DEUS VULT ? Mouvement de formation et d’action, réseau associatif dont le but est la création d’une élite militante au service de la France, de l’Europe et de la Chrétienté.
DEUS VULT Angleterre
NOTRE OBJECTIF
Constat : Il est un besoin urgent à travers tout le royaume de nous rappeler notre passé glorieux et la vocation particulière de notre tradition chevaleresque.
Réaction : Le monde moderne ne nous offre aucun moyen d’expression de saine virilité et nous nous trouvons tragiquement dépourvus de celle exprimée par les saints catholiques, les martyrs et les chevaliers héroïques de notre histoire.
Solution : Encourager les hommes d’Angleterre, par la prière et la pénitence, à rejoindre l’Église de Rome par la pureté de la messe traditionnelle en latin et du catéchisme ; d’apprendre ensemble les traditions catholiques et l’exigence physique des chevaliers, et de grandir ensemble grâce à elles : pèlerinages, fidélité au Christ, à la couronne et à la patrie, entrainements sportifs et plus particulièrement de boxe.
Sanctification : Par un engagement philosophique contre l’infiltration maçonnique dans tous les aspects de notre culture ; contre la soumission insidieuse à l’Islam radical de la folle gauche marxiste ; contre le poison du modernisme qui se manifeste par la décadence du divorce, de l’avortement, de la pornographie et du féminisme. Nous nous engageons moralement contre l’immoralité destinée à détruire les jeunes hommes anglais et nous voulons leur procurer une solution positive et utile à leur colère, qui ne résulte ni dans le péché ni dans le crime.
NOTRE HÉRITAGE
De même que la France et la Russie ont souffert sous le joug des révolutions socialistes et que le nationaliste regarde avec effroi la barbarie de la mort de Louis XVI et du Tsar Nicolas II, nous regardons notre propre révolution ignoble et la tyrannie de la Guerre Civile anglaise avec le meurtre de Charles Ier des mains de notre Lénine, notre Robespierre qui se nomme Oliver Cromwell. Les sentiments anticatholiques qui existent en Angleterre depuis la Guerre Civile ont mené à la destruction du pouvoir de la monarchie en à peine plus qu’une figuration symbolique, ont mené au lent démantèlement de l’autorité des Lords territoriaux et de la hiérarchie féodale dans les communautés rurales, alors que les fermiers, les boulangers, les bouchers devenaient esclaves des usines et des machines dans les villes et dans les ports. La révolution démocratique qu’ils ont induite a subverti petit à petit toutes les institutions traditionnelles et le droit hiérarchique sacré qui est entériné dans la culture traditionnelle anglaise. Selon nous, afin de recouvrer la gloire d’antan nous devons renouer avec notre passé et rejeter l’esprit hérétique et blasphématoire des cinq cent dernières années.
Nous nous remémorons le glorieux passé catholique de l’Angleterre, nous exigeons le retour de son âge d’or. L’Angleterre est la mère des chevaliers croisés, elle fleurissait jadis sous la tutelle d’une Église qui était l’alliée de la tradition poétique arthurienne, qui a créé Richard Cœur de Lion, Sir William Marshall et les Templiers. Nous ne sommes pas une nation de dandies enrubannés, nous sommes une race d’insulaires belliqueux, agressifs, impérialistes, de marins mercenaires qui furent la terreur de l’Ancien Monde ; Dieu appelle chaque nation à sa propre vocation, comme il appelle chaque homme à faire fructifier ses talents. Nous devons donc accepter, nous, Angles, Saxons, Normands, Danois, Germains, Celtes et Écossais, que nous sommes des guerriers, c’est en cela que nous sommes bons, et l’histoire en témoigne.
Nous agissons selon les commandements de l’Église et de Dieu : « Rendez honneur à tous ; aimez tous les frères ; craignez Dieu ; honorez le roi. » 1 Pierre 2 :17
Répondant à cet appel divin, nous soutenons et défendons notre monarchie de toutes nos forces, même lorsqu’elle est dans l’erreur ou qu’elle est manipulée politiquement pour soutenir des lois hérétiques qui sapent son autorité d’essence divine. Avec le grand chevalier William Marshall nous disons au sujet de l’héritier de la Maison de Saxe-Cobourg Gotha : « même si tous l’abandonnaient, je le porterais sur mon dos, d’île en île, même si je devais mendier mon pain ».
La loyauté et l’honneur ne se trouvent pas dans la facilité et l’opulence, ils se trouvent dans le combat et les difficultés, et c’est en ces jours sombres que la véritable loyauté à la couronne de l’homme Anglais est mise à l’épreuve, comme de l’or dans la fournaise, et ce trône, ce sceptre, nous le protégerons physiquement et spirituellement.
Notre monarque est encore ointe selon la coutume médiévale, et elle est donc, protestante ou non, choisie par Dieu pour nous, et nous accueillons le monarque que Dieu nous juge digne d’accueillir.
Nous ne concèderons rien à cela, nous nous opposons fondamentalement aux doctrines empoisonnées du culte sioniste-maçonnique qui a induit en erreur les gouvernements du Royaume Uni depuis des siècles, et bien que nous étions opposés à la Révolution Française et au cri de « liberté, égalité, fraternité » nous avons bu le poison satanique pire encore de « esclavage, capital, profit ».
