« Viens à moi... que je te déchire... que je t’écorche... que je te tue... » (Tome 2, p. 132)
« Fenrir Greyback (loup-garou) sourit, montrant des dents pointues. Du sang coulait sur son menton et il se léchait lentement les babines, avec une expression obscène. "Tu sais à quel point j’aime les enfants, Dumbledore. (...) Il y a ici tant de gorges à lacérer... Délicieux, délicieux". » (Tome 6, pp. 651-52)
« Il faut vraiment vouloir la souffrance de l’autre, Potter ! Et y prendre plaisir. » (Tome 5, p. 963)
« Il n’y a pas de bien ni de mal, il n’y a que le pouvoir. » (Tome 1, p. 284)
« On peut continuer à exister sans son âme, tant que le cœur et le cerveau fonctionnent. (...) On existe, c’est tout. Comme une coquille vide. L’âme, elle, s’est définitivement envolée, elle est perdue à jamais. » (Tome 3, p. 268)
« Même sa propre mort n’avait pas empêché Binns (fantôme) d’enseigner. Il ne fallait donc pas s’attendre à ce qu’un événement aussi insignifiant que Noël le détourne de ses habitudes. » (Tome 4, p. 351)
« "Tu as vu cette araignée se tordre de douleur ? Et quand il a tué l’autre ?" Ils parlaient du cours comme s’il s’était agi d’une sorte de spectacle, pensa Harry, mais lui n’y avait rien vu d’amusant. Hermione non plus, semblait-il. »
(Tome 4, pp. 197-198)
« Il lui donna un violent coup de pied en plein visage. Harry sentit son nez se casser, du sang gicla un peu partout. » (Tome 6, p. 172)
« La silhouette s’arrêta devant le cadavre de la licorne, pencha la tête sur le flanc déchiré de l’animal et commença à boire son sang. » (Tome 1, p. 251)
« Ron, Harry et George firent rouler à coups de pied les corps inertes de Malefoy, Crabbe et Goyle dans le couloir – le mélange de sortilèges qu’ils avaient reçus leur donnait un aspect particulièrement repoussant – puis revinrent dans le compartiment et refermèrent la porte derrière eux. » (Tome 4, p. 648)
« Les Détraqueurs, sorte de démons sans yeux capables d’aspirer l’âme des vivants. » (Tome 4, p. 27)
« J’ai tué mon père (...) et métamorphosé son cadavre. J’ai usé d’un sortilège pour le réduire à un os unique que j’ai enterré. » (Tome 4, p. 615)
« (Les Horcruxes) C’est de la magie très noire, très très noire. » (Tome 6, p. 546)
« Comment fait-on pour séparer son âme en deux ?
- Par un acte maléfique. L’acte maléfique suprême. En commettant un meurtre. Tuer déchire l’âme. (...) -
Ne peut-on séparer son âme qu’une seule fois ? N’obtiendrait-on pas un meilleur résultat, une plus grande force, si l’on parvenait à diviser son âme en plusieurs morceaux ? » (Tome 6, p. 548)
« Si j’avais tué Harry Potter, le Seigneur des Ténèbres n’aurait pas pu se servir de son sang pour renaître et devenir invincible. » (Tome 6, p. 40)
« La parole du Seigneur des Ténèbres a force de loi. » (Tome 6, p. 42)
« Si j’avais des fils, je serais heureuse de les mettre au service du Seigneur des Ténèbres. » (Tome 6, p. 45)
« Harry avait l’impression de répandre autour de lui des ondes de haine si puissantes qu’il semblait incroyable que Rogue n’en ressente pas la brûlure. » (Tome 6, p.179)
« Ce poste est maudit. Personne n’y est resté plus d’un an... Quirrell en est même mort. Personnellement, je vais croiser les doigts pour qu’il y ait un nouveau cadavre. » (Tome 6, p.186)
« Morfin (...) tordait entre ses doigts épais une vipère vivante à laquelle il susurrait une chanson en Fourchelang. » (Tome 6, p. 228)