Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

samedi 7 septembre 2013

Pape François : samedi 7 septembre, jour de jeûne et de prière pour la paix en Syrie…


Que de toute la terre s'élève un cri de paix… "Samedi prochain, nous vivrons ensemble une journée spéciale de jeûne et de prière pour la paix en Syrie, au Moyen-Orient, et dans le monde entier. Également pour la paix dans nos cœurs, parce que la paix commence dans le cœur ! Je renouvelle à toute l’Église l’invitation à vivre intensément cette journée, et j’exprime dès à présent ma reconnaissance aux autres frères chrétiens, aux frères des autres religions et aux hommes et aux femmes de bonne volonté qui voudront s’unir à ce moment, dans les lieux et selon les moyens qui leur sont propres. J’exhorte en particulier les fidèles romains et les pèlerins à participer à la veillée de prière ici, place Saint-Pierre, à 19h00, pour invoquer du Seigneur le grand don de la paix. Que s’élève avec force sur toute la terre le cri de la paix !"
Le Pape François décrète le 7 septembre, jour de jeûne et de prière pour la paix en Syrie, au Moyen-Orient et dans le monde


Chers frères et sœurs, bonjour !

Chers frères et sœurs, je voudrais me faire aujourd’hui l’interprète du cri qui monte de toutes les parties de la terre, de tous les peuples, du cœur de chacun, de l’unique grande famille qu’est l’humanité, avec une angoisse croissante : c’est le cri de la paix ! Et le cri qui dit avec force : nous voulons un monde de paix, nous voulons être des hommes et des femmes de paix, nous voulons que dans notre société déchirée par les divisions et les conflits, explose la paix ; plus jamais la guerre ! Plus jamais la guerre ! La paix est un don éminemment précieux, qui doit être promu et préservé.

Je vis avec une particulière souffrance et préoccupation les nombreuses situations de conflit qu’il y a sur notre terre, mais, ces jours-ci, mon cœur est profondément blessé par ce qui se passe en Syrie et angoissé par les développements dramatiques qui s’annoncent.

J’adresse un appel fort pour la paix, un appel qui naît du plus profond de moi-même ! Que de souffrance, que de destruction, que de douleur a provoqué et provoque l’usage des armes dans ce Pays affligé, particulièrement parmi les populations civiles et sans défense ! Pensons : Que d’enfants ne pourront pas voir la lumière de l’avenir ! Avec une fermeté particulière je condamne l’usage des armes chimiques ! Je vous dis que j’ai encore fixées dans mon esprit et dans mon cœur les terribles images de ces derniers jours ! Sur nos actions il y a un jugement de Dieu et aussi un jugement de l’histoire, auxquels on ne peut pas échapper ! Ce n’est jamais l’usage de la violence qui conduit à la paix. La guerre appelle la guerre, la violence appelle la violence !

De toutes mes forces, je demande aux parties en conflit d’écouter la voix de leur conscience, de ne pas s’enfermer dans leurs propres intérêts, mais de regarder l’autre comme un frère et d’entreprendre courageusement et résolument le chemin de la rencontre et de la négociation, en dépassant les oppositions aveugles. Avec la même fermeté, j’exhorte aussi la Communauté internationale à fournir tout effort pour promouvoir, sans délai ultérieur, des initiatives claires fondées sur le dialogue et la négociation pour la paix dans cette Nation, pour le bien de tout le peuple syrien.

Qu’aucun effort ne soit épargné pour garantir une assistance humanitaire à ceux qui sont touchés par ce terrible conflit, particulièrement aux réfugiés dans ce Pays et aux nombreux réfugiés dans les pays voisins. Que soit garantie aux agents humanitaires engagés à alléger les souffrances de la population, la possibilité de prêter l’aide nécessaire. Que pouvons-nous faire pour la paix dans le monde ? Comme le disait le Pape Jean XXIII : À tous incombe la tâche de rétablir les rapports de la vie en société sur les bases de la justice et de l’amour (cf. Pacem in terris [11 avril 1963] : AAS (1963], pp. 301-302].

Qu’une chaîne d’engagement pour la paix unisse tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté ! C’est une forte et pressante invitation que j’adresse à toute l’Église catholique, mais que j’étends à tous les chrétiens d’autres Confessions, aux hommes et aux femmes de chaque Religion, ainsi qu’à ces frères et sœurs qui ne croient pas : la paix est un bien qui dépasse toute barrière, parce qu’elle est un bien de toute l’humanité.

Je le répète à haute voix : ce n’est pas la culture de l’affrontement, la culture du conflit qui construit la vie collective dans un peuple et entre les peuples, mais celle-ci : la culture de la rencontre, la culture du dialogue : c’est l’unique voie pour la paix.

Que le cri de la paix s’élève pour arriver au cœur de tous et que tous déposent les armes et se laissent guider par le souffle de la paix.

Voilà pourquoi, frères et sœurs, j’ai décidé d’organiser pour toute l’Église, le 7 septembre prochain, veille de la célébration de la Nativité de Marie, Reine de la Paix, une journée de jeûne et de prière pour la paix en Syrie, au Moyen-Orient, et dans le monde entier, et j’invite aussi à s’unir à cette initiative, par la manière qu’ils retiendront la plus opportune, les frères chrétiens non catholiques, les adeptes des autres religions, ainsi que les hommes de bonne volonté.

Le 7 septembre, sur la Place Saint-Pierre – ici – de 19h00 à 24h00, nous nous réunirons en prière et dans un esprit de pénitence pour invoquer de Dieu ce grand don pour la bien-aimée Nation syrienne et pour toutes les situations de conflit et de violence dans le monde. L’humanité a besoin de voir des gestes de paix et d’entendre des paroles d’espérance et de paix ! Je demande à toutes les Églises particulières qui, outre le fait de vivre cette journée de jeûne, d’organiser des actions liturgiques à cette intention.

À Marie, nous demandons de nous aider à répondre à la violence, au conflit et à la guerre, par la force du dialogue, de la réconciliation et de l’amour. Elle est mère : qu’elle nous aide à retrouver la paix ; nous sommes tous ses enfants ! Aide-nous, Marie, à dépasser ce moment difficile et à nous engager à construire chaque jour et dans tous les domaines une culture authentique de la rencontre et de la paix. Marie, Reine de la paix, prie pour nous !


Le Corps diplomatique près le Saint-Siège invité jeudi 5 septembre à une concertation sur la Syrie



Mgr Marc Aillet, évêque du diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron organise une veillée de prière

Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié, relaie le message du Pape

Mgr Jean-Paul James, évêque de Nantes, relaie l’appel du Pape

Mgr Di Falco : prières dans le diocèse de Gap

Mgr Pascal Delannoy évêque de Saint-Denis : pèlerinage et prière pour la paix

Appel du Patriarche grec melkite en faveur de Maaloula, lieu sacré pour les Syriens

vendredi 6 septembre 2013

Hery Rajaonarimampianina seul en phase avec la vision de Andry Rajoelina…


À Madagascar, la prochaine élection présidentielle se déroulera le 25 octobre prochain… Le ralliement massif des personnalités proches du Président de la Transition Andry Rajoelina laisse entrevoir que désormais l’avenir et la poursuite de l’œuvre du leader de l'immense  mouvement populaire de 2009 tel qu’il reste incarné par Andry Rajoelina est entre les mains de son ancien ministre des finances. Il est quasi acquis que la majorité de ceux qui sont restés fidèles à Andry Rajoelina se mettent au service d’Hery Rajaonarimampianina.

http://www.heryvaovao.com/



https://www.facebook.com/heryvaovao



Hery Rajaonarimampianina lance sa campagne à Fianarantsoa, capitale du vin malgache…


Une "force nouvelle" pour Madagascar…

Dernier candidat à l'élection présidentielle du 25 octobre prochain dont le dossier a été validé par les nouveaux membres de la Commission Électorale Spéciale de Madagascar, conformément au respect des textes en vigueur, Hery Rajaonarimampianina, ancien ministre des Finances et du Budget (il a déposé sa démission en suivant la règle des 60 jours), se devait de rattraper le temps perdu, vis-à-vis d’autres candidats qui ont pris une longueur d’avance pour se faire connaître. Le « mystère » maladroitement évoqué à vif par Jeannot Ramambazafy pour Madagate.com, immédiatement après une déclaration inattendue de candidature de  Hery Rajaonarimampianina  est à présent clairement dissipé.


