pour défendre la Famille, le mariage et la parenté.

. La France s'enfonce chaque jour un peu plus dans le totalitarisme organisé par une gauche omnipotente. Et cela se fait avec la complicité du centre mou et de la droite flasque, comme nous l'avons vu lors du vote au Sénat organisé à main levée et en catimini dans une assemblée quasi vide. Peu importe leur bord politique, la grande majorité d'entre-eux n'a pas eu la décence de se déplacer, préférant n'apparaître que devant les caméras ou lors de manifestations.

. Les médias se précipitent pour contribuer à la manipulation de l'opinion publique. Chaque homosexuel qui trébuche devient aussitôt la victime d'une agression "homophobe". Un Français de souche hétérosexuel victime d'une agression, c'est devenu tellement banal que cela n'intéresse quasi aucun journaliste. Mais qu'un homosexuel se fasse bousculer quelque part et cela devient une affaire d'Etat afin de culpabiliser les honnêtes Français qui continuent à affirmer que le mariage doit rester l'union d'un homme et d'une femme. Par contre, combien de journalistes s'émeuvent de la façon dont, depuis le 24 mars dernier, des milliers de personnes ont arbitrairement subi les gaz lacrymogènes et les coups de matraque de CRS et de gendarmes transformés en police politique ? Des enfants, des mères de famille, des vieillards, des prêtres, des étudiants, sont traités de façon scandaleuse mais pas un journal télévisé ne le dénonce. Vendredi dernier, un religieux a littéralement été tabassé puis mis en garde à vue par des CRS mais qui s'inquiète de cette dérive du régime ? Nous sommes la France bien élevée, celle des étudiants qui vont en cours, des Français qui travaillent et qui payent leurs impôts et la police se comporte vis-à-vis de nous comme jamais elle n'oserait le faire ni face à la CGT ni dans les banlieues. Cela suffit !

. Le pouvoir croit s'en sortir en accélérant l'agenda. Mais il n'a pas compris que la sentence des parlementeurs ne signifie pas la fin de notre mobilisation. C'est au contraire l'effet inverse qui se constate. Et la Providence nous place dans cette situation inattendue : 45 ans après Mai 68 et son flot de subversion, c'est un Mai 2013 marqué par l'esprit contre-révolutionnaire qui pourrait bien surgir de ce printemps français en cours.

C'est dans cette perspective d'un mois de mai contre-révolutionnaire que CIVITAS vous convie à trois rendez-vous.

1° Le Congrès de la France Catholique, ce 27 et 28 avril (de 14h à 18h, 164 rue Javel dans le 15ème arrondissement). De nombreux intervenants se succèderont à la tribune pour analyser la situation alarmante et proposer des pistes concrètes pour résister, riposter et reconstruire.


2° Le défilé en hommage à Ste Jeanne d'Arc, le dimanche 12 mai à 14h30, de la place Saint-Augustin à la place des Pyramides. Attaquer la Famille, c'est également attaquer la Patrie et la Foi. Dans ce contexte, Sainte Jeanne d'Arc s'impose comme le modèle de chef dont la France a cruellement besoin. Soyons nombreux à le témoigner publiquement.

3° La manifestation du dimanche 26 mai. CIVITAS organisera ce jour-là une grande manifestation nationale dont le mot d'ordre sera "Du balai !". Oui, venons nombreux de toute la France pour que la clameur "Du balai !" se fasse entendre à tous les destructeurs de la Famille, de la Patrie et de la Foi.

Que ces trois rendez-vous soudent les rangs de tous les partisans d'un sursaut contre-révolutionnaire. Et bien sûr, n'oublions pas de huer chaque ministre en déplacement. On ne lâche rien !

Alain Escada,
président de CIVITAS

FRANCE-JEUNESSE-CIVITAS



lundi 22 avril 2013

Hé, les filles ! Qu'avez-vous dans la tête ? Écervelées, désintoxiquez-vous ! Consternant d'inculture historique et d’imbécillité !





Un  article aussi excellent qu'opportun signé Jean Sévillia sur Boulevard Voltaire :

Eh les filles, enlevez votre bonnet phrygien !

Un article qui rappelle fort opportunément la signification de ce sinistre bonnet phrygien… Un seul reproche à Jean Sévillia : sa gentillesse polie, sa courtoisie, une franche galanterie dont je me serais fort dispensé… Il ne s'agit pas bien sûr d'inviter ces filles à se mettre autre chose sur la tête mais DANS la tête…

Les bonnets phrygiens et le massacre des prêtres à la prison des Carmes
(Alain Decaux raconte la Révolution française aux enfants)

Les Noyades de Nantes en 1793 : les « mariages républicains »
huile sur toile de Joseph Aubert, 1882

"… être opposé à la légalisation du mariage homosexuel ne m’a pas fait perdre la mémoire.

Or, je trouve bien curieux que, dans toutes ces manifs si sympathiques, des kyrielles de jeunes filles s’affublent d’un bonnet phrygien. J’ai bien compris l’idée que les organisateurs veulent traduire en les déguisant ainsi : l’heure est à la défense de la liberté contre la dictature. Mais précisément, parce que je sais un peu d’histoire de France, je m’autorise à souligner que le symbole est mal choisi. Car pour ce qui est du combat de la liberté contre la dictature, ce n’est vraiment pas du côté de la Révolution française qu’il faut chercher.

Le bonnet phrygien, devenu l’emblème du mouvement révolutionnaire en 1790, s’impose fin 1792, son usage culminant jusqu’à la réaction thermidorienne de 1794. C’est-à-dire que ce couvre-chef incarne peu ou prou la Terreur et même la Grande Terreur, qui est sans doute un des moments les plus tragiques de notre histoire.

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense donc à la princesse de Lamballe, assassinée pour crime d’amitié avec Marie-Antoinette, et dont le corps nu, décapité au couteau de boucher, a été promené dans Paris, la vue de son intimité soigneusement exposée suscitant des propos égrillards de la part de délicats militants de la Liberté.

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ces prêtres et à ces religieuses que Carrier, à Nantes, déshabillait et liait nus, l’un à l’autre, l’un face contre l’autre pour être précis, sexe contre sexe, avant de les noyer dans la Loire. Ce charmant adepte de l’Égalité appelait cela un « mariage républicain ». Parenthèse : détourner la symbolique du mariage n’est donc pas nouveau…

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ce curé vendéen à qui des soldats, sans doute partisans de la Fraternité, avaient tranché les deux mains avant de répandre dans l’auge à cochons le contenu du tabernacle de son église. Ce martyr a été retrouvé accroupi devant l’auge, les deux avant-bras collés contre terre afin de tenter d’arrêter l’hémorragie, et lapant dans l’auge, s’efforçant de disputer aux cochons les hosties consacrées.

Je ne cherche pas ici à ranimer de vieilles querelles idéologiques, et je sais que le succès de la Manif pour tous repose sur sa diversité et l’acceptation de cette diversité. Mais quand même. Jolies jeunes filles de 2013 qui vous promenez avec un bonnet phrygien, pensez aux crimes de 1793 : mettez-vous autre chose sur la tête. Je vous assure que vous n’en serez que plus belles."


Démocratie Royale : 81% des victimes du Tribunal Révolutionnaire sont issues du peuple




Quand la presse de France se déchaîne contre la Grande et Sainte Russie et occulte ce qui se passe sous son nez…



Slogan subversif tchétchène
[pour ceux qui ne liraient pas cette langue barbare : "Un couple marié = un homme et une femme"]


Le pouvoir russe réprime brutalement les adversaires d’une loi sur le mariage

(du correspondant permanent à Moscou de l’AFP pour Le Monde, Le Figaro, Le Parisien, Libération et aussi France 2, TF1, M6, Direct 8…)

Le 24 mars c’est une immense manifestation qui s’est déroulée dans les rues de Moscou. Plus d’un million et demi de personnes selon les observateurs étrangers, 300.000 selon le régime et la presse aux ordres. La réaction du pouvoir a été violente. Rappelées de Sibérie et de Tchétchénie, les forces spéciales ont dispersé brutalement les manifestants. Les robocops n’ont pas hésité à gazer des enfants avec des « aérosols » (sic) dont l’usage est condamné par l’Union européenne, aérosols, qui plus est, périmés selon une ONG de défense des droits de l’homme.

