Manifestations contrastées autour des "Assises contre l'islamisation de l'Europe" tenues à Paris ce samedi 18 décembre 2010 [Télévision Suisse Romande 18 décembre 2010, 19:30] : Le maire de Paris, Bertrand Delanoé, est intervenu cette semaine pour demander que la rencontre soit annulée, en vain. Parmi la vingtaine d'orateurs appelés à la tribune, un certain Oskar Freysinger… Mais prêtez bien attention : la vidéo dévoile plusieurs drapeaux français frappés de la "croix de Lorraine", d’autres "croix de Lorraine" ci et là. Si les plus lucides des Français déploreront l’imbécile naïveté de leurs compatriotes qui une fois de plus dans le danger, à court d’idées, se réfèrent à l’infâme traître DeGaulle, les islamistes quant à eux s’en régaleront… Le ver est dans le fruit… Oskar Freysinger n'est pas Français.
Le conseiller national UDC valaisan Oskar Freysinger a évité de justesse une agression au couteau à Paris lors des «Assises contre l'islamisation de l'Europe». Oskar Freysinger était invité à parler du modèle suisse de démocratie directe. Oskar Freysinger explique être « refroidi » suite à cet incident. « J’ai tenu le couteau dans la main. Cette arme était destinée à tuer », a-t-il indiqué. Auparavant, dans la salle du colloque, Oskar Freysinger avait été accueilli comme un héros et ovationné comme l’homme qui a fait tomber les minarets. À l’extérieur de la salle, des groupuscules ne totalisant pas plus de 200 individus se sont agités sans vraie conviction… Cette contre-manifestation s'était éteinte dans le calme en milieu de journée.
"L’incompatibilité entre la démocratie et les lois islamiques" : l'intervention d'Oskar Freysinger - conseiller national de l’Union démocratique du centre (UDC), chef de file du « Non aux minarets » en Suisse. Un discours politique fort qui dépasse largement le problème de l'islamisation…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire