Les événements dramatiques que vient de traverser la France doivent provoquer le réveil de notre peuple qui depuis de trop nombreuses années n'a pas son mot à dire sur l'immigration qu'on lui impose et donc sur son avenir, la classe politique ayant décidé qu'elle était seule à détenir la vérité et donc à pouvoir décider. Cette dernière est pourtant responsable, par son manque de clairvoyance, son absence de courage, son déni des réalités et sa carence en matière de vision à long terme du monde de ce qui vient de nous frapper. Il n'y a, en effet, pas de mot pour qualifier les actes de barbarie que notre pays meurtri vient de subir. Mais au-delà des personnes qui ont été lâchement assassinées, c'est Voltaire qu'on assassine, c'est la France qu'on veut mettre à genoux, c'est nous tous qu'on attaque, c'est toute notre histoire, notre culture, nos valeurs, notre héritage spirituel qu'on veut détruire et c'est donc toute l'Europe et le monde épris de liberté qui est visé et concerné. Alors devant une telle évidence, nos élites politiques et une grande partie de nos médias vont-ils continuer à nier un vrai problème – l'islam – et à qualifier de problème ceux qui sonnent le tocsin ?
Il ne suffit pas de décréter un deuil national, de mettre les drapeaux en berne, de rassembler le peuple dans la rue dans une manifestation unitaire pour tout résoudre. Nos gouvernants ne doivent d'ailleurs pas croire que ce rassemblement historique du 11 janvier constitue une marque d'adhésion ; au contraire, elle démontre l'échec du politique et un début de révolte. Mais ne nous berçons pas d'illusions. L'émotion, la compassion, l'indignation ne suffiront pas. Les islamistes s'en moquent car ils savent que le ver est à présent dans le fruit, bien installé, après une quarantaine d'années conduites de façon insensée et suicidaire par nos élites politiques en matière d'immigration, sans qu'à aucun moment elles aient pris la mesure du danger pour la nation. Les Français doivent donc savoir que cela va dorénavant être difficile et douloureux car il faut qu'ils s'attendent malheureusement à verser du sang et des larmes. Un trop grand nombre de nos compatriotes, croyants ou pas, mais imprégnés des valeurs chrétiennes qui sont universelles, pensent encore qu'un tel ennemi peut être raisonné et amené à changer en proclamant l'amour du prochain. Ils sont victimes de leur culture ouverte aux autres mais qui est devenue une faiblesse exploitée par les barbares. Qu'ils méditent cette phrase de bon sens : "Comme tous les pacifistes, vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi. Or, c’est l’ennemi qui vous désigne. Et s’il veut que vous soyez son ennemi, vous pouvez lui faire les plus belles protestations d’amitié. Du moment qu’il veut que vous soyez l’ennemi, vous l’êtes" (Julien Freund). Qu'on le veuille ou pas, nous sommes l'ennemi déclaré des islamistes, et ce depuis longtemps déjà mais nos élites politiques ne le savaient pas. Elles viennent seulement de l'apprendre, ignorant qu'elles avaient elles-mêmes, par leur laxisme, créé des bombes à retardement. Dans ces conditions, il faut être réaliste, seules deux solutions se présentent : la soumission ou la révolte, une révolte qui doit impérativement être menée maintenant – il serait temps – par la classe politique qui, il faut le souligner, s'est suffisamment soumise jusqu'à présent aux exigences d'une immigration de plus en plus hostile à nos valeurs, à nos modes de vie et à nos traditions. Mais cette révolte doit conduire à l'adoption de mesures claires qui devront être appliquées fermement et sans états d'âme. Ne pas le faire serait criminel pour l'avenir de notre nation. Ne pas le faire pourrait mener à l'affrontement, à la violence, à la guerre civile. Il faut donc tirer les conséquences de ces événements dramatiques et nommer clairement et rapidement non pas l'adversaire mais l'ennemi. Il ne s'agit pas de terroristes mais d'islamistes radicaux fanatisés; il ne s'agit pas de Daech mais de l'État islamique. Que cela plaise ou pas, c'est le mot islam qui est commun à tous ces barbares qui s'en réclament d'ailleurs. C'est pour cela qu'il est difficile de ne pas considérer l'islamisme comme étant l'intégralité de l'islam, car l'islamiste applique le Coran et les hadiths à la lettre. L'islamiste est donc le bon musulman. Et si on "raisonne" en bon musulman, c'est la Charia qui a été appliquée en punissant Charlie Hebdo. Il n'y a donc aucune discussion, aucune négociation possible avec ce fascisme vert. Nos gendarmes et nos policiers ont réussi à neutraliser ces trois premiers fous de Dieu. La justice est ainsi passée par les armes et personne ne s'en plaindra.