Depuis, les manifestations se multiplient. Le pouvoir y répond par des arrestations de plus en plus arbitraires. Des pères de famille ont été interpellés pour port de « tee-shirt interdit ». Soixante-sept jeune gens ont été gardés à vue à la Loubianka pour avoir tenté d’organiser un pique-nique près de la Place Rouge. Des jeunes filles qui faisaient un sit-in pacifique ont été violemment précipitées dans la bouche de métro Pushkinskaya par les sbires du pouvoir : des méthodes qui évoquent, pour un Français, celles du sinistre Papon réprimant les patriotes algériens, en 1961, au métro Charonne.

Les conditions du vote de la loi à la Douma ont été dignes d’une république bananière : moins de cinquante élus étaient présents mais la loi est réputée avoir été adoptée par plus de 300 députés ! Impensable pour qui est un habitué des procédures parlementaires des démocraties occidentales. Des parlementaires ont même été empêchés par la police de rejoindre la Douma.

Une vague de manifestations a alors déferlé sur tout le pays. Les ministres et les gouverneurs sont partout accueillis par des broncas. Le harcèlement démocratique bat son plein. En visite dans son propre fief de Saint-Pétersbourg, le président Poutine a dû accéder à la mairie par la porte de service…

Manslov Gazov, le ministre de l’Intérieur, a tonné contre les « provocateurs fascisants » et dénoncé des « houligans » : le mot même employé par Leonid Brejnev pour condamner les dissidents à l’époque de Soljenitsyne. Pour les ONG occidentales il est clair que Manslov Gazov (un ancien de SOS Communisme) a mobilisé la section manipulation du FSB (héritière du KGB) pour multiplier les actions de provocation. Les médias du régime ont d’ailleurs complaisamment relayé le saccage commandité d’un bar pro-Poutine dans l’Oural et la prétendue agression de deux partisans de la loi Poutine à Moscou (une simple querelle de sacs à main en fin de soirée).

Derrière le rideau de fumée des médias du régime, le nombre des prisonniers politiques s’accroît. Le régime aux abois multiplie les rafles pour mettre à jour ses fichiers. Les geôles de Manslov Gazov sont pleines. Le 18 avril des dizaines d’inoffensives babouchkas ont été embarquées sans ménagements, alors qu’elles papotaient près du monument aux morts à la grande guerre patriotique ; et dans la nuit des dizaines de jeunes veilleurs silencieux, à la Gandhi, ont fait l’objet de très violentes interpellations.

Le Parlement européen s’est ému et a sommé le pouvoir russe de ne pas paralyser les réseaux internet comme on en prête l’intention à Manslov Gazov. Et les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne vont convoquer les ambassadeurs russes pour leur faire des remontrances et leur rappeler les droits de l’opposition démocratique. Le Printemps russe, c’est maintenant !



samedi 13 avril 2013

L’Action française dénonce le coup de force de Flanby…


Le chef de l’État devient illégitime : il doit partir

L’ACTION FRANÇAISE DÉNONCE LE COUP DE FORCE DE FRANÇOIS HOLLANDE qui, après l’adoption précipitée du projet de loi Taubira vendredi matin au Sénat dans un hémicycle à moitié vide, a décidé, contre tous les usages, d’avancer la deuxième lecture du texte à l’Assemblée nationale dès mercredi prochain, 17 avril, alors qu’elle était initialement prévue à compter du 27 mai.

Cette précipitation traduit la panique d’un exécutif discrédité, sur lequel se resserre chaque jour davantage l’étau du mécontentement populaire. La profonde coupure du pouvoir avec le pays réel éclate ainsi au grand jour.

Comme l’a déclaré le député Philippe Gosselin, défenseur du mariage et de la filiation, devant le Sénat ce vendredi 11 avril au soir : "En accélérant la procédure législative pour échapper à la manifestation prévue par les opposants au ’mariage pour tous’ le 26 mai prochain, le chef de l’Etat et sa majorité sont prêts au pire : c’est une incitation à la guerre civile".

La panique étant mauvaise conseillère, l’exécutif ne fait ainsi que cristalliser la légitime colère des Français à l’encontre de son imposture et de son incompétence. En incitant à la guerre civile, le chef de l’État devient illégitime. Il doit partir.

C’EST POURQUOI L’ACTION FRANÇAISE APPELLE TOUS SES MILITANTS ET SYMPATHISANTS À PARTICIPER À LA LÉGITIME COLÈRE DU PAYS RÉEL ET À PRENDRE TOUTE LEUR PART DANS LE SURGISSEMENT D’UN PRINTEMPS FRANÇAIS.



mardi 9 avril 2013

Pour l'Europe, un seul espoir que Margaret Thatcher soit réincarnée…


Margaret Thatcher portant le deuil de Ronald Reagan, juin 2004


Margaret Thatcher portant le deuil de Ronald Reagan, tout un symbole… Le deuil d’un monde englouti… Notre deuil aujourd’hui avec l'appel dans l'Au-delà de Margaret Thatcher… Pour nous Européens, le deuil d’un rêve. Le deuil d’une Europe qui aurait été fondée sur ses valeurs ancestrales, sur les valeurs immémoriales de ces peuples… Notre deuil, c’est aujourd’hui le dégoût d’une Europe et de ses prétendus dirigeants fantomatiques girouettes agitées au gré de sondages manipulés, soumises à la technocratie décivilisatrice de la ploutocratie maçonnique et apatride… Le courage, la détermination, la fidélité à des grands principes justes, le sens du Bien commun ont fait la force de Margaret Thatcher… c’est ce que nous attendons désespérément de nos dirigeants actuels… Que ne soit pas dilapidé l’héritage commun de Margaret Thatcher, Ronald Reagan, Jean-Paul II, Lech Walesa, Vaclav Havel, Mikhaïl Gorbatchev sans lesquels l’Europe et la Sainte Russie n’auraient été libérées de la dictature communiste… Et, maintenant reste encore, tâche immense, à libérer une grande partie de cette Europe de la sociale-démocratie qui toujours appauvrit, génère le chômage, clochardise la jeunesse par sa fallacieuse politique égalitariste de redistribution et de prétendue justice sociale… Abattre la social-démocratie ! Un seul espoir que Margaret Thatcher soit réincarnée…


Sans Margaret Thatcher, Ronald Reagan n'aurait pas été Reagan


lundi 8 avril 2013

La Voix de la Russie : En Flanbyland, comme un doux parfum de 6 février 34…





Journal hebdomadaire de Voix de la Russie – 8 avril 2013

- Flanbyland : il règne comme un parfum de 6 février 34
- Corruption : une valeur mondialiste bien partagée
- Interview de Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia sur la tyrannie médiatique
- Retour de la spiritualité : le père Tikhon à Paris pour l'édition de son livre en français
- Dialogue Franco Russe : une association au service d'un rapprochement entre les nations 
- 400ème anniversaire de la dynastie des Romanov : soirée exceptionnelle à l'ambassade de Russie à Paris


Flanby, plus con que jamais, a encore bien fait marrer Angela Merkel… Toujours plus fort !



De quoi se marrent-ils ainsi, ces deux-là ? S’en content-ils de bien bonnes sur leur dernière rencontre avec Flanby ?

Chacun se souvient d'un plouc se prenant les pieds dans le tapis chez Angela Merkel, c'était sa première sortie après cette néfaste élection de mai 2012…

Flanby : "Quand on est le président de la France, on doit être impressionné par rien !"

Mais toujours plus fort, il fait le Flanby ! Là c'était aux funérailles de Stéphane Hessel, le 7 mars dernier… Une scène aussi affligeante qu'à mourir de rire… Flanby rendant hommage à une plaque d'égout, figé au bord du trou, loin du cercueil indigné du vieillard trépassé.

