Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

dimanche 15 avril 2018

Syrie : l'attaque des dupes…






La Russie a accepté des frappes « symboliques » et sans intérêt militaire pour que les USA sauvent la face et désamorcent la crise sans trop se ridiculiser. Une réussite plutôt mitigée : le joueur d’échec a surclassé le businessman qui sort déconsidéré de ce coup-là…

Donald Trump et Vladimir Poutine ont cependant bien berné tous les va-t-en-guerre irresponsables… Ils ont eu leur attaque !… une attaque bidon… Il reste maintenant à la Syrie et ses alliés de parachever leur victoire en réduisant les dernières poches des terroristes… qui croyant leur heure arrivée d'intervenir massivement ont eu l'imbécillité de se découvrir cette nuit…


Damas se réveille… danses de victoire

À Damas, la vie est tout à fait normale et les militaires reprennent possession des locaux du Ministère de la défense qu’ils ont évacué peu de jours avant l’attaque. De nombreux Damascènes dansent dans les rues…

Premier bilan syrien :

Tué(s) : néant.

Blessés : 3 (sans gravité)








Toutes les cibles touchées par les missiles de la coalition sioniste ne sont pas opérationnelles ou ont été désaffectées depuis longtemps (le site de lancement de missiles de Homs est à l’abandon depuis…24 ans ! )

Des missiles de croisière et des bombes n’ont même pas explosé au point d’impact.

L’aérodrome militaire de Dumayr près de Damas, fortement délabré avant l’attaque, n’a subi que deux missiles tombé à l’extérieur de son périmètre. A quoi a servi cette véritable mascarade ?

Washington a donc coordonné avec Moscou un semblant d’opération pour sauver la face des américains et des anglais.

En fait, Londres prétend que ses Tornado ont bombardé un site désaffecté à Homs. Histoire de se donner un rôle et sauver la face.

Le président Assad a également sauvé la face : sa défense aérienne a descendu deux douzaines de missiles adverses.

Deux missiles de croisière se sont abattus sur le site « marqué et balisé » où aurait eu lieu l’attaque chimique supposée mise en scène par l’organisation terroriste des « Casques Blancs » (Mi6 britannique). Action particulièrement insensée ou aveu implicite de la complicité avec la mise en scène des Casques blancs : on ne bombarde pas un site si l’on sait que des armes chimiques y sont stockées. Les bombes disperseraient les produits chimiques et, sous le vent, une grande partie de la population serait sérieusement affectée.

Il semble que la coalition a tenu a détruire les preuves compromettantes indiquant le degré d’implication des pays soutenant le terrorisme en Syrie dans les opérations sous fausse bannière.

Une menace nucléaire russe a du calmer bien des ardeurs.

Une opération bidon en somme. Pour tromper qui ?



Pourquoi Trump personnellement ne voudrait pas la guerre…

Frappes contre la Syrie: de la provocation au ridicule

Après la mise en scène “chimique”, la comédie des frappes !

Intimidés par la Russie, les USA, la Grande-Bretagne et Macron se limitent à une frappe symbolique pour sauver la face



C’était pas Noël...
et pourtant Trump, May et Macron se sont joints pour envoyer des jouets aux enfants de Syrie...







Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire