Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 14 mars 2014

19 mars : les Toulousains prêts a déboulonner Cohen, assassin du Chevalier Bayard…


En débaptisant le pont dédié au Chevalier Bayard, Cohen, maire de Toulouse, a osé avec une clique de quillards communistes célébrer le 19 mars 1962, jour de la capitulation de l'Infâme criminel compulsif DeGaulle devant le FLN… Capitulation du 19 mars 1962 qui fera encore du sang versé pour la plus grande satisfaction haineuse de DeGaulle… Le sang de centaines de milliers de Français d'Algérie, soldats harkis et leurs familles pour la plupart, trahis par une France parjure… aussi celui de Fernandez, Gomez, Pérez et encore de Toledano, Bensoussan, Lévy… et Cohen… Oui, des Cohen ont également été assassinés en Algérie par le FLN après ce 19 mars 1962… Des Cohen, Français d'Algérie, portant le même patronyme que vous, infâme maire de Toulouse… 

Et voilà que le grand jour de la revanche arrive.  Les Toulousains se préparent à mettre un grand coup de pied au cul de ce maire indigne,  compagnon des socialauds squatteurs du pouvoir républicain… Une défaite, celle de cet infâme maire, qui sera alors célébrée dans la joie… Une défaite qui sera la victoire des Toulousains… Une victoire à laquelle les Français d'Algérie, très nombreux dans cette bonne ville de Toulouse, auront apporté toute leur contribution lors de cette campagne électorale. Et répondront massivement présents le jour où sera déposé leur bulletin dans l'urne fatale à Cohen… 







Quand Cohen assassine le Chevalier Bayard… avec l'outrecuidance des Quillards du 19-Mars1962

"19 mars 1962" : Pierre Cohen maire socialiste de Toulouse s'obstine…

Toulouse : Le pont de l'Infâmie… 19 mars 1962,  un "maire" ose célébrer une capitulation !!!

Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire

Toulouse : le pont du Chevalier Bayard lavé des outrages infligés par le socialaud Cohen…

Sur le "Pont Bayard" Toulouse érige la statue de l'infamie dédiée à son maire Pierre Cohen…

"Pont Bayard" de Toulouse : capitulation de Cohen, député-maire-pas-longtemps-encore !

Ce samedi, Pierre Cohen inaugure le pont du 19 mars 1962 : article édifiant par ses commentaires lucides à l'égard de Cohen  et ses commanditaires communistes de la FNACA, les Gavoury, Dandelott, Pouillot, des "bataillons de la quille du 19 mars"

Guillaume Zeller : Le 19 mars ne peut pas célébrer la « paix en Algérie »

Manuel Gomez : "Accords d’Évian : fin de la protection des Français en Algérie"…

Sous l'éclairage de Saint Thomas d’Aquin : "Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide"


Une excellente étude historique et morale, pour marquer les 50 ans de l'assassinat du colonel Jean Bastien-Thiry.

« Le 22 août 1962, à Clamart, un attentat visait le chef de l’État et manquait de peu son objectif. Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre de DeGaulle.

Le 11 mars 1963, son instigateur, le colonel Jean Bastien-Thiry, était fusillé. Il est le dernier en France à avoir été victime de ce procédé.

« Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d’un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? » se demanda la presse de l’époque.

Quant au motif de « tyrannicide » que Jean Bastien-Thiry a avancé pour justifier moralement « l’opération Charlotte Corday », était-il acceptable ?

L’auteur répond ici à ces questions. En s’appuyant sur les réflexions de Saint Thomas d’Aquin – le « Docteur commun » de l’Église –, il étaye solidement son analyse par d’utiles et implacables rappels historiques.

Nous sommes invités ici à réouvrir un douloureux procès, qui souleva des interrogations morales et politiques de la plus haute importance. »


Abbé Olivier Rioult : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide - « Aspect moral d'un acte politique » - 62 p. - Éd. des Cimes, 2013.


4e de couverture :
« Le 22 août 1962, à Clamart, un attentat visait le chef de l’État et manquait de peu son objectif. Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre du général De Gaulle.

Le 11 mars 1963, son instigateur, le colonel Jean Bastien-Thiry, était fusillé. Il est le dernier en France à avoir été victime de ce procédé.

« Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d’un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? » se demanda la presse de l’époque.

Quant au motif de « tyrannicide » que Jean Bastien-Thiry a avancé pour justifier moralement « l’opération Charlotte Corday », était-il acceptable ?