Quelle mouche est tombée dans le pot à Flanby pour qu'il s'oublie ainsi ? Vraiment con le mec ou a-t-il délibérément voulu rendre à Hessel l'hommage qui lui était dû… celui que l'on rend à une ordure… Alors chapeau, mec ! Malheureusement ce n'est très probablement pas le cas… Les hypothèses fusent… La meilleure synthèse (oui, une synthèse !), je l'ai trouvée sur un blog bien sympa, celui de Pensetouseul :

1 - Flanby est un con tout simplement (ce que tout le monde pense).
2 - Flanby voit la plaque d’égout et se pose la question : « Comment je vais passer ? »
3 - Flanby cherche des pièces jaunes pour Bernadette ou pour rembourser la dette.
4 - Flanby a entendu "1, 2, 3, Soleil", du coup il ne veut pas perdre et s’arrête.
5 - Flanby obéit au protocole « Vous devez vous arrêter devant la plaque d’égout à 30 m du cercueil ».
6 - Flanby comprend qu’il risque de finir là, à cause de sa politique.
7 - Flanby est un fan de Tortue Ninja.
8 - Flanby se demande comment le cercueil va pouvoir passer dans ce trou d'égout (hypothèse fort logique, sachant qui est dans la caisse).

Pensetouseul après moult recherches croit avoir résolu l'énigme… Un travail considérable, toutes les hypothèses se défendant bien que la première et la huitième semblent occulter toutes les autres, quoique avec la huitième ce serait gratifier Flanby d'une malice en contradiction flagrante avec la première hypothèse… Bref… Langue au chat ? La réponse Pensetouseul tout seul pense l'avoir trouvée… cliquez ici pour découvrir l'inattendue révélation.



dimanche 7 avril 2013

Pour sauver la France, il faut abattre d’urgence la République


« La question institutionnelle n'a jamais été plus actuelle. Elle constitue un enjeu politique de première importance et tous les Français doivent souhaiter qu'elle soit publiquement débattue, pour ne pas laisser à d'illégitimes oligarchies le soin de trancher pour nous la question de notre avenir national.

Il n'appartient évidemment pas à l'aîné des Capétiens de résoudre seul cette difficile question institutionnelle. Mais il ne m'est pas interdit de regarder avec sympathie et intérêt le développement de ces discussions au sein de la société française. Et il est de mon devoir de rappeler à tous les Français de bonne volonté, après tous mes prédécesseurs, ce que mon regretté père appelait les « vieilles recettes » de la royauté capétienne.

Pas plus que vous, je ne sais ce qui viendra « après la Ve République ». Ce que je sais, en revanche, c’est qu'aucun régime ne pourra durablement s'implanter en France s'il cherche à dresser une France contre l'autre ; à occulter le glorieux passé de notre patrie ; ou à conférer, plus ou moins discrètement, le pouvoir à une petite caste de privilégiés.

En réfléchissant à notre avenir commun, il est sage d’écouter les leçons de notre passé. »


Décret de l'Assemblée nationale qui supprime les ordres religieux et religieuses en 1790 (Bibliothèque nationale de France)

Lettre d'information du Centre royaliste d'Action française - 6 avril 2013

[Communiqué] : Une ambiance de fin de règne

L’affaire Cahuzac plongerait le monde médiatico-politique dans un grand émoi…

Si la réalité n’était pas aussi tragique, on rirait de ces assauts de moralisme outragé, de ces poses vertueuses des « régimistes payés ».

D’abord, précisons que le mensonge d’État, la corruption, les lois ineptes, ne sont pas l’apanage exclusif de la gauche libérale socialiste. La droite libérale démocratique (celle que la gauche, entre deux insultes, reconnaît comme républicaine) pratique le même sport à peu près au même rythme.

Ces deux faces d’une même médaille utilisent la règle convenue du jeu électoral qui, comme dans « Qui veut gagner des millions ? », fait tous les cinq ans un heureux gagnant.

Mensonge, corruption… Mais rappelons nous : Cela a commencé dès la révolution ! Tandis que Danton s’enrichissait, comme de nombreux « citoyens décideurs » avec la récupération des « fermes générales » et le pillage des biens de l’Église, que soixante départements sur quatre-vingt quatre, malencontreusement consultés, souhaitaient le maintien de la Monarchie et qu’on écrasait dans le sang les révoltes populaires qui éclataient partout en France, on fondait la République une et indivisible, déjà dans le mépris du peuple que l’on séduisait par le mensonge ou soumettait par la terreur.

