Парад Победы 24 июня 1945 г
Parade de l'Armée rouge en l'honneur de la Victoire le 24 juin 1945 sur la place Rouge
Parade de l'Armée rouge en l'honneur de la Victoire le 24 juin 1945 sur la place Rouge
Le samedi 7 mai 2016, le père Barakat a été ordonné évêque à Zidal, dans la banlieue de la ville syrienne d’Homs. Nommé récemment archevêque syriaque catholique de Homs, il a reçu la consécration épiscopale des mains du patriarche syriaque catholique, Sa Béatitude Ignace Joseph III Younan. Cette nouvelle ordination, dans l’Église syriaque catholique, met un peu de baume au cœur. Après l’ordination sacerdotale de Yabroud, l’ordination épiscopale de Zidal constitue une nouvelle preuve de vitalité dans la vie spirituelle des chrétiens de Syrie.
(Merci à Alexandre Goodarzy pour les photos)
Source : Ordination du nouvel archevêque syriaque catholique de Homs à Zidal (Syrie)
À l’occasion de la Journée des Martyrs [عيد الشهداء] en Syrie et du Jour de la Victoire en Russie, deux festivités culturelles ont eu lieu dans la ville de Palmyre. La première, le jeudi 5 mai, animée par l’Orchestre du Théâtre Mariinsky russe à l’amphithéâtre archéologique de Palmyre évoque la participation de la Russie dans la lutte de la Syrie pour son indépendance et sa liberté, et notamment le sacrifice du soldat Aleksander Prokhorenko. La seconde, le vendredi 6 mai, placée sous le haut patronage du président Bachar al-Assad rend hommage à la mémoire de tous les martyrs, avec la participation du Groupe Symphonique National Syrien, du Groupe National de la Musique Arabe, de l’Orchestre Mari et du Chœur Farah.
عيد الشهداء
شهدائنا فخرنا
Partout la Syrie rend hommage aux martyrs victimes d'une agression étrangère conduite par les États-Unis, la France, la Turquie alliés au sionisme et aux pétromonarchies obscurantistes du golfe Arabique… Hommage à ceux qui ont combattu et sont tombés pour que leur Nation soit enfin libérée et retrouve son indépendance…
بسم الله الرحمن الرحيم ولا تحسبن الذين قتلوا في سبيل الله أمواتا بل أحياء عند ربهم يرزقون بمناسبة عيد الشهداءحمص
جمعية صامدون رغم الجراح بالتعاون مع مشروع شجرتي في يوم الشهيد قام اكثر من 100 جريح من الجيش العربي السوري والقوات الرديفة والجرحى المدنيين وأغلب اصاباتهم مابين بتر وشلل قامو بالمسير مسافة واحد كيلو متر من حي الزهراء حتى مقبرة الشهداء وزرعوا 200 غرسة زيتون وقرأوا الفاتحة على أرواح الشهداء من رفاق السلاح الذين سبقوهم
دمشق الشام
في سهل الغاب
À l’occasion de la Journée des Martyrs en Syrie et du Jour de la Victoire en Russie, organisation de deux festivités culturelles à Palmyre
Damas célèbre la journée des Martyrs dans le théâtre antique de Palmyre
Alikhbaria Syria (الاخبارية السورية)
Homs, ville de Coexistence et de Paix
Homs, toujours debout malgré les blessures !… "صامدون رغم الجراح"
Ayons une pensée pour toutes les mères courageuses du Moyen-Orient…
Le président Bachar al-Assad honore les enfants des martyrs de la guerre contre la Syrie (2015)
Discours de Bachar el-Assad pour la Journée des martyrs
Voir aussi (après voyage mars 2016 de la Communauté Syrienne de France) : Breizh-info.com : Un pays en guerre
L'évènement est trop important pour que les médias français osent le passer sous silence. Mais aucun parmi ces salopards de médias français ne mentionne que ce concert était d'abord dédié aux héros qui ont libéré Palmyre et plus particulièrement à Aleksandr Prokhorenko. Une défaite cuisante moins pour l'État islamique que pour ses parrains occidentaux, turc, saoudien, qatari, israélien… Ainsi France 2, rapportant ce concert, ose dénoncer une basse manœuvre de propagande du président Vladimir Poutine.
Ce jeudi 5 mai, « Priez pour Palmyre… Que la musique rende la vie aux anciens vestiges », un concert dirigé par chef d'orchestre russe Valeri Gergiev. Avant le concert, depuis Moscou, le président Vladimir Poutine a prononcé une allocution de bienvenue retransmise à la télévision russe et sur un écran géant installé dans l'amphithéâtre de la cité antique de Palmyre… avec traduction simultanée du russe vers l'arabe et l'anglais.
Le chef d'orchestre Valeri Gergiev |
Le moment de ce concert coïncide avec la levée de la dépouille mortelle de l'agent des forces spéciales Aleksander Prokhorenko, mort après avoir ordonné une frappe aérienne sur sa propre position alors qu'il était encerclé par des terroristes de l'État islamique. Ses restes ont quitté Moscou pour son village natal de Gorodky, dans la région d'Orenburg, où ils seront enterrés lors d'une cérémonie avec les honneurs militaires ce vendredi 6 mai.
