Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 28 juillet 2014

Là, était donc la vérité scientifique…

« - Ce n’est pas une vétille ! Affirmer devant les étudiants, en plein cours, que le camarade Staline s’est trompé, c’est effectivement un crime d’État…
-    …
- … Ce qui importe, c’est qu’il a répondu… non, alors que notre Guide  avait dit oui. … Là, était donc la vérité scientifique. Vous n’allez pas le nier ? »
Iouri Dombrovski : La Faculté de l’Inutile, p. 17

Serge Ivanovitch Kalmykov : Le Cirque, Alma-Ata 1938



"Circus, Alma-Ata" 1938, oil on board, 58 x 60 cm



mercredi 23 juillet 2014

En ce 23 juillet, formulons l'Espérance d'une France ressuscitée… Maréchal, nous voilà !







Le Maréchal, n° 249, 2e trimestre 2014
Le Maréchal, organe trimestriel de l’ADMP, est toujours passionnant et révélateur pour ceux qui veulent aller voir les choses derrière les choses et s’affranchir de la doxa du prêt-à-penser.
Au sommaire du dernier numéro paru, la publication d’un article de Henri Béraud (dans Gringoire du 14 novembre 1940) racontant son entrevue avec le maréchal Pétain à l’Hôtel du Parc. À lire, aussi, l’article de Dominique Thirion sur la remise de la Légion d’honneur par Philippe Pétain, le 1er décembre 1924, au professeur Bergonié, l’un des pères de la cancérologie. Belle recension, encore, de l’essai de Paul Rignac, La Désinformation autour de la fin de la guerre d’Indochine (Éditions de l’Atelier Fol’Fer), une référence désormais incontournable. Cinq années du gouvernorat de l’amiral Decoux, qui fut persécuté au final par l’habituel mafia gaullo-communiste.
Le Maréchal, ADMP, 5, rue Larribe, 75008 Paris.

Le Maréchal, n° 249, 2e trimestre 2014
Cet ouvrage résume les années que vécurent tous les habitants de l’Indochine française de 1939 à 1946. Les événements se succèdent toujours au détriment des populations : après un premier accord du général Catroux avec les japonais en juin 1940 – destitué pour cela par le premier gouvernement de Vichy – l’amiral Decoux, à la tête de l’Indochine isolée, tente de la faire survivre, durant quatre longues années. Le coup de force japonais du 9 mars 1945, puis la « Libération », achèvent de détruire l’Indochine française.
L’attitude de DeGaulle qui refuse de connaître la réalité et envoie des agents divers, les Japonais vaincus qui encadrent le Viet-Minh, les dirigeants rooseveltiens aveugles, les Chinois pillards… tous sont hostiles aux Français peu nombreux.
Pendant que la population essaie de survivre, se met ainsi en place ce qui deviendra la Guerre d’Indochine puis du Vietnam.
En 200 pages, l’auteur analyse les témoignages de nombreux acteurs et démolit des propagandes mensongères. Tout ce qu’il écrit est déjà bien connu des intéressés et des historiens spécialistes, mais, ici nous avons un résumé des faits accompagné d’une bibliographie sérieuse qui cite les différents acteurs hostiles les uns aux autres. Ce livre est facile lire et surprendra plus d’un lecteur.
La lecture de ce petit ouvrage est indispensable pour étudier ensuite la guerre d’Indochine.

Après les cinq années foisonnantes du gouvernorat Decoux :
- La fin de l’Indochine française ;
- Les dogmes de la désinformation fermement battus en brèche ;
d’après une étude de Paul Rignac