L’auteur répond ici à ces questions. En s’appuyant sur les réflexions de Saint Thomas d’Aquin – le « Docteur commun » de l’Église –, il étaye solidement son analyse par d’utiles et implacables rappels historiques.

Nous sommes invités ici à réouvrir un douloureux procès, qui souleva des interrogations morales et politiques de la plus haute importance. »



mercredi 12 mars 2014

Rivarol… à lire et diffuser sans modération !


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Le Printemps Français - Newsletter n°41 du 11 mars 2014



Newsletter du Printemps Français.
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Newsletter n°41 - 11 mars 2014
Printemps Français

L’article de la semaine
Philosophie de la dette ou revendication locales ? C’est le même sujet, celui des individus face aux puissances de l’argent.








L'action de la semaine

« Les sentinelles ne lâchent rien ! »

Ce vendredi 7 mars, veille du bilan du Grenelle de la famille, plusieurs centaines de sentinelles se sont mobilisées,
Bravo à eux !

Éditorial

Éducation
Comme les grande écoles françaises ne sont plus très prisées et nos universités ne sont pas très bien notées dans les classements qui se succèdent, comme l’Éducation nationale fabrique des illettrés et laisse s’installer la violence, ainsi que le rabâchent enquêtes et études, comme l’enseignement libre paraît fonctionner mieux et comme l’enseignement hors contrat redonne aux parents le rôle que devrait leur garantir la déclaration des droits de l’homme (article 26-3) – eh bien, pour toutes ces bonnes raisons, l’État a décidé, comme tout bon organisme fasciste :
• d’éduquer les enfants dès leur plus jeune âge à son idéologie perverse, tout en prétendant qu’il n’y a pas de problème
• d’empêcher les parents d’accomplir leur devoir, tout en prétendant développer une relation de confiance
• de stigmatiser toute opposition, tout en prétendant respecter les opinions (quitte à diffuser d’aberrants messages).
• de dénoncer toute critique, tout en prétendant être ouvert au dialogue
• de restreindre la liberté d’enseignement, tout en prétendant assurer un service public.
En ces temps de concertation et de consensus si prisés qu’il paraît légitime que des ouvriers bloquent des usines et des manifestants ravagent une ville sans être inquiétés, retirer symboliquement son enfant de l’école ou même simplement essayer de discuter avec les équipes enseignantes sur des œuvres qui, au minimum, sont militantes et non pas neutres, est d’emblée suspect, condamné et blâmé.
Nous sommes donc, en France, avec un système éducatif qui a failli sur ses missions principales (bien avant que l’actuel gouvernement n’aggrave les choses) et qui se constitue en bastion idéologique contre les parents tout en prétendant, admirable tartufferie, qu’il ne faut pas instrumentaliser les enfants dans le débat ! Autrement dit, qu’il faut leur livrer nos enfants sans réagir, pour le principe totalitaire que l’État, par nature, sait mieux que l’individu ce dont les citoyens en herbe ont besoin.
Cette question de l’éducation, c’est notre combat premier : toute la génération qui s’est levée en masse fin 2012, toute la génération qui est en train d’apprendre à se libérer des carcans idéologiques de la bienpensance, qu’aurait-elle été si on lui avait seriné dès la maternelle de ne pas écouter les parents, de ne pas croire les religions, et d’obéir aveuglément à la parole sacrée des enseignants ?… Si l’État veut arracher les enfants à leurs parents, ce n’est pas pour leur apprendre à penser, c’est pour leur apprendre à obéir. Nous devons tous réagir, même ceux d’entre nous qui se croient protégés.

On ne lâche rien !

Printemps Français
 

La question de la semaine

« Et pour les municipales, vous conseillez quoi ? » [bis]

C’est une bonne question. Nous avons la réponse : participez. Engagez le débat avec les candidats en participant aux chats, et surtout préparez vos arguments en fonction des vrais enjeux : libertés individuelles ou État omniprésent ? Si vous vous sentez critique ou sceptique (comme pour les européennes), méfiez-vous de la popularité digitale des candidats et diffusez de faux tracts pour dénoncer les propositions toutes faites (d’ailleurs, même les vrais sont mal faits ou  très mal faits).

Le conseil de la semaine

Racontez votre vie (et vivez-la).