Aleksandre Prochorenko, officier russe héros martyr, a sacrifié sa vie au combat contre Daesh
L’immonde présentation du concert russe à Palmyre par « Le Monde »
Le chef de guerre Flanby médite sur sa stratégie de combat |
Depuis les années 1980, la France est soumise régulièrement, et de façon exponentielle, à des actes de terrorisme islamique. À l’issue des attentats du 13 novembre 2015, le Président de la République et le Premier ministre ont justement parlé de « guerre », précisant qu’elle serait longue. Très juste puisqu’elle dure depuis une vingtaine d’années. Mais, si nos forces armées frappent dans le ciel de Syrie et dans les sables du Mali, si nos soldats patrouillent dans les principaux lieux publics et devant certains lieux de culte, pourtant une mesure élémentaire n’a pas été prise… Celle de déclarer la guerre. Nos adversaires l’ont pourtant régulièrement déclarée, par des annonces fracassantes suivies d’actes dévastateurs. La force morale du Droit de la guerre appartient donc à l’ennemi, de même que l’initiative, la capacité à rayonner et à recruter.
Une guerre qu’on ne déclare pas est une guerre perdue
La Seconde guerre mondiale a été gagnée parce qu’elle a été régulièrement notifiée à l’Allemagne et aux puissances de l’Axe. Les démocraties occidentales, et en particulier la nôtre, ont vécu des moments très difficiles. Restés seuls en lice, la Grande-Bretagne et les États-Unis d’Amérique ont pris des mesures qui ont conduit à la victoire. Parmi celles-ci a été l’interdiction des mouvements fascistes, nazis et impérialistes japonais. Les fascistes britanniques d’Oswald Mosley défilaient avec leurs chemises noires jusqu’à l’interdiction de leur parti en 1940, au moment de l’évacuation tragique de Dunkerque et de l’arrivée de Churchill au pouvoir. Dès l’entrée en guerre, Roosevelt a interné ou renvoyé tous les immigrants qui témoignaient un attachement radical à l’Allemagne, à l’Italie et au Japon, leurs journaux ont été supprimés. Les nazis américains qui arboraient chemises brunes et croix gammées ont été interdits, leurs chefs emprisonnés pour la durée de la guerre. Par conséquent, l’Axe n’a pu mener d’opérations d’espionnage et de sabotage efficaces contre les démocraties anglo-saxonnes. La guerre a été gagnée. Depuis 1945, l’Occident a perdu toutes ses guerres, dont aucune n’a été déclarée, au mieux faites d’après un mandat de l’ONU. La Guerre froide n'a été gagnée que parce que les Russes voulaient vivre comme en Amérique et en Allemagne… Mais finalement ils vivent comme en Colombie pour citer librement Svetlana Alexievitch.
Désigner l’ennemi dans une déclaration de guerre formelle
L’Amérique a perdu ses guerres d’Afghanistan et d’Irak, placées malencontreusement sous l’acronyme GWOT, Global War on Terrorism… La Seconde guerre mondiale a été gagnée parce que nous combattions l’Allemagne et ses alliés, ce n’était pas une « Guerre globale contre les Panzers et les U-Boote ». Le terrorisme est un mode d’action tactique, pas un ennemi. L’ennemi est aujourd’hui l’islam radical qui, avec une persévérance implacable, courage et cruauté, a étendu sa sphère territoriale de l’Afghanistan au Nigéria, frappant aussi de la côte Est des États-Unis à l’Indonésie. Protéiforme et imaginatif, il crée et recrée sans cesse des organisations : GIA dans les années 1990, Al-Qaida dans les années 2000, Daech dans les années 2010… La France a essuyé deux coups majeurs en 2015 plus des dizaines d’actions secondaires.
Or, à l’extérieur le djihadisme est traité militairement, mais à l’intérieur il est traité comme du grand-banditisme. L’Opération Sentinelle n’a rien empêché mais a désigné des cibles aux forcenés, tout en fatiguant nos unités dont la mission est de détruire l’ennemi par la manœuvre et par le feu, pas de jouer aux vigiles. La réponse s’avère inappropriée, car la guerre n’est pas l’affaire des juges, mais de l’exécutif et de la force armée. Le soldat n’a pas à requérir l’accord de la justice pour oblitérer un ennemi. Il doit être en accord avec le Droit de la guerre qui combat les moyens militaires, économiques et moraux tant de l’ennemi que de ses partisans. Passer de l’état d’urgence à l’état de guerre n’est pas une obligation technique dans un conflit de basse intensité car le Droit peut toujours être adapté par le législateur ou validé par le référendum.
