Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 4 août 2011

Bachar al-Assad fait sa perestroïka

Le parlement de Damas : bientôt de nouveaux visages, mais pas de barbus...
C’est incontestablement une journée historique pour la Syrie que ce 4 août qui voit Bachar al-Assad promulguer officiellement le décret autorisant la création de nouveaux partis politiques indépendant du Baas et de la coalition dite du « Front national Progressiste » avec qui il co-dirige le pays depuis des décennies. Bien sûr, les contempteurs du régime ne manqueront pas de brocarder les restrictions encadrant la nouvelle législation : en effet, les nouvelles formations ne devront pas se créer sur des bases tribales ou religieuses, et ne devront pas procéder d’une organisation non syrienne. Ces restrictions visent évidemment la Confrérie des Frères musulmans syriens, calquée sur le modèle égyptien et recrutant exclusivement dans la communauté sunnite. Et ce sont encore les « Frères » qui sont visés par le décret quand il interdit aux nouveaux partis de disposer de formation paramilitaire : la plupart des activistes armés qui ont provoqué l’armée et la police – mais aussi menacé et parfois tué les civils suspectés de tiédeur révolutionnaire ou de sympathies bacharistes – dans plusieurs villes du pays sont à l’évidence dans la mouvance islamiste, essentiellement représentée en Syrie par la Confrérie.
On pourra toujours dire que par ces dispositions, le gouvernement Bachar condamne au silence – et à la violence – tout une partie de l’opinion syrienne : les Frères musulmans ont une implantation incontestable à Hama. Mais ce sera faire preuve de mauvaise foi – ou de naïveté irresponsable – dans la mesure où les Frères prônent un État islamique radicalement opposée à la laïcité qui demeure malgré tout le modus vivendi de la société syrienne, et appellent par ailleurs au renversement violent de l’actuel régime : la Confrérie s’est positionnée assez clairement comme un parti de guerre civile et religieuse, et aucun gouvernement syrien responsable – baasiste ou pas – ne pourrait prendre le risque de la légaliser, compte tenu du fragile équilibre et de la société syrienne et de la région.


En tout cas, la loi est immédiatement applicable : on verra très bientôt ce qu’il en sort concrètement, et si la frange modérée – et intérieure – de l’opposition accepte la « main tendue » du pouvoir. Une chose est sûre : Bachar al-Assad a symboliquement déclenché, ce jeudi 4 août, une sorte de « perestroïka à la syrienne ». Le chef de l’État entame là une route difficile, entre résistances au changement et provocations extrémistes, le tout dans un contexte international un rien « chargé ». Les observateurs et commentateurs extérieurs devraient, s’ils ont une once d’honnêteté et de connaissance de la Syrie, lui faire crédit de sa bonne volonté. Mais la plupart des commentateurs ont-ils envie d’être honnêtes sur le sujet ?

De l’improbabibilité d’une révolution syrienne

À propos de la situation en Syrie, "Le Temps d'y Penser", sous la signature de Corbulon, présente une analyse pertinente, à l'opposé de ce que débitent tant nos médias bien-pensants que BHL et nos politiques, le malheureux Alain Juppé à leur tête :

De l’improbabibilité d’une révolution syrienne

C’est à la superficialité des écrits journalistiques sur des sujets complexes que l’on mesure la qualité d’analyse de notre presse. Beaucoup de choses sont écrites sur le régime syrien et ce pays. Il serait heureux que pour l’avenir des peuples arabes, les dictatures s’écroulent. La réalité est différente. Le régime syrien est solide, et, qui a eu la possibilité de vivre sur place sait pourquoi. Ce papier ne vise pas à exposer ce qui serait souhaitable, mais à souligner ce qui est.

Premièrement, la Syrie n’est pas réductible à un affrontement religieux entre sunnites, minorités religieuses et chiites. C’est probablement le seul pays arabe dans lequel les minorités savent pouvoir compter sur la relative solidité du régime de concorde civile imposé par les autorités. Il y a une unité nationale dans ce pays tout à fait différente des pactes artificiels existant ailleurs, ce dont sa stabilité atteste. Dit autrement, ni les chrétiens – melkites, grecs orthodoxes, latins, etc… – ni les sectes islamiques, ou les Druzes, n’ont intérêt à voir le régime tomber. Qu’ils puissent le souhaiter, c’est autre chose…

Ensuite, l’opposition n’existe pas  en Syrie ; il ne suffit pas d’avoir des agitateurs, fussent ils démocrates, pour renverser un régime. Il n’y a ni factions politiques organisées, ni expérience concluante depuis un siècle : lorsque la France a mis en place le protectorat dans les années vingt, elle constata, à la manière libyenne, comme Lawrence – qui s’y cassa les dents- l’efficacité des factions à s’entredéchirer. Il faut être occidental pour oublier la valse des coups d’État jusqu’à l’arrivée d’Assad, fin des années 60. Aucun syrien n’en veut.

Il n’y a pas, troisième réalité, de minorité au pouvoir, aussi énorme que cette affirmation paraisse : dire que les Alaouites sont au pouvoir contre la majorité sunnite est un truisme, une non réflexion sur le pouvoir. C’est à peu près aussi idiot que de dire que les Junkers commandaient l’Allemagne jusqu’à la fin du premier conflit mondial. Les Alaouites ont organisé la bureaucratie, l’appareil militaire et de renseignement, le contrôle des idées et de la presse. Mais ils ne l’ont pas fait seuls (les idiots utiles démocratolâtres devraient se souvenir que Michel Aflak, père du baasisme, était chrétien…) mais en s’alliant. Si l’oligarchie est aussi corrompue et cruelle qu’ailleurs, il faut avoir vu les politiques syriens pour comprendre que rien ne bougera. Rifaat et Khaddam sont deux personnages, tel Janus, illustrant la réalité du système syrien. On est très loin de Khadafi, Moubarak, ou Ben Ali… Le qualificatif employé ad nauseam de « minoritaire » pour 20 % de la population est caricatural. Le Premier ministre syrien est sunnite. Qui connait la vraie opposition syrienne, celle de Joumblatt et des autorités religieuses qui, avant et après les Printemps syriens (en 2000, puis régulièrement depuis) essaient, en vain, de structurer une opposition crédible et unie ?

Reste la permanente comparaison entre Assad père et fils et le propos de boutiquiers faisant du second le jouet des clans au pouvoir, de la vieille garde des Tlass et consorts, aux nouveaux  hommes influents… Le jeu du pouvoir syrien existe et rend la donne plus complexe que les poncifs éculés. Bachar peut être moins influençable qu’on ne le dit, ne serait ce que parce qu’évoluer et conserver le pouvoir comme il le fait réclame une certaine dose d’adresse.

L’islamisme aura peu de prises dans ce pays, pour la simple et bonne raison que, passé au fil de l’épée durant les massacres qui culminèrent à Hama en 1982, la Syrie n’est pas une terre d’extrémisme. Les Chiites y sont très puissants, et personne n’a estimé que les émules de l’Iran tiraient les fils…

La Syrie résiste à des grilles de lectures simplistes. Le Liban est une de ses provinces, et son alliance avec l’Iran ou ses bonnes relations avec la Turquie suffisent à faire comprendre que toucher la Syrie, c’est enclencher le jeu des alliances locales selon la logique… de 1914 en Europe centrale.

Alors, la Syrie est elle invincible ? Évidemment pas. Mais surement pas selon les schémas libyen, égyptien ou même jordanien, lorsque ce pays était menacé.

Il est commode de haïr les états, mais le découpage issus des accords Sykes Picot a plaqué sur un agglomérat de tribus jamais unies le schéma étatique avec ses vertus : armée, religion d’État, renseignements. État, laïcité et cohésion « nationale » ne sont pas des mots creux dans ce pays.

Dernier point, et non le moindre : personne ne sait réellement ce qui se déroule en Syrie. L’information n’est pas fiable et seules les officines de renseignements doivent avoir une idée de cette réalité. La puissance des Moukhabarat se compare à celle de la Stasi, ses méthodes aussi. Lorsqu’une personne sur trois travaille à surveiller les deux autres, ce qu’aucun occidental ne peut comprendre, personne ne bouge. Et un demi million de personnes dans les rues, c’est toujours seize autre qui eux, sont d’un silence assourdissant, et pas uniquement par peur du régime, mais aussi par peur du chaos.

La menace du chaos est bien plus paralysante et conservatrice que l’invocation de la liberté… il n’y a aucune information fiable et crédible sur ce qui se passe dans ce pays, et la France se montre particulièrement influençable et manipulée dans ce dossier, via des médias totalement incompétents.

Où donc se nicherait l’intérêt de la France dans la déstabilisation de ce pays ? Il est à peu près inexistant. Sauf à estimer qu’après avoir investi dans des pays aussi solides que la Grèce ou l’Italie (…), le système bancaire français adopterait une stratégie à la chinoise, en ciblant les pays dans lesquels existe du potentiel de développement ; c’est cependant faire fi des analyses de risques.

Les intérêts économiques ? La Syrie est pauvre en matière premières, hormis quelques petits gisements de pétrole et de gaz à Deir Ez Zor.

Il reste… la Grande politique. Cet éternel vœu de consolation de la disparition de nos ambitions moyen orientales – par des atermoiements permanents et nos erreurs de représentation régulière - vaudrait résurrection d’une action française, par le truchement libanais, et, qui sait, sur le flanc turc avec lequel nous partageons au moins la laïcité (à prendre au second degré) : cela n’est pas sérieux.

L’expérience américaine, l’écoute de nos militaires – qui eux, ne se trompent pas sur les risques présentés par les opérations extérieures – militent en faveur d’une cessation de cette action intempestive de déstabilisation rappelant les meilleures heures de l’Union soviétique…

dimanche 31 juillet 2011

Da Vinci Code, Harry Potter et… Anders Behring Breivik


Anders Behring Breivik aime les uniformes, et semble en avoir abusé… Si Anders Behring Breivik n'avait pas triché - dans le cas présent aucune usurpation de grade n'a été dénoncée - selon les détails de son uniforme, il aurait alors atteint le grade de “Passé Vénérable Maître”, ce qui supposerait qu'il fréquentait cette loge maçonnique depuis au moins une dizaine d’années.

Cette appartenance d'Anders Behring Breivik à la maçonnerie en tant que maître à la "loge de saint Jean Saint-Olaf aux trois colonnes" a été officiellement reconnue par Ivar A. Skar, le grand maître de l’Ordre norvégien des francs-maçons (Grande Loge de Norvège), par son communiqué d'exclusion (!)… Ivar A. Skar a ainsi déclaré : “Je suis consterné par les horribles atrocités qui ont été commises dans le quartier du gouvernement et à l’île d’Utoya. Nous sommes en deuil et pleins de compassion pour ceux qui ont été touchés et pour leurs proches. Il est apparu dans les médias que l’accusé était membre de l’Ordre norvégien des francs-maçons. Il a été maintenant exclu – l’exclusion prend effet immédiatement. L’exclusion reflète le fait que les actes qu’il est accusé d’avoir commis, et les valeurs qui semblent les avoir motivés, sont totalement incompatibles avec ce que nous défendons en tant qu’Ordre. Nous construisons notre activité sur les valeurs chrétiennes et humanistes et nous voulons que nos membres contribuent à la promotion de la charité, de la paix et de la bonté parmi les gens. La police, bien sûr, recevra toute l’aide et l’information que nous pourrons lui donner pour contribuer à l’enquête".

Ivar A. Skar, le grand maître norvégien ne pouvait évidemment pas faire moins…

Chrétien ne signifie jamais obligatoirement catholique. Les actes de ces chrétiens du Nord n'impliquent jamais, peu ou prou, les catholiques.

Mais voilà une question que personne ne semble s'être posé… L'immature Anders Behring Breivik avait-il lu Harry Potter ? Anders Behring Breivik avait-il vu les films d'Harry Potter ? Quel intérêt leur portait-il ? Dans son manifeste est-il fait mention d'Harry Potter ?
Ou, en renversant la question, comment les fans d'Harry Potter interprètent-ils le geste d'Anders Behring Breivik ?

L'ouvrage  « HARRY POTTER ET L’ORDRE DES TÉNÈBRES » de Mona MIKAEL, publié par les Éditions Saint-Rémi,  inciterait à poser cette question troublante…
… nous devons nous poser cette question troublante :
se pourrait-il qu’une importante partie de la littérature enfantine serve de véhicule aux principes maçonniques pour instruire la jeunesse dans ses « idées nouvelles » ? Serait-ce là un stratagème pratique, commode, insoupçonnable, pour couler dans leur moule les adultes de demain ? Si tel était le cas, ce malin stratagème porterait en lui-même sa meilleure protection, car qui croira jamais à une pareille histoire ? Soulignons également que l’univers maçonnique ressemble à s’y méprendre à celui d’un roman : recherche d’un trésor, menées labyrinthiques, obscures initiations, codes, rituels et symboles, serments et anagrammes. Tout cela plaît aux enfants de 7 à 77 ans et nourrit largement leur goût de l’aventure. Il est facile alors de fondre un récit d’initiation dans un roman d’aventure... Avouons que nous avons résisté longtemps à tout cela jusqu’à ce que le texte lui-même dissipe nos derniers doutes. Presque à chaque page, s’accumulent les signes et les raisons de croire à cette chose incroyable. Ceux qui connaissent mieux que nous la franc-maçonnerie ne sursauteront même pas en survolant ces mots, tant ils s’attendent à tout de cette secte rusée.

