Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 27 juin 2013

Francs-Tireurs Patriotes : "Les larmes du drapeau"… "Rupture de Ban"… "Leçon d'histoire" !




Les larmes du drapeau

"Place du Capitole à Toulouse, le 18 novembre 2009 : des hordes d'Algériens (pardon, de Français d'origine algérienne) prennent prétexte d'un match de football de leur pays (pardon, de leur pays d'origine) pour arracher le drapeau tricolore, le brûler et le remplacer par leur torchon croissanté. Les autorités interdisent à la police d'intervenir pour ne pas "créer de désordre"... Si je parlais ici en tant que Joyeux Rebelle, ce n'est pas ma plume que je saisirais mais une arme de guerre. Pour ne pas "créer de désordre", je laisserai le drapeau exprimer lui-même son amertume de n'être plus défendu sur son propre sol..."


J’ai longuement flotté sur les champs de bataille,
Résistant bravement aux coups de la mitraille ;
Maintes fois ma voilure épongea dans le vent
Le sang des soldats morts, les pleurs des survivants.
Au sommet du pays je dressais mes couleurs,
Témoignage vibrant de la Foi, de l’Honneur.
Les anciens devant moi soulevaient leur chapeau,
Qu’y a-t-il de plus beau que l’amour d’un drapeau ?
Mais la honte survint par un soir gris d’hiver :
Ma hampe fut brisée par des mains étrangères.
Lacérés, mes beaux plis sanglotaient en silence
En voyant que ces doigts s’attaquaient à la France.
Devant la foule haineuse, on me jeta à terre.
Un instant je pensai : « nous sommes donc en guerre ! »
Mais en guerre un étendard a ses défenseurs,
Ici nul n’accourut pour calmer ma douleur !
Les uniformes bleus trépignaient de colère,
Mais leur chef, tout là-haut, préservant sa carrière,
Me laissa sans mot dire aux mains de mes bourreaux :
Je mourus sans qu’une arme quitte son fourreau.
Ce soir je regrettai de porter ces couleurs,
Car une part de la France est morte dans mes pleurs.
Quand mon pays me laisse ainsi succomber, seul,
Je ne suis plus drapeau, mais je deviens linceul…


À propos des Larmes du drapeau

Certaines personnes ont diffusé sur Youtube une vidéo reprenant mon poème "Les larmes du drapeau", en l'attribuant à un certain Colonel Brault que je ne connais ni d'Éve ni d'Adam. J'ai demandé il y a quelque temps des explications à ce colonel, il m'a affirmé s'être contenté de poster mon poème sur son site, mais que d'autres personnes l'y ayant trouvé en ont déduit qu'il en était l'auteur.

J'effectue ce rectificatif car, étant membre du groupe FTP (Francs-Tireurs Patriotes), je mettrai ce poème en musique pour le prochain disque du groupe, et n'ai aucunement envie de passer pour un plagiaire alors que "les larmes du drapeau" sort de ma petite plume !



Le groupe de Rock Patriote, "Francs-Tireurs Patriotes", sort son deuxième album : Rupture de ban dont est extrait le morceau "Les larmes du drapeau".  Autres titres : "Gardiens du désordre" - "Leçon d'histoire" - "St Michel Archange" - "Légitime défense" - "Crève en silence" - "Lettre à mon fils" - "Le volontaire" - "Hôtel des verrous" - "Tous pourris" - "L'âme du vin".




Pourquoi « FTP » ?

"Au sens propre, un franc-tireur est un combattant qui ne fait pas partie de l’armée régulière. Nous avons décidé de reprendre ce sigle (à l’origine Francs-tireurs Partisans, communistes coupables de crimes de guerre sous l’Occupation), en le travestissant en Francs-tireurs Patriotes. L’image est double : d’une part nous sommes des combattants politiques en marge du Système, et d’autre part la récupération de ces trois lettres équivaut à un doigt d’honneur fièrement brandi à destination des gauchistes."

*    *    *

Leçon d'histoire




Rivarol s'entretient avec le groupe nationaliste et catholique Francs-Tireurs Patriotes (FTP) :
“Nous avons reçu notre lot de gaz et de GAV… Mais il en faudra plus pour nous faire taire…”

RIVAROL : Philippe, vous êtes guitariste et chanteur de FTP (pour Francs-Tireurs Patriotes). Avec vos camarades, vous sortez votre deuxième album, Rupture de ban. Avant de parler plus précisément de cette nouveauté musicale qui intéressera assurément une large fraction de la mouvance nationaliste, pouvez-vous présenter aux lecteurs de RIVAROL qui ne sont pas tous experts de musique RIF ou RAC la fière équipe composant le groupe ?

