Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 21 janvier 2022

Notre Bon Roi Louis XVI était assassiné le 21 janvier 1793…

 

Notre Bon Roi Louis XVI a été assassiné le 21 janvier 1793 par les crapules révolutionnaires. Du Ciel où Il est Il prie pour nous et pour la France. Que son Précieux Sang injustement versé ne retombe pas sur nos têtes !


« Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s'achève ce qu'on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c'est un répugnant scandale d'avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l'assassinat public d'un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s'en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du Roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu'ici, se mêlait à l'histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n'y a plus de Roi. Il n'y a donc plus qu'une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.
Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l'Évangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s'est pas encore relevé. Il semble vraiment que l'exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s'est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s'accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu'il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s'identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu'il soit bien dit que l'attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l'incarnation divine, et non la chair effrayée de l'homme. Son livre de chevet, au Temple, est l'Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l'échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n'est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d'une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu'à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau. »
 Albert Camus, L'homme révolté, La Pléiade, p. 528-529



Alban Guillemois,
artiste, illustrateur et scénariste de bande dessinée / auteur cinéma d'animation :
"Le virus républicain tue en masse depuis plus de 200 ans et, pourtant, personne n’en parle."




Le Roi ne meurt pas en France
Que notre roi-martyr Louis XVI soit désormais triomphant !…

Au matin du 19 janvier 1793, Chrétien de Lamoignon de Malesherbes, défenseur du Roi lors de son procès, vint dans la chambre où se tenait Louis XVI et lui annonça la sentence fatale qui venait d'être confirmée, puis il ajouta :
"Sire, tous les scélérats ne sont pas encore les maîtres et tout ce qu'il y a d'honnêtes gens viendra sauver votre Majesté ou périr à ses pieds".
Le Roi répondit :
"Monsieur de Malesherbes, cela compromettrait beaucoup de monde et mettrait la guerre civile dans Paris : j'aime mieux mourir. Je vous prie de leur ordonner de ma part de ne faire aucun mouvement pour me sauver. Le Roi ne meurt pas en France"…

Louis XVI en habit de sacre (manteau d'hermine) couronnement 11 juin 1775, [Antoine François Callet, 1779]

Quelle était la taille du Roi Louis XVI, les Français en ont une vague idée ! On l'a souvent décrit comme celle d'un petit rondouillard, idée qui persiste de nos jours hérité des caricatures révolutionnaires à vouloir jouer à rabaisser le roi dans l'imaginaire collectif. En réalité, le Roi Louis XVI mesurait entre 1,85 et 1,90 m. D'ailleurs, les dimensions du manteau confectionné pour le sacre révélé, 1,62 m de l'encolure aux pieds, ce qui accréditer une haute stature.

Le Roi Louis XVI, était également un homme de culture, Le roi parlait couramment l'anglais, l'allemand et pratiqué l'italien et l'espagnol. Très au fait des nouvelles techniques, le Roi contribua au financement du ballon des frères Montgolfier. C'est aussi sous son règne qu'il eu lieu, en 1785 la première traversée de la Manche par voie aérienne, à bord d'un aérostat piloté par Jean-Pierre Blanchard. Le roi ouvre au public, (bien avant les journées portes ouvertes républicaine) un bâtiment où celui-ci assistera à des démonstrations du fonctionnement des machines nouvelles, jetant ainsi, les jalons des Arts et des Métiers. Le Roi, n'hésita pas à se faire inoculer afin de prouver une méthode, ( celle qui consiste à introduire dans l'organisme une goutte de pus d'un individu en voie de guérir de la petite vérole ) peut préserver de la maladie, ( le vaccin de Jenner n'apparaîtra qu'en 1796. Un des faits majeurs du Roi Louis XVI, la torture est aboli avant 1789.

( Loin d'un Roi aux allures médiocre décrit trop souvent par des historiens à la solde de la république ), notre Roi fut avant tout un Roi moderne qui fit avancer la monarchie sous l'ère du progrès et de l'ambition. Un Roi très chrétien qui su aimer son peuple, et le pardonner lors de son exécution ! )



Portrait officiel du roi Louis XVI, roi de France (1754-1793), en grand manteau royal
[Joseph Siffred Duplessis, 1777]
Louis XVI, par Joseph Siffred Duplessis

Duplessis reçut en 1774 la commande d’un portrait en pied de Louis XVI vêtu du costume du sacre. L’œuvre devait couronner sa carrière. Aussi apporta-t-il un soin tout particulier à son exécution. Alors même qu’il travaillait à l’effigie monumentale, le peintre peignit aussi un portrait en buste de son royal modèle. Sur les deux œuvres, le visage du souverain devait être identique, Louis XVI n’ayant accepté de poser que très peu de temps. Au Salon de 1775, le maître put exposer le portrait en buste. La toile connut un immense succès, louée tant pour la vérité de sa couleur, la fermeté de sa touche, la finesse de ses détails (Mercure de France), que pour l’air de majesté et le regard noble et tendre qui faisaient lire sur le front royal les vertus du cœur (Nodille de Rosny). Aussitôt, Duplessis fut invité à livrer des copies de son œuvre. Avec l’aide de son atelier, il en produisit de 1776 à 1783 un très grand nombre. La toile de Versailles compte parmi les plus belles versions du portrait.

« Marie-Antoinette » Catalogue de l’exposition à Paris en 2008




Cette vidéo vous propose quelques éléments de réponse pour montrer à quel point le Roi Louis XVI était loin de l'imagerie révolutionnaire, malheureusement encore trop souvent d'actualité. Ce grand roi avait un réel souci du sort du peuple français, et les réformes qu'il fit durant son règne en sont la preuve la plus évidente !



Le 21 janvier 2020, à 19h à Saint-Eugène - Sainte-Cécile (Paris IX), messe solennelle de requiem pour le roi Louis XVI










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Chers Amis,

Avant de commencer mon message, permettez-moi de dire quelques mots à la mémoire de M. le duc de Bauffremont qui vient de nous quitter. Durant plus de soixante ans il s’est consacré, corps et âme, à la cause de la royauté légitime. Il a été au côté de mon grand-père, puis de mon père et depuis 1989 auprès de moi, j’ai pu constater combien sa fidélité était à toute épreuve. Il savait braver les tempêtes et assurer la continuité de l’action. La cause de la monarchie lui doit beaucoup à travers tout le travail qu’il a accompli. Je redis à ses enfants et à toute sa famille, combien ma peine a été profonde en apprenant l’élévation au Ciel, de celui qui ne pouvait concevoir le service du roi sans celui vis-à-vis de Dieu. Qu’il repose en paix et demeure dans vos prières à vous qui savez aussi être fidèles.

Une nouvelle fois, merci de votre fidélité. Elle trouve sa source dans le souvenir du Roi Martyr et se développe dans l’espérance que vous mettez en l’avenir de notre Pays.