La fin de l’Indochine française est un sujet en soi qui n’avait pas été vraiment abordé pour lui-même. C’est l’époque où, par un coup de force, les Japonais occupent nos garnisons indochinoises (mars 1945). Nos militaires sont internés, nos compatriotes civils sont assignés à résidence dans des périmètres urbains délimités. En quelques jours, la présence administrative et militaire française est anéantie.
Plus rien ne sera comme avant. Pour les Indochinois indigènes, la France a perdu le « Mandat du Ciel » qui justifiait sa tutelle sur le Tonkin, l’Annam et la Cochinchine.
Dans son plus récent ouvrage, Paul Rignac analyse cette situation. Il dénonce aussi à pleines pages, la désinformation opérée depuis par le « compagnonnage » gaullo-communiste et par les manipulations médiatiques des États-Unis « instigateurs de notre éviction ».
Ni Dien Bien Phu ni Genève
Juriste engagé dans l’action humanitaire, l’auteur a vécu auprès des Indochinois ; il a été au contact de nombreux anciens combattants et coloniaux français. Ses recherches historiques l’ont conduit à une certitude dûment étayée : l’Indochine française n’est morte ni à Dien Bien Phu (mars/mai 1954) ni à Genève (juillet 1954). Elle avait cessé d’être aussitôt qu’il fut mis fin au gouvernement général de l’amiral Decoux.
La cruelle réalité c’est que, malgré la défaite du Japon et la reconquête de nos territoires, il n’y aura plus jamais :
• ni gouvernement général de l’Indochine ;
• ni Union française ;
• ni souveraineté incontestée de la France (la Pax Gallica) sur l’ensemble de la péninsule.
« La page des protectorats et de la colonie est définitivement tournée », écrit Paul Rignac. De fait, après les éphémères « États associés » dans une non moins éphémère Union française, et neuf années de guerre (1945/1954), la médiocre ambition républicaine d’une Indochine constituée de pays partiellement indépendants, plus ou moins associés à l’ancienne puissance coloniale débouchera sur la tyrannie d’Ho Chi Minh.
En trois de ses chapitres, Rignac, spécialiste des Sciences d’Outre-mer, raconte les conditions dans lesquelles l’amiral Decoux reçoit du Maréchal la barre de l’Indochine, le 20 juillet 1940 ; comment l’Asie entre dans la guerre… mais pas l’Indochine ; et pourquoi ce territoire isolé se développe malgré tout.
C’était trop beau pour les gaullistes pratiquement absents dans cette partie de notre empire. Ils inventeront a posteriori ce que Rignac intitule la « légende noire » (au sens étymologique : « ce qui doit être lu ») c’est-à-dire une vision dogmatique de l’histoire telle qu’elle doit être enseignée quoique totalement déconnectée des réalités locales.
La version gaullienne
Rappelons la version de la dissidence fort bien résumée par l’historien :
– Vichy a mis en place en Indochine une équipe à la dévotion de l’amiral Decoux ;
– celui-ci capitule devant les Japonais ;
– l’Indochine maréchaliste collabore avec les puissances de l’Axe sur les plans économique, culturel et militaire ;
– les Alliés combattent dans le Pacifique… sans le concours des Français d’Asie ;
– en plus d’être des exploiteurs, ces Français sont des collabos endoctrinés par la Révolution nationale ;
– la « dictature » de Decoux plonge l’Indochine dans les « années les plus sombres de son histoire » ;
– une nouvelle fois, Decoux capitule devant le coup de force nippon du 9 mars 1945.
Une mauvaise mais précieuse photographie témoigne de la présence de l’amiral Decoux à l’île d’Yeu, le 23 juillet 1959, jour anniversaire de la mort du Maréchal en 1951.
Fermez le ban !
Retournons-nous maintenant vers Paul Rignac qui remet les choses à l’endroit :
• Decoux a été appelé en remplacement du général Catroux jugé par Vichy, trop accommodant avec les Japonais ;
• par aucun traité, la France et son empire ne furent les « alliés » de Berlin et de Tokyo ;
• les Français furent les premiers à combattre et à mourir face aux « Japs » alors que les Américains restaient l’arme au pied en septembre 1940 ;
• le proconsulat de l’amiral fut l’une des périodes les plus foisonnantes de la colonisation dans tous les domaines ;
La Révolution nationale à l’heure indochinoise. Au pied de l’affiche, des paroles du Maréchal traduites en vietnamien.
• la fidélité de l’Indochine à l’autorité métropolitaine n’était pas forcément une adhésion à la Révolution nationale, de même que la volonté de résister aux Japonais n’était pas pour autant un ralliement au gaullisme ;
• par sa diplomatie et son sang-froid, Decoux a su (à part les toutes dernières semaines) épargner à l’Indochine les atrocités de la Guerre mondiale.
Ce qu’il fallait démontrer
Il est important de connaître ce que fut « le développement extraordinaire de l’Indochine pendant les cinq années Decoux ». Il faut savoir les motifs de « l’attitude calme des Indochinois pendant les années de guerre ». Il est utile de pouvoir démontrer que les Français d’Indochine tout comme les Chinois « ne sont pas restés les bras croisés en attendant d’être libérés (des Japonais) par les Alliés ». Autant de sujets maquillés par la désinformation à laquelle Paul Rignac s’attaque magistralement en deux cents pages, avec l’appui d’une bibliographie ouverte aux meilleurs de nos auteurs.
En queue de l’introduction à son travail, Paul Rignac précise : « En Indochine, l’épuration gaullienne inapproprié, injuste, dévastatrice et particulièrement stupide, fut une forme de suicide de la présence française dans la péninsule ». Ce qu’il fallait démontrer, l’est remarquablement.
Y. C.
Ouvrages du même historien
- Indochine, les mensonges de l’anticolonialisme, collection Contre-Enquête, Indo Éditions, 2007
- La Guerre d’Indochine en questions, collection Contre-Enquête, Indo Édifions, 2009, préface du général Guy Simon
- Une vie pour l’Indochine de Claude Guioneau, collection Portrait, Indo Éditions, 2012
- Présences Françaises outre-mer. Contribution sur la présence française en Indochine, sous la direction de Philippe Bonnichon, Pierre Geny et Jean Nemo. Académie des Sciences d’Outremer, Éditions Karthala, 2012


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Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP)

Philippe Pétain, maréchal de France, chef de l'État français


lundi 14 juillet 2014

Louis XX, notre roi…


Un roi, c'est la garantie donnée au peuple d’avoir un homme entièrement voué à la Nation, qu’il incarne.


"Maintenant, c'est à mon tour d'être. Comme disait mon père, je ne prétends à rien, je suis le chef de la Maison de Bourbon en tant qu'aîné des Capétiens et des descendants de nos rois. Même si la France a changé, le contexte économique et politique modifié, j'assume la mission que m'a transmise mon père à sa mort."
Louis, duc d'Anjou, 30 janvier 2009
Monseigneur le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou est l’aîné des Capétiens et le successeur légitime des rois de France. Chef de la Maison de Bourbon, il descend en ligne directe d’Henri IV premier roi de la branche des Bourbon. Dix générations le relient également directement à Louis XIV. De nationalité française, il possède également la nationalité espagnole.
Né le 25 avril 1974, il est le fils du prince Alphonse de Bourbon, duc d’Anjou et de Cadix (décédé en 1989). Le 6 novembre 2004, le Prince a épousé la Princesse Marie-Marguerite. De leur union est née en 2007, SAR la princesse Eugénie. En 2010, le 28 mai sont nés SAR le Prince Louis, duc de Bourgogne, et son frère cadet, SAR le prince Alphonse, duc de Berry.
Le Prince Louis est arrière-petit-fils du roi Alphonse XIII d’Espagne, et cousin de S.M. le roi Juan-Carlos Ier d’Espagne. Chef de nom et d’armes des Bourbons, le prince Louis porte les armes dites « de France » en héraldique, c’est-à-dire d’azur à trois fleurs de lis d’or. En qualité de chef de la Maison de Bourbon, il est le Grand-maître des ordres de Saint-Michel (fondé par Louis XI) et du Saint-Esprit (fondé par Henri III).
Il est membre titulaire de la Société des Cincinnati de France (créée en 1783), où il représente le roi Louis XVI. Le Prince est Bailli Grand croix de l’Ordre de Malte, depuis juin 2000, dignité réservée aux chefs d’État ou de Maisons souveraines.
Expatrié français à Madrid où il vit avec sa famille, le Prince est Vice Président International de la Banco Occidental de Descuento (BOD) basée à Caracas, au Vénézuela. Sa profession le conduit à beaucoup circuler dans le monde et en particulier sur les continents nord et sud américains. Après des études au Lycée Français de Madrid et un baccalauréat B en Sciences Économiques, Monseigneur a intégré l’université : Centro Universitario de Estudios Financieros (CUNEF), Sciences Économiques, avec spécialisation en Finances.
Le Prince est titulaire d’un Master en Finances à CUNEF (Madrid) et d’un Executive MBA au IESE (Madrid).


Robin de La Roche : Le Roi, vite !



14-Juillet : Thaïlande un magistral exemple… pour rendre le Bonheur au Peuple…


À quand pour la France, le sursaut tant espéré qui nous fera oublier 225 années de malheur…










(เนื้อเพลง - Paroles)
วันที่ชาติและองค์ราชา มวลประชาอยู่มาพ้นภัย
ขอดูแลคุ้มครองด้วยใจ นี่คือคำสัญญา
วันนี้ชาติเผชิญพาลภัย ไฟลุกโชนขึ้นมาทุกครา
ขอเป็นคนที่เดินเข้ามา ไม่อาจให้สายไป
เพื่อนำรักกลับมา ต้องใช้เวลาเท่าไร
โปรด จงรอได้ไหม จะข้ามผ่านความบาดหมาง
เราจะทำตามสัญญา ขอเวลาอีกไม่นาน
แล้วแผ่นดินที่งดงามจะคืนกลับมา
เราจะทำอย่างซื่อตรง ขอแค่เธอจงไว้ใจและศรัทธา
แผ่นดินจะดีในไม่ช้า ขอคืนความสุขให้เธอ ประชาชน
วันนี้ต้องเหน็ดเหนื่อยก็รู้ จะขอสู้กับอันตราย
ชาติทหารไม่ยอมแพ้พ่าย นี่คือคำสัญญา
วันนี้ชาติเผชิญพาลภัย ไฟลุกโชนขึ้นมาทุกครา
ขอเป็นคนที่เดินเข้ามา ไม่อาจให้สายไป
แผ่นดินจะดีในไม่ช้า ความสุขจะคืนกลับมา ประเทศไทย

Viendra le jour béni où la Nation, le Roi, le Peuple vivront sans péril

Nous vous offrons veille et protection de nos cœurs
C’est notre promesse

Aujourd’hui contre la Nation monte la menace de redoutables périls
Les flammes s'avivent
Soyons ceux qui osent et agissent… demain il sera trop tard.

Pour restaurer entre nous l’amour, de combien de temps nous faudra-t-il ?

Debout !  Attendrez-vous encore ?
Nos vaines querelles, nous dépasserons  
Nos promesses nous tiendrons.
Le temps donnez-nous.
Et de retour sera la splendeur de notre magnifique pays.
Avec sincérité nous œuvrerons…
Foi et confiance donnez-nous.

Le Bonheur rendons-le à vous, le Peuple.
Jusqu'à épuisement notre mission nous accomplirons, déterminés…
Contre les périls nous engageons notre combat
Des soldats, le sacrifice ne sera pas inutile. 
Voilà notre promesse.

Aujourd’hui contre la Nation monte la menace de redoutables périls
Les flammes s'avivent
Soyons ceux qui osent et agissent… demain il sera trop tard.
Le Bonheur bientôt rendu sera en Thaïlande
Translation libre d'une composition du Général Prayuth Chan-ocha
Musique de Wichian Tantipimolpan

*   *
*

Et la France du 14-Juillet ?…
Anéantie par la catastrophe révolutionnaire franc-maçonne…




Toute la vérité sur la Révolution française, le vrai combat vendéen et la désinformation républicaine…






Sélection de films supplémentaires :

Conférence Pichot-Bravard

Dates guerre de Vendée

La République a menti

Guerres de Vendée

Massacre des gares-suisses / 1792

Pourquoi nous ne fêtons pas 1789 

Film Les Vendéens / Jacques Dupont (cliquez sur 'vidéo sur les guerres de Vendée' ) 

Mémoricide

François Hollande / discours chez les Franc-maçons 

Tous des franc-maçons…

La Foi : La Vraie Liberté

*     *     *

Révolution française : les révisionnistes marxisants sont toujours à l’œuvre

Ils ont perdu la partie. « Ils » ? Les historiens marxistes, marxisants, robespierristes. Pendant des années ils ont raconté – et enseigné – l’histoire de la Révolution française à travers le prisme déformant de leur idéologie. Ils tenaient le haut du pavé. La Terreur ? Un accident de parcours (voire, pour certains d’entre eux, de justes représailles). Le génocide vendéen ? Pas de quoi en faire une… histoire. Louis XVI et Marie-Antoinette guillotinés par les chantres des droits de l’homme ? Un dommage collatéral. Le martyre du petit Louis XVII ? À peine une bavure.

Aujourd’hui, ces faiseurs ne tiennent plus le haut du pavé. De libres historiens sont venus remettre l’Histoire à l’endroit. Et d’autres ont montré et démontré que la Révolution, massacreuse et génocidaire, a été porteuse des abominations nazies et communistes. Aussi, comme le cadavre de ces faussaires bouge encore, on a droit (et même le maratiste Mélenchon s’y est mis) à quelques soubresauts, à des combats d’arrière-garde. Pour essayer, mais vox clamantis in deserto désormais, de justifier l’injustifiable.

Dernier exemple en date, le numéro (juillet-septembre 2013) de la revue L’Histoire : « Dix années qui ont changé le monde. La Révolution française ». Pour ce faire, on a convoqué le ban et l’arrière-ban. Certains sont connus. D’autres moins ou pas du tout. Mais tous ou quasiment tous régurgitent la vulgate habituelle sur le bel héritage – oh combien sanglant – des Grands Ancêtres.

Robespierre ayant été récemment rhabillé pour plusieurs saisons dans une émission de télé, un certain Patrice Gueniffley (directeur d’études à l’EHESS) ose poser la question : « Doit-on réhabiliter Robespierre ? » Et pourquoi pas Hitler, Mao, Staline, Pol Pot pendant qu’on y est ? Le même, en tandem avec un certain Guillaume Mazeau, demande encore : « Robespierre fut-il le maître d’œuvre de la Terreur ? » Pour ce Mazeau, peut-être un brin sado aussi, Robespierre a les mains propres : « Très ancienne, cette image (de Robespierre maître d’œuvre de la Terreur) tient (…) davantage du fantasme (sic) que de la réalité. » Et ce n’est pas Mona Ozouf (directeur de recherche au CNRS) qui vient corriger le tir…

Le plus extravagant, c’est que la revue L’Histoire réussit cet exploit, notamment dans les « études » consacrées à la Vendée et aux tanneries humaines, de ne jamais citer – même en passant, même pour le contredire – Reynald Sécher ! Faut-il qu’il les gêne tout de même…

Nous ne nous étonnerons donc pas, non plus, de ne trouver aucun de ses ouvrages au chapitre « Bibliographie » où on a droit aux J.-C. Martin, V. Socottosa, J.-C. Caron, E. Fournier, etc. Et à Michelet, bien sûr. Une toute petite place est faite à l’ouvrage contre-révolutionnaire de Burke, Réflexions sur la Révolution en France. Selon la technique bien connue du pâté d’alouette (une alouette, un cheval…).

Au rayon « Revues et sites », on recommande les Annales historiques de la révolution française (publiées par la Société des études robespierristes) et le site de l’Institut d’histoire de la révolution française. Amis de l’objectivité, bonsoir, et bienvenue à Mathiez, Soboul et à leurs disciples, chantres de 1793.

Quant au nombre des victimes de la Terreur, on le révisionne à la baisse : 30 à 40 000 victimes (quand il y en a eu au moins trois fois plus) ; au motif que « le bilan (…) demeure toujours incertain, voire impossible ». En ce qui concerne le génocide vendéen – au moins 400 000 victimes – la revue L’Histoire concède quelque 170 000 morts. Une broutille autant dire. Révisionnisme, que de (nouveaux) crimes on commet en ton nom…

ALAIN SANDERS

Article extrait de Présent n° 7905 du mardi 30 juillet 2013

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Dansons la carmagnole… Ça ira… la guillotine… maudit 14-Juillet… maudite République…





14-Juillet… Une célébration inventée par la IIIème République… Mais quel 14-Juillet ? Ce ne peut-être que celui que retient l’inconscient populaire, le 14 juillet 1789… Nos perfides amis anglais ne s’y trompent pas, eux dont le bon sens ne connaît que le “Bastille Day”… Cette journée qui vit une foule ivre de sang trancher la tête du malheureux marquis Bernard-René Jordan de Launay, gouverneur de la Bastille, alors que ladite prison ne contenait que sept prisonniers, tous des “droits communs” ! Funeste procession annonçant la prochaine République que celle de ce bon peuple hurlant brandissant une tête tranchée au bout d’une pique…

Vinrent ensuite les torrents de sang de septembre 1792 dans les prisons parisiennes, les massacres génocidaires en Vendée, à Lyon, à Montbrison, à Marseille, à Toulon et partout ailleurs, la loi des suspects, le tribunal révolutionnaire, l’exécution du Roi Louis XVI, puis de la Reine Marie-Antoinette, la guillotine qui ne parvenait plus à sécher, la mort atroce dans un sinistre cachot de l’enfant Louis XVII, âgé de 10 ans, …

Un pays a les symboles qu’il mérite… Ces imbéciles communistes et associés de la vidéo ci-dessus braillant ivres de sang place de la Concorde un 21 janvier en sont malheureusement d’authentiques représentants…


14 juillet : fête nationale ou fête maçonnique?

samedi 12 juillet 2014

¡Viva Cristo Rey! Cristeros… Un combat héroïque contre la franc-maçonnerie… Un exemple encore aujourd'hui pour les nationalistes français…


”Ma petite maman. Me voilà pris et ils vont me tuer. Je suis content.
La seule chose qui m’inquiète est que tu vas pleurer.
Ne pleure pas, nous nous retrouverons.
José, mort pour le Christ-Roi.”

José Luis Sanchez del Rio, 14 ans














Bande annonce en français du film "Cristeros"




En 1926, un soulèvement populaire secoue le Mexique suite aux lois du président Callès, qui interdisent toutes pratiques religieuses dans l'ensemble du pays. Des hommes et des femmes de tous horizons, les Cristeros, vont alors risquer leur vie pour défendre leur liberté et lutter contre les persécutions menées par le gouvernement. Une des pages les plus sombres de l'Histoire du Mexique…

Plongée dans les années 1920 au Mexique, qui vit à l'époque sur des fondements hérités d'une révolution menée en 1917, aux valeurs clairement anticléricales. Des lois liberticides sont décidées contre les religieux et contre la liberté de culte, et seront appliquées en 1926 par le président Callès. Ces lois entraînent une protestation vive de l'Église, qui décide de suspendre tout culte public. Le gouvernement expulse les religieux non mexicains, puis charge l'armée d'arrêter, de torturer et de fusiller prêtres et laïcs qui résistent à l'application des lois. Face à ces exactions, des chrétiens prennent les armes, et mettent à mal les forces du pouvoir, au cri de "¡Viva Cristo Rey!", ce qui signifie "Vive le Christ Roi !". C'est une guerre civile qui fera plus de 90 000 morts. Cet épisode tragique est retracé dans le film Cristeros de Dean Wright, avec Andy Garcia, Eva Longoria et Peter O'Toole. Sorti il y a deux ans au Mexique et aux États-Unis, il sort enfin en France ce mercredi 14 mai. Pour l'occasion, cette émission spéciale propose de découvrir cette histoire méconnue à l'aide d'extraits du film, et de débattre sur la notion de guerre juste, en compagnie de Jean-Yves Riou, directeur de la revue "Histoire du Christianisme", de Frère Alain Richard, franciscain et fondateur des Cercles de Silence, de l'Abbé Christian Venard, aumônier militaire, et d'Hubert de Torcy, distributeur du film en France. (Édition Spéciale KTOTV du 11/05/2014)


*    *    *

Philippe Ploncard d'Assac à propos des Cristeros :