Francs-Tireurs Patriotes : Avec plaisir ! Tout d’abord le groupe a été créé en 2009 par Tanguy et moi-même, motivés à l’idée de redynamiser la scène RIF laissée bien vide par les arrêts d’In Memoriam (qui s’est reformé depuis), Vae Victis et Ile-de- France, à nos yeux les trois meilleurs groupes que le RIF ait jamais connus. À l’été 2009, l’arrivée à Paris de Fasc (déjà connu sur Internet par ses clips de rap antisionistes) a finalisé la constitution des Francs-Tireurs Patriotes (on retrouve d’ailleurs nos trois initiales dans ce nom riche de sens !). Peu après nous avons été rejoints par l’Anguille, ancien leader d’Europa Nostra, qui a depuis laissé sa place à Julien, notre bassiste depuis trois ans !

R. : Comment pouvez-vous définir votre évolution artistique, spirituelle et intellectuelle depuis la sortie de votre premier album ?

FTP : Le principal changement entre nos deux albums est d’abord dû à l’expérience que nous avons acquise ainsi qu’aux moyens mis en œuvre pour faire de « Rupture de ban » un produit “pro”. Néanmoins, il y a aussi eu une évolution à la fois intellectuelle et artistique qui est directement issue de notre prise de conscience qu’on n’attire pas à nos idées par des moyens qui ne sont pas adaptés au public que l’on vise. Notre premier album était très communautaire dans le style comme dans le fond, c’était de la musique pour « les nôtres ». Et les concerts que nous avons donnés un peu partout en France entre 2009 et 2012 nous ont montré combien la musique militante participe directement de l’esprit de communauté. Pour ce second album, nous avons véritablement mis l’accent sur la rupture (politique mais également artistique) : sans renier aucunement l’aspect communautaire et militant inhérent à notre travail, nous avons voulu proposer notre musique à d’autres gens, peut-être de simples patriotes peu politisés mais qui peuvent être séduits par des mélodies travaillées, des paroles qui font plus appel à l’âme et à l’esprit qu’aux passions, bref un public qui écoute du RIF sans le savoir ! Nous avons été surpris du nombre de personnes étrangères au milieu nationaliste qui ont acheté et apprécié notre dans notre clip « les larmes du drapeau », qui touche un public très large malgré les croix celtiques qui ornent nos instrus.

R. : Êtes-vous investis en politique, au-delà de vos activités musicales ? Militez-vous dans un mouvement ?

FTP : Notre militantisme ne se limite bien sûr pas à composer des chansons et à jouer de la guitare ! Ces activités se greffent sur un engagement qui n’est pas nouveau. Pour la plupart nous sommes proches du Renouveau français, mouvement clair sur sa doctrine et qui dégage un impressionnant sentiment de communauté et de camaraderie. Mais en tant que groupe musical, FTP n’est inféodé à personne et n’est le groupe de personne sinon de ceux qui écoutent et aiment notre musique ! Nos rapports avec l’ensemble de la planète nationaliste et identitaire sont donc bons, indépendamment des divergences doctrinales ou des querelles de personnes… Concernant nos activités militantes récentes, nous nous sommes investis comme beaucoup dans la bataille contre la dénaturation du mariage, aux côtés de milliers de personnes qui bravent quotidiennement un Système qui se fiche du peuple. Sans entrer dans les détails, nous avons reçu notre lot de gaz et de GAV (tiens, j’ai placé détail et gaz dans la même phrase !) Mais il en faudra plus pour nous faire taire.

R. : Vous proposez de belles mélodies (et l’on comprend que votre nouveau “bébé” connaisse déjà son petit succès !), et des textes parfois particulièrement sulfureux. Comme ceux du titre Leçon d’histoire [à écouter absolument !] dans lesquels le professeur Cohen est croqué insolemment ! Mais ne croyez-vous pas que le point central que vous touchez ici mériterait carrément un album complet ?

FTP : Sans aucun doute, mais il faut en garder pour les prochains albums ! Cette chanson, « Leçon d’histoire », est emblématique de notre disque. C’est sans aucun doute la plus radicale, mais aussi la plus drôle, et une des plus douces ! Quand un de mes collègues de travail me dit que ses deux enfants la connaissent par cœur, je me dis que nous avons réussi ce cocktail détonnant : radicalité du message et aspect irrésistiblement sympathique, bref de la piraterie musicale ! Sur un plan plus politique, il est clair que le sujet de l’éducation “nationale” est connexe à beaucoup d’autres qui ont tous pour clé de voûte la domination du lobby qui n’existe pas… Vous pouvez donc compter sur nous pour dénoncer avec nos instruments les maux que, chaque semaine à RIVAROL, vous analysez sans compromission !