Parce que la vie n’est pas si simple, ou parce que vous avez l’impression qu’on ne vous écoute pas, ou parce que vous avez envie de raconter votre expérience. Votre témoignage est forcément important, partagez-le. Et partagez le reste : vos compétences, votre nouvel enthousiasme, toute l’économie.




© 2014 Printemps Français.

mardi 11 mars 2014

Hommage au colonel Jean Bastien-Thiry… Que sa voix résonne à jamais…



MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE

En ce 11 mars prochain ayons une pensée toute particulière à l'intention de Jean Bastien-Thiry, Honneur de l'Armée française, Honneur de la France, assassiné le 11 mars 1963 sur ordre de l'infâme traître et criminel compulsif DeGaulle, le plus sanguinaire qu'ait connu la France depuis la Révolution et sa Terreur…




 Extrait de la Déclaration du Colonel Jean Bastien-Thiry, le 2 février 1963 devant la Cour militaire de Justice de Vincennes :
« Le danger que court actuellement ce pays ne vient pas d'un risque de destruction physique ou matérielle : il est plus subtil et plus profond car il peut aboutir à la destruction de valeurs humaines, morales et spirituelles qui constituent le patrimoine français . Ce patrimoine provient d'un héritage qui est à la fois grec, latin, occidental et chrétien et repose sur une conception précise de la liberté et de la dignité de l'homme et des collectivités humaines et sur la mise en application de principes fondamentaux qui sont la recherche et le souci de la justice, le respect de la vérité et de la parole donnée et la solidarité fraternelle entre tous ceux qui appartiennent à la même collectivité nationale . Nous croyons qu'on ne viole pas impunément et cyniquement ces différents principes sans mettre en péril de mort, dans son esprit et dans son âme, la nation tout entière . »
À l’aube du 11 mars 1963, Jean-Marie Bastien-Thiry est fusillé au fort d'Ivry. Cette exécution politique est la dernière qu'ait connue la France à ce jour. La victime est un polytechnicien de 35 ans originaire de Lunéville, marié et père de trois fillettes. Scientifique brillant et de stature internationale, il œuvre à la Cité de l'Air, à Paris, avec le grade de lieutenant-colonel, quand sa conscience est bouleversée par le drame algérien…

DeGaulle était revenu au pouvoir grâce au soulèvement de l'armée et des Français d'Algérie, le 13 mai 1958. Ces derniers craignaient à juste titre que le gouvernement de la IVe République ne négocie un retrait des trois départements algériens. Ils placèrent naïvement leurs espoirs en DeGaulle qui leur promit sans ambages de maintenir l'intégrité du territoire. Mais une fois au pouvoir, De Gaulle décida de l'impossibilité de maintenir le statu quo en Algérie. Il se refusa d'autre part à octroyer aux Musulmans d'Algérie tous les droits des citoyens français comme l'eussent souhaité l'ancien gouverneur Jacques Soustelle... ou des militaires comme Jean-Marie Bastien-Thiry. Restait l'alternative de l'indépendance. Il fallut près de quatre longues années pour que DeGaulle pût convaincre ses partisans que l'indépendance de l'Algérie était inéluctable.

La déconfiture fut totale. Après la signature des accords d'Évian, les Pieds-Noirs refluèrent en désordre vers la métropole et les vainqueurs du FLN assassinèrent dans des tortures affreuses plusieurs dizaines de milliers de harkis et autres musulmans francophiles, abandonnés par l'armée française et le gouvernement de DeGaulle. Comme beaucoup de militaires de sa génération, Jean-Marie Bastien-Thiry ne comprit pas les revirements de DeGaulle. Il les interpréta comme autant de trahisons à l'égard de la Nation, des Français d'Algérie et des Musulmans fidèles à la France.

Refusant l'inéluctable, Jean-Marie Bastien-Thiry se convainquit que DeGaulle était un obstacle à la restauration de la grandeur de son pays. C'est ainsi que sous l'égide d'un mouvement clandestin, le Conseil National de la Résistance (CNR) de Georges Bidault, il organisa un attentat contre le cortège de DeGaulle. Le 22 août 1962, au Petit-Clamart, dans la banlieue sud de Paris, alors que DeGaulle se rend de l'Élysée à sa résidence de Colombey-les-deux-Églises, la DS présidentielle est mitraillée par les six tireurs du commando de Jean-Marie Bastien-Thiry. Les conjurés visent principalement les pneus afin d'arrêter la voiture. Mais les pneus résistent aux balles et le sang-froid du chauffeur fait le reste. Les tireurs sont bientôt arrêtés. Jean-Marie Bastien-Thiry est arrêté à son retour d'une mission scientifique en Grande-Bretagne. Un tribunal d'exception, la Cour militaire de Justice, jugera les prévenus…

