Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 23 janvier 2015

Rivarol : Ni Charlie ni Charia, ni Mossad ni CIA !


Ce numéro 3171 du 15 janvier de Rivarol, un numéro collector, comme diraient les pipoles… avec une suite tout aussi riche dans le dernier numéro daté de ce jeudi 22 janvier… Tout y est dit, ou presque… Sauf peut-être ce rappel auquel nous restons attachés : les liens de Libération et de ses frères en franc-maçonnerie de Charlie Hebdo avec les Khmers rouges…
Et cette lumineuse suggestion de certains parmi les plus extrémistes de nos maîtres manipulateurs de faire du 7 janvier un jour férié… Ô facéties du calendrier ! Le 7 janvier est déjà un jour férié au… Cambodge. Ce jour-là le Cambodge commémore la chute de l'Angkar : l'organisation révolutionnaire des Khmers rouges qui le 7 janvier 1979 dut fuir Phnom Penh.
Pour mémoire, rappelons les unes de Libération des 17 et 18 avril 1975 qui célébraient l'entrée des Khmers rouges à Phnom Penh… Selon les journalistes de Libération, Phnom Penh "libéré" était "en liesse" ! Un rappel gros de signification quand on sait ces liens fraternels et idéologiques entre Charlie Hebdo et Libé… Des journalistes et leurs soutiens socialo-trotskistes aujourd'hui au pouvoir en France, si proches en 1975 des Khmers rouges… Il y a là matière à réflexion…



Éditorial :

Du 7 au 9 janvier nous avons vécu notre 11 septembre à nous, un 9-11 français, un 9-11 du pauvre puisque les attentats ont fait 17 morts (20 en comptant les tueurs) contre quelque 3 000 aux États-Unis d’Amérique. Depuis une semaine la France a basculé dans l’hystérie collective. Hollande qui était le président le plus décrié, le plus impopulaire de la Ve République apparaît tout à coup aux yeux de la grande masse des imbéciles comme le père de la nation, le nouveau Clemenceau, le nouveau DeGaulle. Il est d’ailleurs très choquant que les attentats profitent au pouvoir exécutif alors même que par leur politique conjointe d’immigration-invasion et de soumission au lobby américano-sioniste les politiciens qui se sont succédé depuis plusieurs décennies au pouvoir portent une responsabilité écrasante dans les tragiques événements de la semaine dernière. N’était-ce pas une folie d’encourager à la fois la venue et l’installation de millions d’immigrés extra-européens, pour la plupart de culture et de religion mahométanes, et issus pour l’immense majorité d’entre eux d’Afrique du Nord ou d’Afrique subsaharienne et par ailleurs de les exciter contre la France en menant des guerres en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie où nos intérêts vitaux n’étaient nullement menacés, de s'affirmer de manière partiale et injuste en faveur l‘entité sioniste dans son attitude meurtrière envers les Palestiniens (rappelons que lors de la dernière offensive majeure de Tsahal sur Gaza Hollande et Valls avaient interdit des manifestations de protestation contre la sauvagerie de l’armée israélienne massacrant sans vergogne des enfants désarmés), d’être inféodés chaque jour davantage à l’axe américano-sioniste ? La France est le pays d’Europe qui compte à la fois la communauté juive et la communauté arabo-musulmane les plus nombreuses, ce dont il n’y a certainement pas de quoi se vanter, et ce qui est un cocktail explosif. RIVAROL le répète depuis des décennies : les sociétés multiculturelles, multiethniques et multiconfessionnelles sont multi-conflictuelles. L’exemple du Liban, du Kossovo et de tant d’autres régions du monde l’ont amplement démontré.

Si la France était restée ce qu’elle était encore il y a une soixantaine d’années, un peuple homogène, blanc, européen et chrétien, nous n’aurions jamais connu les attentats sanglants de ces derniers jours. Les vrais criminels sont ceux qui se sont ingéniés à détruire, de manière irréversible, du moins l’espèrent-ils, l’homogénéité corporelle, culturelle et spirituelle de notre pays. C’est pourquoi il est hors de question d’entrer dans l’union nationale, l’union sacrée que l’on nous propose et qui est un rassemblement autour de ceux qui sont directement à l’origine de la faillite de notre pays. Il n’est pas question de nous unir autour des valeurs de leur République judéo-maçonnique. Car si nous n’avons évidemment aucune sympathie pour l’islam, quelles qu’en soient les composantes et les tendances, et que nous nous sommes toujours opposés à l’islamisation de notre pays, à la construction de mosquées et de minarets, à la généralisation du hallal tout en précisant que l’islamisation n’était qu’une des conséquences détestables de l’immigration de masse organisée par nos dirigeants et les lobbies et cercles mondialisés, nous n’en avons pas davantage, et même encore moins, pour leurs Gay Pride, leur loi Gayssot et leur loi Veil, leur laïcité liberticide, leur athéisme d’État, leur anti-christianisme hystérique, leur soumission au CRIF et à la Licra, leur cynisme, leur immoralité, leur obscénité, leurs mensonges et leurs forfaitures, leur mépris du peuple, de notre pays, de notre histoire, de nos racines, de nos traditions. Contrairement à ce que l’on nous serine, il ne s’agit pas d’un combat de la civilisation contre la barbarie mais d’une guerre entre deux conceptions du monde également condamnables. Nous ne nous reconnaissons ni dans l’islam salafiste ni dans cet Occident apostat, judaïsé, maçonnique, post-chrétien, matérialiste et lui aussi barbare. Nous avons affaire à deux fanatismes également répréhensibles : celui des tueurs mais aussi celui, antichrétien, antireligieux, des caricaturistes de Charlie.

Car s'il n'est pas acceptable d'abattre froidement des hommes désarmés (même si c’est ce qu’a fait la Résistance de 1940 à 1945 : on a considéré comme des héros les résistants qui abattaient froidement des soldats allemands dans le dos et si des résistants avaient décimé toute la rédaction d’un journal pétainiste ou collaborationniste, ils auraient été considérés à coup sûr comme dignes du Panthéon !), favoriser et rembourser l’assassinat dans le ventre de leur mère de millions d’enfants à naître, n’est-ce pas une forme moderne, mais elle parfaitement autorisée et même promue, de barbarie ? L’Assemblée nationale, à l’occasion des 40 ans de la loi Veil, dans une résolution solennelle votée à la quasi-unanimité des parlementaires, a réaffirmé « le droit universel, des femmes à disposer librement de leur corps ». Et que dire du “mariage” homosexuel et de l’adoption promus par nos gouvernants et acceptés de facto aujourd’hui par tous les grands partis politiques ? N’est-ce pas là aussi une forme de barbarie moderne que cette union contre-nature ainsi institutionnalisée, solennisée, protégée ? Qu’il est loin le temps où les petits enfants de France apprenaient dans le Catéchisme de Saint Pie X que « l’homosexualité est un crime qui crie vengeance devant Dieu » ? Et dans ses vœux pour la Saint-Sylvestre, le chef de l’État a dit sa volonté de voir voter par le Parlement une loi légalisant l’euthanasie c’est-à-dire le suicide de masse, à commencer par celui des personnes âgées, handicapées ou dépressives n’étant d’aucune utilité pour la machine économique. Cet Occident barbare est donc particulièrement mal placé pour donner des leçons à qui que ce soit et pour se revendiquer de la civilisation et du bien. Méfions-nous comme la peste de ce discours manichéen sur l’axe du bien et l’axe du mal. Il est mensonger et ne peut de surcroît qu’attiser les guerres civiles et les guerres extérieures. De plus, ce régime se réclame de la sanglante Révolution française qui décapitait à tout-va et des épurateurs de 1944-1945 qui n’ont pas non plus fait dans le détail. Le terrorisme est donc à géométrie variable. Lorsque les Allemands recevaient des bombes au phosphore à Hambourg et à Dresde, lorsque les Japonais subissaient la bombe atomique à Hiroshima et à Nagasaki, là ce n’était pas du terrorisme ni un crime contre l’humanité. Il y a donc de bonnes et de mauvaises bombes ; tout dépend qui les lance et sur qui elles s’écrasent.