Propos recueillis par Valentin BARNAY pour Rivarol n° 3100 du 28 juin 2013

Le CD Rupture de ban de FTP coûte 17 euros port compris. Il est commandable sur patriote-productions.com ou à cette adresse : PP/Asma, BP 80308, 75723 Paris Cedex 15.




mercredi 26 juin 2013

L'Œuvre Française… "Dictature socialiste : nous la mettrons à bas !"


Communiqué d’Yvan Benedetti en réaction à une procédure de dissolution des Jeunesses Nationalistes et de l’Œuvre française



Dictature socialiste : nous la mettrons à bas !

Le gouvernement est exsangue. A bout de souffle, il ne sait plus comment nous faire taire, sans doute sait-il qu’il n’y parviendra jamais. Sa dernière tentative : une procédure discriminatoire en vue de la dissolution des Jeunesses Nationalistes, fondées par Alexandre Gabriac et de l’Œuvre française que je préside. Comble de l’infamie, cette forfaiture a été commise au nom du gouvernement par une direction dite des libertés publiques. Quand on ne sait inventer, on en vient à copier. Aussi ce gouvernement socialiste finit-il par recourir aux méthodes qui ont déjà servi autrefois pour « la chasse aux nationalistes ». On retrouve les références à la guerre d’Espagne d’un Emmanuel Valls en proie aux relents anti-fascistes viscéraux, au goût immodéré pour les dissolutions comme arme du désespoir, d’un Ayrault qui n’en n’a pas même l’orthographe, mais tente de s’inspirer des faits de guerre du Front Populaire pour mettre à bas cette France non reniée qui ne veut pas s’éteindre. En s’en prenant à l’ Œuvre française, ils attaquent un mouvement de près d’un demi-siècle, qui n’a jamais fait l’objet de condamnation pas plus que d’interdiction, dont le fondateur, Pierre Sidos a vu deux de ses frères tomber pour la Patrie et qui est l’héritier d’un père héros de Verdun.

Tant de références qui devraient susciter le respect, tant de références qui ne peuvent chez eux qu’attiser la haine, car eux sont l’anti-France. N’arrivant pas à dissoudre les individus par une répression toujours plus forte, c’est collectivement qu’ils tentent de nous atteindre par une procédure liberticide, calomnieuse, illégitime, contraire aux beaux principes dont ils se font les chantres, contraire même à la Constitution dont les droits semblent n’avoir été écrits que pour ceux par qui elle a été rédigée et les devoirs pour ceux contre lesquels elle a été instituée. Ce gouvernement de coqs a-t-il sans doute pris goût aux défaites, des taux record du chômage, à l’augmentation de la dette, à l’insécurité croissante, à la bêtise crasse, à l’immoralisation de la vie politique, à l’idéologie sectaire… il tente désormais d’ajouter à la longue liste celle de la mort programmée du Nationalisme.

Leur démocratie est prétendument fondée sur la légitimité populaire. Où se trouve la légitimité d’un gouvernement qui a connu huit échecs sur les huit dernières échéances électorales, dont les sondages d’opinion sont plus qu’un camouflet, un véritable désaveu, dont les moralisateurs sont tous corrompus jusqu’à la mœlle, dont l’imposture idéologique n’a d’écho tangible que l’imposture morale, dont l’oreille est sourde aux cris du peuple qui souffre chaque jour un peu plus. Ne trouvant plus sa légitimité dans le peuple qui l’a abandonné puis renié, c’est dans la violence que le gouvernement l’a définitivement perdu, instaurant une véritable tyrannie. Mais la dictature socialiste tombera, comme elle est toujours tombée, et avant même que le Nationalisme n’ait vacillé. La liberté n’est pas un alibi, elle est une arme affûtée dont le couperet tombera. Elle n’est pas celle illusoire des contes démocratiques, mais celle bien réelle des révolutions.