La France, comme en 1793, parait de nos jours bien malade. Depuis des années une crise la ronge en la faisant douter d’elle-même puisque chaque jour on l’appelle au reniement. Il faudrait qu’elle oublie les gloires de son passé, qu’elle oublie la grandeur de son histoire ? Elle se devrait d’être en repentance ? Mais de quelle repentance pourrait-il s’agir ?

Regardons le règne de Louis XVI qui, à lui seul, synthétise tous ceux qui l’ont précédé. Pour la gloire et la grandeur du pays, mises à mal par le Traité de Paris, il a su, mettre un frein à la puissance anglaise, en privant la couronne britannique de ses colonies américaines et en créant le port moderne de Cherbourg ; en matière de « justice sociale » expression qu’il fut le premier à utiliser, Louis XVI prôna la réforme fiscale ; pour tenir compte des évolutions de son temps il reconnut des droits aux Protestants et aux Juifs ; dans le domaine scientifique, il encouragea les recherches les plus novatrices de l’aérostation à la machine à vapeur et à l’expédition de La Pérouse ; pour améliorer les conditions de vie des « exclus sociaux » du temps il soutint les œuvres en faveur des sourds-muets et des aveugles. Oui, son règne a été grand notamment par ses innovations. Il le fut car il était animé par la promesse qu’il avait faite lors de son sacre, celle du décalogue. Le roi très chrétien, le fils aîné de l’Église, avait comme objectif d’assurer le bien commun de ses peuples et le salut des âmes. Voilà en quelques mots, résumé, le programme des Rois. Cela ne vaut-il pas mieux que toutes les explications peu crédibles et tentatives peu convaincantes tant elles sont loin des réalités, de nos gouvernants contemporains.

Le testament de Louis XVI, relu après la messe, est empreint de Vérité, Vérité absente du langage politique actuel, ni vrai ni juste. L’ensemble du Testament reflète ainsi cette humilité du Roi qui ne cherche nullement à se justifier devant les hommes, mais s’en remet à Dieu, vrai souverain et vrai juge. Ne pas se tromper de valeur et rester en cohérence avec sa conscience. Ainsi, le premier reproche à adresser à la révolution et à la république naissante, est d’avoir inversé le sens des mots. La Liberté a supprimé les libertés ; la société ancienne reposant sur les solidarités a été peu à peu sacrifiée à tous les égoïsmes et à l’individualisme alors même qu’étaient prônées l’égalité et la fraternité. Deux siècles après Louis XVI, la société n’a jamais été aussi éclatée. Elle est à reconstruire !

Alors, continuons à honorer la mémoire du Roy-Martyr, et sachons pour l’époque dans laquelle nous vivons, en retirer toutes les leçons. Sachons, nous aussi, concilier la tradition et le progrès. Sachons donner du sens à nos actions. Comme Louis XVI pensons à nos compatriotes et sachons par ce que nous portons et représentons leur redonner espoir et leur rappeler les principes qui doivent régir la société humaine. Nous ne devons pas être des nostalgiques d’un ordre ancien qui ne reviendra pas, mais, au contraire, nous devons être les artisans d’un monde nouveau qui attend beaucoup de l’exemple de ce que fut la royauté française et ses réussites. Si l’histoire ne se reproduit pas, en revanche, elle peut apporter des recettes. Les deux principales qu’il faut retenir en ce début d’année sont la place centrale reconnue à l’homme de la naissance à ses fins dernières et le sens du Bien commun. Disons non à toutes les manipulations et travestissements de la vie naturelle. Disons non à la société individualiste et à ses excès depuis qu’elle a perdu le sens des autres tout en proclamant le contraire. Disons non au mensonge.

Cela c’est à chacun de nous qu’il appartient de le faire. Il faut savoir s’engager dans nos vies professionnelles et familiales. La société ne se réformera que si nous savons, les uns et les autres prendre nos responsabilités et, pour les chrétiens, être fidèles aux promesses de notre baptême. N’est-ce pas le symbole du sacrifice de Louis XVI, il faut savoir dire non si nécessaire quand notre conscience nous le demande.

Au-delà de ce message, je souhaite, malgré les nuages amoncelés sur nos têtes, à vous tous, à vos familles, vos proches, une bonne et sainte année 2020 sous la protection de Sainte-Jeanne d’Arc.

Louis, Duc d’Anjou









Pour témoigner de son attachement à la loi naturelle et défendre la famille, notre roi Louis XX se mêle aux manifestants de la "Manif pour tous" contre la PMA et la GPA.















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Parmi les lectures qui s'imposent, l'abbé Augustin Barruel, mort en 1820 et Augustin Cochin, mort pour la France en 1916, qui développa son analyse.

Les travaux de l'abbé Augustin Barruel consistent à affirmer que la Révolution française n'a pas été un mouvement de révolte spontanée du peuple, mais un processus organisé pendant plusieurs décennies dans des loges et dans des clubs — en particulier celui des Jacobins — afin de permettre à la bourgeoisie libérale de s'emparer du pouvoir. Barruel explique la Révolution par le complotisme contre les tenants d'une révolution spontanée et populaire.

Augustin Cochin désigne la franc-maçonnerie comme une des instigatrices de la Révolution française avec d'autres « sociétés de pensée » mais en cherchant à dépasser la thèse du complot défendue par l'abbé Barruel pour se baser sur une analyse plus factuelle du processus de la Révolution de 1789.

Pour cela il prit appui sur la méthode sociologique que venait d'introduire Émile Durkheim, en cherchant à en éliminer le déterminisme. Sa thèse principale est que la démocratie moderne est née d'une prise de pouvoir d'un genre radicalement nouveau, caractérisé par une dualité entre la réalité des rapports politiques et la fantasmagorie de leur représentation sociale, dualité rendue possible et durable par le mécanisme d'entraînement sophistique extrêmement efficace des « sociétés de pensée » (salons philosophiques, clubs politiques, loges maçonniques, plus tard, partis idéologiques).

Pour Cochin, une règle générale détermine le corps maçonnique : toute délibération officielle est précédée d’une délibération officieuse et déterminée par elle ; autrement dit tout groupe franc-maçon est dirigé sans le savoir par un groupe plus restreint, assez peu nombreux pour être uni et avoir une ligne de conduite.

Abbé Augustin Barruel : Mémoires pour servir à l'histoire du jacobinisme









Augustin Cochin : La Machine révolutionnaire (19 avril 2018)
Patrice Gueniffey : « Si un historien fut longtemps ignoré, et pour de mauvaises raisons, c’est bien Augustin Cochin. On peut même dire que l’homme et l’oeuvre seraient tombés dans un oubli complet si François Furet ne les avait tirés du sépulcre où l’historiographie révolutionnaire de la Révolution les avait ensevelis. À l’heure où l’on se gargarise de mots, à l’heure où le despotisme de “l’opinion”, ou de ce qui en tient lieu, se fait plus sentir que jamais, à l’heure où la démocratie partout célébrée est davantage un mantra qu’une réalité, en ces temps de disette et de médiocrité de la pensée, le retour aux grandes œuvres, originales et puissantes, est toujours comme un bain de Jouvence ». Chartiste de formation, historien de métier et sociologue de tempérament, Augustin Cochin est mort au champ d’Honneur à trente-neuf ans, en 1916. François Furet le considérait comme l’un des deux historiens, qui, avec Tocqueville, surent penser la Révolution française. Cochin est assurément celui qui a mis à jour le mécanisme de la Révolution, au sein de sociétés de pensée qui vont modeler une opinion publique nouvelle et l’esprit démocratique moderne. Cette œuvre majeure, pour la première fois accessible dans sa quasi-exhaustivité, permet à la fois de comprendre l’effondrement de l’Ancien Régime et de visiter les soubassements du phénomène démocratique. Outre l’essentiel du corpus d’histoire de la Révolution, dont le fameux "Les Sociétés de pensée et la démocratie", cet ouvrage contient l’ensemble des études de Cochin sur le protestantisme français, jusqu’ici jamais publiées en volume. Il donne aussi à lire la correspondance inédite de l’historien où la finesse de l’homme vient percer la carapace du chercheur. Augustin Cochin fera toujours débat. Mais les questions qu’il entreprit d’explorer en solitaire il y a un siècle sont encore d’aujourd’hui. C’est déjà beaucoup, et assez pour lui accorder toute notre attention.




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Messes pour le repos de l'âme du Roi Très-Chrétien, Martyr, Louis XVI le Bienfaisant et les Martyrs de la Révolution et le Salut de la France

Herodote - Louis XVI (1754 - 1793) : La bonté couronnée

Groupe d'Action Royaliste

Nos raisons pour la Monarchie

Manufacture royale

Il faisait froid, ce tragique matin du 21 janvier 1793

À Notre Bon Roi Très-Chrétien et Martyr, Louis XVI le Bienfaisant (2017)…

À Notre Bon Roi Très-Chrétien et Martyr, Louis XVI le Bienfaisant (2016)…

À Notre Bon Roi Très-Chrétien et Martyr, Louis XVI le Bienfaisant (2015)…  

21 janvier 1793 : Louis XVI, notre bon roi assassiné par la franc-maçonnerie
Messes pour Louis XVI… 2013… la Dérévolution de la France, bientôt une réalité

21 janvier 2012 - Hommage à Louis XVI

21 janvier 2021 - Que notre roi-martyr Louis XVI triomphe !…

mardi 11 janvier 2022

Macron… un égo souverain, au bonheur des gaullistes !



L'Art d'être chef… Véritable manuel de formation, pour les jeunes et les moins jeunes, "L’Art d’être chef" reprend les belles et nobles vertus qui forment les grands hommes au service du bien commun. Un ouvrage qui, plus que jamais, demeure d’actualité, bien loin de célèbres minus - vous les reconnaîtrez ! - qui se prétendent être nés pour être chefs…
"Il ne faut pas s'imaginer que commander est facile et qu'avec un visage hermétique et une voix impérieuse, le tour est joué. Pour être chef, il est nécessaire d'avoir cet amour du prochain et cette culture qui permet de connaître l'homme et de scruter les replis intimes de l'âme. Il faut appartenir aussi à cette aristocratie spirituelle qui a pour devise : servir. Mais service désintéressé, persévérant, courageux, qui réclame des convictions, de l'enthousiasme, du caractère."
Abbé Gaston Courtois, L'Art d'être chef

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Rivarol fête son numéro 3500 ! À cette occasion est offert à ses lecteurs un encart spécial reproduisant nombre des plus mémorables articles de ses rédacteurs, tous d'une très grande qualité… Parmi ceux-là un éditorial remarqué de René Malliavin, datant au plus tard de mai 1958… René Malliavin y dresse un portrait aussi magnifique que véridique du "général". Excusez du peu, en héros grec… Érostrate ! Et là, nos contemporains se réjouiront en découvrant bien des points communs entre ce "général" et le locataire actuel de l'Élysée… Un gamin affranchi de tout scrupule et pour qui seul compte dans le feu d'une fièvre sanitaire le rayonnement d'un égo souverain… D'une kyrielle de successeurs le seul effectivement digne de l'éminente personne du "général"… Les événements commandent, il suit… en même temps ! Au bonheur des gaullistes !…

Bien avant de devenir un homme politique, le général De Gaulle a écrit un ouvrage assez singulier qui a pour titre Le Fil de l’épée. Nous y trouvons des déclarations, empreintes d’une indiscutable sincérité, qui révèlent le fond de son âme. Ne se peint-il pas lui-même lorsqu’il écrit : « un chef est distant, car l’autorité ne va pas sans prestige, ni le prestige sans éloignement » ? Pour lui, ce chef est un homme prédestiné car « on ne fait rien de grand sans de grands hommes ». Et ces demi-dieux n’ont rien à craindre parce qu’ils sont protégés par une force mystérieuse. « Ce qu’Alexandre appelle “son espérance”, César, “sa fortune”, Napoléon, “son étoile”, n’est-ce pas simplement la certitude qu’un don particulier les met avec les réalités en rapport assez étroit pour les dominer toujours ? » Il est persuadé que, pour parvenir à ce sommet suprême, il suffit de l’avoir décidé car « les grands hommes le sont pour l’avoir voulu ».




Après avoir lu ces textes, nous ne pouvons plus mettre en doute l’exactitude de la relation que M. Kenneth Pendar fait de l’entrevue qui eut lieu à Casablanca en 1943 entre Roosevelt et le général De Gaulle. Rappelons ce témoignage : « Le président dit à De Gaulle que la France était si mal préparée au point de vue militaire qu’il lui faudrait un général de la valeur de Napoléon. — Mais je suis cet homme, déclara De Gaulle. Son état financier, poursuivait le président, réclame aussi un Colbert. — Mais je suis cet homme, dit simplement De Gaulle. Maîtrisant son étonnement, Roosevelt ajouta que la vitalité politique du pays était bien compromise, et qu’un Clemenceau serait très nécessaire. De Gaulle se redressa avec dignité et conclut : — Mais je suis cet homme. »

Et l’ancien consul américain au Maroc d’ajouter : « Ce jour-là, le président comprit l’étendue du problème psychologique posé par le général. »

Ces extraordinaires propos sont confirmés par Cordell Hull, Byrnes et Stettinius qui les connurent par les confidences de Roosevelt. Dans ses souvenirs sur la Conférence de Casablanca, Elliot Roosevelt y ajoute cette boutade de M. Winston Churchill : « De Gaulle a un complexe de Jeanne d’Arc. »