Comme les Fils de la Veuve, Harry Potter a plus d’un tour - et d’un fond - dans son sac. Seule l’analyse symbolique permet de découvrir toutes les ruses de structure qui constituent ensemble la trame cachée des livres. Empressons-nous de dire, toutefois, qu’une simple étude de texte fondée sur la déduction permet aussi de faire des trouvailles éclairantes dévoilant des ressorts stratégiques importants. Si vous l’utilisez, on ne vous dira pas : « Vous ne connaissez pas Potter », mais plutôt « vous ne connaissez pas suffisamment Potter ». Car le récit de ses aventures est un roman à clé et la clé de cryptage employée par l’auteur pour encoder ses livres est l’analyse symbolique. Refaite en sens inverse, elle déconstruit le texte, mettant en évidence le judicieux truffage qui, sous les apparences d’artifices littéraires, a parsemé les livres de symboles lourds de sens ouvrant sur une lecture entièrement différente. C’est dans le détail que se cache l’essentiel du poison et donc dans le détail qu’il faudra l’étudier, d’où la nécessité d’une attention totale pour voir dans certains mots apparemment banals des symboles débordants d’enseignements païens. Cela nous amène à parler de la traduction française, qui, du moins dans les trois premiers livres, escamote des détails précieux pour l’analyse : deux mots ici, trois lignes là, voire des passages entiers, au point qu’on peut parler - toujours dans le cas des trois premiers tomes - d’une version française comprimée de la série. Vu l’importance des détails symboliques qui éclairent comme des phares tout l’intérieur du texte, l’ensemble de ces omissions est une amputation qui impose maints retours au texte original.
Enfin, si l’auteur parsème son texte de symboles avec la minutie d’un orfèvre au travail, c’est aussi pour une raison purement pédagogique, car les détails exercent le sens de l’observation, aiguisent la mémoire et l’esprit de synthèse. Combien de fois l’auteur laisse-t-il des questions en suspens dans un livre et cache-t-il la réponse dans un autre ! Tant de menus détails dispersés ça et là apportent, une fois bien lus, la grande clé des mystères ! Pour les lecteurs, c’est un jeu de piste ; pour les réformateurs, un moyen fabuleux – parce que insoupçonnable - de recruter déjà pour les temples de l’ombre. Car le temps est compté et le travail énorme : pour tourner les jeunes cœurs vers l’Étoile Flamboyante et les positionner dans l’axe initiatique, il faut bien les instruire sans risquer d’alerter des adultes encombrants. Voilà pourquoi l’adulte à l’œil critique doit rester constamment attentif aux détails pour faire le même chemin proposé aux enfants et découvrir enfin où les mène ce chemin. Pour voir tout ce qu’absorbe le « fan » conditionné qui s’engage sur les pas de Harry Potter. Nous l’invitons à lire cette dénonciation en gardant à l’esprit que les romans d’initiation comme le Da Vinci Code et Harry Potter préparent ce que Louis Pauwels et Jacques Bergier appelaient en 1960 une cryptocratie. Cette puissance à deux faces baignant dans le mystère, c’est l’Empire du Mot Crypté, la République des Codes, c’est-à-dire en un mot, le Royaume de la Fraude.

Un large extrait (23 pages) de l'ouvrage HARRY POTTER ET L’ORDRE DES TÉNÈBRES est accessible en pdf, pour le lien cliquez sur le titre HARRY POTTER ET L’ORDRE DES TÉNÈBRES.

Harry Potter, quelques citations édifiantes

Voici quelques citations édifiantes extraites des six premiers tomes d'Harry Potter (Éditions Gallimard jeunesse, format poche, pour les tomes 1, 2, 3 et 5, et Gallimard Jeunesse grand format pour les tomes 4 et 6). Ces citations, du moins certaines, qui auraient pu séduire une personnalité aussi immature qu'Anders Behring Breivik, sont proposées par Mona MIKAEL en préambule de son ouvrage « HARRY POTTER ET L’ORDRE DES TÉNÈBRES » publié par les Éditions Saint-Rémi :
« Viens à moi... que je te déchire... que je t’écorche... que je te tue... » (Tome 2, p. 132)

« Fenrir Greyback (loup-garou) sourit, montrant des dents pointues. Du sang coulait sur son menton et il se léchait lentement les babines, avec une expression obscène. "Tu sais à quel point j’aime les enfants, Dumbledore. (...) Il y a ici tant de gorges à lacérer... Délicieux, délicieux". » (Tome 6, pp. 651-52)

« Il faut vraiment vouloir la souffrance de l’autre, Potter ! Et y prendre plaisir. » (Tome 5, p. 963)

« Il n’y a pas de bien ni de mal, il n’y a que le pouvoir. » (Tome 1, p. 284)

« On peut continuer à exister sans son âme, tant que le cœur et le cerveau fonctionnent. (...) On existe, c’est tout. Comme une coquille vide. L’âme, elle, s’est définitivement envolée, elle est perdue à jamais. » (Tome 3, p. 268)

« Même sa propre mort n’avait pas empêché Binns (fantôme) d’enseigner. Il ne fallait donc pas s’attendre à ce qu’un événement aussi insignifiant que Noël le détourne de ses habitudes. » (Tome 4, p. 351)

« "Tu as vu cette araignée se tordre de douleur ? Et quand il a tué l’autre ?" Ils parlaient du cours comme s’il s’était agi d’une sorte de spectacle, pensa Harry, mais lui n’y avait rien vu d’amusant. Hermione non plus, semblait-il. » 
(Tome 4, pp. 197-198)

« Il lui donna un violent coup de pied en plein visage. Harry sentit son nez se casser, du sang gicla un peu partout. » (Tome 6, p. 172)

« La silhouette s’arrêta devant le cadavre de la licorne, pencha la tête sur le flanc déchiré de l’animal et commença à boire son sang. » (Tome 1, p. 251)