Qui souffrirait de voir se prolonger le diktat imposé par les persécutions policières, les arrestations arbitraires, le gazage des femmes et des enfants, les rétentions illégitimes … qui ? Certainement pas le peuple, certainement pas la France ! Certainement pas nous ! Le poing levé ne parera pas le coup franc ! Alors mobilisation générale contre ce mauvais coup porté non seulement contre nous mais aussi contre les libertés. Cette dictature socialiste nous la mettrons à bas, et ça, ça n’est pas un vœu pieux, c’est une promesse. Pas l’ Œuvre française, non. Pas les Jeunesses Nationalistes, non. Le peuple, la France ! En avant la victoire !

Yvan BENEDETTI, président de l’Œuvre française envers et contre tout



Semper fidelis !… De là-bas j'en suis… Non rien de rien, non je ne regrette rien...





"Non rien de rien, non les anciens de l’OAS ne regrettent rien..." sur France Inter à 15 heures les 12, 13, 14 et 17 juin… À partir du lien précédent l'émission peut être réécoutée dans le calendrier de France Inter…

Un entretien sur France Inter avec la participation de l'Adimad, Jean-François Collin, Jean-Pierre Papadacci, Paul Stéfani, Régis Guillem, Jean Casanova, Bernard Salkin, Michel Ximénes, Jean-Yves Casalonga… Une émission malheureusement entachée par la personnalité et la mauvaise foi de son producteur et animateur, Daniel Mermet… un proche du réseau Jeanson, ces traîtres à la patrie française, larbins criminels porteurs de valises des égorgeurs du FLN.




De là bas j'en suis… réponse à Daniel Mermet

Pour répondre aux inepties de l'émission "Là si j'y suis"

Salut Daniel,

De là-bas, j'en suis.

J'ai écouté ton émission sur « les anciens de l'OAS qui ne regrettent rien ». Fraternellement, je voudrais te dire que j'y ai retrouvé tous les poncifs idéologiques que l'on assène depuis tant d'années. On cherche à y faire accréditer l'idée d'une organisation terroriste qui s'en est pris aux civils et en particulier aux musulmans.

Des bavures, il y en eut sûrement mais l'OAS est une organisation tyrannicide qui s'en est pris à un appareil d'État qui, tordant la légalité, a conduit à créer les conditions nécessaires pour que se perpétuent trois crimes contre l'Humanité (les milliers de disparus, l'exode et le massacre du 5 Juillet à Oran, le massacre des Harkis et de nombreux combattants du FLN des wilayas de l'intérieur par l'armée des frontières qui les a désignés comme traîtres). Le pacte secret, pour ne traiter qu'avec la tendance la plus radicale du FLN pour la signature des accords d'Évian (voir l'affaire Si Salah) et ces pratiques contraires à l'esprit de la constitution, dénoncées en leur temps par le prix Nobel Maurice Allais (abandon d'une partie du territoire national, exclusion du vote de certains citoyens,…etc.) ont fait le lit d'une guerre civile franco-française.

Il s'est produit alors quelque chose d'unique, de jamais vu. Des massacres, il y en eut d'autres dans l'histoire et dans le monde, mais là, ils eurent lieu sur des civils innocents pour l'essentiel pro-français avec la présence des forces armées françaises en nombre, et non vaincues militairement, qui ne portèrent aucun secours à leurs concitoyens en danger, hormis quelques militaires courageux comme le capitaine Rabah Khelif. Quel peuple pouvait accepter pareille abomination ?

Bien sûr, vous nous avez mis en avant Delphine Renaud pour laquelle j'ai beaucoup de compassion mais j'évoquerai plus loin les nombreux cas d'enfants pour lesquels aucune compassion n'est exprimée ; on nous sert l'inénarrable Pierre Nora et son pamphlet ou encore le Pied Noir qui, lui, aimait les arabes, pour justifier le « ni valise ni cercueil ». C'est connu, archi connu.

L'OAS a été créée en 1961, mais depuis 1945, le CRUA puis le FLN avaient massacré et mutilé dix-mille Européens et neuf à dix fois plus de musulmans ; encore tout récemment en Algérie, on pouvait trouver ces visages au nez coupé ou aux oreilles arrachées. C'était une stratégie délibérée, basée sur la terreur, pour créer un fossé irrémédiable entre les communautés. Si ce fossé existait, pourquoi s'en être pris à des Musulmans et aux Européens qui leur étaient proches ?

Jeune à l'époque, je n'ai rejoint l'OAS qu'à quatre ans !!! Je garde en souvenir la fin tragique de mes voisins les De Cara ou celle des Ortega à Mers El Kébir dont les crânes ont été fracassés contre les murs par de « valeureux combattants FLN », les fillettes de sept ans violées et les petits garçons émasculés. Il faut excuser ces gosses, ils ne sont plus là pour témoigner. On oublie également la bombe posée volontairement par la sénatrice Zohra Drif, qu'on accueille aujourd'hui en grande pompe en France, chez un crémier, « le Milk Bar », passage rituel pour tous les enfants d'Alger à la veille de la rentrée des classes.

Pierre Nora et Jean-Paul Sartre font partie de ces intellectuels qui ont cautionné, voire plus pour Sartre, les violences faites à des innocents. Camus dans une célèbre controverse s'y est, lui, opposé. Quant aux Pieds Noirs restés en Algérie[1], cela devient une propagande du type de celle pratiquée aux heures les plus sombres de l'Union soviétique ou encore utilisée par le régime Nord-Coréen actuel.

Cher Daniel, merci de t'être intéressé à ces résistants qui ont fait l'honneur des Français d'Algérie comme les combattants du ghetto de Varsovie pour les juifs. Bien sûr le trait du reportage est caustique et quelque peu méprisant. Sache qu'ils sont toujours dans mon cœœur et qu'ils ont toute mon admiration. Semper fidelis.

Comme le peuple Pied Noir et Harki, le peuple Algérien est un peuple courageux qui continue à souffrir des violences politiques du fait du mensonge sur une histoire confisquée par une nomenklatura militaire. C'est un peu comme une plaie mal cautérisée qui s'infecte. Ce peuple fuit sa situation politique dans l'exil, dans l'islamisme, ou dans des immolations (deux-cent-cinquante par an) ; mais tu vois, cher Daniel, le plus grave c'est que la bien-pensance française cautionne au nom des droits de l'homme le fait qu'ils ont été et sont toujours bafoués. Camus disait que notre temps est celui où ce sont les coupables qui pour se donner une bonne conscience ont décidé d'accabler les innocents.

Ni haine, ni oubli.

Je vais t'avouer que je connais d'avance le mépris qui accueillera cet écrit et je sais bien compromise la liberté d'expression en France, en particulier quand une victime comme Nicole Guiraud se voit condamner parce qu'elle ne supporte pas de voir faire l'apologie de ses bourreaux sur une chaîne du service public et ce sans droit de réponse.

Ce qui m'intéresse, ce n'est que la vérité avec le plus grand respect pour toutes les victimes innocentes quelles qu'elles soient. Je souhaite longue vie à ton émission mais aussi une rapide prise de conscience.

Cordialement,

Georges Belmonte

[1] Sous-entendant, selon la thèse de Pierre Daum, le pseudo-historien et véritable révisionniste ami du FLN, que ceux qui sont partis le sont par racisme.
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À propos de Daniel Mermet et ses relations avec les collaborateurs de LBSJS voir l'article et les commentaires qui l'accompagnent sur Article 11 : Daniel Mermet ou les délices de « l’autogestion joyeuse »
Ce n’est jamais un plaisir de « tirer » sur son propre camp. Mais quand l’une des personnalités les plus influentes de l’audiovisuel « de gauche » adopte au quotidien des techniques de management dignes du patronat néolibéral le plus décomplexé, difficile de détourner les yeux. Enquête sur l’animateur un brin schizophrénique de « Là-bas si j’y suis », l’émission culte de France Inter…

Observatoire des journalistes et de l'information médiatique (OJIM) : Daniel Mermet,  le père Fouras du communisme : « Comme d’autres sont nègres, moi je suis rouge. » (Médias, automne 2011)




mardi 25 juin 2013

La Voix de la Russie : "En Flanbyland vaut mieux être casseur ami du Qatar que catholique et fier de l'être…"



Au sommaire de cette édition du 24 juin 2013 :

- En Hollandie : une justice à deux vitesses enferme plus facilement ses prisonniers politiques que ses délinquants
- 50e Salon aéronautique du Bourget : la Russie, vedette militaire, spatiale et civile
- Forum économique international de Saint-Petersbourg : Une ambition eurasiatique réaffirmée
- Réunion au Qatar des pseudo-amis de la Syrie : vers une confirmation du soutien aux rebelles cannibales
- Manifestations au Brésil, premier partenaire sud-américain de la Russie, le pays commence à payer sa volonté d'indépendance
- Sur les traces de Nicolas Gogol, place de la bourse, à Paris.



Les Hommen interpellent Flanby



Paris, 23 juin 2013 : Lors du rassemblement parisien en soutien à Nicolas Bernard-Busse, ce jeune incarcéré après une manifestation anti mariage pédés-gouines, les Hommen - comme à leur habitude torse nu et visage masqué - on lu une lettre ouverte à François Hollande où ils l'interpellent sur son refus d'écouter les manifestants, notamment en ignorant la pétition déposées au CESE et rassemblant plus de 700 000 signatures. Assenant au passage cette phrase choc : "Vous faites adopter une loi qui viole les droits de la majorité et des plus vulnérables pour plaire un un lobby qui représente la minorité d'une minorité".

 Prorussia.tv et Agence2Presse

samedi 22 juin 2013

En France aujourd'hui : quand la police course la Résistance, les djeunes braconnent les collabos socialos et leur police…


"Socialauds-police-magistrature", tous unis dans la franc-maçonnerie… Des socialauds fébriles imbéciles, pantins éjectables bientôt éjectés… Mais les maîtres du jeu et des partis restent assurément les francs-maçons partout incrustés dans les institutions… Ils sont là… à l’UMP, au FN (Philippot, Collard…), avec Mélanchon… chez les LGBT… Et voilà que l’islam fait irruption… Quel pacte sera conclu entre l’islam et la franc-maçonnerie ? Sera-ce une lutte à mort entre eux ? On peu fort en douter… Pour le moment ils restent interdépendants. Le système biface a besoin soit du renfort électoral de l’islam, soit de l'islam en tant que repoussoir… L’islam a besoin de la complicité du système pour asseoir son implantation. Francs-maçons et islam restent unis dans leur objectif commun visant l’anéantissement de l’influence multiséculaire du catholicisme. Certes si l’islam a pu faire du mal à la France et pourrait encore en faire, ce sera toujours infiniment moins que l’abomination des crimes passés et potentiellement à venir de la franc-maçonnerie, orientée ou extrême orientée à gauche ou à droite… Pour la sauvegarde d’une identité se reconnaissant dans la loi naturelle, la Résistance ne peut être que d'essence catholique… L’insurrection ne doit pas être dirigée contre un parti aux affaires, en vue d’une simple alternance aux affaires… Il s’agit bien de mettre à bas tout un système, un régime… L’insurrection ne peut s’appuyer sur aucun des hommes ou femmes politiques aujourd’hui à l’affût… Une nouvelle génération se lève ! Tous ceux qui ne servent pas cette Résistance insurrectionnelle sont désormais des collabos…




Un jeune homme catholique qui a osé manifester sans violence sous les fenêtres d’une chaîne de télé où pérorait le président de la république est pris en chasse sans autre motif par la police politique à travers les rues de Paris, ligoté, placé en garde à vue, envoyé en comparution immédiate et aussitôt jeté en prison avec une peine de 4 mois dont deux fermes…




Le Grand Remplacement… c’est maintenant ! Le maire socialiste d’Argenteuil Philippe Doucet convoqué à la mosquée par ceux à qui il doit sa mairie… C’est très chaud pour ce maire collabo socialo doucereux inquiet pour son poste en 2014… Foin des insultes… La place est bonne, ça vaut bien une pluie de méchants quolibets esquivés tant bien que mal… La tension monte… C’est alors le commissaire de police d’Argenteuil qui est devenu la cible de la fureur musulmane… Un commissaire de police qui doit être exfiltré après avoir été tabassé par une trentaine de djeunes… Et c’est pas tout, les djeunes il veulent Manuel Valls… Si le spectacle de ce maire chahuté est alarmant… si l’on se demande comment ce maire a accepté de tomber dans ce piège… humilié certes, il a eu malgré tout les couilles d’être là… Eh ! Manolo Valls les corones tu les as où ?





"Suite aux trois agressions successives contre des femmes voilées à Argenteuil, l'équipe d'Islam Info s'est déplacée afin d'aider les musulmans sur place.
Prévenus assez tôt des différentes agressions par des proches des familles, nous avions le devoir de retranscrire la détresse des habitants tout d'abord par écrit puis en vidéo.
Nos caméras ont suivi Sami, Abdelaziz, Elias, Kamel et d'autres...  Le Collectif des Habitants d'Argenteuil a décidé de prendre les choses en mains."