Comment se pourrait-il que née ainsi, la République, produise de bons fruits ?

Les affaires ont émaillé la vie de celle que Maurras appelait la « femme sans tête », du scandale de Panama à l’affaire Stavisky, qui vit descendre les patriotes dans la rue.

Jusqu’alors, la République tenait au moins une relative légitimité de la défense de la Nation dont elle se faisait la championne, mission régalienne qu’elle eut l’intelligence d’hériter de la Monarchie capétienne, non sans la déformer et faire malheureusement du Nationalisme une caricature belliciste.

Mais, ses abandons successifs de souveraineté tendant à dissoudre la Patrie dans l’Union européenne, elle même antichambre du mondialisme anglo-saxon, est en train de lui retirer toute reconnaissance du Peuple, la rendant de plus en plus étrangère à la France réelle. La loi Taubira, qui s’inscrit dans ce planning mondialiste et vise à transformer nos peuples de France en une foule anonyme de clones asexués, complétant le projet de métissage obligatoire défendu par Sarkozy, devrait achever de convaincre les patriotes que non seulement la République n’est pas la France, mais encore qu’elle met en grave danger notre Patrie construite par huit siècles de Monarchie capétienne.

Pour sauver la France, il faut abattre d’urgence la République.

Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française

Centre royaliste d'Action française
10 rue Croix-des-Petits-Champs 75001 Paris
communication@actionfrancaise.net
www.actionfrancaise.net



Louis XX prêt à se lancer en politique en France en 2013 ?

samedi 6 avril 2013

6 เมษายน : วันที่ระลึกมหาจักรีบรมราชวงศ์ - 6 avril : Jour de la Dynastie Chakri



Après la chute d’Ayutthaya et le règne très bref du roi Taksin à Thonburi s’ouvre l’ère Rattanakosin avec la Dynastie des Chakri… alors que Krung Thep (กรุงเทพมหานคร), la Cité des Anges, [Bangkok pour les étrangers européens] devient la capitale du Royaume de Siam…


- Le roi Phra Buddha Yodfa Chulaloke (Rama 1er, 1782-1809), fondateur de la Dynastie est couronné le 6 avril 1782.
- Le roi Phra Buddha Loetla Naphalai (Rama II, 1809-1824).
- Le roi Phra Nang Klao (Rama III, 1824-1851).
- Le roi Mongkut (Rama IV, 1851-1868) accède au trône après 26 années de vie monastique… instaure un bouddhisme plus pur tout en ouvrant le Royaume au monde extérieur…
- Le roi Chulalongkorn (Rama V, 1868-1910), durant un long règne de 42 années, promeut de nombreuses réformes (administration royale, éducation, justice, finances, abolition de l’esclavage), voyage et s'ouvre à l'Europe.
- Le roi Vajiravudh (Rama VI, 1910-1925), le roi poète, contribue à l’épanouissement de la langue et de la littérature siamoises…
- Le roi Prachadhipok (Rama VII, 1925-1935), dernier roi de Siam à régner sous le régime de la monarchie absolue, après une courte révolution accepte, le 24 juin 1932, un régime de Monarchie constitutionnelle ; il abdique le 2 mars 1934…
- Le roi Ananda Mahidol (Rama VIII, 1935-1946), neveu du roi Prachadhipok, accède au trône mais après 11 années de règne décède dans des circonstances non élucidées. Avec la prise du pouvoir par le général Plaek Phibunsongkhram en 1939, le Royaume de Siam se nommera désormais Royaume de Thaïlande.
- Le roi Bhumibol Adulyadej (Rama IX), succède à son frère le 9 juin 1946… Après une période de régence pendant laquelle il termine ses études en Europe, il rentre en Thaïlande en 1950, se marie avec la princesse Sirikit Kitiyakorn et est couronné. Sa Majesté le roi Bhumibol Adulyadej a fêté le soixantième anniversaire de son accession au trône en juin 2006.