Hery Rajaonarimampianina, ministre des Finances et du Budget, est ce praticien qui a permis à Madagascar en transition, de vivre sans aucune aide financière bilatérale extérieure. Que le fonctionnaire qui n'a pas été payé durant ces quatre ans de transition sans FMI ni Banque mondiale se lève et ose témoigner du contraire !


Une foule immense pour recevoir Hery Rajaonarimampianina à Fianarantsoa…


Hery Rajaonarimampianina dernier candidat  agréé officiellement ne fera pas de la figuration… Sa première apparition de pré-campagne à Fianarantsoa résonne comme un coup de tonnerre… Face à une bonne trentaine d'autres candidats, durant la proche et prochaine campagne électorale, il va y avoir du… sport !




Ce vendredi 30 août 2013 aura été une journée exceptionnelle et exaltante pour les habitants de la ville de Fianarantsoa… Hery Rajaonarimampianina, candidat de l’association « Hery vaovao hoan’i Madagasikara » aux élections présidentielles, a honoré l’invitation à lui lancée par de diverses associations locales (notables, étudiants, femmes, opérateurs économiques, maires, etc.) qui ont vivement souhaité à rencontrer et discuter avec lui du vécu actuel et de l’avenir de Madagascar.








À l’ « Espace Royal », le poulain de « Hery vaovao hoan’i Madagasikara » a reçu le « tso-drano » (bénédiction) traditionnel des notables de la Ville, lesquels lui ont souhaité le succès total quant à sa décision de prendre en mains la destinée de la Nation, par le truchement des urnes. Des représentants des étudiants de l’Université d’Andrianjato, des femmes, des opérateurs économiques, des maires et des jeunes ont également tenu à affirmer au micro leur ferme décision et leur profonde détermination à rallier Hery Rajaonarimampianina dans la mission sacrée qu'il s’est assigné.






Dans son discours, Hery Rajaonarimampianina a vivement remercié les notables qui lui ont manifesté une confiance totale de par leur bénédiction et a fait part à l’assistance que rien ne peut se faire sans le dialogue, la confiance réciproque et la ferme volonté de travailler ensemble pour faire sortir le pays tant de cette crise que de la pauvreté. Il a marqué une attention particulière à l’endroit des jeunes et du secteur privé qui, selon lui, restent les piliers fondamentaux du développement de la Nation. En outre, il n’a pas manqué de faire valoir que sa candidature est celle de l’ouverture et du rassemblement et qu’il faut restaurer, le plus vite possible, l’autorité de l’État.






Dans l’après-midi, Hery Rajaonarimampianina, candidat à l'élection présidentielle, a carrément été submergé par une foule immense envahissant le stade municipal d’Ampasambazaha plein à craquer. C'est dans un bain de foule qu'il a fait son entrée dans le stade…




Dans son discours et sous l’ovation enflammée de ces milliers d’âmes acquises entièrement à sa cause, il a déclaré que seule une réconciliation, marquée profondément par le pardon mutuel, peut assurer un avenir meilleur à la Nation. Il a également exhorté tous les Malagasy, et notamment la population fianaroise, à honorer leur devoir civique pour massivement aller voter le jour du scrutin présidentiel. « Votez qui vous voulez et, si vous connaissez déjà le candidat à qui vous allez donner votre confiance, c’est encore mieux », a-t-il indiqué.




Hery Rajaonarimampianina a été, par la suite, reçu par Monseigneur Rabemahafaly, archevêque de l’ECAR (Église catholique apostolique romaine) à Fianarantsoa, avant de procéder à l’inauguration du Quartier général local de l’association « Hery vaovao hoan’i Madagasikara ».

Pour sa première sortie en public après la validation de sa candidature aux élections présidentielles, Hery Rajaonarimampianina a carrément cartonné dans la Capitale du vin face à une foule immense et tout enflammée d’espoir et de force nouvelle.


Source : Madagate.com

Moramanga : Rajaonarimampianina continue sur sa lancée…

Hery Rajaonarimampianina à Moramanga : "QUE LA VOIX DES URNES S’EXPRIME !"...
"Le phénomène Hery Vaovao s'étend sur les principales grandes villes de Madagascar. Avec évidemment sont lot de surprise. Hier, en tout cas, les quelques 15 000 âmes du stade de Moramanga en ont eu pour leur soif de l’inédit en découvrant le discours pratiquement à la Cicéron de l’ancien ministre des Finances"…
Mewsmada.com : Précampagne présidentielle : Hery Rajaonarimampianina a conquis Moramanga

jeudi 5 septembre 2013

L’Élysée choisit un nouveau portrait officiel du Président de République… Plus authentique…

Saluons la modestie non feinte de Philippe Massonnet, directeur de l’information à l’AFP :
« Cette image, somme toute assez banale… » … Banale ou tout simplement vraie ?
Flanby : un portrait officiel pétant d'authenticité (photo Denis Charlet pour l'AFP Lille)

L'Agence France Presse (AFP) qui fournit les rédactions en textes et en images aurait décidé de retirer une photo trop vraie de notre Flanby national, rapporte Le Parisien. Le cliché avait été pris ce mardi 3 septembre lors de la visite du "chef de l'État" à Denain (Nord) pour "sa rentrée" scolaire.

En fait, si nos informations sont exactes, cette photo aurait été retirée de l’offre de l’AFP sur sollicitation pressante de l’Élysée. Flanby peu satisfait de son portrait officiel figé et trop peu naturel pris dans les jardins de son tout nouveau squat en juin 2012 aurait été séduit par l’authenticité inespérée de cette photo prise dans le feu de l’action de sa rentrée 2013. Flash… Coup de foudre… Flanby, ordinairement long à la détente, aurait sur le champ décidé d’en faire son nouveau portrait officiel… Nous qui avons la très mauvaise habitude de critiquer quasi systématiquement les faits et gestes à ce Flanby-là, là nous devons dire avec une profonde humilité que nous applaudissons chaleureusement cette décision… Joyeuse rentrée, Flanby ! Fasse que le bon peuple de France te connaisse enfin tel que tu es !

Avec la révélation d'un tel grand-chef de guerre gageons que Bachar al-Assad sera vraiment effrayé, autant que les moineaux des jardins de l'Élysée !




"Ho ! Ho ! Tout doux, François"… l'arme secrète de Barack Hussein Obama contre la Syrie…


Caniche ou chihuahua ? On ne sait trop… C'est comme avec la théorie du "Genre" de cette rentrée… Ça reste indéterminé… Une chose est sûre : il s'agit d'un nouvel "meilleur ami" de Barack Hussein Obama… Peut importe si l'animalerie où Barack Hussein l'a déniché ne sait trop se prononcer sur le véritable genre de la bestiole fourguée…

Le nouveau plus vieil ami de Barack Hussein Obama (dessin de Sondron - Courrier international)


Algérie-Focus.com : François Hollande, le nouveau chihuahua des américains

The Gardian - Tim Dowling : OBEDIENCE LESSONS FOR THE NEW POODLE

Quand Barack Hussein Obama ment effrontément… son "meilleur ami" frétille de la queue… Les preuves…


lundi 2 septembre 2013

Asma et Bachar el-Assad : un couple arabe de notre temps… autant que les Iraniens Farah Diba et Mohammad Reza Pahlavi…


Elle, Asma Fawaz al-Akhras… sunnite. Lui Bachar al-Assad… alaouite. Un couple arabe syrien moderne et sympathique… Une image intolérable aux fondamentalistes arabes et à leurs minables alliés et vassaux occidentaux…

Qui se souvient d’un couple tout aussi charismatique : Farah Diba et Mohammad Reza Shâh Pahlavi ? Un couple contre lequel l’Occident s’est tout autant acharné…

Le Shâh d’Iran, ami fidèle de l’Occident lâchement abandonné face à une révolution islamiste… Et en particulier, à l’époque déjà au premier rang un président français Valéry Giscard d’Estaing qui accorde à Neauphle-le-Château, près de Paris, l’asile politique au père spirituel de cette révolution islamiste, l’ayatollah Khomeiny.














































La Voix de la Russie : Le Bazar-Henri Lévy, vampire imbécile agité des carpettes…




Au sommaire de cette édition du 2 septembre 2013 :

- Bazar-Henri Lévy : histoire d'un vampire des carpettes qui aimerait bien que le sang coule en Syrie
Serait-ce la tribune de trop pour BHL ?

Dans l’édition du Point de ce jeudi 29 août, le Bazar Henri Lévy se livre à une violente diatribe contre la Fédération de Russie et son Président, Vladimir Poutine. Pour lui, aucun doute, au diable les inspecteurs de l’ONU, c’est Bachar Al-Asssad qui a gazé son peuple. Ne pas le dire, c’est, je cite, écoutez bien, être « d’un quarteron de rouge-brun qui ne ratent aucune occasion d’exercer leur révisionnisme maniaque ». Fin de citation.

Il faut le savoir, si vous n’êtes pas de l’avis de BHL, vous êtes un nazi. C’est une première constante chez BHL. Comme ça sent le gaz en Syrie, il faut que l’ONU intervienne, c’est incontournable. Je cite à nouveau : « pas de question non plus sur la nécessité d’une riposte : la morale l’exige ; la cause de la paix le demande ; mais le pragmatisme, l’esprit de sérieux, la realpolitik la plus élémentaire le prescrivent tout autant ». fin de citation. Notez que lui se garde bien d‘y aller car il n’a jamais mis sa peau au bout de ses idées malsaines ! C’est une deuxième constante chez BHL. Et si l’ONU est bloqué, je cite encore : « par les États voyous et, de fait, par leur parrain russe », fin de citation, il faut passer outre le droit international et faire comme en Serbie en 1999.

Tant pis pour les populations civiles bombardées, les terres polluées par l’uranium enrichie des munitions de l’OTAN et les infrastructures civiles rasées. Si la nef de la gloire de BHL doit flotter sur des océans de sang, qu’à cela ne tienne : Serbes, Kosovars, Géorgiens, Ossètes, Palestiniens, Libyens ont déjà payé leur tribut à BHL, c’est au tour des Syriens. C’est une troisième constante chez BHL. Dans son texte, mal écrit comme à l’accoutumé, il dit que la Russie est, je cite : « un grand pays gouverné par des matamores revanchards, dopés au ressentiment ». Et le philosophe péripatéticien de s’interroger : « Et si Vladimir Poutine n’était qu’un tigre de papier ? Un Popeye bodybuildé ? Un maître chanteur sans biscuits, qui ne prendra pas le risque de mettre en péril ses Jeux olympiques de Sotchi ? ». Fin de citation.

On peut tapisser la Syrie de bombes, car la Russie n’interviendra pas. BHL le sait, je cite toujours « [il en] a pris conscience en discutant, cet été, avec un responsable russe dont [il] dois respecter l’anonymat ». Il faut croire BHL sur parole. C’est une quatrième constante chez BHL. Et c’est là qu’il faut faire le portrait de BHL, puisqu’il nous demande de le croire sur parole. Quel est donc cet homme qui a ses audiences dans la plupart des rédactions françaises, dans lesquelles il est soit actionnaire, soit ami avec les propriétaires ?

Le Bazar Henri Lévy, dit BHL, est un agent d’influence millionnaire et un menteur pathologique. Millionnaire, il l’est, grâce à la société de commerce de bois précieux, hérité de son père, la Becob. Côte d’Ivoire, Cameroun, Gabon sont des proies faciles. Si plusieurs enquêtes de journalistes français ont été bloquées et jetées à la corbeille, une association humanitaire anglaise a dénoncé les méthodes quasi-esclavagistes qui règnent dans ces exploitations : salaires en retard, équipements sanitaires déplorables et un ruisseau pollué pour s’alimenter en eau… Chargé de la communication interne, puis vice-président du conseil de surveillance, et même dirigeant pendant deux ans, le Bazar-Henri s’est sérieusement impliqué dans la boutique familiale, boutique qu’il a revendu au Groupe Pinault pour plusieurs centaines de millions d’euros. Pas obligé d’avoir du talent ou de travailler pour bien vivre, BHL peut utiliser tout son temps à se mettre en valeur…

