Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

dimanche 1 septembre 2013

Gaz sarin : Une mauvaise manipulation d’armes chimiques fournies par l’Arabie Saoudite à des islamistes aussi "curieux" qu'indisciplinés et inexpérimentés ! Allahou akbar !!!



Des rebelles syriens ont admis qu’ils étaient responsables de l’attaque chimique du 21 août

L’incident du 21 août dernier où des armes chimiques ont fait entre 355 et 1300 morts dans la banlieue Est de Damas aurait été produit par des rebelles syriens selon le très crédible journaliste Dale Gavlak, correspondant au Moyen-Orient pour l’Associated Press depuis deux décennies.

Les puissances occidentales ont blâmé les forces de Bachar al-Assad, mais selon les témoignages recueillis par Gavlak, cette attaque serait en fait le résultat d’une mauvaise manipulation d’armes chimiques fournies par l’Arabie Saoudite !

Selon le journaliste de l’Associated Press [probablement pour peu de temps encore], de nombreux médecins, résidents de Ghouta, des combattants rebelles et leurs familles, prétendent que certains rebelles ont reçu des armes chimiques par l’intermédiaire du chef du renseignement saoudien, le prince Bandar bin Sultan, et que ce sont ces armes qui sont responsables de l’attentat chimique mortel.

Les rebelles ont dit à Gavlak qu’ils n’ont pas été correctement formés sur la façon de manipuler les armes chimiques, qu’ils ne savaient pas de quoi il s’agissait. Il semble que les armes devaient initialement être données à Al Qaïda et au groupe Front al-Nosra [un groupe djihadiste de rebelles armés].

Un militant de l’opposition a dit au journaliste qu’ils étaient très curieux au sujet de ces armes et que malheureusement certains d’entre eux ont manipulé les armes de façon inappropriée, ce qui a déclenché les explosions. Un autre combattant, une femme, a ajouté que le groupe de rebelles ne savaient pas de quel type d’armes il s’agissait ni comment les utiliser.

Abou Abdel-Moneim, le père d’un rebelle de l’opposition, a également dit à Gavlak : "Mon fils est venu me voir il y a deux semaines me demandant ce que je pensais du fait qu’on lui avait demandé de garder des armes." Le fils aurait décrit les armes comme une structure en forme de tube tandis que d’autres étaient comme une énorme bouteille de gaz. Le père a nommé le militant saoudien qui aurait fourni les armes comme étant Abou Ayesha. Selon le père, les armes ont explosé à l’intérieur d’un tunnel, tuant 12 rebelles.

Plus d’une douzaine de rebelles ont été interrogés et ont indiqué que leurs salaires proviennent du gouvernement saoudien, écrit Gavlak.

Une révélation qui ridiculise autant Barack Hussein Obama que son bouffon…

Si cette histoire est exacte, elle pourrait rendre complètement invalide l’attaque des États-Unis sur la Syrie.

Le rôle présumé de l’Arabie Saoudite dans la fourniture d’armes aux rebelles n’est pas une surprise étant donné les révélations plus tôt cette semaine à l’effet que les Saoudiens ont menacé la Russie d’attaques terroristes aux Jeux olympiques d’hiver à Sotchi l’an prochain, à moins qu’ils n’abandonnent leur soutien au président syrien. 

Le journal The Telegraph a rapporté que le prince Bandar aurait dit à Vladimir Poutine que les groupes tchétchènes qui menacent la sécurité des jeux sont contrôlés par eux (Saoudiens).






1 commentaire:

  1. ça éclaire les circonstances, mais je n'ai jamais eu de doute sur le fait que les rebelles étaient à l'origine du méfait.

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