Le maire socialo d'Argenteuil est sans doute franc-maçon comme la plupart des socialauds… Mais la police elle aussi a été investie par la franc-maçonnerie… Tout comme la magistrature… Dès lors on comprendra mieux la collusion "socialauds-police-magistrature"… Et les concepts de "Résistance" et de "collabos" prennent tout leur sens… …  Lire l'article de l'Express :

"… La franc-maçonnerie est doublement heureuse de nourrir en son sein autant de policiers. D'abord, cela la place au-dessus de tout soupçon de complot anti-étatique, accusation qui l'a poursuivie jusqu'au régime de Vichy. Ensuite, nous ne redoutons plus d'être infiltrés par la police : elle est chez nous !"


vendredi 21 juin 2013

Lys Noir n° B13 du 21 juin 2013


Lys Noir n° B13 du 21 juin 2013
Au sommaire de ce numéro B13 du Lys Noir

- Dossier : Et si Mandela n'était qu'un Roi ? (10 pages)
- Jules Méline
- Enquête : La grande pitié de l'église de Gesté (8 pages)
- Les cités de banlieue doivent être détruites
- La démocratie, ce cauchemar.. (les disciples français de Herman Hoppe..)
- Enfin un prisonnier pour la cause
- Réponse du Général Dary au Lys Noir

Bonne lecture
Prochaine parution du n° 2 d'Arsenal début juillet !


Révolution Européenne : bulletin de combat des Groupes Nationalistes Révolutionnaires




Manifestations organisées soutenues ou encouragées par l'ADIMAD




jeudi 20 juin 2013

Nouvelle imbécillité de Flanby et ses séides… Après Esteban et ses camarades : Nicolas !

Après Esteban et ses camarades : Nicolas !

Police politique… Justice politique… Pouvoir illégitime et imbécile…
Toute révolution s'enfle de ses martyrs…
Quelle meilleure école que l’injustice et la prison pour tout révolutionnaire ?
Certes Nicolas subit… mais en faisant face : "On ne lâche rien !"
Jeune-homme tranquille, il ressortira LION… entraînant ses camarades…
Des conneries comme ça, on en attend encore pour que Révolution se fasse !
Merci Flanby !
Nicolas, 23 ans, six jours de garde à vue dans des conditions n'ayant rien à envier aux pires des tortures…

Nicolas, jeune opposant à la loi Taubira, a été condamné à deux mois de prison ferme et 1 000 € d'amende pour "rébellion" ce que son avocat conteste, vidéo à l'appui. Le 16 juin 2013 lors d'une manifestation pacifique, il avait été chargé violemment, sans sommation d'usage par les forces de l'ordre puis interpellé dans un lieu privé sans qu'une infraction initiale ait été commise.

Deux autres chefs d'inculpation lui sont reprochés : "identité mensongère" car il a donné le nom de famille de sa mère, et refus de se livrer à un prélèvement ADN.

Il a immédiatement été écroué à la prison de Fleury-Mérogis.

Article extrait de "Lys Noir" B13 du 21 juin 2013


Première « prison ferme » pour les opposants à la loi Taubira
Deux mois de prison ferme, deux mois avec sursis et 3 000 euros d’amende à régler avant le 30 juin. La machine de répression organisée et soutenue par le gouvernement qui tentait, jusque-là, d’écarter, de disloquer, d’annihiler cette immense contestation venue du peuple contre la loi Taubira, écrase son premier opposant.

Nicolas Bernard, 23 ans, a été condamné mercredi, avec mandat de dépôt, comme réclamé par le procureur – le tribunal a exceptionnellement suivi les réquisitions du Parquet –, après avoir passé six jours dans les geôles républicaines. Et incarcéré tout de go à Fleury-Mérogis. Le jeune étudiant angevin, assidu de cours de sciences politiques et d’histoire, en 3e année d’école d’ingénieur, dort – mais le peut-il ? – désormais avec les détenus de droit commun. Il faisait partie des cinq membres fondateurs des Veilleurs.

C’est après le grandiose passage de François Hollande à l’émission « Capital » sur M6, dimanche, que Nicolas s’est fait arrêter. Il en fallait bien un pour justifier la centaine de camions de CRS prévus pour la circonstance. Avec quelques amis, il était descendu sur les Champs-Élysées et rapidement, parce qu’on ne voyait que trop qu’ils avaient manifesté, le petit groupe s’est fait courser par cinq ou six policiers « avec une violence extraordinaire » raconte un témoin, « qui criaient “Interpellation !” comme si les jeunes étaient en train de braquer une banque ! »

Nicolas était vêtu d’un sweat-shirt gris frappé du logo de la Manif pour tous. Il s’est réfugié dans un restaurant. Sans aucune sommation d’usage, il a été violemment interpellé par la troupe, occasionnant quelques dégâts matériels. Alors qu’aucune infraction initiale n’avait été commise… Le parquet a avancé, mercredi, trois chefs d’accusation : rébellion, atteinte aux biens privés, refus de prélèvement ADN.