Notre héros étant ainsi persuadé qu’il a été marqué par la Providence pour accomplir de grandes choses, admet que tout lui est permis du moment qu’il s’agit de réaliser son destin. C’est ce qu’il affirme en termes fort clairs dans Le Fil de l’épée : « L’homme d’action ne se conçoit guère sans une forte dose d’égoïsme, d’orgueil, de dureté, de ruse. » Pour employer le jargon à la mode, on peut dire qu’il est en proie au complexe d’Érostrate qui, pour immortaliser son nom, incendia l’Artémision d’Éphèse. Il y a chez lui une sorte d’amour romantique de la catastrophe. Il le fit éclater dans sa conversation avec le général Odloc qui était venu le rejoindre à Londres, le 12 novembre 1941. Cet officier lui représentait qu’il fallait à tout prix empêcher que la France ne tombât dans l’alliance allemande. Le chef des Français libres lui fit cette horrible réponse : « Au contraire, il faut que la France entre en guerre aux côtés des Allemands. Ainsi la trahison des hommes de Vichy sera-t-elle prouvée. » Il ne se soucie pas de sa patrie, peu importe sa dévastation pourvu qu’il puisse triompher de ses ennemis personnels en administrant la preuve de leur indignité.

Toujours dans Le Fil de l’épée, il nous fait comprendre qu’il n’hésitera devant aucun forfait pour atteindre le but qu’il se croit assigné. Et c’est ainsi qu’il magnifie « certaines personnes qui ne firent, en somme, que pousser à la révolte et aux excès et gardent cependant devant la postérité comme une sombre gloire quand leurs crimes furent commis au nom de quelque haute revendication ». Il était toujours dans les mêmes sentiments lorsque, recevant les avocats de Pierre Pucheu le jour qui précéda l’exécution de ce dernier, il leur déclarait : « C’est un procès politique, j’en conviens : il n’y a presque rien dans le dossier lui-même… M. Pucheu a suivi une politique qui a échoué. Aujourd’hui, la France est une barque ballottée sur un océan en furie ; les événements commandent, nous suivons. Je garde mon estime à M. Pucheu ; faites-lui savoir que je suis persuadé que ses intentions étaient bonnes ; qu’il était sincère. Dans le drame que nous vivons, que la France vit, notre seul guide doit être la raison d’État. »

Retenons cet aveu de l’homme fort : « les événements commandent, nous suivons ».

Et pour l’intelligence de ce sombre personnage, reproduisons l’ultime et extravagante déclaration qu’il fit à ses visiteurs : « Je voudrais que vous ajoutiez ceci encore : dites à M. Pucheu, dites-lui bien que si un jour je vais en France, je lui donne l’assurance la plus formelle sur mon honneur : j’en prends l’engagement devant vous deux : j’ai des enfants, M. Pucheu en a ; je ferai personnellement, j’insiste personnellement, tout ce que je pourrai humainement faire pour assurer leur éducation physique et morale ; je ferai tout pour qu’ils n’aient pas à souffrir trop de la décision que je peux être appelé à prendre. »

L’exécution du condamné eut lieu le lendemain de cette mémorable entrevue. Les défenseurs transmirent à leur client le message personnel que lui envoyait l’homme qui ordonnait sa mort. Après avoir haussé les épaules, Pierre Pucheu répondit : « Je suis prêt depuis longtemps, ma mort sera plus utile que ma grâce. Vous raconterez à tout le monde comment je suis mort, vous direz à vos amis politiques, à nos amis, que c’est bien un assassinat politique. Et surtout que le général De Gaulle n’invoque pas la raison d’État… La raison d’État ! mais il est dans la plus pure tradition du national-socialisme ! »

Le général De Gaulle n’éprouve, comme nous le savons, aucune difficulté pour déterminer en quoi consiste la raison d‘État. À ses yeux, elle ne peut être autre chose que ce qui doit assurer son pouvoir. La femme du général Spears (Mary Borden), qui le rencontra bien souvent pendant son séjour à Londres, nous confie en effet qu’il était convaincu que la France s’incarnait en sa personne.

Avec de tels sentiments, cet homme ne se laissera arrêter par aucun obstacle. Certains de ses sbires organisent-ils l’assassinat de l’amiral Darlan ? Quelque spadassin indigène essaye-t-il de tuer le général Giraud ? La seule chose qui compte, c’est que sa route soit déblayée.

Il n’hésitera pas à sceller une alliance avec les communistes. Pour leur faire plaisir, il leur livrera leurs adversaires, il promulguera sous sa seule responsabilité des lois iniques qui édictent des peines rétroactives et constituent des tribunaux d’exception. Il confisquera les imprimeries et les journaux pour les distribuer à ses clients. Il saccagera notre économie en nationalisant à tort et à travers. Il ruinera le crédit public en reniant les promesses faites au nom de l’État. Il dilapidera en quelques mois plus de six cents tonnes d’or. Dans le même temps, il ordonnera l’exécution de cinq cent quatre-vingt-treize sentences capitales prononcées par les cours de justice. Et un jour, dans l’ivresse de son triomphe, alors que les massacres se multipliaient partout en France, il aura l’audace de s’écrier à la tribune du Palais-Bourbon avec un ricanement de défi aux malheureuses victimes : « Où est la guerre civile ? »

Aujourd’hui, nous devons lui répondre : « La guerre civile, c’est vous. C’est pourquoi nous ne voulons pas que vous reveniez au pouvoir. »

René MALLIAVIN, alias Michel DACIER (1896-1970),
Rivarol n° 3500 du 5 janvier 2022



DeGaulle, enfin un successeur digne de son éminente personne à l'Élysée !…





UE-EM : un égo souverain !
Seul Napoléon avait osé…

dimanche 26 décembre 2021

26 décembre 2004… Tsunami en Thaïlande



26 décembre 2004… Ao Nang… 8:00 Bateau pour Koh Phi Phi… … Arrivée sans incident en rade de Koh Phi Phi, quoique nervosité de l'équipage… même si en mer absolument rien d'anormal de détecté par les passagers… Rade de Koh Phi Phi : mer jonchée de détritus, des blessés sur certaines pirogues… Foule de bateaux affluant sur Koh Phi Phi depuis Phuket et d'ailleurs en attente… toujours plus de bateaux… nous ne débarquerons pas… Longue indécision… Que s'est-il vraiment passé ? J'évoque un tremblement de terre et un raz-de-marée, je me fais traiter de con par un touriste canadien qui m'explique qu'un tremblement de terre soulève en pleine mer d’énormes vagues… Ce n'est qu'en milieu d'après-midi qu'ordre est donné d'un retour vers le continent, à Krabi… Notre bateau récupère autant qu'il le peut des touristes à évacuer de Koh Phi Phi… Arrivée à Krabi d'où un bus nous renvoie à Ao Nang… Sur la plage de Ao Nang, longue attente de ceux qui ont disparu… des corps seront ramenés sur la plage des jours après… Les gens d'Ao Nang outre pleurer leurs morts ne pourront que constater les dégâts du tsunami. J'avais enrichi mon vocabulaire d'un mot nouveau : je ne connaissais jusqu'alors que des raz-de-marée ! Dix-sept ans après je n'ai toujours pas séjourné à Koh Phi Phi…










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jeudi 16 décembre 2021

Aurions-nous oublié l'Histoire ? Plaidoyer du Père Avril pour "La Douzième Croisade"…



Aidons les musulmans à se protéger de l'islam !…


Un prêtre catholique encensant des imams dans une église de Rome !