Comme écrivain ou philosophe, BHL est la risée de ses pairs. Les livres qui démontent son mythe, sont légions. Les élucubrations de le Bazar-Henri Lévy lui ont valu les réprimandes et les sarcasmes d’intellectuels aussi divers que Raymond Aron, Gilles Deleuze, Pierre Bourdieu, Pascal Boniface, Michel Onfray ou encore Pierre Vidal-Naquet qui a dit de lui, je cite : « qu’il s’agisse d’histoire biblique, d’histoire grecque ou d’histoire contemporaine, B.H.L. affiche dans tous les domaines la même consternante ignorance, la même outrecuidance ». Fin de citation. La palme revenant sans doute à Alain Soral qui l’a réduit à néant dans l’une de ses vidéos, désormais culte.

BHL serait sans importance, s’il n’était porté aux nues, par des médias aux ordres, et complaisants. Ses livres et ses films sont des flops retentissants que le public raille quand il ne le boude pas Tout n’est qu’apparence, fatuité, et pour cause, le seul idéal de BHL, c’est lui-même. Falsificateur, affabulateur, menteur, lâche, narcissique, il devient dangereux quand il se prend pour un journaliste ou un diplomate.

Nous ne remonterons pas à la Bosnie ou à la Serbie, où il a déjà sévit, même si son influence était encore restreinte. En 2005, en Géorgie, alors que la Russie a mis fin au massacre des civils en Ossétie du Sud et stabilisé la ligne de Front, BHL s’installe au Mariot, un 5 étoiles à Tbilissi, et témoignera de la férocité des Russes qui ont brûlé Gori, avec des centaines de chars. Pourtant, il n’a rien vu, n’est jamais allé sur le front et ses propos sont démentis par les journalistes et les élus européens présents sur place. Mais ce n’est pas grave, l’oracle a parlé. Deux jours et demi en palace, et il repart comme il est venu, en jet privé. Il paraît qu’il ne pouvait pas rester plus longtemps sur place, il avait une soirée à Nice le samedi…

Mais c’est en 2010 qu’il parvient enfin à avoir sa guerre, déclarée par lui, tout seul. La Lybie. Dans un numéro incroyable, où toute la diplomatie française est squeezée par quelqu’un qui n’a aucun mandat du peuple, pas même une écharpe de maire adjoint d’un bourg de la Corrèze, BHL fait bombarder un État souverain, livrant la population libyenne aux milices islamiques et à l’anarchie.

La France, qui n’a pas les moyens de payer ses fonctionnaires, de nourrir ses retraités et d’équiper ses hôpitaux, lance deux milliards d’euros sur les Libyens, sous forme de bombes, missiles et roquettes. Quand les combats cessent, BHL est là et pose en guerrier, aux milieux de soldats d’opérette, aux treillis bien repassé, aux fusils d’assaut équipés pour le tir à blanc et avec un seul chargeur… Deux ans après, alors que les massacres continuent, BHL n’a jamais eu le moindre mot de compassion pour les civils que son délire à plonger dans le sang, le meurtre et les exécutions confessionnelles. Pire, il veut récidiver en Syrie.

Toutes les abominations commises par ses amis, les pseudo-rebelles, du viol de gamines de moins de 13 ans, à l’éventration des femmes chrétiennes, en passant par les décapitations des soldats capturés vivants ou des scènes de cannibalisme, rien n’a pu altéré la splendide suffisance de ce fou dangereux, qu’il faudrait écouter comme un nouveau messie. Son cas est pathologique, il tient plus de la psychiatrie que de la diplomatie, du journalisme ou même de la philosophie.

