À l'Olympia, des instants uniques. Accompagné par huit musiciens de renom regroupés dans le Sound Orchestra, Jean-Pax Méfret a rajouté des nouvelles chansons, inspirées de l’actualité récente, pour son passage à l’Olympia. Des chansons inédites – de l’Afghanistan au Drapeau brûlé - qui complèteront un récital de titres cultes : Veronika, Beyrouth, Camerone, Diên Biên Phû, Les Harkis, Le pays qui n’existe plus...
Il s’appelle Jean comme tout le monde, Pax comme personne et Méfret comme son père. Il est né en Algérie, sous le soleil et le signe de la Vierge. Il a grandi avec la mer pour horizon.
Un jour, le soleil est tombé dans l’eau et Jean-Pax Méfret a fait naufrage en métropole. Paris ne lui a pas tendu les bras. Il n’en espérait d’ailleurs pas tant. Mais la vie va et vous pousse.
De culbute en pirouette, de plongeon en sursauts, Jean-Pax a commencé sa carrière de journaliste. De Bruay - la - folie au Vietnam - l’enfer, de Marseille - Miami - la - french - connection à Kolwézy - la - Légion, de Montréal - le - Québec - libre à Bangui - Bokassa, de Poulo - Bidong - boat - people - qui - coulent aux Caraïbes - les - lépreux - qu’on - cache... Depuis une quinzaine d’années, un jour ici, l’autre ailleurs, la nuit pour écrire, l’aube pour sourire et le reste du temps pour rêver.
Dans ce métier-passion, ce métier-miroir, on écoute, on observe, on regarde... ça n’empêche pas de penser. Ce que pense Jean-Pax Méfret, il ne le garde pas jalousement pour lui-même. Autant que les autres en profitent ! Alors... parce que la musique est en lui, il compose et il chante.
Ses chansons parlent de lui, de nous, du temps qui passe, des camps là-bas en Sibérie, des loup de guerre qui n’ont jamais guéri. Certaines sont mélancoliques. Comme les jours, comme la vie, comme celle de Jean-Pax qui se passe en reportages. Et puis, de temps en temps, sur un coin de table ou un bout de zinc, il dessine une portée, quelques noires et quelques blanches... Il gratte une guitare, s’installe à un piano... et la musique...
Il s’appelle Jean comme tout le monde, Pax comme personne et Méfret comme son père. Il est né en Algérie, sous le soleil et le signe de la Vierge. Il a grandi avec la mer pour horizon.
Un jour, le soleil est tombé dans l’eau et Jean-Pax Méfret a fait naufrage en métropole. Paris ne lui a pas tendu les bras. Il n’en espérait d’ailleurs pas tant. Mais la vie va et vous pousse.
De culbute en pirouette, de plongeon en sursauts, Jean-Pax a commencé sa carrière de journaliste. De Bruay - la - folie au Vietnam - l’enfer, de Marseille - Miami - la - french - connection à Kolwézy - la - Légion, de Montréal - le - Québec - libre à Bangui - Bokassa, de Poulo - Bidong - boat - people - qui - coulent aux Caraïbes - les - lépreux - qu’on - cache... Depuis une quinzaine d’années, un jour ici, l’autre ailleurs, la nuit pour écrire, l’aube pour sourire et le reste du temps pour rêver.
Dans ce métier-passion, ce métier-miroir, on écoute, on observe, on regarde... ça n’empêche pas de penser. Ce que pense Jean-Pax Méfret, il ne le garde pas jalousement pour lui-même. Autant que les autres en profitent ! Alors... parce que la musique est en lui, il compose et il chante.
Ses chansons parlent de lui, de nous, du temps qui passe, des camps là-bas en Sibérie, des loup de guerre qui n’ont jamais guéri. Certaines sont mélancoliques. Comme les jours, comme la vie, comme celle de Jean-Pax qui se passe en reportages. Et puis, de temps en temps, sur un coin de table ou un bout de zinc, il dessine une portée, quelques noires et quelques blanches... Il gratte une guitare, s’installe à un piano... et la musique...
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