Dans "La Politique" n° 153 de juin 2014, Philippe Plincard d'Assac fait cette mise en garde à propos du film Cristeros :
« Étrange film qui fait courir les catholiques… encore une fois bien naïfs, car qu’en est-il de la véritable histoire du martyr des Cristeros ?
« Constatation essentielle, on note l’absence de toute référence aux causes de ce soulèvement suite aux lois antichrétiennes du gouvernement Calles.
« À aucun moment n’est mentionnée son appartenance maçonnique, ni celle de son gouvernement !
« Ainsi pour un public ignorant, l’épopée Cristeros se résume à l’affrontement entre un président Calles à forte personnalité et des fanatiques catholiques engagés « pour une cause qu’ils croient juste » (sic)… !
« De même, à aucun moment il n’est fait allusion à la trahison de Pie XI envers les catholiques mexicains.
« Tout au plus est-il relevé que les États-Unis eurent un grand rôle par leur aide militaire à Calles et par leurs pressions sur l’épiscopat et Rome, pour le prix d’un accord sur l’exploitation du pétrole mexicain… !
« Produit par la firme Newland - cela fait très New Âge - écrit par Michael Love (Loeve) nom juif, on note le nombre de juifs figurant dans le script !
Cette analyse trouve son écho chez le père Guy Pagès, qui dans son blogue écrit :
« Je suis allé voir le film "Cristeros".
« Bien sûr, j'ai aimé ce film qui empêche une épopée héroïque de la geste chrétienne d'être encore méconnue.
« La figure du bienheureux José est bouleversante, ainsi que celle du général Enrique Gorostieta.
« Quelques regrets cependant :
« Je regrette que l'appartenance maçonnique du président Calles et du gouvernement n'ait pas été mentionnée, que la franc-maçonnerie n'ait pas été dénoncée.
« Je regrette également que les raisons d'être chrétien n'aient pas non plus été vraiment expliquées.
« Cela aurait donné de la profondeur au film.
« Au final, un ignorant ou un spectateur superficiel pourrait penser que ce film retrace l'histoire d'un soulèvement de fanatiques par un gouvernement certainement trop brutal, mais qui n'a peut-être que cherché à bien faire…
« - Vers la fin du film, j'ai trouvé que la tension se relâchait.
« On aurait pu au contraire montrer l'enthousiasme qu'ont dû vivre les Cristeros qui en étaient venus alors non seulement à dominer plus de la moitié du pays, mais à deux doigts de prendre le pouvoir…
« La lâcheté et la trahison de l'épiscopat, comme le fait que de faux renseignements ont été donnés au pape Pie XI pour obtenir de lui qu'il ordonne la fin des combats, n'ont pas non plus été montrés, non plus que le carnage dont le gouvernement s'est ensuite rendu coupable en tuant les Cristeros qui avaient, par obéissance au Pape, déposé leurs armes.
« Bref, ce film nous rappelle que le peuple de Dieu est ici-bas un peuple de martyrs, et que nous devons notre relative liberté au sacrifice de nombre d'entre eux…
« Sommes-nous prêts à transmettre à notre tour l'héritage reçu au prix auquel il nous fut transmis ?
Étrange que ce très beau texte passionné du Père Pagès qui rejoint la froide analyse de Philippe Ploncard d'Assac n’ait pas trouvé d’autres échos.
Tout ce que la droite dite « nationale » et « catholique » et "tradis" comporte de « journaleux », de Présent, à Rivarol, aux « bienpensants » etc…, tous y sont allés de leurs larmes, mais aucun n’a fait remarquer le point central de la tromperie du film, l’occultation de l’appartenance maçonnique du Président Calles et de son gouvernement, la responsabilité de Pie XI qui, comme avec sa condamnation de l’Action française, aura rendu un fier service à la maçonnerie.
Sans comptez, l’étrange énumération de noms juifs dans le script, dont celui de l’auteur du scénario.
Ceci expliquant sans doute l’occultation du rôle de la maçonnerie dans le drame.
Ces « journaleux », « nationaux» ou « catholiques », sont-ils aveugles, ou complices ?!

Philippe Ploncard d’Assac

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Maurice Talmeyr : La Franc-maçonnerie et la Révolution française

Révolution française, combat vendéen, et désinformation

LA GRANDE HISTOIRE DES GRANDS SOLDATS OBSCURS DU CHRIST AU MEXIQUE, FAITS ROIS DANS LE CIEL PAR LE SACRIFICE COLLECTIF ET ANONYME DE LEURS PROPRES VIES

Cristeros ! Un entretien avec le distributeur

Les cristeros et la grande peur des bien-pensants

The Stunning Story of Blessed Jose Sanchez del Rio featured in For Greater Glory

Le Ciel, la Terre, l'Eau et le Feu : Cristeros
"Le réalisateur montre bien dans son œuvre le rôle primordial des femmes, qui sont tout aussi résolues et courageuses que les hommes ; elles assurent le transport des munitions et cachées sous leurs sous-vêtements, et celui des enfants, la figure emblématique étant le petit Jose. Sous la torture (passage difficile du film), il refusera de parler et surtout d'insulter le Christ.
Pour ma part, la partie du film où l'on voit la mère du petit Jose étreindre le corps sans vie de son fils unique fut la plus bouleversante, évoquant une Mater dolorosa au pied de la Croix…"  Le Ciel, la Terre, l'Eau et le Feu
L'Homme nouveau : Les Cristeros ont-ils violé la loi d’amour évangélique ?

Hugues Kéraly : La Véritable Histoire des Cristeros - 224 p. avec un cahier de photos inédites. 4e édition revue et augmentée