C’est cet homme là qui veut entraîner le monde dans une guerre en Syrie, dont nul ne peut dire qu’elles seront les conséquences, vues les puissances régionales et internationales impliquées. Le Bazar-Henri Lévy vend sa folie, comme d’autres vendent leur corps… On dit qu’en Irlande, la folie, ça se danse. En France, visiblement, ça se prostitue. Mais en Russie, ça se soigne. Et c’est sans doute ce qui fait tant peur, à BHL.

- Hommage à Hélie Denoix de Saint Marc qui nous a quitté ce mois d'août
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- L'émission "À bâton rompu" reçoit Jacques von Polier de la célèbre marque de montre RAKETA.


dimanche 1 septembre 2013

Gaz sarin : Une mauvaise manipulation d’armes chimiques fournies par l’Arabie Saoudite à des islamistes aussi "curieux" qu'indisciplinés et inexpérimentés ! Allahou akbar !!!



Des rebelles syriens ont admis qu’ils étaient responsables de l’attaque chimique du 21 août

L’incident du 21 août dernier où des armes chimiques ont fait entre 355 et 1300 morts dans la banlieue Est de Damas aurait été produit par des rebelles syriens selon le très crédible journaliste Dale Gavlak, correspondant au Moyen-Orient pour l’Associated Press depuis deux décennies.

Les puissances occidentales ont blâmé les forces de Bachar al-Assad, mais selon les témoignages recueillis par Gavlak, cette attaque serait en fait le résultat d’une mauvaise manipulation d’armes chimiques fournies par l’Arabie Saoudite !

Selon le journaliste de l’Associated Press [probablement pour peu de temps encore], de nombreux médecins, résidents de Ghouta, des combattants rebelles et leurs familles, prétendent que certains rebelles ont reçu des armes chimiques par l’intermédiaire du chef du renseignement saoudien, le prince Bandar bin Sultan, et que ce sont ces armes qui sont responsables de l’attentat chimique mortel.

Les rebelles ont dit à Gavlak qu’ils n’ont pas été correctement formés sur la façon de manipuler les armes chimiques, qu’ils ne savaient pas de quoi il s’agissait. Il semble que les armes devaient initialement être données à Al Qaïda et au groupe Front al-Nosra [un groupe djihadiste de rebelles armés].

Un militant de l’opposition a dit au journaliste qu’ils étaient très curieux au sujet de ces armes et que malheureusement certains d’entre eux ont manipulé les armes de façon inappropriée, ce qui a déclenché les explosions. Un autre combattant, une femme, a ajouté que le groupe de rebelles ne savaient pas de quel type d’armes il s’agissait ni comment les utiliser.

Abou Abdel-Moneim, le père d’un rebelle de l’opposition, a également dit à Gavlak : "Mon fils est venu me voir il y a deux semaines me demandant ce que je pensais du fait qu’on lui avait demandé de garder des armes." Le fils aurait décrit les armes comme une structure en forme de tube tandis que d’autres étaient comme une énorme bouteille de gaz. Le père a nommé le militant saoudien qui aurait fourni les armes comme étant Abou Ayesha. Selon le père, les armes ont explosé à l’intérieur d’un tunnel, tuant 12 rebelles.

Plus d’une douzaine de rebelles ont été interrogés et ont indiqué que leurs salaires proviennent du gouvernement saoudien, écrit Gavlak.

Une révélation qui ridiculise autant Barack Hussein Obama que son bouffon…

Si cette histoire est exacte, elle pourrait rendre complètement invalide l’attaque des États-Unis sur la Syrie.

Le rôle présumé de l’Arabie Saoudite dans la fourniture d’armes aux rebelles n’est pas une surprise étant donné les révélations plus tôt cette semaine à l’effet que les Saoudiens ont menacé la Russie d’attaques terroristes aux Jeux olympiques d’hiver à Sotchi l’an prochain, à moins qu’ils n’abandonnent leur soutien au président syrien. 

