Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 9 novembre 2015

Gaullisme : ces centaines de milliers de victimes ignorées !…





Qui pouvait mieux connaître le "général" que son épouse, Yvonne Vendroux ? Dès lors, qui pouvait plus s'inquiéter de son au-delà qu'Yvonne Vendroux ?
Le général DeGaulle n'eut rien de très catholique, au sens propre comme au sens figuré. Son épouse Yvonne Vendroux par contre était très pieuse. Après la mort du "général" en 1970, elle prit rendez-vous avec Marthe Robin. Elle lui demanda :
- Où est mon mari ?
- En enfer !
On vit Yvonne repartir en pleurs.
Cela appelle quelques observations :
- Un, Yvonne était inquiète qu'il ne soit au Purgatoire et peut-être pire. Elle voulut savoir.
- Deux, le "général" avait autorisé à nouveau les sociétés secrètes et soutenu la franc-maçonnerie, grande ennemie de l'Église catholique.
- Leur fils Philippe dut son prénom à son ami Philippe Pétain que le "général" admirait, grand catholique lui !
- D'autres affaires gravissimes dans lesquelles il était impliqué ne pouvait que perturber Yvonne Vendroux qui voulut en avoir le cœur net.



En considération de la foule des victimes, il est des morts bien dérisoires…


Gaullisme : ces centaines de milliers de victimes ignorées !…
Il y a 45 ans, le 9 novembre 1970, l'infâme traître et criminel compulsif DeGaulle clapsait.
La France et le Monde étaient ainsi débarrassés d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’Histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien dispensé. C’est aux centaines de milliers de morts et déplacés du gaullisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la criminalité compulsive d'un seul, DeGaulle.
Ces centaines de milliers de morts égorgés ou d'exilés dont on voudrait ne plus jamais parler, ces centaines de milliers de Harkis  égorgés qui hantent l'inconscient des Français et qu'ils voudraient définitivement faire oublier, ces centaines de milliers de morts et exilés qui devraient ne plus intéresser personne ! Mythifié à tort comme étant le « Libérateur » le traître et parjure DeGaulle a été en réalité celui qui directement lors de son Épuration de 1944 puis par procuration donnée au FLN après sa capitulation du 19 mars 1962 celui par qui les pires exactions et des pires ignominies contre des Français ont été commises. Pourquoi ce silence sur les centaines de milliers de morts et exilés du gaullisme ? Pourquoi n’évoque-t-on jamais officiellement ce génocide des Harkis délibérément voulu par DeGaulle ? Pourquoi ce silence sur les atrocités du FLN et son complice alors chef de l'État français ?
À quand toute la vérité sur ces exterminations de masse ? À quand un grand procès du gaullisme ? Le respect des morts ne se partage pas et il serait temps d’effectuer, à l’égard des victimes du gaullisme, un véritable et légitime devoir de Mémoire.



Dr Jean-Claude Perez : "De Gaulle, l'accélérateur majeur de la décadence occidentale"


À Colombey… ou à Pathein ? C'est au paya Settayaw que DeGaulle expie pour l'Éternité…



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