L'attentat dit "du Petit Clamart" visait à arrêter le chef de l'État afin de le traduire en Haute Cour pour forfaiture, crimes et trahison. Les conjurés ont tiré principalement sur les pneus afin d'arrêter la voiture… Qu'enfin se tienne pour l'Histoire le procès du seul coupable vrai criminel dans ce drame…

Le prétendu procès dit  "du Petit-Clamart" s'ouvre au Fort de Vincennes le 28 janvier 1963, devant la Cour militaire de justice. La Cour est composée des généraux Gardet et Binoche, des colonels Bocquet et Reboul et de l'adjudant Latreille. Le siège du Ministère Public représentant du "pouvoir de fait" est occupé, en premier lieu par le général Sudaka, qui, malade en cours d'audience, est remplacé par le général Gerthoffer. Jean-Marie Bastien-Thiry, Alain Bougrenet de la Tocnaye, Jacques Prévost, Pascal Bertin, Lazlo Varga, Étienne Ducasse, Pierre-Henri Magade, Alphonse Constantin, Gérard Buisines comparaissaient, accusés de complot contre la sûreté de l'État et tentative d'assassinat contre le président de la République. Ils sont défendus par maîtres Tixier-Vignancour, Richard Dupuy, Le Corroller, Engrand, François Martin, Louis-François Martin, Cathala, Szigeti, Jacquet, Prévost, Coudy, Flécheux, Lemeignen, Varaut, Wagner, Rambaud, Damien, Gibault, Labedan-Puissan. À la suite d'un incident d'audience, maître Jacques Isorni chargé de la défense de Prévost, est suspendu pour trois ans en cours d'audience par décision de la Cour. Le jugement intervient le lundi 4 mars. Jean-Marie Bastien-Thiry, Alain Bougrenet de la Tocnaye, Marcel Prévost sont condamnés à mort, les autres accusés sont condamnés à diverses peines de réclusion criminelle et de prison. Georges Watin, Serge Bernier, Louis de Condé, Lajos Marton, Jean-Marie Naudin, sont condamnés par contumace à des peines allant de la prison à la mort. Le cas de Gyula Sari, est disjoint. Alain Bougrenet de la Tocnaye et Jacques Prévost seront graciés. Jean-Marie Bastien-Thiry a sera fusillé à l'aube du 11 mars 1963.

Le lundi 11 mars à l'aube - une semaine après le verdict - d'importantes forces de police entourent la prison Fresnes. D'autres jalonnent la route qui conduit au Fort Ivry. Celui-ci est lui-même étroitement surveillé. Dans sa cellule, on vient réveiller le colonel Bastien-Thiry. Il dort profondément. Dès qu'il ouvre les yeux, il comprend. Ses premières paroles sont pour ses amis : Quel est leur sort ? On le rassure : ils ont été graciés. Alors il s'habille posément, revêt par dessus ses vêtements civils une capote bleue de l'armée de l'air, sans galons. Il ne dit rien. Déjà, il se détache du monde, cependant que ses avocats, dans un ultime effort pour le sauver, lui font signer cette déclaration : « Je proteste contre ma condamnation et mon exécution. Ma condamnation est illégale. Mon exécution est un assassinat. Je demande qu'il y soit sursis jusqu'à ce que le Conseil d'état se soit prononcé sur la validité des arrêts de la Cour Militaire de justice. » On transmet au général Gerthoffer, chien de garde du "pouvoir de fait". Après quelques instants de discussion, celui-ci refuse le sursis, Le condamné entend alors la messe, reçoit la communion. Ceux qui assistèrent à ces derniers instants ont rapporté à quel point ils avaient été frappés par le rayonnement intérieur qui émanait alors de l'homme qui allait être immolé.