Ce n'est pas un hasard si dans une démarche totalitaire, on a enjoint à tous les Français de s’identifier à Charlie Hebdo avec le slogan partout répété « Je suis Charlie ». En effet leur République, leur régime, leur Système, leurs valeurs, leur vision du monde, leur idéal c’est Charlie. C’est-à-dire un immonde torchon conformiste, grassement subventionné, fait par des dessinateurs et des journalistes soixante-huitards dénués de talent et qui se sont acharnés à coups de slogans et de dessins orduriers, abjects, pornographiques pendant des décennies à salir la police, l’armée (corps de métier que tout à coup les media n’ont eu de cesse de vanter après la fusillade à Charlie Hebdo, quelle ironie !), le drapeau, la nation, le peuple, les Français de souche, la religion catholique, à condamner le prétendu racisme des Français, à favoriser l’immigration extra-européenne et musulmane dans notre pays tout en provoquant de manière ignominieuse et irresponsable ces mêmes mahométans en reproduisant des caricatures, elles aussi abjectes, de leur “Prophète”. Une chose est en effet d’être incroyant, une autre est d’insulter de manière grossière, haineuse, à travers des dessins scatologiques, ignobles ce que les croyants ont de plus sacré. En s’en prenant de manière aussi outrageante, aussi blessante, aussi ignominieuse aux croyances les plus sincères et les plus profondes, on déchaîne les passions, on favorise les guerres civiles, on excite les antagonismes et on amasse des charbons ardents sur sa tête.
Si l’on ne peut évidemment approuver ou cautionner en quoi que ce soit la tuerie à Charlie Hebdo, quels qu’en soient d’ailleurs les véritables commanditaires (des services secrets, américains ou israéliens, auraient parfaitement pu manipuler des islamistes, les poussant cyniquement à agir, ou les laissant faire, ce qui était tout bénéfice pour eux sur le plan géopolitique), massacre qui a de surcroît coûté à la vie à un agent de maintenance et à deux policiers dont l’un était père d’une fillette de un an, on ne saurait faire des plumitifs de Charlie des victimes innocentes. On nous présente ces hommes comme joyeux, tolérants, sans haine et respectueux des autres alors qu’il suffit de feuilleter un seul numéro de Charlie Hebdo pour avoir la nausée et les mains sales. Nous avons d’ailleurs décidé de ne pas reproduire ces dessins, fût-ce pour les dénoncer, ni même de les décrire car nous ne voulons pas participer à d’odieux blasphèmes. Disons seulement qu’à l’occasion de la Nativité ces immondes personnages de Charlie avaient concocté un numéro spécial sur le Christ et la Sainte Vierge où ils s’étaient surpassés dans l’ignominie. Et que dire d’un dessin tout récent sur la Sainte Trinité absolument vomitif ! D’aucuns penseront que la mort sanglante et subite des principaux dessinateurs et rédacteurs de Charlie Hebdo le lendemain de l’Épiphanie, pendant le temps de Noël, n’est pas le fruit du hasard. Si cette tuerie est évidemment moralement condamnable, la Providence a pu se servir de tueurs mahométans fanatisés (ou d’autres exécutants si la version officielle est fausse) pour venger la Mère de Dieu ainsi outragée, le Christ ne souffrant pas que l’on touche impunément à Sa Mère. Qu’auraient dit d’ailleurs les dessinateurs de Charlie si l’on avait fait des dessins ignobles sur leur mère, leur père, leur sœur ou leur frère ? Et là c’est infiniment plus grave puisqu’il s’agit de Dieu.
À cet égard, comment ne pas être scandalisés (bien que cela ne nous étonne pas) que le clergé moderniste ait fait partout sonné le glas des cathédrales et des églises en hommage aux dessinateurs de Charlie Hebdo ? Que l’on ait fait sonner le glas de Notre-Dame de Paris et de tous les sanctuaires de Lourdes est une insulte sans précédent à la Sainte Vierge qui ne peut qu’attirer la malédiction du Ciel sur leurs auteurs et ceux qui les applaudissent. Que dire aussi des propos du clown François qui a condamné la tuerie sans à aucun moment critiquer les dessins ignobles de Charlie et qui a appelé à se joindre aux manifestations judéo-maçonniques qui prônaient la liberté du blasphème ? Le dimanche 11 janvier était en France la solennité de l’Épiphanie, c’est-à-dire la manifestation de Dieu aux hommes, de la Vérité dans les ténèbres. Or ces manifestations du 11 janvier qui ont réuni, paraît-il, quatre millions de moutons, étaient une contre-Épiphanie, le témoignage de l’apostasie publique de la France, de la liberté et de la revendication du blasphème avec les pancartes et autocollants partout affichés : « Je suis Charlie ». Or il est évident que dans un pays civilisé un torchon comme Charlie aurait été interdit et ses plumitifs auraient eu à rendre des comptes. Devant la justice, avec toutes les garanties du droit, de la défense, et évidemment sans être abattus comme des chiens. Si les tueurs qui ont tué froidement une grande partie de l’équipe de Charlie sont incontestablement des assassins qu’il faut condamner, les plumitifs de Charlie, par leurs dessins abjects, sont des assassins de l’âme.