On aurait pu croire que l’assassinat, dans son église, du Père Jacques Hamel allait ouvrir les yeux des autorités ecclésiales sur la dangerosité d’une religion dont l’impérialisme est fondée sur le djihad, c’est-à-dire la guerre de conquête par le couteau et la soumission sans conditions.

On aurait été en droit d’attendre de nos pasteurs, français comme romains, une nette dénonciation des dérives interreligieuses issues du Concile Vatican II.

On pouvait espérer que devant les souffrances des chrétiens d’Orient le Pape allait, au moins, compatir et reconnaitre l’impasse, pour ne pas dire la terrible erreur, de Nostra Ætate !

Au lieu de ces signes d’espérance, nous avons eu droit à des imams invités à assister à des messes catholiques, à des prêtres béats encensant des mahométans méprisants, à un Souverain Pontife déclarant "si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique." Et, de conclure par cette affirmation qui a horrifié les chrétiens d'Orient qui sont massacrés comme du bétail : "Je crois qu'il n'est pas juste d'identifier l'islam avec la violence, ce n'est pas juste et ce n'est pas vrai. J'ai eu un long dialogue avec le grand iman de l'université Al-Azhar et je sais ce qu'ils pensent. Ils cherchent la paix, la rencontre."

« Malheureux, ces gens qui déclarent bien ce qui est mal, et mal ce qui est bien, qui font des ténèbres la lumière et de la lumière les ténèbres, qui rendent amer ce qui est doux et doux ce qui est amer ! » (Isaïe, 5, 20).

La Porte Latine du 5 août 2016

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Entretien avec le Père Maurice Avril, fondateur de l'Œuvre Notre-Dame de Salérans, au sujet de son livre "La Douzième Croisade" sur la conversion tant espérée des musulmans. Un magnifique témoignage, lucide, bouleversant… Une Espérance !


Sous la pression du clergé de France le père Maurice Avril a été contraint de quitter Notre-Dame de Salérans pour poursuivre sa mission au Liban…

Si on demande à un évêque de France s'il faut essayer de convertir les musulmans, qu'ils soient de France, ou qu'ils soient ailleurs… Ah mais non ! Il ne faut pas les convertir. Au contraire, il faut les affermir dans leur religion, leur faire comprendre les beauté de leur religion. C'est invraisemblable, mais c'est cependant la réalité.

Le R.P. Maurice Avril, qui était à Salérans, a été persécuté par les évêques et il a eu tous les ennuis possibles parce qu'après la guerre d'Algérie, il s'était dévoué aux Harkis qui avaient eu la chance de pouvoir s'échapper et, exilés, se réfugier en France.

Or, les Harkis avaient combattu pour défendre l'Algérie française et l'arracher à l'emprise terroriste révolutionnaire. Plus de deux cent cinquante mille d'entre eux ont été massacrés quand DeGaulle a capitulé et livré l'Algérie aux terroristes du FLN. Ces derniers, évidemment, vouaient une haine féroce à ces vaillants Harkis qui avaient combattu avec les troupes françaises pour débarrasser l'Algérie française du terrorisme. Ceux qui n'ont pas pu s'enfuir sur les bateaux pour la France ont été torturés, massacrés, enterrés vivant, brûlés vifs. Quel crime abominable porteront sur leur conscience ceux qui ont pris une pareille responsabilité ! Des gens qui s'étaient dévoués, prêts à mourir pour défendre l'Algérie française, comme certains d'entre eux étaient venus combattre en France en 1939-40, puis lors de la Libération en débarquant en Italie, en Corse, en Provence, puis contre le communisme en Indochine : on les a abandonné entre les mains de l'ennemi cruel qui leur a fait subir les tourments les plus abominables. Un drame affreux. Certains de leurs enfants orphelins ont pu rejoindre la France. Le Père Avril, qui était prêtre en Algérie française, en a recueilli plus d'une centaine. Il les a éduqués, élevés ; une mission à laquelle il s'est tout entier dévoué. Les enfants de ces Harkis se sont trouvés sous la protection d'un prêtre qui veillait à leur éducation, qui leur a parlé et fait connaître Jésus - sans vraiment tenter de les convertir, sans les obliger bien sûr - mais seulement par son propre exemple d'abnégation, de courage, de bonté. Eux-mêmes, témoins du dévouement de ce prêtre et des personnes qui l'entouraient, ont été conquis par la beauté de la religion catholique et, ainsi, la plupart d'entre eux ont demandé à se convertir. Cela n'a pas été du goût de plusieurs évêques qui ont envoyé des lettres de réprobation au Père Avril : il faut laisser les musulmans : il ne faut pas les convertir ! Mais que sont ces évêques de France ?







Père Maurice Avril

Notre-Dame de Salérans honorée par le bachagha Boualem

Né à Oran le 11 janvier 1923 de parents pieux et excellents musiciens.
Entre au petit séminaire Saint Eugène d'Alger en 1933, et au grand séminaire en 1939. Mobilisé en 1943.
Entre chez les Lazaristes en 1945. Ordonné prêtre à Alger en 1948.
Directeur au séminaire d'Oran et professeur de philosophie, il crée et dirige l'inoubliable colonie des Bénians. Par ailleurs il fonde la maîtrise Vittoria.
En 1951, il part à Rome à l'Institut des langues orientales et à l'Académie pontificale de musique sacrée.
Nommé Directeur du séminaire de Constantine en 1954, il fonde la Manécanterie des Rossignols du Rhumel, primée en 1957 au congrés international des Petits Chanteurs à la Croix de bois.
En 1957 le Père Avril fonde l'Œuvre des séjours d'été en France des petits harkis orphelins et nécessiteux. Achat de Salérans En 1960 il fonde le petit séminaire de Bône.
En 1962 les événements d'Algérie l'obligent à fuir son pays. Il part avec 130 enfants dont ses séminaristes et s'installe à Salérans. Il y organise le petit séminaire et l'année suivante le grand séminaire. Organise en outre un centre d'hébergement pour les rapatriés.
De 1963 à 1972 se donne entièrement aux harkis et à leur évangélisation.
Création de patronages, d'études surveillées dans toute la France. À Salérans, colonies de vacances, camps de Noël et de Pâques, centres éducatifs pour les jeunes de 14-16 ans qui n'avaient pu suivre des études normales du fait des événements. Visites régulières des hameaux de forestage.
En 1972 ouverture d'une école hors-contrat pour les enfants de familles traditionalistes.
En 1975 Fondation religieuse de la Sainte Messe qui recrute séminaristes, religieuses et frères.
En 1991, affectation de l'école aux enfants orphelins et nécessiteux du Liban.
En 1999 fermeture de l'école en France et mise en chantier de la "Fondation de l'Ave Maria" au Liban avec construction d'un dispensaire et d'une école sur place.
L'encadrement est assuré par de jeunes Libanais et Libanaises formés à Salérans ces dernières années.


C'est à Notre-Dame-de-Salérans que le père Maurice Avril a accueilli de nombreux harkis


Le père Maurice Avril, le samedi 29 octobre 2016


Une stèle de la commune a été dévoilée dans l’enceinte de la Fondation Notre-Dame de Salérans en hommage au père Avril


Le maire, Éric Deguillame, et le père Maurice Avril ont été décorés par Marc Benredjem de la médaille d'Honneur des Harkis


Les porte-drapeaux des associations d'anciens combattants étaient présents lors de la cérémonie d'hommage des Harkis au père Avril


Père Maurice Avril : La XIIe croisade, "À travers tant de larmes, nos harkis, afin qu'ils aient la vie"

Notre Dame de Salerans-Liban

Mgr Jean-Pierre Ellul : 60 ans de Sacerdoce du Père Maurice Avril de Salérans

Éditions de Chiré : n°317 Juil 2003 - Père Maurice Avril

Père Maurice Avril - ND de la Sainte Messe n°223 - juin 2012

Medias-presse.info : "Père Maurice Avril"

20ème pèlerinage au Liban avec le père Maurice Avril

Le Dauphiné Libéré : Salerans - L’hommage des harkis au père Maurice Avril (29 octobre 2016)


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La Grande Vérité qui libèrerait définitivement tous les musulmans de leur fardeau obscurantiste est de leur faire connaître le livre d'Olaf : “Le Grand Secret de l’islam” qui peut être téléchargé sur Internet (http://legrandsecretdelislam.com/) scientifiquement étayé… Citons-en la conclusion :
“Le faisceau de preuves et d’indices est assez dense et convergent pour qu’émergent en pleine lumière le grand secret de l’islam, son imposture historique et la vérité sur ses origines véritables : le texte coranique et la biographie islamique de Mahomet sont des fabrications progressives des siècles suivant les premières conquêtes des Arabes de Syrie ; les 50 premières années suivant le règne d’Omar ont joué un rôle déterminant pour le premier et les 50 premières années après Abd al-Malik pour la seconde. Il n’y a jamais eu de révélation divine donnée à Mahomet : l’islam est le fruit d’un processus très long et très complexe de réécriture de l’Histoire, s’enracinant dans une foi judéo-chrétienne déviante, rendue folle par les espérances messianistes.”
Ainsi, l’islam n’est pas le résultat d’une révélation divine ou de la prédication de Mahomet mais celui d’un processus très long et très complexe de réécriture dans l’Histoire, s’enracinant dans des croyances juives et chrétiennes dévoyées, se développant historiquement encore bien après les manipulations des califes Omar et Otman pour satisfaire des visées toujours plus intenses de domination politique.

Cela n’est évidemment pas facile à transmettre ; il faudra encore sans doute plusieurs générations. Osons imaginer un monde où chrétiens et ex-musulmans s’aimeront et s’entraideront les uns les autres contre les volontés hégémoniques judéo-francs-maçonnes.


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Le 15 août 2018, le père Maurice Avril fêtait, par anticipation, son soixante-dixième anniversaire de sacerdoce, dans son refuge montagnard de Salérans (Hautes Alpes), entouré de ses nombreux amis et fidèles. Nous vous proposons de suivre l'intégralité de cette messe.


À écouter et méditer, le sermon prononcé le 15 août 2018 à Salérans par le Frère Innocent-Marie, le fondateur du couvent d'Avrillé, à l'occasion du jubilé sacerdotal (70 ans de sacerdoce) du Père Maurice Avril.


Pour comprendre le malaise des musulmans du monde entier face à l'islamisme :

Waleed al-Husseini : « Blasphémateur ! Les prisons d’Allah » ou la critique de l’islam en pays musulman

Waleed al-Husseini, « Blasphémateur ! Les prisons d’Allah », 14/01/2015. Éditions Grasset, Paris, 240 pages, 18 €


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 C’est tout simplement un homme extraordinaire au sens littéral du terme c’est-à-dire hors du commun : à l’aube de ses 99 ans, qu’il marquera le 11 janvier prochain, le père Avril n’a rien perdu de son aura et de sa bienveillance.
Alors dans sa dernière ligne droite de son parcours de vie où il a tant apporté aux autres et en particulier aux enfants orphelins, le père Avril se tient toujours loin du monde, de son agitation et de "ses bruits" dans l’association Notre Dame au-dessus de Salérans près de la vallée du Buëch dans la Méouge aux confins des Hautes-Alpes, des Alpes de Haute-Provence et de la Drome.

Alors à l’occasion des fêtes de fin d’année nous l’avons rencontré accompagné par Daniel Spagnou, maire de Sisteron et président de la communauté de communes et d'Eric Deguillame le maire de cette petite commune si attachante d’une centaine d’âmes.

L’occasion de revenir sur l’accueil d’accueil des orphelins harkis puis sur toute l'aide qu’il a apporté, et apporte encore, aux chrétiens du Liban où près de 500 enfants sont encore accueillis aujourd’hui par l’école qu’il continue à gérer. Au bout du compte c’est aux 4 coins du monde que des centaines et centaines de personnes lui sont redevables de les avoir aidées, accompagnées mais aussi formées et pas simplement à la religion mais aussi et surtout à la citoyenneté.

Voici donc cette entretien exceptionnel parce qu’avec un homme exceptionnel qui vous allez entendre conserve aussi tout son humour et, même si on lui a quelques fois reproché, la certitude du bien-fondé de son choix traditionaliste puisqu’il célèbre encore la messe en latin. [12 décembre 2021]





mardi 14 décembre 2021

Alexis Arette : « Taisez-vous, jeune homme, vous n’y entendez rien ! »

 

"Alexis Arette, né en 1927, est un militant nationaliste de la première heure resté toute sa vie fidèle à ses engagements et à ses idées. Homme attaché à sa terre (il fut élu Premier Paysan de France), partisan de l’agriculture biologique, se référant au leader paysan Henri Dorgères, combattant courageux en Indochine dans une unité de bérets rouges où il sera blessé et recevra la Légion d’honneur et la médaille Militaire, proche de l’OAS, écrivain et poète béarnais, cofondateur de l’Institut béarnais et gascon, conseiller régional du Front national de 1986 à 1998, Alexis Arette est un homme attachant et bouillant, aux mille vies, à la voix rocailleuse, à la sincérité totale, à la jovialité communicative et à la sincérité désarmante.

