Anders Behring Breivik aime les uniformes, et semble en avoir abusé… Si Anders Behring Breivik n'avait pas triché - dans le cas présent aucune usurpation de grade n'a été dénoncée - selon les détails de son uniforme, il aurait alors atteint le grade de “Passé Vénérable Maître”, ce qui supposerait qu'il fréquentait cette loge maçonnique depuis au moins une dizaine d’années.
Cette appartenance d'Anders Behring Breivik à la maçonnerie en tant que maître à la "loge de saint Jean Saint-Olaf aux trois colonnes" a été officiellement reconnue par Ivar A. Skar, le grand maître de l’Ordre norvégien des francs-maçons (Grande Loge de Norvège), par son communiqué d'exclusion (!)… Ivar A. Skar a ainsi déclaré : “Je suis consterné par les horribles atrocités qui ont été commises dans le quartier du gouvernement et à l’île d’Utoya. Nous sommes en deuil et pleins de compassion pour ceux qui ont été touchés et pour leurs proches. Il est apparu dans les médias que l’accusé était membre de l’Ordre norvégien des francs-maçons. Il a été maintenant exclu – l’exclusion prend effet immédiatement. L’exclusion reflète le fait que les actes qu’il est accusé d’avoir commis, et les valeurs qui semblent les avoir motivés, sont totalement incompatibles avec ce que nous défendons en tant qu’Ordre. Nous construisons notre activité sur les valeurs chrétiennes et humanistes et nous voulons que nos membres contribuent à la promotion de la charité, de la paix et de la bonté parmi les gens. La police, bien sûr, recevra toute l’aide et l’information que nous pourrons lui donner pour contribuer à l’enquête".
Ivar A. Skar, le grand maître norvégien ne pouvait évidemment pas faire moins…
Chrétien ne signifie jamais obligatoirement catholique. Les actes de ces chrétiens du Nord n'impliquent jamais, peu ou prou, les catholiques.
Cette appartenance d'Anders Behring Breivik à la maçonnerie en tant que maître à la "loge de saint Jean Saint-Olaf aux trois colonnes" a été officiellement reconnue par Ivar A. Skar, le grand maître de l’Ordre norvégien des francs-maçons (Grande Loge de Norvège), par son communiqué d'exclusion (!)… Ivar A. Skar a ainsi déclaré : “Je suis consterné par les horribles atrocités qui ont été commises dans le quartier du gouvernement et à l’île d’Utoya. Nous sommes en deuil et pleins de compassion pour ceux qui ont été touchés et pour leurs proches. Il est apparu dans les médias que l’accusé était membre de l’Ordre norvégien des francs-maçons. Il a été maintenant exclu – l’exclusion prend effet immédiatement. L’exclusion reflète le fait que les actes qu’il est accusé d’avoir commis, et les valeurs qui semblent les avoir motivés, sont totalement incompatibles avec ce que nous défendons en tant qu’Ordre. Nous construisons notre activité sur les valeurs chrétiennes et humanistes et nous voulons que nos membres contribuent à la promotion de la charité, de la paix et de la bonté parmi les gens. La police, bien sûr, recevra toute l’aide et l’information que nous pourrons lui donner pour contribuer à l’enquête".
Ivar A. Skar, le grand maître norvégien ne pouvait évidemment pas faire moins…
Chrétien ne signifie jamais obligatoirement catholique. Les actes de ces chrétiens du Nord n'impliquent jamais, peu ou prou, les catholiques.
Mais voilà une question que personne ne semble s'être posé… L'immature Anders Behring Breivik avait-il lu Harry Potter ? Anders Behring Breivik avait-il vu les films d'Harry Potter ? Quel intérêt leur portait-il ? Dans son manifeste est-il fait mention d'Harry Potter ?
Ou, en renversant la question, comment les fans d'Harry Potter interprètent-ils le geste d'Anders Behring Breivik ?
Ou, en renversant la question, comment les fans d'Harry Potter interprètent-ils le geste d'Anders Behring Breivik ?