On nous parle ad nauseam de la liberté d’expression en répétant que Charlie en serait le plus bel emblème. De qui se moque-t-on ? Ce journal qui avait milité pour l’interdiction du Front national (l’ancien, pas celui, totalement soumis au Système, de Marine Le Pen), qui a toujours refusé la liberté de recherche et d’expression pour les révisionnistes, est d’un conformisme des plus navrants. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si c’est Libération, dirigé par Rothschild, qui a accueilli une fois encore la rédaction de Charlie. D’ailleurs quasiment toutes les télévisions, toutes les radios se sont mises au service de Charlie, ont mis un bandeau noir sur l’écran et en ont fait des tonnes en qualifiant de héros et de martyrs de la liberté d’expression les dessinateurs tués. Or si un attentat avait ainsi décimé la rédaction de RIVAROL ou de Minute, croyez-vous que ces media en auraient fait le millième de ce qu’ils ont fait pour Charlie ? Certains auraient même dit ouvertement que nous l’avions bien cherché ! Preuve que Charlie était un organe des plus lâches et des plus méprisables, il avait chassé un de ses piliers, le dessinateur Siné, en 2008, parce que ce dernier s’était simplement interrogé, sur le mode humoristique, sur l’annonce de la conversion du fils Sarkozy au judaïsme du fait de ses fiançailles avec l’héritière israélite des fondateurs de Darty. Siné avait simplement terminé sa chronique par ses mots : « Il fera du chemin dans la vie, ce petit ! »
Ce qui a suffi au directeur de Charlie de l’époque, Philippe Val, pour l’accuser d’anti-sémitisme et pour le renvoyer du journal. Pis, le dessinateur Riss (qui a été blessé dans la tuerie du 7 janvier) a attaqué en justice Vincent Reynouard qui avait repris sans autorisation et détourné quelques caricatures de Charlie dans une brochure révisionniste, le faisant condamner de manière définitive à quelque 20 000 euros d’amende et de dommages et intérêts et à de la prison avec sursis. C’est dire à quel point ce journal est attaché à la liberté d’expression ! Il n’est en effet attaché qu’à la liberté de salir, de diffamer, de souiller, d’injurier, de blasphémer, de détruire. On nous dit qu’il est ahurissant d’être tué parce que l’on a seulement fait usage d’un dessin et d’un crayon. Mais outre que les dessins et les mots peuvent tuer, lorsque l’Iran a organisé un concours de dessins et de caricatures sur l’“Holocauste”, les dirigeants occidentaux et les media ont dénoncé ce qu’ils estimaient être une ignominie, preuve de leur hypocrisie et signe que la religion de la Shoah est, avec l’avortement et l’homosexualisme, eux aussi protégés par des lois d’exception (Neiertz et Perben), les seules religions de l’Occident décadent.

On nous parle sans cesse ces jours-ci de la liberté. Mais plus on la célèbre, plus on l’assassine. Il est en effet question, comme aux États-Unis, après le 11 septembre 2001, de mettre en œuvre l’équivalent de Patriot Act, lesquels dispositifs ont fortement réduit les libertés outre-Atlantique, au nom de la lutte contre le terrorisme, et permis les abominations de Guantanamo. Lorsque Hollande et Valls disent qu’ils vont encore renforcer la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et le négationnisme (que vient-il faire dans cette affaire ?), on peut légitimement craindre le pire. Si l’on ne fait pas sienne la version officielle des attentats, l’on risque d’être poursuivis en justice pour diffusion de fausses nouvelles. Si l’on laisse entendre que les dessinateurs de Charlie ont récolté tragiquement dans leur chair ce qu’ils ont semé dans les âmes sans prendre le soin de condamner explicitement le carnage, on peut être poursuivis pour apologie de terrorisme. Plusieurs personnes ont déjà été condamnées à des peines de prison ferme et embastillées pour avoir dit leur solidarité avec les jihadistes (4 ans de prison ferme dans un cas pour apologie de terrorisme, dix et trois mois de prison ferme pour d’autres jeunes hommes). Et Dieudonné qui, au retour de la manifestation de dimanche, avait écrit sur sa page Facebook « Je me sens Charlie Coulibaly » est poursuivi pour apologie de terrorisme, le ministre de l’Intérieur ayant parlé d’“abjection”. Et le fait que l’humoriste dans une lettre ait essayé de calmer les choses en expliquant ce qu’il avait voulu dire par là (aux yeux des autorités il est considéré comme un terroriste de la pensée, comme la branche humoristique d’Al Qaïda) n’a pas suffi à faire baisser la pression. On nous dit de rire avec Charlie mais quand on voit la tête patibulaire de Valls et les menaces qu’il professe sur tous ceux qui ne s’aligneront pas sur la pensée unique, l’on n’a vraiment aucune envie de rire.