Je me souviens de lui lorsqu’il était intervenu à une université d’été du Front national de la Jeunesse (FNJ) en juillet 1991 dans le château du Cercle national des combattants (CNC) de feu Roger Holeindre à Neuvy-sur-Barangeon, il y a trente ans, et où il avait enchanté et galvanisé la jeune assemblée de militants (dont j’étais) par son talent, son dynamisme, sa fougue, son entrain, son exhortation à se battre généreusement et jusqu’à son dernier souffle pour ses convictions et pour la mère patrie, pour cette terre tant aimée d’où nous venons et où nous retournerons et qui a été travaillée, protégée, embellie, agrandie par tant de générations qui nous ont précédés et auxquelles nous devons rester fidèles, en assurant la continuité, la pérennité de la nation. À la fin de son émouvant discours, il avait été spontanément applaudi debout de longues minutes par les jeunes militants dont il avait touché l’esprit et le cœur. Car il n’avait pas besoin de lire un texte écrit par d’autres pour toucher l’auditoire. Il disait avec des mots simples et vrais ce qu’il pensait, et cela se sentait. Cela nous comblait.

Nous étions loin d’imaginer à cette époque que, vingt ans plus tard, c’est une Marine Le Pen sans foi ni loi, sans flamme et sans convictions, scandaleusement imposée par son géniteur qui ne faisait plus alors de politique mais seulement du biologique (que le parti et les idées nationales crèvent pourvu que ma fille me succède et garde le magot !), qui hériterait de la tête du mouvement national, et, en quelques années seulement, renierait, trahirait, détruirait, vitrifierait tout : les idées, le programme, la foi, le dynamisme, le cœur du combat, la flamme, l’espoir, les convictions et les certitudes de militants dévoués et désintéressés.

Alors qu’Alexis Arette se bat courageusement à 94 ans contre une longue maladie, nous publions de lui ce texte où, comme on peut le voir, notre ami n’a rien perdu ni de sa lucidité, ni de sa fougue, ni de sa combativité ni de son franc-parler."

Jérôme BOURBON, Rivarol n°3498 du15 décembre 2021




Tribune libre d'Alexis Arette

La visite du président Macron à Vichy était stratégique : Il fallait relancer un des grands mensonges de notre Histoire, qui commençait à dater. Vichy est le lieu sacré de la réprobation nationale, depuis que la Nation est devenue l’Hexagonie, avec le plus célèbre citoyen de Colombey- les-deux-Églises. Ce fut donc une occasion de vilipender, une fois de plus, l’extrême droite qui avait été portée au pouvoir par l’extrême majorité d’un gouvernement de Gauche, Léon Blum, lui-même, ayant déclaré que le Maréchal Pétain était le plus humain de nos chefs militaires ! Il est, en effet, un « mystère Pétain », dont nul historien n’a traité, car, si Pétain fut un général de valeur pendant la Guerre, nul n’ignorait qu’il était indifférent en matière de foi, et plus amateur de jolies femmes que de chapelets. C’est ainsi que, lorsque les catholiques firent campagne pour que l’on mît l’insigne du Sacré-Cœur sur le drapeau français, et que nos Poilus commencèrent à coudre l’insigne sur leur uniforme, il devait l’interdire, alors que le général Foch, que les Maçons avaient traité de “Cléricafard” prenait, lui, l’option contraire. Avant de lancer l’offensive victorieuse, ce fut toutes les Armées alliées qu’il consacra à l’emblème divin, et qu’il prit cette décision en opposition avec l’État laïque qui n’osa point le sanctionner.

L’IMPOSTURE GAULLISTE

En votant pour le Maréchal Pétain, le gouvernement de gauche crut donc, en 1940, voter pour celui que l’on avait connu laïciste, car nul ne savait que le Maréchal avait changé ! S’était-il converti ? Nul ne le sait. Mais il témoignait d’un tel respect pour l’Église, que le cardinal Gerlier en vint à dire : « Pétain c’est la France, la France c’est Pétain ! » Pour comprendre la suite, il faut parler de l’écrasante défaite de Montcornet, où De Gaulle, qui venait d’être nommé « général à titre provisoire », vit ses chars, 20 ou 22, ai-je lu, détruits sans que les Allemands en perdissent un seul : on n’a pas dit, non plus, de quelle façon il put quitter les débris de ses troupes, pour se trouver parmi les élus du Régime, dans l’espoir d’y trouver un ministère à sa taille. Mais on sait que c’est de l’avis du général Weygand qu’il fut écarté, comme fut écarté Pierre Laval. Privé d’autorité, il chercha un emploi, au moment où Churchill cherchait à augmenter le crédit d’une Grande-Bretagne seule à faire face au triomphe allemand.

Ce qu’on sait, en revanche, c’est que sa façon de faire déplut à ce qui nous restait de gouvernement, et en conséquence de quoi, le président de la République, Albert Lebrun, le ramena, de son titre provisoire, au rang de colonel ! Cela dut compter dans sa décision, mais en tout cas, pour emporter la patrie à la semelle de ses souliers, il obtint que sa famille fût mise à l’abri en Angleterre, et de percevoir la solde des généraux anglais. Désormais ce serait depuis ses appartements qu’il mènerait sa guerre, plus contre Pétain que contre les Allemands ! Et il me semble que le livre Montoire, Verdun diplomatique, qui révéla ces détails, eut quelques ennuis avec le pouvoir de l’époque. Depuis, nous avons failli ne savoir que ce que permettait la fable de « l’unité de la Résistance », qui allait per- mettre aux communistes de faire couvrir leurs crimes par des héros de la Résistance qui n’étaient point de leur parti. DeGaulle, ayant besoin du parti communiste pour asseoir son autorité, cautionna le forfait. La fameuse « dévolution des biens de presse » permit à la gauche de s’emparer de toute la presse qui avait paru sous l’Occupation. Et c’est ainsi que le Parti communiste devint le premier parti de France jusqu’en 1946. Il comptait alors 800 000 adhérents, et sa menace fut telle en 1947 que le gouvernement socialiste distribua aux appelés, dont j’étais, des cartouches à balles réelles, pour parer au pire qui semblait imminent. En obtenant l’Armistice, (et ce fut une énorme faute politique d’Hitler que de l’accorder), la France échappait au sort effroyable de la Pologne, et, à l’abri des balles depuis Londres, DeGaulle proféra le premier immense mensonge de sa carrière, en traitant l’armistice de “capitulation”.