Le journal The Telegraph a rapporté que le prince Bandar aurait dit à Vladimir Poutine que les groupes tchétchènes qui menacent la sécurité des jeux sont contrôlés par eux (Saoudiens).






jeudi 29 août 2013

Obama Cameron Flanby Lévy Juppé Fabius et autres vassaux du Qatar et d'Israël fomentent un crime contre l'humanité…


Obama Cameron Flanby Lévy Juppé Fabius et autres vassaux du Qatar et d'Israël, ceux-là veulent l'extermination des chrétiens d'Orient ! Qu'ils soient [comme dirait Flanby] "punis" ! Aucune punition ne sera trop douce pour chacun de ces salopards-là…

Les chrétiens de Syrie s’organisent par peur des rebelles islamistes

Les chrétiens de Syrie tentent de s’organiser, avec des armes rudimentaires, contre les groupes sunnites extrémistes radicaux qui mènent la rébellion…

Le million et demi de chrétiens syriens, catholiques ou, dans leur majorité, orthodoxes, s’efforcent de se tenir à l’écart du conflit.

Dans le Wadi al-Nassara, une vallée parsemée de villages chrétiens dans l’ouest de la Syrie, la population appelle l’armée du président Bachar al-Assad à les protéger contre les menaces jihadistes.

À Marmarita, autrefois lieu de villégiature prisé, les portraits des "martyrs" sont affichés sur les murs en pierre de taille. Des rubans de soie blanc ornent les rues en signe de deuil. Des images du président Assad, que les rebelles tentent de renverser depuis plus de deux ans et demi, sont omniprésentes également dans le bourg.

Marmarita est l’un de nombreux petits villages chrétiens qui s’étalent près du Krak des Chevaliers, une citadelle croisée, aujourd’hui entre les mains des rebelles.

Dans ces villages, qui comptent au total 50.000 chrétiens, les habitants ont formé, avec l’autorisation du régime, des Comités de défense populaire.

Le 15 août, des rebelles venant du village proche sunnite al-Hosn, où se trouve la citadelle, ont attaqué des barrages des Comités tuant cinq de ses membres ainsi que six autres civils.

Dans le salon de sa maison, la mère de Jacques Saadé, tué dans l’attaque, a accroché une photo géante de son fils en treillis sur fond de drapeau national rouge blanc et noir.
"Jacques nous défendait contre ceux qui nous veulent du mal", dit-elle en larmes, vêtue de noir. "Mon fils est mort en martyr", gémit-elle.

"Que l’État gagne et que Dieu nous garde Bachar", implore de son côté Issa Saadé, son mari.

"Nous voulons que l’armée nous aide à nous protéger", renchérit Marta, la soeur de Jacques.

"Nous demandons à l’État de dépêcher l’armée pour nous protéger des hommes armés qui assassinent nos jeunes et nos enfants", lance cette femme de quarante ans, robe noire et cheveux relevés en chignon.
Dans un communiqué, l’opposition syrienne a demandé aux habitants de la région de défendre la "révolution".
"Nous demandons à nos parents sur la côte et dans la montagne (…) de se montrer solidaires avec les objectifs de la révolution, afin de mettre fin à des décennies de despotisme", a indiqué la coalition nationale syrienne, principale formation de l’opposition. 

La coalition a demandé aux habitants d’être "conscients des mensonges colportés par le régime qui prétend protéger les minorités (..) alors qu’en fait, le régime les utilise comme otages pour défendre le clan (Assad) qui ensanglante le pays".
Mais pour ces chrétiens, le principal ennemi ce sont les jihadistes, notamment le groupe sunnite extrémiste Al-Nosra qui s’est rallié aux rebelles.
"Ils sont venus, ils ont coupé les routes, c’est le Front al-Nosra, Ils sont terrifiants", affirme la mère du "martyr" Soumer Yazigi, qui a péri également le 15 août.

"Est-ce cela la liberté que veulent les révolutionnaires ?", s’interroge-t-elle.

"Nous voulons que l’État nous protège. Beaucoup de nos jeunes ont été tués, ça suffit", se plaint-elle.
D’autres habitants ont encore raconté que la route principale du bourg était "sous le feu des rebelles qui se barricadent dans la citadelle". "Ils nous tirent dessus quand nous passons", a dit l’un d’eux.
Nombre de chrétiens, une communauté qui représente 5% de la population syrienne, soutiennent le régime de Bachar al-Assad, craignant les jihadistes et leur poids dans la rébellion.






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