« Ron, Harry et George firent rouler à coups de pied les corps inertes de Malefoy, Crabbe et Goyle dans le couloir – le mélange de sortilèges qu’ils avaient reçus leur donnait un aspect particulièrement repoussant – puis revinrent dans le compartiment et refermèrent la porte derrière eux. » (Tome 4, p. 648)

« Les Détraqueurs, sorte de démons sans yeux capables d’aspirer l’âme des vivants. » (Tome 4, p. 27)


« J’ai tué mon père (...) et métamorphosé son cadavre. J’ai usé d’un sortilège pour le réduire à un os unique que j’ai enterré. » (Tome 4, p. 615)


« (Les Horcruxes) C’est de la magie très noire, très très noire. » (Tome 6, p. 546)

« Comment fait-on pour séparer son âme en deux ?
 - Par un acte maléfique. L’acte maléfique suprême. En commettant un meurtre. Tuer déchire l’âme. (...) - 
Ne peut-on séparer son âme qu’une seule fois ? N’obtiendrait-on pas un meilleur résultat, une plus grande force, si l’on parvenait à diviser son âme en plusieurs morceaux ? » (Tome 6, p. 548)

« Si j’avais tué Harry Potter, le Seigneur des Ténèbres n’aurait pas pu se servir de son sang pour renaître et devenir invincible. » (Tome 6, p. 40)

« La parole du Seigneur des Ténèbres a force de loi. » (Tome 6, p. 42)

« Si j’avais des fils, je serais heureuse de les mettre au service du Seigneur des Ténèbres. » (Tome 6, p. 45)

« Harry avait l’impression de répandre autour de lui des ondes de haine si puissantes qu’il semblait incroyable que Rogue n’en ressente pas la brûlure. » (Tome 6, p.179)

« Ce poste est maudit. Personne n’y est resté plus d’un an... Quirrell en est même mort. Personnellement, je vais croiser les doigts pour qu’il y ait un nouveau cadavre. » (Tome 6, p.186)

« Morfin (...) tordait entre ses doigts épais une vipère vivante à laquelle il susurrait une chanson en Fourchelang. » (Tome 6, p. 228)



vendredi 29 juillet 2011

Retour au pays… enfin !

Enfin ! Comme l'aurait dit Michel Polnareff…


Aujourd'hui à 11 heures 50, le vol AF242 en provenance de Paris devait se poser à Bangkok…

Je viens d'un pays qui n'existe plus… Je viens d'un paradis perdu…




Même s'il y a toujours mon village
Où les enfants du quinzième âge
Sautaient les feux de la Saint-Jean.

Même s'il y a toujours le cimetière
Où les filles faisaient des prières
Et repartaient en se signant.

Je ne le reconnaitrais plus,
Ils ont changé le nom des rues.

Je viens d'un pays qui n'existe plus,
Je viens d'un paradis perdu.

Même s'il y a toujours mon école
Où j'ai vécu des années folles,
Lorsque j'étais adolescent.

Même s'il y a toujours les arcades
Pleines des odeurs de grenade
Et des cris des manifestants.

Le drapeau que l'on voit flotter,
Il n'a plus les mêmes reflets.

Je viens d'un pays qui n'existe plus,
Je viens d'un paradis perdu.

Le terrain vague de mon enfance,
Les carrioles et les oliviers,
Mes souvenirs, mon existence
Passent leur temps à se croiser.

C'est une étrange destinée.

Je viens d'un pays qui n'existe plus,
Je viens d'un paradis perdu.

C'est une étrange destinée.

Je viens d'un pays qui n'existe plus,
Je viens d'un paradis perdu.

samedi 23 juillet 2011

Philipe Pétain



Le lundi 23 juillet 1951, à Port-Joinville sur l'île d'Yeu,  s’éteignait Philippe Pétain…

Lire l'hommage rendu au Maréchal Philippe Pétain par Jérôme Bourbon dans le  n° 3009 de Rivarol  paru ce vendredi 22 juillet 2011 : 1951 -2011 : qu'ont-ils fait de la France du Maréchal ?

mercredi 20 juillet 2011

Le Ravin Rouge… big chikaya pas très propre



Projet avorté de film "Le Ravin Rouge"… Une escroquerie des plus abjectes… Une escroquerie qui joue sur la mémoire… Une escroquerie qui bafoue la nostalgie d'un pays perdu à jamais… Une escroquerie qui insulte la douleur de parents pleurant leurs disparus… Que les vrais coupables, par naïveté incompétence ou cupidité, soient démasqués et bannis à jamais de la communauté pied-noir dont ils se sont révélés indignes…




