Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 11 décembre 2013

Hery Rajaonarimampianina livre ses réflexions sur l’avenir de Madagascar au JDE

Souvenons-nous qu'alors que Hery Rajaonarimampianina était au début des années 90 directeur des études à l'INSCAE, la Banque Mondiale considérait l'INSCAE comme son meilleur projet au monde pour l'éducation. Une confiance des bailleurs de fonds que devrait retrouver Hery Rajaonarimampianina, président de Madagascar.


http://www.heryvaovao.com/

Le Journal de l'économie
Entretien avec Hery Rajaonarimampianina :
« Je suis déterminé à faire du potentiel de mon pays la source de bien-être des Malgaches »

Le 20 décembre se déroule à Madagascar le second tour de l’élection présidentielle. Hery Rajaonarimampianina aura pour adversaire un certain Robinson, franco-malgache, valet de Ravalomanana, et de plus se proclamant franc-maçon et affilié au parti socialiste français, celui-là à  Flanby, toutes les tares sont permises ! Un Robinson qui ose prendre les Malagasy pour de bons sauvages… Hery Rajaonarimampianina est un expert comptable formé au Québec, ancien ministre des Finances, ancien administrateur général de la Banque Africaine de Développement… Souvenons-nous qu'alors que Hery Rajaonarimampianina était au début des années 90 directeur des études à l'INSCAE, la Banque Mondiale considérait l'INSCAE comme son meilleur projet au monde pour l'éducation. Une confiance des bailleurs de fonds que devrait retrouver Hery Rajaonarimampianina, président de Madagascar.
Hery Rajaonarimampianina, candidat à la magistrature suprême, a livré au Journal de l'économie ses réflexions sur l’avenir de Madagascar.

Hery Rajaonarimampianina, candidat au second tour
de l'élection présidentielle malgache du 20 décembre prochain

Vous êtes candidat au second tour de l’élection présidentielle à Madagascar, autour d’un programme de « rassemblement » et de « combativité nationale ». En quoi cette ligne de conduite est-elle nouvelle, ou différente de celle de vos adversaires ?

Ma ligne de conduite, dès le début de mon engagement pour cette élection présidentielle, a été celle du large rassemblement de toutes les composantes de la nation malgache. Je veux œuvrer à bâtir un avenir de prospérité et de paix dans toutes les régions de Madagascar. Je suis profondément convaincu que les Malgaches souhaitent vivement en finir avec la crise. Lors de mes déplacements, ils m’interpellent sur la nécessité de ne plus revenir en arrière. Je pense que ce qui me différencie, c’est cette volonté de me situer au dessus des différends, de rassembler et de convaincre. Je veux réhabiliter le Fihavanana, vertu cardinale de notre civilisation malagasy [forme de lien social reposant sur des valeurs d’entraide et de solidarité].

Après la crise politique de 2009, vous avez été appelé en renfort par l’Autorité de transition afin de redresser la situation économique. Pourquoi vous être engagé à l’époque ?

La situation économique de l’époque ne me laissait guère d’autre choix que d’accepter d’apporter mon aide à l’Autorité de transition. Celle-ci m’avait sollicité non pas en raison de mes convictions politiques, mais en vertu de mon expertise des questions économiques. Souvenez-vous : les vannes de l’aide publique au développement avaient été fermées et le pays était alors entré en récession. Il fallait impérativement inverser cette spirale infernale en regagnant la confiance des acteurs économiques, et les dirigeants de l’époque m’ont demandé de les accompagner en ce sens. Quand on aime son pays, accepter les responsabilités qu’on vous impartit, en dépit des difficultés quelles qu’elles soient, est un devoir moral. Il est dicté par l’intérêt supérieur de la Nation.

Quel bilan tirez-vous de votre action ?

Aujourd’hui, le consensus politique dicté par la nécessité et par l’urgence a porté ses fruits : nous sommes parvenus à préserver les contribuables d’une pression fiscale trop forte. En outre, malgré cette crise inouïe, l'inflation et le cours de l’ariary [monnaie malgache] sont demeurés stables, et les traitements des fonctionnaires ont toujours été payés à bonne date. Si l’on compare la situation de Madagascar à celle d’autres pays occidentaux comme la Grèce ou le Portugal, où les fonctionnaires, les pensions et les retraites en font les frais, je pense pouvoir affirmer que nous nous sommes montrés à la hauteur du défi.