Nous sommes appelés à obéir à la loi, tel que le Christ nous l’ordonne, « rendez à César ce qui est à César », nous devons donc nous opposer au contrevenant et à l’homme qui cherche inutilement la violence comme un bandit ou un hors la loi, la criminalité est en contradiction fondamentale avec le Catholicisme et le Patriotisme, et nous ne nous associerons avec aucun de ceux qui s’opposent à la justice des tribunaux de la Couronne d’Angleterre.
Cependant, nous savons que Saint Thomas d’Aquin nous appelle à un chemin plus élevé lorsque nous sommes oppressés par des lois injustes et que nous sommes forcés de renier le Christ ou les dogmes de son Église à cause de décisions appuyées par les Francs-maçons et les Sionistes :« Le gouvernement tyrannique n’est pas juste parce qu’il n’est pas ordonné au bien commun, mais au bien privé de celui qui détient le pouvoir, comme le montre Aristote. C’est pourquoi le renversement de ce régime n’est pas une sédition ; si ce n’est peut-être dans le cas ou le gouvernement tyrannique serait renversé d’une manière si désordonnée que le peuple qui lui est soumis éprouverait un plus grand dommage du trouble qui s’ensuivrait que du régime tyrannique. C’est davantage le tyran qui est séditieux, lui qui nourrit dans le peuple les discordes et les séditions, afin de pouvoir le dominer plus sûrement. C’est de la tyrannie, puisque c’est ordonné au bien propre du chef, en nuisant au peuple ». (IIa IIae Qu 42)
Nous honorons tous les hommes, nous aimons les fils de l’Église du Christ de Rome, nous craignons le jugement de Dieu et sa colère au jour du jugement, et nous honorons la Reine d’Angleterre, d’Irlande, d’Écosse et du Pays de Galles, parce que choisie par Dieu.
NOTRE AVENIR
L’Angleterre est en guerre avec elle-même, à travers le pays les jeunes hommes font face au désespoir, au doute, et à la dépression, se sentant comme des étrangers dans leur propre pays. Nous sommes haïs par la génération de mai ’68, nous sommes haïs par nos gouvernements libéraux, nous sommes haïs par notre système éducatif, nous sommes punis par des impôts élevés quand nous avons un travail et traités comme des moins que rien quand nous n’en trouvons pas ; nous sommes les parias, nous sommes la génération que toute institution et organe de contrôle à travers le pays voudraient mettre sur le bas côté, jeter dans les ténèbres et éventuellement étouffer dans le silence. Chaque jour des jeunes hommes anglais sont assaillis par les armes psychologiques d’un monde moderne qui les déteste ; féminisés et émasculés par les media et le système de l’éducation et de l’emploi, drogués à la pornographie, à l’alcool et aux jeux vidéos, convaincus qu’ils doivent adhérer à leur propre anéantissement avant qu’ils ne puissent oser taper du poing et dirent « non ».
Dieu ne fait pas alliance avec le Monde ; Dieu ordonne et commande le contraire. Dieu cherche à travers le pays des hommes qui soient prêt pour un engagement spirituel, pour défendre fermement leur catéchisme de la Foi catholique, pour défendre fermement leur serment à la couronne et à la patrie en tant que citoyens du Royaume-Uni, pour défendre leur femme, leur fille et leur fils, pour honorer nos pères et nos mères, pour obéir à la loi, pour combattre les oppressions à tout prix, pour être charitables, vertueux et bons, mais pour écraser celui qui lève la main sur le plus faible, nos enfants et nos femmes.
« Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas; mais je n’en trouve point. » Ézéchiel, 22 : 30
Oseriez-vous répondre à l’appel de Dieu ? Oseriez-vous vous engager contre la dégénérescence qui aboie et qui mord au talon, dans chaque ruelle sombre, chaque coin isolé ? Prêtez-vous attention à ce cri qui résonne en écho à travers les âges du « Henry V » de Shakespeare ?
« Encore une fois sur la brèche, chers amis, encore une fois
Ou bien il faudra enclore le rempart avec des morts anglais
En temps de paix, rien ne convient mieux à l’homme
Que le calme humble et modeste :
Mais quand retentissent à nos oreilles les rafales de la guerre
Alors, imitez les mouvements du tigre,
Durcissez vos tendons, mobilisez votre sang,
Déguisez votre bonne nature d’une fureur extrême,
Donnez à votre œil un aspect terrifiant
Qu’il se force au travers de la tête
Comme une pièce d’artillerie (…)
Et maintenant, serrez les dents et enflez les naseaux,
Retenez votre souffle, concentrez chaque esprit
Dans toute sa plénitude. Allons, allons, vous les plus nobles des Anglais
Vous dont le sang provient de vos pères aguerris
De vos pères qui, comme autant d’Alexandre,
Ont en cette contrée lutté de l’aube au soir
Et rengainé leurs glaives par manque d’ennemis.
Ne déshonorez pas vos mères. Témoignez maintenant
Que vous nommez bien « pères » vos propres géniteurs.
Soyez des modèles pour ceux d’un sang plus rustre,
Apprenez-leur ce qu’est combattre. Et vous, braves archers,
Vous dont les membres en Angleterre ont été forgés, montrez-nous maintenant
L’ardeur de vos terroirs; faites nous jurer
Que vous valez autant que vos origines, ce dont je ne doute pas
Puisqu’à aucun de vous, si modeste qu’il soit
Ne manque dans les yeux l’éclat de la noblesse
Je vous vois là debout, comme lévriers en laisse
Tendus vers le départ. Le gibier se prépare
Suivez donc votre ardeur et quand vous chargerez
Criez : « Dieu soit avec Harry, l’Angleterre et Saint Georges ».
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