UN MENSONGE DÉLIBÉRÉ

Le mensonge était délibéré, la preuve en est que, recevant le général Odic, DeGaulle lui demanda de ne jamais avouer que l’armistice avait été nécessaire ! Et en effet la « zone libre » allait permettre le salut de la très grande majorité des juifs, et François Mitterrand put y trouver asile quand il réussit son héroïque troisième évasion. On a pu entendre, d’ailleurs, Mitterrand répondre à un jeune journaliste qui semblait lui reprocher son rôle à Vichy : « Taisez-vous, jeune homme ! Vous n’y entendez rien ! » La presse a insisté sur la présence des époux Klarsfeld à Vichy, comme s’il était nécessaire de rappeler à monsieur Macron la nécessité de se souvenir des « crimes pétainistes ». [...] (Il faut rappeler que) les juifs de « l’Union Générale des Israélites de France » travaillèrent activement à la déportation de leurs frères vers les camps de concentration, et si, à la Libération, ils ne furent pas condamnés, le mal était fait ! Et la même indulgence ne fut pas accordée aux Français de souche, obligés d’avoir des contacts avec les autorités d’Occupation. Je crois que monsieur Klarsfeld devrait relire Le poids de Trois millénaires, d’Israël Shahak, et Les Juifs dans la Collaboration de Maurice Rajsfus, car il n’est pas simple de juger ! Et nombreux sont les juifs qui ont repensé, après étude des documents, les tragédies de notre époque. Monsieur Jean-François Kahn, qui fut le directeur de Marianne, n’a-t-il pas dit son indignation sur le fait que « certains israélites auraient fait fortune en tirant parti commercial de la Shoah » ? Mais, en revanche, bien que monsieur Beucler, ancien déporté à Auschwitz, puis prisonnier dans les camps du Viêt Minh, ait affirmé que la mortalité y était deux fois supérieure à celle des camps allemands, monsieur Laurent Fabius, n’a pas hésité, lors de la mort du général Giap, à en faire un éloge tel que l’aurait mérité un bienfaiteur de l’humanité ! Eh oui, il en est des juifs comme de toute autre humanité : certains sont des héros et d’autres des salauds !

UNE PÉRIODE BIEN PLUS COMPLEXE ET BIEN MOINS MANICHÉENNE QU’ON VEUT NOUS LE FAIRE CROIRE

Mais que dire des 150 000 juifs qui, dans l’armée allemande, occupèrent les plus hauts grades, sur la décision écrite de Hitler, et qui se battirent jusqu’au bout comme s’ils défendaient leur patrie ! En fait, il semble bien, que, comme monsieur Zemmour, ils firent un choix patriotique : leur patrie, ce n’était point la terre de leurs pères, mais celle où ils devenaient pères ! Ainsi a-t-on pu voir des juifs éminents prendre parti pour le Maréchal Pétain contre une officialité bolcho-gaulliste qui, s’étant emparée de toute la presse, tentait de nous imposer ses dogmes ! Ainsi l’historien Dreyfus a pu dire que, si le Maréchal n’avait pas été là, lui-même n’aurait pas existé ! De même, la grande Simone Weil (qui n’a rien à voir avec la panthéonisée) disait qu’à son sens non seulement le Maréchal avait fait tout ce qu’il pouvait faire, mais encore que sa politique avait été plus favorable aux juifs qu’aux Français de souche ! (Je ne commente pas, je cite !)

Quant aux premiers messages aux Français, on sait que ce fut le plus brillant intellectuel juif de l’époque, Emmanuel Berl qui les écrivit ! Il faut dire que l’homme avait déjà pris parti ; en effet, entre les deux guerres, les événements d’Europe centrale et de Russie avaient provoqué l’exil de très nombreux juifs, qui n’avaient absolument pas le degré intellectuel des juifs français ! Emmanuel Berl osa les traiter « d’immigration de déchets » ! Mais Jacques Heibronner, vice-Président du Consistoire juif, les nomma en 1936 « de la racaille, le rebut de la société, une immigration de déchets et d’éléments qui n’avaient pu être d’aucune utilité chez eux » ! Guy de Rothschild fut encore plus catégorique. Il déclara : « Je n’admettrais pas, en tant que responsable de la communauté juive auprès du gouvernement français, la création d’un lobby juif, par des marginaux soutenus par une racaille ! » Et c’est cette “racaille”, augmentée par les Rouges espagnols qui avaient fui, en France, les conséquences de leurs crimes, qui allait constituer les groupes qui deviendraient les FTP, avec l’appui des communistes aux ordres de Moscou. Ainsi, dans le réseau Manouchian, que devait célébrer Aragon, sur 19 membres, neuf étaient des juifs communistes venant de l’Est ! Ainsi convient- il de réécrire une Histoire que le mensonge gaulliste a élaborée, et qui a fini par nous jeter dans une situation, où le pire paraît imminent ! Ainsi Je crois que, s’il était de retour, Mitterrand pourrait redire au président Macron : « Taisez-vous, jeune homme, vous n’y entendez rien ! »

LE RÔLE DÉTESTABLE
DU COMMUNISME ET L’HORREUR DE L’ÉPURATION

Le communisme a régné en maître sur la glorification d’une “Résistance”, qui a tué plus de Français que d’Allemands : 105 000 assassinés, selon le Colonel Passy, et qui a provoqué, après chaque exécution d’un Allemand, des représailles terribles, mais parfaitement légales selon les lois de la guerre ! Malgré la censure de la crapule, on sait ce qu’étaient ces hommes, qui écartelèrent l’amiral Platon entre quatre tracteurs pour le punir de son pétainisme. Jamais DeGaulle ne désavoua ces monstres ! Mais Jean Paulhan, Grand officier de la Légion d’honneur au titre de la Résistance, osa dire : « Je n’en tire aucune fierté ! Plutôt de la honte ! Tout ce que je me propose de dire, c’est que Pé- tain, Maurras, Brasillach n’ont jamais été jugés ! C’est qu’il n’est pas un des 400 000 Français qui se sont vus, à la Libération, exécutés, envoyés au bagne, révoqués, ruinés, taxés d’indignité nationale, réduits au rang de parias, c’est qu’il n’est pas un seul de tous ceux-là qui n’ait été frappé, au mépris du droit et de la justice ! » Plus tard, DeGaulle allait doubler son infamie avec le massacre des harkis, car il semblait habité par le criminel mensonge, et Guy Mollet, qui avait mobilisé pour garder l’Algérie Française, devait reconnaître l’état des choses en disant : « DeGaulle nous a menti et nous a fait mentir ! »

SE RÉCLAMER DE LA LÉGENDE GAULLISTE EST FAIRE BIEN PEU DE CAS DE LA MORALE

Qu’actuellement, tous les partis politiques se recommandent de la légende gaulliste pour tenter de ratisser plus large, témoigne de leur boulimie politique, mais aussi du peu de cas qu’ils font de la morale. Or, la morale est chose divine, et la tradition dit qu’on ne se moque pas de Dieu. Selon la Bible, « le refuge mensonger sera détruit », et je ne veux pas en douter, mais je prie pour que Dieu protège les nationalistes que nous sommes des dommages collatéraux !

Alexis ARETTE