L'ouvrage « HARRY POTTER ET L’ORDRE DES TÉNÈBRES » de Mona MIKAEL, publié par les Éditions Saint-Rémi, inciterait à poser cette question troublante…
… nous devons nous poser cette question troublante :
se pourrait-il qu’une importante partie de la littérature enfantine serve de véhicule aux principes maçonniques pour instruire la jeunesse dans ses « idées nouvelles » ? Serait-ce là un stratagème pratique, commode, insoupçonnable, pour couler dans leur moule les adultes de demain ? Si tel était le cas, ce malin stratagème porterait en lui-même sa meilleure protection, car qui croira jamais à une pareille histoire ? Soulignons également que l’univers maçonnique ressemble à s’y méprendre à celui d’un roman : recherche d’un trésor, menées labyrinthiques, obscures initiations, codes, rituels et symboles, serments et anagrammes. Tout cela plaît aux enfants de 7 à 77 ans et nourrit largement leur goût de l’aventure. Il est facile alors de fondre un récit d’initiation dans un roman d’aventure... Avouons que nous avons résisté longtemps à tout cela jusqu’à ce que le texte lui-même dissipe nos derniers doutes. Presque à chaque page, s’accumulent les signes et les raisons de croire à cette chose incroyable. Ceux qui connaissent mieux que nous la franc-maçonnerie ne sursauteront même pas en survolant ces mots, tant ils s’attendent à tout de cette secte rusée.
Comme les Fils de la Veuve, Harry Potter a plus d’un tour - et d’un fond - dans son sac. Seule l’analyse symbolique permet de découvrir toutes les ruses de structure qui constituent ensemble la trame cachée des livres. Empressons-nous de dire, toutefois, qu’une simple étude de texte fondée sur la déduction permet aussi de faire des trouvailles éclairantes dévoilant des ressorts stratégiques importants. Si vous l’utilisez, on ne vous dira pas : « Vous ne connaissez pas Potter », mais plutôt « vous ne connaissez pas suffisamment Potter ». Car le récit de ses aventures est un roman à clé et la clé de cryptage employée par l’auteur pour encoder ses livres est l’analyse symbolique. Refaite en sens inverse, elle déconstruit le texte, mettant en évidence le judicieux truffage qui, sous les apparences d’artifices littéraires, a parsemé les livres de symboles lourds de sens ouvrant sur une lecture entièrement différente. C’est dans le détail que se cache l’essentiel du poison et donc dans le détail qu’il faudra l’étudier, d’où la nécessité d’une attention totale pour voir dans certains mots apparemment banals des symboles débordants d’enseignements païens. Cela nous amène à parler de la traduction française, qui, du moins dans les trois premiers livres, escamote des détails précieux pour l’analyse : deux mots ici, trois lignes là, voire des passages entiers, au point qu’on peut parler - toujours dans le cas des trois premiers tomes - d’une version française comprimée de la série. Vu l’importance des détails symboliques qui éclairent comme des phares tout l’intérieur du texte, l’ensemble de ces omissions est une amputation qui impose maints retours au texte original.
Enfin, si l’auteur parsème son texte de symboles avec la minutie d’un orfèvre au travail, c’est aussi pour une raison purement pédagogique, car les détails exercent le sens de l’observation, aiguisent la mémoire et l’esprit de synthèse. Combien de fois l’auteur laisse-t-il des questions en suspens dans un livre et cache-t-il la réponse dans un autre ! Tant de menus détails dispersés ça et là apportent, une fois bien lus, la grande clé des mystères ! Pour les lecteurs, c’est un jeu de piste ; pour les réformateurs, un moyen fabuleux – parce que insoupçonnable - de recruter déjà pour les temples de l’ombre. Car le temps est compté et le travail énorme : pour tourner les jeunes cœurs vers l’Étoile Flamboyante et les positionner dans l’axe initiatique, il faut bien les instruire sans risquer d’alerter des adultes encombrants. Voilà pourquoi l’adulte à l’œil critique doit rester constamment attentif aux détails pour faire le même chemin proposé aux enfants et découvrir enfin où les mène ce chemin. Pour voir tout ce qu’absorbe le « fan » conditionné qui s’engage sur les pas de Harry Potter. Nous l’invitons à lire cette dénonciation en gardant à l’esprit que les romans d’initiation comme le Da Vinci Code et Harry Potter préparent ce que Louis Pauwels et Jacques Bergier appelaient en 1960 une cryptocratie. Cette puissance à deux faces baignant dans le mystère, c’est l’Empire du Mot Crypté, la République des Codes, c’est-à-dire en un mot, le Royaume de la Fraude.
Un large extrait (23 pages) de l'ouvrage HARRY POTTER ET L’ORDRE DES TÉNÈBRES est accessible en pdf, pour le lien cliquez sur le titre HARRY POTTER ET L’ORDRE DES TÉNÈBRES.