Pour information voici le message, très révélateur de ces chikayas plongeant au plus profond d'une culture,  posté ce samedi 16 juillet 2011 par Michel Ximénès sur son site Realifilm-pn. La publication sur ce blog du texte de Michel Ximénès n'implique nullement mon approbation quant aux propos tenus. Je lui laisse à lui seul le "V" majuscule quand il prétend parler de la vérité. Le seul point avec lequel je serais d'accord c'est que les fonds soient remboursés…  Ou mieux, versés à une association, de soutien aux Harkis, pourquoi pas ? Là irait ma préférence. Engager une "chargée de mission au remboursement", pour plus de 1500 pigeons ce serait aller encore vers des frais considérables. On a déjà bien vu ce que coûte  une chargée de mission à ne rien faire… Et qu'on en finisse avec ces gags aussi ridicules que honteux. À chacun de juger…
suite à certaines rumeurs, je tiens à rétablir la Vérité  [c'est Michel Ximénès qui parle…] :
C'est en 2009 que j'ai demandé à Anne Cazal, journaliste-écrivain, l'autorisation d'adapter pour le cinéma, son roman historique "Le Ravin Rouge" qui me semblait correspondre exactement au drame que mes compatriotes et moi-même avons vécu, et qui a connu un grand succès dès sa parution.
Anne Cazal m'a donné, par écrit, un mandat permanent, et avec l'aide et le soutien de deux amis Michèle Fischhoff et Jean Paul Sellès, nous avons commencé nos recherches. Par l'intermédiaire de Michèle Fischhoff nous avons rencontré le dirigeant d'une firme cinématographique qui s'est intéressé au projet et nous a conseillé d'organiser, dans l'immédiat, une collecte pour la réalisation d'un scénario.
Ne disposant dans l'immédiat du temps nécessaire à la création d'une association propre, il nous fallait donc trouver, parmi les associations de rapatriés, un collecteur de fonds. Nous avons pensé que, pour pouvoir solliciter des subventions auprès des services publics, il fallait nous adresser à une association neutre et peu connue du grand public, qui végétait avec seulement deux ou trois membres, et qui était présidée par Pierre Barisain-Monrose, médecin en retraite. Nous avons demandé à celui-ci de bien vouloir héberger la collecte dans l'attente de l'élaboration de notre propre structure.
Après bien des réticences, ne voulant pas croire à la réussite du projet, ayant une mauvaise opinion de ses propres compatriotes, disant même : "Ils ne marcherons pas, ce sont des cons" (sic), Pierre Barisain a accepté de signer, au nom de son association, l'appel par lequel il déclarait officiellement SOUTENIR LE PROJET DE LANCEMENT D'UN FILM TIRÉ DU TRÈS BEAU LIVRE DE LA JOURNALISTE ANNE CAZAL.
Au début, à cause des fêtes de fin d'année, les dons arrivèrent faiblement. Puis, sur l'insistance de ses amis, dont je suis, Anne Cazal en a parlé, a lancé son propre appel, tandis que je sollicitais, de mon côté, ceux qui voulaient voir projeter la Vérité sur les écrans. Et les dons se sont mis à affluer, parce que les milliers de lecteurs du livre, tous ceux qui avaient écrit à Anne Cazal  qu'ils reconnaissaient les épreuves de leur peuple dans ce livre, commençaient à se manifester.
Pourtant, lorsqu'ils téléphonaient à la trésorière de Droit de Mémoire, Maryse Gillmann, ils s'entendaient répondre, entre autre, que le Ravin Rouge ne valait rien et qu'il fallait prendre un autre livre... Nombreux sont ceux qui nous ont téléphoné pour se plaindre de cet accueil et pour témoigner de leur volonté de voir réaliser un film à partir de ce livre, et non d'un autre !
Puis après les fêtes les dons arrivèrent, particuliers, associations, nous voulions 30 000 euros et nous commencions à dépasser les 60 000, plus encore par la suite (environ 1500 donateurs).
En tant que mandataire de l'auteur, la collecte s'étant faite sur son livre et sur son nom, il avait été convenu que le collecteur de fonds m'adresserait les photocopies des chèques afin, que je puisse remercier les donateurs. Avec ces photocopies de chèques, je pouvais savoir parmi mes amis, lesquels, avaient donné, cela m'aurait permis de relancer certains qui n'avaient pas encore fait un don. Je suis certain qu'en relançant mes connaissances, nous aurions été bien au-delà des 68 000 euros.
Au lieu des photocopies de chèques convenues, qu'ai-je reçu ? les listes des donateurs : les trois premières listes seulement avec un nom prénom, les autres  listes seulement avec nom et les deux premières lettres du prénom, toutes ces listes sans aucune adresse sont restées à ce jour inutilisables, et tenez-vous bien, avec la mention "confidentiel", c'est-à-dire que mes deux co-équipiers, Jean Paul Sellès et Michèle Fischhoff qui avaient rédigé l'appel aux dons, étaient éliminés, (pourquoi?) alors qu'au contraire, ses nouveaux amis recrutés grâce au projet en cours et à l'appel aux dons, avaient, tous les jours, droit au détail de la collecte et au montant des sommes versées !
Ce sont toutes ces manigances, à la limite de l'abus de confiance, qui me font réagir aujourd'hui et peut-être demain.