Jean Bastien-Thiry prend place dans un fourgon cellulaire. Pendant le trajet, il prie. Le convoi parvient au Fort d'Ivry. Le condamné marche vers le poteau en tenant toujours son chapelet entre ses doigts. On l'attache, on veut lui bander les yeux. il refuse, comme l'avaient fait avant lui Albert Dovecar, Claude Piegts, Roger Degueldre. À 6 h 46, la salve retentit, puis le coup dit « de grâce ». Le lieutenant-colonel Bastien-Thiry est mort. On emporte son corps à Thiais. On l'enfouit dans le carré des suppliciés, à la sauvette, comme ces voleurs pendus jadis à Montfaucon que l'on entassait dans les fosses communes. Autour de cette tombe sans croix, quelques gendarmes, garde dérisoire. Bernanos a écrit ces mots admirables : « Nous ne souffrons pas en vain. Nous souffrons pour tous les lâches qui ne risquent rien. Que Dieu ait pitié de nous ». À qui pourraient-ils mieux s'appliquer qu'à celui qui dort en paix avec lui-même, sous les broussailles de Thiais ?

« Je suis persuadé que notre mort, si elle avait lieu, secouerait la torpeur du peuple français », s'était écrié Alain de la Tocnaye devant ses juges. Il était bon prophète : la stupeur, l'indignation accueillent la mort de Jean Bastien-Thiry, chez ceux-là mêmes qui s'opposaient farouchement à ses thèses politiques.

Autour du 11 mars des manifestations, chaque année toujours plus nombreuses, ont lieu partout en France en la mémoire de Jean Bastien-Thiry et des fusillés pour l’Algérie française… 



 - Hommage à Jean Bastien-Thiry sur sa tombe :


Depuis 1963, les 11 mars et 11 novembre de chaque année une prière spéciale est dite sur la tombe du

Colonel Jean BASTIEN-THIRY 

pour tous ceux qui sacrifièrent leur vie à la défense de l’Algérie française 
unis dans notre souvenir à tous ceux qui sont morts pour la patrie
au cours des deux dernières guerres mondiales et des combats Outre-mer 

Vous êtes invités à la prochaine cérémonie :

le dimanche 9 mars 2014 à 15 heures,
 hommage rendu au colonel Jean Bastien-Thiry, 
25 rue de Bièvres, cimetière de Bourg La Reine (92340)… 




- dimanche 9 mars à 15 heures : Dépôt de gerbe et prière au cimetière de Bourg-la-Reine (92) sur la tombe de Jean Bastien-Thiry.

- mardi 11 mars à 18 heures: messe en l’église Sainte Odile, 2 av. Stéphane Mallarmé, 75017 Paris

Autres messes pour Jean Bastien-Thiry :

. à Marseille : messe le mardi 11 mars à 17h30 en la basilique du Sacré-Cœur (av. du Prado 13008)
. à Draguignan: messe le mardi 11 mars à 18h30 en l'église de la Sainte Famille
. à Meylan (38) : messe le mardi 11 mars à 11 heures au Prieuré St Pierre Julien Eymard, 22 chemin du Bachais
. à Nancy : messe le mardi 11 mars à 18h30 à la chapelle Marie-Immaculée, 33 av. du Gal Leclerc
. à Nancy : messe le mardi 11 mars à 18h30 à la chapelle du Sacré Cœur 65 rue maréchal Oudinot
. à Nice : messe le mardi 11 mars à 18h30 à l’oratoire St Joseph, 18 rue Catherine Ségurane
. à Saint-Raphaël : messe le mardi 11 mars à 18h30 en la basilique N.D. des Victoires
. à Toulon : messe le mardi 11 mars à 18 heures en la cathédrale de Toulon
. à Courtalain (28) : messe de mardi 11 mars au séminaire Saint Vincent de Paul

Autres messes commémoratives :

- à Paris : messe le mercredi 26 mars à 18h30 en l’église Saint Nicolas du Chardonnet (75005)
- à Antibes: mercredi 26 mars : messe en l’église du Sacré-Cœur pour tous les martyrs de l’Algérie Française
- à Montauban : samedi 22 mars à 10h : messe en la chapelle de l’Immaculée Conception pour tous les martyrs de l’Algérie Française.

Cercle Jean BASTIEN-THIRY - B.P. 70 - 78170 La Celle Saint-Cloud

Pour toute information :

CERCLE JEAN BASTIEN-THIRY

- Adresse du Cercle : B.P. 70 - 78 170 La Celle Saint-Cloud (France)
- tél. et fax : 01 39 18 45 05
- courriel : basthiry@aol.com

http://www.bastien-thiry.fr  [ce site s'affirme comme un authentique "Lieu de Mémoire"]

Comité d'Honneur
- La Maréchale de Lattre de Tassigny, le Général Weygand, les Généraux Challe, Gardy, Salan, Zeller, l'Ingénieur Général Bonte, les Colonels Argoud, de Blignières, Garde, Moinet, le Bachaga Boualam, Monseigneur Ducaud Bourget, l'Abbé Bayot, l'Abbé Serralda, Jean Anouilh, Maîtres Richard Dupuy, Bernard Le Coroller, Jacques Isorni, Jean-Louis Tixier Vignancour ...

Objectifs
- Honorer et défendre la mémoire du Colonel Jean Bastien-Thiry, fusillé au Fort d'Ivry à Paris le 11 mars 1963, pour attentat contre le général De Gaulle .
- Faire connaître les raisons et promouvoir les valeurs qui ont inspiré son action .

Liste d'ouvrages disponibles au Cercle Jean Bastien Thiry, BP 70 (78170) La Celle Saint- Cloud - France
- "Déclaration du Colonel Bastien Thiry " à son procès - 35 pages - Dans une première partie, l'accusé rappelle les grandes étapes de l'abandon de l'Algérie Française : rébellion de 1954, intervention armée, engagements et reniements successifs du Général De Gaulle, tractations avec le F.L.N., journée des barricades à Alger, blocus de Bab el Oued, fusillade du 26 mars rue de l'Isly, signature des accords d'Evian, abandon des Pieds Noirs et génocide des Harkis .Dans la seconde partie, il justifie la révolte des populations abandonnées, la création de l'O.A.S. et du Conseil National de la Résistance et la décision d'arrêter le Chef de l'Etat afin de le traduire en Haute Cour pour forfaiture, crimes et trahison.
- "Présence de Jean Bastien Thiry" - Texte de la Déclaration et articles de Presse parus en 1963 - 110 pages.
- "Jean Bastien Thiry : Sa vie, ses écrits, témoignages "- 265 pages.
- "Bastien Thiry : Vérité " - Le Procès de l'attentat du Petit-Clamart " - Sous ce titre, c'est le procès et la mort du colonel Bastien-Thiry qui sont évoqués avec une intensité poignante par Geneviève Bastien-Thiry, sa femme, à partir des documents authentiques . - 247 pages.
- Médaillon à l'effigie de Jean Bastien Thiry - Bronze sur résine - diamètre 11 cm.
- Cassette du procès du Petit Clamart - Cassette audio enregistrée au cours du Procès en Cour Militaire de Justice
- "Plaidoyer pour un frère fusillé" de Gabriel Bastien-Thiry. Document exceptionnel écrit par son plus jeune frère où chaque mot a son poids de vérité- 208 pages. 
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Présence de Jean Bastien-Thiry… Il pleut sur le fort d'Ivry


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Sur ce blog, la page dédiée à Jean Bastien-Thiry :









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Mars, mois des tueries franco-françaises de 1962, prolongées en 1963…

Le culte de Mars, dieu de toutes les guerres…
Un article de Paul Véglio
Nous entrons dans le souvenir des mois de Mars, dieu de la guerre sous les romains, mois des tueries franco-françaises de 1962, prolongées en 1963.
Un sourire empreint de gravité…
1948 : Jean-Marie Bastien-Thiry, brillant polytechnicien…


Nous entrons dans le souvenir des terribles mois de Mars, dieu de la guerre sous les romains, mois des tueries franco-françaises de 1962, prolongées en 1963.

26 mars 1962 : massacre de la rue d’Isly par l’armée française, j’y reviendrai plus longuement dans 15 jours, si BV le permet. 11 mars 1963 : fusillade du colonel Jean Marie Bastien-Thiry par un peloton de l’armée française dans les fossés du fort d’Ivry. C’était il y a exactement 51 ans.

On sait que Bastien-Thiry était ce colonel polytechnicien ingénieur militaire en chef de l’Air et concepteur des missiles SS10 et SS11, qui organisa l’attentat raté contre de Gaulle, le 22 août 1962 au Petit-Clamart. Arrêté peu après, il fut jugé au fort de Vincennes et condamné à mort par la Cour militaire de justice qui avait pourtant été déclarée illégale par l’arrêt du Conseil d’État du 19 octobre 1962, au motif qu’elle portait atteinte aux principes généraux du droit, notamment par l’absence de tout recours contre ses décisions.

De Gaulle refusa la grâce de ce chrétien exemplaire qui l’avait ridiculisé au cours de son procès. Arrivé sur les lieux de son exécution, Bastien-Thiry marcha vers le poteau en égrenant son chapelet, le visage calme et serein. Il refusa qu’on lui bande les yeux, voulant regarder la mort « en face ».

Les historiens s’accordent à peu près, aujourd’hui, sur le bilan de la guerre d’Algérie : de 700.000 à 750.000 morts. Plus de 95.000 tués par an (260 par jour !), pendant 7 ans et 8 mois de guerre. La toute dernière victime (recensée et connue) de cette guerre terrible et fratricide sera le Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, 34 ans, passé par les armes au fort d’Ivry le 11 mars 1963.

Ainsi, un an après le cessez le feu, l’Armée aura accepté de prolonger la tuerie en trouvant dans ses rangs 4 sous-officiers, 4 caporaux et 4 soldats, plus le gradé qui a donné le coup de grâce et l’officier qui a commandé le peloton d’exécution (avant lui, 18 autres s’étaient quand même récusés). J’ai cherché le nom de ce parfait gentilhomme pour le citer, en vain. Cette exécution politique qui a fait une veuve et trois orphelines est la dernière qu’ait connue la France à ce jour. Elle fut saluée à l’époque comme une action nécessaire par bien des gens qui, depuis, sont devenus de farouches adversaires de la peine de mort.

L’une des filles du fusillé a raconté dans un livre sa quête pour « retrouver » un père qu’elle n’avait pratiquement pas connu. J’ai eu l’occasion de rencontrer sa veuve plus de trente ans après (elle est décédée depuis), j’ai cru voir une crucifiée vivante qui m’a beaucoup ému.




Hommage au colonel Jean Bastien-Thiry… Que sa voix résonne à jamais…
Présence de Jean Bastien-Thiry… Il pleut sur le fort d'Ivry
Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD
Au Militaire, actualités de Défense : L’exécution du Colonel Jean Bastien-Thiry le 11 mars 1963
Chemin de Mémoire des Parachutistes : Le 6 mars 1962, nuit blanche à Alger, l'OAS provoque entre 104 et 125 explosions de plastic… 22 plastiqueurs arrêtés dont deux musulmans.
La Flamme - 11 mars 1963 : assassinat de Jean Bastien-Thiry
Le Rouge et le Noir : Il y a 51 ans mourait Bastien-Thiry
Sous l'éclairage de Saint Thomas d’Aquin : "Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide"
Cercle Généalogique de Maisons-Alfort : On fusillait en Val-de-Marne (05) - 1963 – BASTIEN-THIRY

Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD

MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE


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Messes à la mémoire de Jean Bastien-Thiry (mars 2014)

Chaque année le 11 mars des manifestations toujours plus nombreuses commémorent l'assassinat de Jean Bastien-Thiry par le pouvoir gaulliste… L'ADIMAD lors de la publication de sa liste n'avait pas encore été précisément informée de toutes ces manifestions, pas plus que nous le sommes aujourd'hui… Une bonne indication pour se renseigner serait de prendre connaissance du calendrier établi l'an dernier par le Cercle Jean Bastien-Thiry.



Pour le 51ème anniversaire de la mort du colonel Jean Bastien-Thiry fusillé le 11 mars 1963 au Fort d’Ivry, le Cercle Jean Bastien-Thiry vous invite à venir au cimetière de Bourg-la-Reine (92) le dimanche 9 mars 2014 à 15 heures pour un dépôt de gerbes et une prière, et à participer le mardi 11 mars 2014 aux messes célébrées :

- à Paris, à 18 heures, en l’église Sainte-Odile, 2 avenue Stéphane Mallarmé (17ème)

Autres messes pour Jean Bastien-Thiry :

. à Marseille : messe le mardi 11 mars à 17h30 en la basilique du Sacré-Cœur (av. du Prado 13008)
. à Draguignan: messe le mardi 11 mars à 18h30 en l'église de la Sainte Famille
. à Meylan (38) : messe le mardi 11 mars à 11 heures au Prieuré St Pierre Julien Eymard, 22 chemin du Bachais
. à Nancy : messe le mardi 11 mars à 18h30 à la chapelle Marie-Immaculée, 33 av. du Gal Leclerc
. à Nancy : messe le mardi 11 mars à 18h30 à la chapelle du Sacré Cœur 65 rue maréchal Oudinot
. à Nice : messe le mardi 11 mars à 18h30 à l’oratoire St Joseph, 18 rue Catherine Ségurane
. à Saint-Raphaël : messe le mardi 11 mars à 18h30, en la Basilique mineure Notre-Dame de la Victoire, 19 rue Jean Aicard (83700).
. à Toulon : messe le mardi 11 mars à 18 heures en la cathédrale de Toulon
. à Courtalain (28) : messe de mardi 11 mars au séminaire Saint Vincent de Paul


Autres messes commémoratives :

- à Paris : messe le mercredi 26 mars à 18h30 en l’église Saint Nicolas du Chardonnet (75005)
- à Antibes: mercredi 26 mars : messe en l’église du Sacré-Cœur pour tous les martyrs de l’Algérie Française
- à Montauban : samedi 22 mars à 10h : messe en la chapelle de l’Immaculée Conception pour tous les martyrs de l’Algérie Française.

Cercle Jean BASTIEN-THIRY - B.P. 70 - 78170 La Celle Saint-Cloud

Pour toute information :

CERCLE JEAN BASTIEN-THIRY

- Adresse du Cercle : B.P. 70 - 78 170 La Celle Saint-Cloud (France)
- tél. et fax : 01 39 18 45 05
- courriel : basthiry@aol.com


Présence de Jean Bastien-Thiry… Il pleut sur le fort d'Ivry



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Marcel Berthomé, ancien combattant et maire de Saint-Seurin-sur-l’Isle,
devant la stèle dédiée au général Salan, sur la place qui porte son nom

Ce 26 mars 2014 à 11 heures, notre Ami Marcel Berthomé, Maire de Saint-Seurin vous invite à une cérémonie qui aura lieu en sa ville de Saint-Seurin sur l'Isle, place du Général SALAN :

Aux Fusillés, aux Patriotes, aux Résistants,
aux Disparus, aux Harkis
tombés pour que la France vive en Algérie



Sud Ouest : Quand Saint-Seurin célèbre le chef de l’OAS


samedi 8 mars 2014

8 mars… Journée de la femme ? Non. - Journée Farida Belghoul : journée des Mères…


Les symboles forts ça ne s'improvise pas… Farida Belghoul, née un 8 mars ! Née pour la Journée de la Femme… C'était à Paris, le 8 mars 1958… D'une famille d'Algérie, sans doute d'Oran. Une telle lionne ne peut qu'être oranaise d'origne ! Et dire qu'en ce même temps, à Oran au lycée Lamoricère, ô sacrilège, notre prof de philo Jean Cohen nous enseignait déjà le rapport Kinsey et nous faisait faire joujou avec des taches à Rorschach…

Joyeux anniversaire Farida… Une "journée de la femme", enfin grâce à toi, Farida, dédiée à la Mère, et non plus au ridicule du féminisme militant… Émergence d'une nouvelle fête des Mères quand la franc-maçonnerie voudrait faire abolir cette fête traditionnelle du mois de mai ?  Malgré le grand ramdam aussi anti-catholique qu'islamophobe de Riposte Laïque, que grâce à ton action courageuse de Mère des millions de petits Français restent éduqués dans leurs traditions familiales et soient préservés du formatage castrateur d'une école et d'une république totalitaires… Fasse le Ciel que désormais chaque Mère de France veille elle même farouchement sur sa progéniture sacrée avec autant de courage et de dévotion que toi, Farida !

En ce 8 mars, malgré une fin de semaine lourdes d'évènements et manifestions majeures ayons donc une pensée pour Farida Belghoul.  Et surtout que ceux qui ne connaissent pas encore vraiment son action magnifique prennent le temps de s'informer, de visionner, de goûter ses enregistrements…





Sont invités Farida Belghoul, Alain Escada, puis Anne Laure Blanc


La Convergence sacrée entre Catholiques et Musulmans face à la franc-maçonnerie ennemie des valeurs ancestrales de la France et  de la famille n'a pu être possible que grâce au gouvernement actuel, celui des socialistes ! Merci Flanby ! Merci Farida Belghoul d'imposer regard neuf sur les Maghrébins. Que cesse cette guéguerre qui ne fait que le jeu des franc-maçons et de Riposte Laïque fossoyeurs de la France… Que face à de tels ennemis perdure cette alliance sacrée des Catholiques et des Musulmans… Faisons-le pour nos enfants…