Cela dit, quand on écoute depuis ce drame nos responsables politiques interrogés par les médias, on ne peut être que consterné par tant d'aveuglement, par un tel déni des réalités, une telle constance à n'énoncer que des lieux communs et une telle incapacité à envisager des réponses adaptées à la menace. C'est pourtant notre Patrie et notre Nation qui sont en danger ! Manifestement, ils n'ont toujours rien compris. Il est donc à craindre que passé ce premier choc, incapables de s'unir sur un sujet vital, droite et gauche confondues continuent à se déchirer, à repousser les décisions, à tergiverser alors que l'ennemi, lui, continue à avancer. Il faut cependant qu'ils prennent garde : si rien n'est fait et si d'autres événements dramatiques se produisent, le peuple de France pourrait ne pas leur pardonner et ils risquent d'être balayés en 2017. Le Premier ministre l'a probablement compris mais son beau discours à l'Assemblée nationale reste un discours qui n'annonce que des améliorations de mesures qui sont déjà plus ou moins appliquées. En fait, comme d'habitude, on ne cherche à traiter que les symptômes et non pas les causes. Il faut aujourd'hui avoir le courage de nommer la cause – non pas l'islam de France mais l'islam en France et plus largement dans les pays démocratiques et en Europe en particulier – et accepter les conséquences logiques à en tirer.
La cause
Si certains de nos compatriotes d'origine musulmane ont réussi à s'intégrer –vet ils sont nombreux – c'est qu'ils ont compris au fond d'eux-mêmes que c'est leur culture qui maintient un milliard et demi de musulmans dans le monde dans la misère et l'obscurantisme. Alors il y a les uns, intégrés, voire assimilés, certains pratiquant leur foi discrètement, d'autres pas du tout, d'autres étant athées, quelques-uns s'étant même convertis au christianisme, ayant décidé d'adhérer à nos valeurs. Et puis, il y a nos frères Harkis que notre mère patrie a abandonnés et maltraités alors qu'ils s'étaient battus pour elle. Ils ont également droit à notre respect, à notre reconnaissance et à notre protection. Les uns et les autres qui sont nos frères ont choisi la France et ses valeurs. C'est pour cela qu'ils réussissent.
Mais le choix, ou le non-choix, c'est à dire le laisser-faire en matière de flux migratoires extra-européens associé au regroupement familial décidé il y a quarante ans, les régularisations massives (en 1981 et 1997) et régulières (au moins 30 000 chaque année) de clandestins (ce qui implique le regroupement familial dans la foulée), l'acceptation de la double nationalité pour les non-européens, l'acceptation sur notre territoire de la polygamie (50 000 familles concernées, ce qui représente au moins 500 000 personnes), l'acquisition automatique de la nationalité française à 18 ans (85 000 chaque année), l'instauration de prestations sociales comme l'Aide Médicalisée d’État (AME) véritable pompe aspirante, la non-expulsion des clandestins (aucun chiffre disponible mais on peut les estimer sans risque d'erreurs à plus de 500 000 présents sur notre territoire) ou des déboutés de demande d'asile (65 000 chaque année), c'est à dire la non-application de la loi républicaine, conduisent notre pays à la catastrophe que ce soit sur le plan économique ou sur le plan identitaire et donc menacent sérieusement son unité.