Donc revenons à la chronologie des faits, Pierre Barisain-Monrose, en acceptant d'être notre collecteur de fonds et en ouvrant, à notre demande, un compte bancaire annexe au nom de DDM-RAVIN ROUGE sur lequel les dons devaient seulement transiter, devenait un partenaire de notre équipe, mais ne faisait aucunement partie intégrante de celle-ci puisque les fonds devaient être transférés sur le compte de notre association en projet.
Puis nous eûmes une réunion le 15 février 2011 à la CCI à Nice, où nous avons tenu nos réunions. Là, pour vous raconter ces réunions dans le détail, il faudrait un livre. Mais comme vous êtes des amis et que vous m'avez fait confiance tout le temps  depuis bien, bien longtemps, je ne vois pas comment je pourrais trahir votre confiance et l' affection que j'ai pour vous. Ma parole suffit.
Cela faisait deux fois que nous rencontrions la chargée de développement de la société de production.
En plus de celle-ci, il y avait, Michèle Fischhoff, Jean Paul Sellès, Évelyne Colle de la CCI, Pierre Barisain-Monrose, sa trésorière Maryse Gillmann et votre serviteur. Après de bonnes discussions un peu nerveuses de ma part, je l'avoue, pourquoi ? (c'est que la trésorière  prit les choses en mains comme si elle était devenue madame Soleil, très arrogante et sûre d'elle) et avoir signifié à Pierre Barisain-Monrose que sa mission de collecteur de fonds était terminée, la chargée de développement nous a présenté deux budgets, l'un de 22 524 euros pour l' étude  de faisabilité ne comprenant pas le prix de la réalisation du scénario et le second de 85 119 (oui monsieur Barisain-Monrose vous l'avez eu dans les mains) incluant le prix à payer au scénariste. Évelyne Colle nous a conseillé de commencer par le premier afin de payer au fur et à mesure.
À partir de là, notre collecteur de fonds, Pierre Barisain-Monrose, vexé que nous lui ayons signifié la fin de notre partenariat, décida de la jouer seul et entra en contact par courriels et par téléphone avec la chargée du développement. Puis, sans me consulter, alors que je suis le seul mandataire de l'auteur et que moi seul avait le droit de le faire, Pierre Barisain-Monrose signa la première lettre de mission, puis effectua, à partir du compte annexe DDM-RAVIN ROUGE un virement de 22 524 euros à la chargée du développement, réglant ainsi la première proposition et laissant de côté le prix  de la réalisation du scénario !
Il m' en a informé par courriel après exécution et je me souviens de lui avoir répondu : C'est ainsi que Pierre Barisain-Monrose, président de l'association Droit de Mémoire est entré dans l' illégalité.
Ce n' est qu'après cela que Pierre Barisain-Monrose s'aperçu que son association Droit de Mémoire ne répondait pas aux règles de la loi sur les associations. Deux membres seulement, pas de bureau, pas d'assemblée générale depuis sa création, etc. Sa trésorière fit donc la mendicité, de la retape auprès des donateurs (il fallait qu'ils adhérent à Droit de Mémoire, qu'ils entrent dans l'association moyennant cotisation  etc. etc.). Beaucoup de  donateurs choqués s'en sont plaint à moi et à l' auteur.
Quant à nous le trio des initiateurs, nous avions décidé, dès le début, la création de l'association qui accueillerait les donateurs en tant que membre d'honneur, qui se chargerait de les remercier et de les informer. Donc, Pierre Barisain-Monrose docteur en retraite était informé dès le départ que sa mission était provisoire, ou temporaire, et qu'il avait pour seule mission de récupérer les premiers dons pour les transmettre ensuite car, comme je vous l'ai dit, il voulait se décharger des tracasseries de gestion de contrats, de finances.
Nous avons donc créé la nouvelle association "Ravin Rouge le Film" et nous avons prié l'auteur, Anne Cazal, d'en prendre la tête en nous apportant la référence de ses droits moraux inaliénables, ce qu'elle a accepté, avec courage, et nous l'en remercions.
Depuis ce jour, Anne Cazal est devenue la bête noire de Pierre Barisain-Monrose, la femme à abattre, car elle s'est opposée à ce que Pierre Barisain-Monrose achète, avec l'argent des donateurs, mais au nom de son association Droit de Mémoire, les droits d'adaptation cinématographique. L'auteur avait raison car, non seulement une telle tractation aurait été une nouvelle trahison envers notre équipe, mais encore cela aurait constitué un détournement de fonds à l'encontre des donateurs, car l'association Droit de Mémoire ne disposait pas, sur ses fonds propres, de la somme nécessaire à cet achat !
 C'est là que l'affaire se corse et prend de la gite à tribord. Pierre Barisain-Monrose est-il mal conseillé par son entourage ? Ne réalise-t-il pas les risques qu'il encourt, surtout en mettant n'importe quoi sur Internet,  par l'entremise d'un site que j'appellerais "Le site de la discorde" dont la directrice de la publication se fait appeler - il y a en a qui ne doutent de rien ! -"La Jeanne d' Arc des Pieds Noirs".
Cette personne, (comme d'autres) qui ne sait rien, mais a la prétention de tout dire sur notre affaire,  est passée à la télévision, il n'y a pas si longtemps, et n'a pas été capable d'exposer notre drame. Mais pour  les divagations publiées sur son site, il est normal qu'après de tels procédés, et une telle arrogance dans la déformation de la Vérité, Anne Cazal, Michèle Fischhoff, et d' autres de nos amis, soient exaspérés