Les avantages opérationnels d’une déclaration de guerre
Dans les années 2000, en incarcérant des djihadistes ou des résistants irakiens à Guantanamo et à Abou Ghraib, les États-Unis ne les ont pas traités selon la Convention de Genève, se sont laissé aller à des dérives qui les placent sous certaines accusations du Droit international et ont prématurément relâché des gens susceptibles de se radicaliser à nouveau. À l’inverse, une déclaration formelle de guerre permet d’incarcérer les combattants ennemis pour la durée du conflit plus une période de sécurité de dix ans. Officiers et troupes sont séparés dans des camps de prisonniers. Une rééducation par l’enseignement civique et par le travail permet de dépolluer les esprits, comme la « dénazification » par le passé. Le piège d’une relaxation précoce, toujours hasardeuse, laissée à la discrétion des juges, est évité.
Le nombre de djihadistes français partis en Syrie est en hausse, leur effectif est très vaguement connu. Sur place, ils rejoignent l’État islamique, Daech, qui a déclaré la guerre à la France. Dans une situation de belligérance mutuellement reconnue, ces djihadistes pourraient être inculpés pour haute trahison. Ils seraient transférables devant la justice d’un pays qui a souffert de leurs exactions, sous des chefs d’accusation tels que l’appartenance à une organisation terroriste ou la complicité pour crimes de guerre. Or, seule une partie des djihadistes sont judiciarisés et jamais pour haute trahison. Selon le Droit et les méthodes de la guerre, ceux qui ne se sont pas rendus ou n’ont pas été arrêtés restent des ennemis dormants et peuvent être traités comme « agents d’une puissance étrangère ». Enfin, l’interdiction de tous les moyens de propagande et de soutien logistique est l’indispensable mesure pour tarir recrutement et achat d’armes.
Quand un pays allié héberge les moteurs Internet de diffusion de cette propagande, la déclaration de guerre et les alliances le contraignent à sévir. Les provocations vestimentaires, soutien aux valeurs radicales de l’ennemi, doivent être proscrites et poursuivies. On n’imagine pas des nazis en chemises brunes protestant contre le débarquement en Normandie dans les rues de Washington le jour du 6 juin 1944. Pourtant, même après des attentats meurtriers, on voit des radicaux manifester à Londres pour l’instauration de la Charia. En France, la seule persécution religieuse menée par la Justice va contre les crèches de Noël, une bien innocente tradition française… Cette persécution, même fondée en Droit, va dans le même sens que les persécutions antichrétiennes menées par les djihadistes. Nous ne sommes donc pas unis, nous ne le serons pas à l’avenir, pas plus que nous l’étions entre 1940 et 1944. Pourtant, il va nous falloir gagner cette guerre.
Commandant GÉRARD
Du grand Holeindre ! Avec ce livre se confirme un « combattant géant » de la littérature nationaliste, écrivain à la plume alerte et féconde, au talent reconnu, ancien « grand reporter », ancien et glorieux combattant de toutes les dernières guerres (Libération, Indochine, Algérie) qui n’hésite pas à dénoncer avec vigueur tous les maux dont souffre son beau pays qu’est la France, depuis quatre-vingt ans.
« Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire » prévient un vieux proverbe français… Certes, mais ce n’est pas le sentiment de Roger Holeindre qui, pour sa part, se refuse à pratiquer « la langue de bois », car animé d’une foi nationaliste intransigeante.À un moment donné, en effet, il faut savoir choisir ! Soit, on se réfugie dans le silence prudent des « pusillanimes », qui se confond souvent avec la lâcheté, soit on assume le franc-parler des hommes de conviction, synonyme de courage, voire d’abnégation et de sacrifice, devant les censeurs du « politiquement correct », délibérément hostiles à une France française…Roger Holeindre passe ainsi en revue, avec pertinence et lucidité, tous les aspects malheureux de la vie politique française depuis quatre-vingt ans. Sa fine analyse, son vocabulaire nourri, son humour et sa verve ne peuvent qu’emporter enthousiasme légitime et franche adhésion du lecteur…Roger Holeindre a été en 1944, l'un des plus jeunes résistants de France. Engagé en Indochine à 17 ans, il a servi à la 1ère Division Navale d’Assaut ; puis au 5e Bataillon de Commandos Parachutistes Coloniaux ; enfin, volontaire pour Dien Bien Phu au 7e Bataillon de paras coloniaux… Volontaire pour l’Algérie, il a servi au commando du 8e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine.Roger Holeindre est titulaire de la Médaille Militaire, de la Croix de Guerre TOE avec trois citations, de la Croix de la Valeur Militaire avec deux citations, d’une citation exceptionnelle pour son action envers la jeunesse musulmane.Roger Holeindre a été blessé deux fois au combat, notamment dans un corps à corps après avoir infiltré une katiba rebelle avec quatre hommes.• Éditions d’Héligoland - un volume 16 x 24, 600 pages. Édition normale : 25,00 € (vente par correspondance : 29 € franco). À commander chez le diffuseur EDH, BP 2, 27 290 Pont-Authou.
Extrait de Présent n° 8384 daté du samedi 27 juin 2015 |