Alors, pourquoi le ver est-il dans le fruit ? Tout expert sérieux ne peut que constater que, compte tenu de ce qui précède, c'est l'équivalent de 8 à 9 millions de musulmans (français ou étrangers) qui sont présents sur notre territoire qui n'en comptait que 400 000 en 1962 (!). Mais, diront certains, les trois-quarts des musulmans sont pacifiques. On voudrait bien le croire. Mais cela fait tout de même un quart soit au moins 2 millions qui ne le sont pas. On le constate d'ailleurs tous les jours et la meilleure preuve en est, alors que notre pays vient d'être frappé par les fanatiques, la réaction des jeunes, de tous âges, issus de l'immigration qui ont refusé de s'associer à la minute de silence en hommage aux victimes. Comment expliquer que des jeunes de 9 ou 10 ans (!) aient une telle attitude ? Comment peut-on faire l'apologie de ces actes barbares ? C'est bien que leur "éducation", celle qu'ils "reçoivent" de leurs parents les maintient dans la haine et les forment au rejet de nos valeurs et de nos principes de vie. Mais c'est aussi la faute de l’Éducation nationale, et donc de l’État, qui par la politique insensée suivie a fabriqué des freins puissants à leur intégration. Cette politique suicidaire pour la cohésion nationale a pourtant été dénoncée par deux rapports du Haut Conseil à l'Intégration (en 1990 et 2010) sans que cela n'émeuve aucun de nos ministres de l’Éducation nationale pendant toutes ces années. De plus, on ne peut que condamner le rôle critiquable de nos élites politiques déterminant avec les lois mémorielles sélectives et l'instrumentalisation de l'histoire avec des conséquences extrêmement néfastes. Ils n'ont fait qu'injecter le poison de la haine à cette jeunesse issue de l'immigration appelée à devenir automatiquement française. Comment expliquer que 25 % des 18 à 35 ans dans notre pays aient une opinion favorable à l’État islamique ? Comment expliquer la présence dans nos cités de milliers de djihadistes dangereux qui ont fait allégeance à l’État islamique ? En fait, tout cela est cohérent car 25 % des naissances sont d'origine immigrée et confirme bien que le ver est dans le fruit. Mais cela n'a surtout pu se produire qu'en raison des principes mortifères que véhicule l'islam. Car, non monsieur Lang, l'islam n'est pas une religion de paix et de lumière. Si c'était le cas, cela se saurait. Lisez donc le verset 29/sourate 9, par exemple. Non monsieur le Président de la République l'islam n'est pas compatible avec la démocratie. La Cour Européenne des Droits de l'Homme n'a-t-elle pas jugé en 2003 que la Charia était incompatible avec les principes démocratiques ? Écoutez donc le maréchal Abdel Fattah al Sissi, actuel président de l’Égypte, qui vient, lui, contrairement à vous, de mettre en cause le dogme islamique, tout le dogme islamique et pas seulement l’islam radical. Il vient de le faire dans l’un des lieux les plus importants de formation d’imams. Il dénonce l’islam pour la situation consternante de naufrage dans laquelle se trouve le monde musulman, et il ne blâme personne d’autre. Il affirme que la peur et le rejet de l’islam qui existent dans le reste du monde viennent de l’islam lui-même et sont une peur et un rejet qui sont fondés. Et il en appelle non pas à une réforme, mais à une révolution (!).
"Ce corpus de textes et d’idées que nous avons sacralisé depuis de nombreuses années, au point que s’en éloigner est devenu presque impossible, suscite l’hostilité à notre égard du monde entier (…) Il est impossible que la pensée que nous tenons pour la plus sacrée puisse faire de l’entière communauté des croyants une source d’anxiété, de danger, de meurtre et de destruction pour le reste du monde (…) Est-il concevable que 1,6 milliards de personnes puissent penser qu’elles doivent tuer les autres membres de l’humanité, qui compte sept milliards de personnes aux fins de pouvoir vivre ?… Je dis ces mots ici à Al Azhar, devant cette assemblée d’ulémas (…) Tout ce que je vous dis, vous ne pouvez pas le comprendre si vous restez coincés dans cet état d’esprit. Vous devez sortir de ce que vous êtes pour être en mesure d’observer et de réfléchir dans une perspective plus éclairée. Je dis et répète que nous sommes face au besoin d’une révolution religieuse. Vous, les imams, êtes responsable devant Dieu. Le monde entier, je le répète, le monde entier attend votre prochain mouvement (…) car la communauté des croyants est ravagée, détruite ; elle est perdue, et elle l’est à cause de nous".
Nos médias se sont bien gardés de rapporter ces propos pourtant éclairants. Ils constituent un camouflet cinglant pour nos responsables politiques qui courtisent l'islam.