À ce jour, Pierre Barisain-Monrose docteur en retraite et sa trésorière Maryse Gillmann se sont montrés ignobles avec beaucoup et cela continue, sauf avec moi... Après ce long exposé qu'en tant que mandataire de l'auteur du livre, je certifie rigoureusement authentique, je ne serais plus dans ses papiers. Tant pis ! cela a déjà commené ! Je vous devais la Vérité. La conduite du Président de Droit de Mémoire est inadmissible. A-t-il pris la grosse tête ? Se voyait-il déjà en haut de l'affiche comme dans la chanson ? C'est probable, mais plus dure sera la chute !
 Anne Cazal nous a demandé de ne pas envenimer les choses. Elle fait preuve de beaucoup de patience. Elle a proposé d'endosser seule toutes les responsabilités et de mener le projet à son terme selon la volonté des donateurs. Il y a eu plusieurs tentatives de conciliation avec des personnes respectables comme, par exemple, Pierre Descaves, Alain Aguldo,Louis Albertelli, Fred Artz.
Pierre Barisain-Monrose ne veut rien entendre, il refuse toutes les propositions qui lui sont faites. Il a déjà tenté de casser notre projet en refusant d'honorer, avec vos dons qu'il séquestre, le paiement du contrat du scénariste ! Croyez-vous que ce soit normal, alors que Pierre Barisain-Monrose, bafouant votre volonté de faire réaliser ce scénario, confisque arbitrairement vos dons sur un compte, par ailleurs RÉMUNÉRÉ, il faut le signaler, que Pierre Descaves, pour ne pas arrêter l'avancement du projet, soit obligé d' avancer, sur son propre argent, la somme nécessaire à la signature du contrat avec le scénariste ?
 Croyez-vous que ce soit normal que Pierre Barisain-Monrose prétende, aujourd'hui, agir dans votre intérêt, en vous remboursant au prorata de ce qu' il a déjà versé de sa propre signature, la seule, c'est-à-dire 67% de votre don, alors qu' en réalité il ne veut qu'une chose, ANÉANTIR UN PROJET QU'IL A PRÉTENDU SOUTENIR.
  La dernière fois que je l'ai rencontré, c'était le jour où notre ami André Loré, décédé il y a quelques jours, avait organisé le 23 avril 2011 un dépôt de gerbe aux monuments aux Rapatriés  de Nice, square Alsace-Lorraine   pour le cinquantenaire du putsch des Généraux. Ce jour-là je lui avait demandé si tout s'arrangeait, il me répondit avec un grand sourire : "Ne t'inquiète pas, tout est arrangé avec Anne Cazal et la chargée de mission du développement". Je lui ai dit "Bravo Pierre" et j' étais tellement content que je l'ai embrassé.
 Il venait  de promettre à Anne Cazal, devant témoins, de transmettre le solde de la collecte à la chargée du développement... Le lendemain, il traînait la chargée du développement dans une boue diffamatoire infecte et accusait l'auteur d'être sa complice...
 Je ne sais pas si Anne Cazal demandera réparation du lourd préjudice moral qu'il lui fait subir, alors que cette femme que vous connaissez tous, qui a fait ses preuves pour la défense de notre communauté (sans se prendre pour Jeanne d'Arc), mais qui aujourd'hui est âgée et malade. Si elle le fait, nous l'approuverons et nous la soutiendrons.
Mais ce que je  sais, c'est que, déjà, de nombreux donateurs lucides parlent de se constituer en collectif pour porter plainte contre le collecteur de fonds qui trahit leur volonté, leur confiance et bafoue les termes de la lettre DDM de demande de dons au sujet des conditions d'abandon du projet. Or la collecte était bien supérieure à 30 000 euros et l'engagement est pris à ce jour avec le scénariste car le contrat est signé.
 Ma conclusion : je vous donne son courriel, son téléphone et son adresse, et vous, mes amis, vous lui réclamez la totalité de votre don, vous l'exigez et s'il  refuse, nous irons tous en justice, mais nous irons aussi à Saint-Rapaël pour réclamer de plus amples explications :
 Pierre Barisain-Monrose Résidence "Les Andalouses" 150 avenue Grives 83700 Saint Raphaël.
Adresse courriel :
pabarisain@orange.fr
Teléphone : 04 94 95 03 99 - 09 72 90 66 53 - 06 33 79 82 78
Michel Ximénès