Les autorités auront cependant du travail pour faire taire les jeunes mahométans qui sont déjà souvent irrévérencieux envers le dogme de la Shoah — contrairement aux jeunes Français de souche qui sont en général des moutons de Panurge — et qui considèrent les trois jihadistes comme des héros. Dans beaucoup d’établissements scolaires, la grotesque minute de silence (d’origine maçonnique et inventée pour se substituer à la prière silencieuse) a été très perturbée, certains enseignants y ont même renoncé devant les réactions des élèves. Dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, pas moins de 80 % des enfants d’une classe ont refusé ce rituel laïcard. Certains élèves ont aussi fait entendre leurs convictions. « Mais vous ne comprenez pas, le Prophète, ils n’auraient pas dû le dessiner (…). Il est au-dessus des hommes », a lancé une élève de sixième à son professeur qui, lui, au moins, défend ses convictions contrairement aux catholiques tièdes. Un élève d’une enseignante de français dans le XIIIe arrondissement de Paris l’a interpellée en ces termes : « Madame, c’est possible que je ne fasse pas la minute de silence ? Je ne veux pas me recueillir pour des gens comme ça. » Un autre lui a lancé : « Ils l’ont bien cherché. On récolte ce que l’on sème à force de provoquer. » Dans une classe de troisième comptant 26 collégiens, raconte Le Figaro, huit ont rejeté la décision de décréter un jour de deuil national. Dans un collège de Roubaix, un rassemblement de 400 élèves a été dominé par un « grand bourdonnement » et les réflexions de certains qui « ne comprenaient pas bien à quoi ça servait », rapporte un enseignant. Sur son compte Facebook, un professeur raconte sa difficile journée de jeudi, expliquant vouloir demander sa mutation. Elle raconte avoir été accueillie à 8 heures par des « Moi, j’suis pour ceux qui l’ont tué ». « Moi, ma mère dit qu’ils l’avaient bien cherché », glisse à une enseignante un élève mahométan, toujours selon le quotidien de “droite” libérale. « Je te bute à la kalach » a lancé à Lille un élève de quatrième à son enseignante pendant la sacro-sainte minute de silence.
Ce qui a semé la consternation chez des enseignants, pour la plupart gauchistes, qui ont pourtant encouragé pendant des décennies l’immigration de masse et qui aujourd’hui se retrouvent face à des élèves qui sont aux antipodes de leur vision du monde, un peu à l’image de la France black-blanc-beur que nos dirigeants ont voulue et qui plébiscite Dieudonné, s’esclaffant dès que l’humoriste sort de bons mots sur les juifs. Voilà au moins quelque chose de roboratif dans la situation actuelle !

Que penser enfin de ces attentats ? Nous consacrons un numéro spécial à ces événements avec un maximum d’informations, d’analyses de commentaires. Outre nos rédacteurs, nous donnons la parole à des personnalités de la dissidence et à différentes figures des droites nationales et radicales qui donnent en toute liberté leur point de vue, parfois convergent, parfois différent. Deux thèses s’affrontent : ceux qui, faisant leur la thèse officielle, considèrent qu’il s’agit d’attentats islamistes et qu’il ne faut pas chercher plus loin, et ceux qui, s’interrogeant sur les multiples invraisemblances de la version officielle, se demandent s’il ne s’agirait pas d’une opération orchestrée par les services secrets américains ou israéliens. Il est en effet facile pour ces professionnels de manipuler des islamistes voire d’actionner des agents se faisant passer pour tels. La carte d’identité d’un des frères Kouachi miraculeusement retrouvée dans la voiture laissée à l’abandon qui rappelle étrangement les passeports des terroristes retrouvés au milieu du plomb fondu dans les ruines fumantes du World Trade Center, ne nous permet pas pour notre part d’adhérer à la version officielle. Un terroriste ne se promène pas avec sa carte d’identité et ne l’oublie pas. Les invraisemblances et incohérences sont légion, l’ami Léon Camus en recense un certain nombre dans ses articles.
On peut par ailleurs s’étonner qu’en plein Paris, vers midi, les rues soient totalement désertes lorsque les deux tireurs agissent, ainsi que le montrent les différentes vidéos, que les deux frères prennent tout leur temps alors qu’ils sont censés être poursuivis par toutes les polices de France, qu’ils connaissent parfaitement le lieu et l’heure de la conférence de rédaction de Charlie mais ne semblent pas en connaître l’adresse exacte (ils se trompent de numéro puis d’étage). Ils permettent à la personne dont ils ont volé la voiture, alors qu’ils sont pourchassés, de faire descendre son chien qui se trouve à l’arrière du véhicule, ne portent pas leur cagoule devant le gérant de la station d’essence et devant la femme dont ils volent la voiture dans leur cavale et ne les tuent pas, ce qui permet à ces derniers d’appeler la police. Pis, les deux frères relâchent le gérant de l’imprimerie où ils ont trouvé refuge, ce qui est incompréhensible car ils se mettent ainsi en danger et s’interdisent ainsi toute possibilité de fuite. Encore plus curieusement, lorsqu’un journaliste de BFMTV appelle l’imprimerie où ils sont retranchés, l’un des frères répond très calmement et explique par qui il est financé, de quel groupe il dépend (Al Qaïda Yémen). Encore plus curieusement, Amedy Coulibaly, pendant la prise d’otages à l’hypermarché cacher porte de Vincennes qui a fait quatre morts (qui soit dit en passant ont tous été enterrés dans l’entité sioniste, comme les enfants de l’école toulousaine tués par Merah, preuve que la famille de ces israélites se sent plus israélienne que française) appelle de lui-même la même chaîne de télévision (comment a-t-il pu avoir le numéro de BFM TV ?) et dit tout aussi calmement que lui dépend non d’Al Qaïda mais de l’État islamique tout en affirmant ayant organisé de concert ces opérations avec les frères Kouachi). Tout cela est très étrange et il y aurait encore beaucoup à dire.

Nous vivons l'époque de toutes les manipulations. Gardons donc notre calme et notre sang-froid. Aiguisons notre esprit critique. Sachons repérer la propagande, débusquer les mensonges et les impostures. Tout indique qu’il y a au plus haut niveau une volonté de créer en France une guerre civile. Des mosquées ont été attaquées, sans gravité pour le moment mais tout indique que l’on veut nous pousser dans une guerre civile entre juifs et mahométans selon la stratégie du choc des civilisations que fait sienne une Marine Le Pen à qui tous les espoirs sont donc permis, et que l’on veut nous obliger à choisir notre camp, à nous embrigader dans une prétendue guerre de la civilisation et du droit contre la barbarie. Comme en 1914, comme en 1939. Rappelons-nous la grande leçon de Céline : ne faisons pas la guerre pour ces gens-là. Leur guerre n’est pas la nôtre. Leurs intérêts, leurs dilections et leurs haines ne sont pas les nôtres. Si l’on en doutait, il suffisait d’entendre l’autre jour Bernard-Henri Lévy dénoncer sur BFMTV « les islamo-fascistes, les nouveaux nazis » contre lesquels il faut selon lui mener une guerre à outrance, une guerre à mort. Quant à nous, nous ne marcherons pas. Nous sommes catholiques et Français et nous entendons le rester. Nous luttons pour un pays blanc, européen et chrétien, ce qu’il fut pendant près de vingt siècles.
Nous ne sommes pas Charlie, nous ne sommes pas Ahmed, nous ne sommes pas Lévy. Ni Charlie, ni Charia, ni Mossad ni CIA : nous sommes RIVAROL !
RIVAROL





1 commentaire:

  1. Ce terrorisme de Daech Qaeda Gia Boko Haram fonder par Usa les dictateurs arabes leurs généraux l'Otan et israél pour tuer le maximum des musulmans en Irak en Afghanistan en Syrie en Libye en Yémen en Algérie en Nigeria pour satisfaire leurs patron satan l'ennemi n°1 de l'humanité et de l'islam et le patron de la franc maçonnerie satan mourra normal ces séismes en Maroc la mort de satan et la fin du monde si la fin du monde vendredi 4.3.2016 aux non musulmans de se convertir a l'islam pour éviter la peur la panique et l'enfer.

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