Les conséquences à en tirer
Les événements dramatiques que nous venons de vivre devraient donc logiquement réveiller l'ensemble de la classe politique et conduire nos dirigeants à prendre conscience de la gravité de la situation et à admettre enfin le problème que pose l'islam qui constitue une menace sérieuse pour nos sociétés démocratiques. La réflexion doit donc être engagée, rapidement et sans tabou, sur des mesures adaptées à cette menace qui ne doit pas être considérée comme un simple problème de terrorisme. Car il ne s'agit pas de terrorisme. Non, monsieur le Président de la République, il ne s'agit pas de terrorisme. "Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde" écrivait Albert Camus. La menace est d'une tout autre nature. Il s'agit d'une guerre déclarée par l'islam radical à la démocratie, et en particulier à la France. Le Premier ministre l'a lui-même reconnu. Il faut donc en tirer les conséquences. Il appartient, bien évidemment, à la classe politique, majorité et opposition, de s'entendre pour déterminer les mesures les plus appropriées et les plus efficaces. Mais cette classe politique qui ne s'est pas illustrée jusqu'à présent par sa clairvoyance et son sens de l'anticipation permettra à un citoyen fidèle à son héritage historique, spirituel et culturel et attaché aux principes et aux valeurs qui en sont issus de formuler quelques suggestions, non exhaustives, qui peuvent faire l'objet de réflexions et de critiques car, bien évidemment, personne ne détient la vérité. Elles visent à lutter contre la barbarie et à essayer de rompre ce processus criminel engagé à marche forcée qui conduit à la fracture de notre identité, car non, nous ne voulons pas de cette "identité heureuse" forcée que certains préconisent par lâcheté. Tirons les enseignements de l'histoire et prenons l'exemple du Kosovo, cœur historique de la Serbie, qui est récemment devenu indépendant par la volonté d'une population devenue majoritairement musulmane du fait de l'immigration albanaise dont le taux de natalité était supérieur à celui des Serbes. Que nos responsables politiques prennent conscience du fait que la démographie peut constituer une arme redoutable.
Il convient donc de distinguer deux volets ou deux types d'actions : les premières constituent un arsenal de mesures qu'on pourrait qualifier de classiques, ciblées et aménagées, qui doivent répondre au principe de prévention/répression. Ce sont celles qui s'appliquent aux symptômes. Les secondes, d'une autre nature, doivent répondre au principe de précaution et permettre d'engager dans le temps un processus indispensable qu'on pourrait qualifier de "désislamisation" à l'inverse de ce qui s'est produit au cours de ces quarante dernières années. Ce sont celles qui s'appliquent aux causes et qui doivent faciliter, voire inciter ceux qui ont des difficultés à s'intégrer ou qui refusent nos principes, nos valeurs et nos traditions à quitter la France.
Parmi les premières,
- il serait urgent de déclencher des opérations "coup de poing" dans les cités répertoriées dans la liste des zones de non-droit connues en décrétant localement et temporairement l'état d'urgence pour permettre leur bouclage avec l'aide de l'armée, le temps que les forces de sécurité et de police y effectuent la fouille systématique de tous les véhicules qui s'y trouvent, de tous les garages, de toutes les caves, de tous les appartements de chacun des immeubles concernés. La récupération d'armes de guerre de toutes sortes ainsi que de drogues serait miraculeuse et permettrait l'arrestation et la neutralisation de centaines d'ennemis de la République ; par ailleurs, les familles concernées doivent être expulsées dans leur pays d'origine ; - nos candidats djihadistes au départ ne doivent pas être empêchés de partir. Il faut simplement bloquer les mineurs en rétablissant l'autorisation parentale pour quitter le territoire. En revanche, on doit empêcher les djihadistes de rentrer, par exemple en prononçant des condamnations lourdes par contumace et en les privant de la nationalité française lorsqu'ils ont une double-nationalité ;
- la justice doit se montrer plus sévère et implacable à l'égard de tous ceux qui prêchent la haine ou qui participent à des actions violentes, y compris les incendies "festifs" de voitures. Et il est essentiel de responsabiliser les parents en frappant là où cela fait mal, c'est à dire au porte-feuille en supprimant les allocations familiales ou autres prestations et en leur imposant des amendes lourdes. En outre, les peines doivent être exécutées en totalité sans possibilité de réduction. Cela permettra d'éviter de donner à des Coulibaly l'occasion de tuer alors que, condamné à 5 ans de prison en 2013, il aurait dû se trouver en cellule ; nous avons là l'exemple d'une faute majeure commise par notre Justice ;
- l'isolement des islamistes radicaux en prison doit être étudié pour éviter la contagion et la radicalisation des autres détenus ; il faut envisager la mise en place de systèmes empêchant l'introduction ou l'utilisation de téléphones portables ou d'ordinateurs dans les établissements pénitentiaires ;
- il faut instituer un contrôle renforcé de l'Internet et des réseaux sociaux qui sont de plus en plus utilisés pour endoctriner, recruter, propager des discours de haine des juifs et des chrétiens avec des passages à l'acte ;
- à l'école, il devient urgent et il est impératif d'appliquer les préconisations du Haut Conseil à l'Intégration ignorées jusqu'ici en supprimant notamment les Enseignements de la Langue et de la Culture d'Origine (ELCO) véritables freins à l'intégration, en rétablissant l'autorité des maîtres, en refusant tout compromis en matière d'enseignement et de mixité. Et il faut rendre les parents – tenus de suivre des cours spécifiques de langue française et de civisme – responsables de tout manquement à ces prescriptions en supprimant, si nécessaire, les allocations familiales, voire en expulsant ces familles vers leur pays d'origine ;
- envisager, sinon un retour du service militaire, un système comparable dans l'esprit visant à inculquer les valeurs de la République, le goût de l'effort, l'esprit de corps, le sentiment d'appartenir à une nation ;
- renforcer nos services de renseignement en moyens humains et matériels et faciliter leur travail ;
- créer une agence européenne de renseignement (car l'ensemble de l'Europe est concernée) qui centraliserait les données sur les islamistes, en s'appuyant peut-être sur des structures européennes déjà existantes comme Interpol et Europol ; réétudier le fonctionnement de Schengen.
Parmi les secondes,
- envisager rapidement la refonte complète de notre politique d'immigration en restreignant dorénavant l'entrée de ressortissants de pays hostiles à nos valeurs et notamment à la laïcité ;
- stopper immédiatement le regroupement familial ;
- entreprendre la refonte de notre code de la nationalité avec notamment la suppression de la double nationalité pour les non-européens, la suppression de l'automaticité de l'acquisition de la nationalité française à 18 ans pour les enfants d'immigrés nés sur notre sol, le durcissement des critères pour l'acquisition de la nationalité française par naturalisation ;
- renvoi dans leur pays d'origine des familles polygames ;
- expulsion des clandestins (la scolarisation des enfants ne doit pas constituer une entrave, ils sont clandestins et doivent donc être expulsés) ; - expulsions des déboutés des demandes d'asile ;
- suppression de l'Aide Médicale d’État (AME) qui est inutile si on applique simplement la loi car un clandestin doit être expulsé ;
- arrêt du cofinancement de la construction des lieux de culte, notamment des mosquées, par les mairies et associations qui ne respectent pas la loi ;
- suppression du subventionnement du culte musulman par la taxe versée aux imams dans les abattoirs halal et interdiction du subventionnement du culte musulman par des pays étrangers (Maghreb, Pays du Golfe) ; ne plus admettre les imams étrangers sur notre sol ;
- application stricte de la loi sur l'interdiction de la burqa, y compris par la force (tolérance zéro) ;
- soumission de l'islam de France aux principes de la République. Ceux qui le refusent peuvent toujours aller pratiquer leur foi dans un pays musulman comme, par exemple, l'Arabie saoudite, le Yémen ou l'Afghanistan. On ne retient personne ;
- au niveau européen, rejeter définitivement la candidature de la Turquie à l'Union européenne.
La question fondamentale qui est donc posée est celle-ci : devant l'islamisation rapide (en quatre décennies seulement) de nos sociétés européennes et en particulier de la société française due au manque de clairvoyance et de courage politique qui conduisent irrémédiablement à la fracture et à la violence, que comptent faire nos gouvernants et la classe politique dans son ensemble ? N'est-il pas temps d'arrêter ce processus mortel pour notre démocratie et d'en engager un autre pour inverser le cours des choses ? Car notre héritage chrétien, en prônant l'amour du prochain, nous a rendus vulnérables face à d'autres qui n'ont pas une vision aussi angélique du monde. Les réactions violentes dans le monde musulman ces derniers jours doivent nous le rappeler. Mais le rôle du politique n'est-il pas d'avoir une vision à long terme avec suffisamment de recul pour ne penser qu'à l'unité, à la sécurité et aux intérêts de son peuple ?
Nous sommes, certes, dans un État de droit mais dans certaines situations il est nécessaire de prendre des mesures exceptionnelles. Car on ne fait pas de politique avec de bons sentiments. Que nos gouvernants aient le courage, dans un premier temps de faire simplement appliquer la loi qui existe, toute la loi, rien que la loi dans toute sa rigueur. Cela répondra déjà à l'objet d'un certain nombre de propositions évoquées plus haut. On le constate, ce qu'on attend maintenant de nos gouvernants et de la classe politique c'est le courage d'appliquer des mesures visant à rétablir partout les lois de la République et à refuser les compromis et les dérogations acceptés jusqu'ici par clientélisme. Ceux qui refusent de s'y soumettre sont donc invités et doivent être incités fortement à quitter la France. Ce serait une grossière erreur de renoncer à défendre et à imposer nos valeurs sur notre propre sol.
Le 17 janvier 2015 Général (2s) Antoine MARTINEZ