Une décision d’exception

Des comparaisons pour ce traitement judiciaire hors norme ? Des centaines, des milliers. Fanny P., militante antifasciste qui a donné, lors de la gaypride de mai 2011, un coup de tête à un policier en civil, avait écopé d’une peine de trois mois de prison avec sursis et de 1 300 euros d’amende ; et a toujours refusé le test ADN, sans que la République l’embête davantage. Benoit G., l’antifa de Nancy, qui a gazé des policiers en tenue, n’a écopé que de 4 mois de prison ferme. Et même les zonards, auteurs des récentes multiples attaques du RER D, n’ont jamais pris que du sursis ou des avertissements solennels. La seule solennité qui tienne, c’est celle de la toute-puissance de l’idéologie « avanciste » et totalitaire.

La Manif Pour Tous, qui avait pour tradition frigidienne de se désolidariser dès le moindre accrochage policier, s’est émue et appelle au soutien de ce « sympathisant ». Et Me Frédéric Pichon, substitué dans cette affaire par son confrère, Benoît Gruau, a eu des mots forts et justifiés. Il a indiqué également que Nicolas avait été bel et bien passé à tabac et que c’est « pour couvrir son forfait et l’illégalité de son action, [que] la police politique de Manuel Valls l’a accusé de rébellion ainsi que de dégradation de biens privés ». De plus, l’infraction initiale n’existant même pas, « l’interpellation était privée de fondement juridique ».

Surenchère policière : l’UMP obligée de se repositionner

Le jeune homme a, bien sûr, fait appel de ce jugement, qui est la seconde phase de tout le processus d’intimidation gouvernemental. Rien que selon le pôle juridique de La Manif pour Tous, on dénombre plus de 1 000 « arrestations arbitraires » ou autres « contrôles d’identité abusifs » et plus de 600 gardes à vue depuis le début de la mobilisation contre la loi Taubira. Le collectif assure une permanence « assistance avocats ». De multiples actions judiciaires ont été engagées, comme la sextuple saisine – du bâtonnier de Paris, des syndicats de magistrats, du procureur de la République, du Conseil supérieur de la magistrature, du défenseur des droits et du contrôleur général des lieux de privations de liberté – lancée il y a deux semaines, qui a contraint le Défenseur des droits, Dominique Baudis, à accepter de recevoir prochainement une délégation du collectif.

Le « Collectif des avocats contre la répression policière », co-fondé notamment par Mes Pichon et Triomphe, a déposé vendredi auprès du parquet de Paris plus de cent plaintes liées à des interpellations effectuées en marge de manifestations contre le « mariage pour tous ». « Nous espérons que Monsieur le procureur engagera les enquêtes qui lui incombent, faute de quoi nous saisirons un juge d’instruction. » Me Henri de Beauregard, avocat de la Manif pour tous, a même parlé, pour sa part, de plaintes pénales.

« Nous sommes dans une forme de déni quand on s’adresse aux autorités compétentes » a déclaré le député UMP-PDC Jean-Frédéric Poisson. C’est avec ces mots qu’il a reçu, mercredi soir, 150 opposants à la loi Taubira, tous victimes d’arrestations arbitraires, histoire de « leur montrer notre solidarité et de leur expliquer ce que nous faisons pour eux ». Il a également annoncé qu’une cinquantaine de parlementaires de l’opposition avaient écrit mardi à François Hollande pour dénoncer les « agissements arbitraires » des forces de l’ordre dont sont victimes, selon eux, les opposants au « mariage pour tous », et obtenir « réparation de l’État ».

Le Monde commentait, il y a quelques jours, « la lente dislocation du collectif La Manif pour tous ». Qu’il est bon de se persuader ! Les faits sont pourtant têtus. Plus ils en rajouteront, plus ils en auront. La condamnation de Nicolas Bernard n’est pas un coup d’arrêt. C’est un signal.





Déclaration de Monseigneur Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron à propos de l’incarcération de Nicolas B.
… Je salue l’engagement de ce jeune Nicolas et de tous ceux qui, comme lui, travaillent à défendre avec détermination et sans violence, le droit des enfants à être élevé par un père et une mère, engagement qui « aura encore à se déployer dans d’autres domaines où la vigilance est requise pour le respect de la personne humaine » (Conseil permanent de la Conférence des évêques de France). Ils sont la fierté et l’espérance de notre société. Leur courage, jusqu’à la prison s’il le faut, est déjà une victoire : car on ne peut pas enchaîner la Vérité !


La police visait personnellement Nicolas

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