Albert Paraz, le Bônois : Pour un "Gang des basculeurs de légendes" |
Albert Paraz parle de Cendars, de Bernanos, de Marcel Aymé, du Maréchal Juin, "pied-noir" comme lui… Comme Ferdinand, il raconte des histoires en riant. Il a le goût du comique et de l’érotisme hilare. Il applique son esprit critique à tout ce qui l’entoure et le touche…
Paraz a conçu un projet de rectification historique urgente et salvatrice. Révolté par la mise en condition à laquelle l’intelligentsia terroriste au pouvoir soumet la France et par son acharnement à donner aux jeunes générations une image manichéenne totalement fausse des évènements, il souhaite la création d’un « gang des basculeurs de légendes ».
[d’après Pierre Monnier alias Chambri : « Ferdinand Furieux, avec trois cent treize lettres de Louis-Ferdinand Céline », p. 73 (écrit en 1979).]
Albert Paraz : « Céline est le plus gigantesque écrivain de tous les temps !… Ceux qui ne le savent pas sont des cons !… » (dessin de Chambri). Pierre Monnier ajoute (op. cit. p. 258) : « … on ne doit jamais plaisanter avec les cons ». Dès 1924, dans sa thèse de doctorat en Médecine, Louis Destouches avait constaté : « … la bêtise est une force indomptable ».
Bien vu…
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