Votre expertise particulière des questions économiques et financières fait donc de vous un candidat sur lequel repose beaucoup d’espoir ?

Il n’est pas superflu d’avoir l’ambition d’offrir à tous les Malgaches, sans exception, un accès large aux services sociaux de base tels l’éducation et la santé. Il faut pour autant disposer d’instruments financiers garants de la performance économique du pays, car l’éducation et la santé ont un coût pour l’État. L’économie doit être au service de l’humain, et non l’inverse. Je pense donc en effet que la maîtrise des sujets économiques et une expérience préalable de l’action étatique constituent une condition essentielle de l’exercice du pouvoir. On ne peut prétendre à la fonction suprême que si l’on est sûr de disposer des compétences pour assurer la prospérité à son pays.

Vous avez été directeur d’études à l'INSCAE, expert-comptable, gouverneur de la BAD, ministre… Faut-il y voir une construction logique de votre parcours jusqu’à cette candidature ?

Mon engagement en faveur de Madagascar ne date pas d’hier. Mais ma candidature, elle, est dictée par la volonté de la nation malgache de rompre avec des traditions politiques qui lui ont porté préjudice jusqu’alors. Je veux simplement mettre mon expérience au service de mon pays, et me faire le porte-voix des forces vives assoiffées de changement. Comme je le laissais entendre précédemment, dans la vie d’un homme politique, « l’envie » de servir son pays se mue progressivement en sens du « devoir » que l’on s’impose à soi-même en qualité de citoyen. Dans une certaine mesure, ma candidature s’inscrit donc dans la continuité logique de mon engagement citoyen, à ceci près qu’un homme d’État n’est pas un citoyen comme les autres : il a davantage de devoirs que de droits, et un candidat doit y être préparé.

Vous dites vouloir renforcer le cadre institutionnel de Madagascar pour redonner aux Malgaches confiance dans leur pays. Expliquez-nous.

La nation malgache doit trouver dans ses institutions un facteur de stabilité économique, sociale et juridique, quelle que soit la couleur politique de ses représentants élus. C’est le premier pilier de la lutte contre les inégalités et de la restauration d'un climat sain pour rassurer les investisseurs étrangers et le secteur privé. Un cadre institutionnel solide et stable est également la condition à remplir pour que Madagascar rejoigne le concert des grandes nations économiquement développées, et puisse dialoguer avec la communauté internationale dans une relation équilibrée. Madagascar doit, et peut aujourd’hui regagner son rôle de poumon économique et diplomatique dans l’océan Indien. En outre, nous devons devenir, à court terme, le "grenier à riz" de l'océan Indien.

En matière de diplomatie, comment entendez-vous piloter des relations internationales distendues par les crises politiques successives qui ont frappé Madagascar au cours des dernières décennies ?

Je veux « ré-enchanter » notre diplomatie. Pour ce faire, je veux redonner une crédibilité durable à notre pays vis-à-vis de ses partenaires extérieurs à savoir les institutions internationales, et les pays amis. Je veux aussi mobiliser nos représentations diplomatiques à l'extérieur au service du développement de notre pays. J'aurai également une attention toute particulière pour que la culture de notre pays rayonne au plan international. Nous avons d'immenses artistes. Il faut les mobiliser pour montrer la richesse culturelle de notre Nation.

Défendez-vous l’idée d’une nouvelle constitution pour endiguer les fléaux institutionnels qui déstabilisent le pays ? Si oui, comment entendez-vous garantir son respect ?

La Constitution de la Quatrième République a été élaborée après de très nombreuses consultations populaires dans toute l'Île. Sa rédaction a fait l'objet de nombreuses consultations de spécialistes nationaux et internationaux. Cette Loi fondamentale, je le rappelle, a été adoptée par 74 % de nos compatriotes avec une participation de 53 %. En tant que Président de la Quatrième République, je serai le gardien de cette Constitution. Je veux la stabilité institutionnelle de mon pays.

Si vous êtes élu, sur quel point vous engagez-vous à être jugé, au terme de votre mandat ?

Je suis déterminé à faire du potentiel de mon pays la source de bien être des Malgaches. À mon sens, l’IDH [Indicateur de Développement Humain] constitue un indicateur fiable de la santé et du bonheur d’une nation, et lui seul témoigne de la capacité d’un pays à combattre durablement la pauvreté. Mais c’est un chantier qui exige de mettre en œuvre une vision stratégique, et dont les effets se mesurent sur le long terme. Cela se traduit par des ambitions concrètes de modernisation. Je veux d’abord mettre en place de grands chantiers pour changer le quotidien des Malgaches : des routes, des barrages, des infrastructures, des réseaux d’irrigation pour conférer au pays les moyens de son développement. Beaucoup de choses en découlent : du travail, notamment pour les jeunes, des transports pour désenclaver nos régions centrales et côtières, un meilleur accès à la santé, à l'eau ou encore à l'électricité. L'éducation est également une de mes priorités, de telle sorte à ce que notre jeunesse puisse profiter grandement du développement et en devenir, par la suite, le moteur. J’ai la volonté de développer notre agriculture pour aller rapidement vers l'autosuffisance alimentaire. Enfin, parce que c'est la clef du développement, je veux que chacun, s'il le désire, puisse créer son entreprise. Ce ne sont là que quelques pistes. Le chantier est donc vaste, mais je sais que notre peuple est prêt pour relever ce défi de faire de Madagascar enfin un pays prospère.

Vous définissez-vous plutôt comme un candidat libéral ou interventionniste ?

Je veux le retour d'un État fort, d’un État stratège et d’un État garant des libertés et du bien-être de chaque Malagasy. J’entends par là « un État fort par le peuple et pour le peuple », enfin capable de restaurer la sécurité. Il n'y a pas de développement sans sécurité.


Hery Rajaonarimampianina: Grande offensive en province

Madagascar présidentielle 2013, 2è tour : Jean Louis Robinson, un affabulateur de 4è catégorie


La pluie menace les élections - De fortes précipitations sont annoncées sur presque tout le territoire dans les prochains jours. Le cas de force majeure n'est pour l'instant pas envisagé.



mardi 10 décembre 2013

Les Lions monolithes du Srah Tamri, Phnom Kulen…


Chaque nouvelle visite à Angkor et dans ses environs est source de désillusions… Des touristes toujours plus nombreux et irrespectueux des lieux… Des restaurations souvent malvenues, telle celle commise par des Indiens à Ta Prohm, ce temple envoûtant, là où, selon l’expression de Pierre Loti régnaient "les figuiers [en réalité le plus souvent des fromagers  - Tetrameles nudiflora] des ruines", ces figuiers mangeurs de murailles ; heureusement Préah Khan, voisin, n’a pas (encore) subi les outrages de ces restaurateurs impies… Banteay Srey - si cher à Malraux au point qu’il s’appropria nombre de ses richesses - à présent cerné par d’immenses parkings et boutiques de souvenirs dérisoires pour touristes… Et pourtant malgré toutes ces déceptions chaque nouvelle visite peut réserver d’agréables surprises… Comme cette découverte des Lions de Srah Damrei - du Srah Tamri selon la transcription de Jean Boulbet, plus proche d'une oreille de francophone… Taillés à même le roc deux magnifiques Singha, un Éléphant et une énorme Grenouille dominant une forêt encore intacte. Dans un site accessible uniquement en moto, après une demi heure de piste difficile ! 







L'ensemble monolithe de grès de Srah Damrei, datant du Xe siècle


Carte interactive des Sites Archéologiques Khmers (CISARK) : Srah Damrei





Flanby au show Mandela : complice du génocide des Blancs d'Afrique du Sud !!!





Les Blancs en Afrique du Sud font face à un génocide latent, systématiquement orchestré par la classe au pouvoir. Un génocide délibérément ignoré par des politiciens indignes, en Europe comme ailleurs. Un génocide contre lequel nul n'ose lever la voix. Un génocide contre lequel tout homme digne, nos dirigeants en particulier, ont le devoir non seulement de condamner mais de combattre activement. En dépit de cette situation dramatique d'une large part de la population d'un pays où règnent chaos, racisme et meurtres anti-blanc, la bienpensance universelle se rue en Afrique du Sud pour célébrer celui par lequel ce génocide de milliers de Blancs se perpétue… Flanby et sa clique, en Afrique du Sud comme en Algérie, se complaisent inlassablement à copiner avec les assassins… Pire qu'en Algérie, le génocide étant en cours, ceux-là par leur présence cautionnent et se rendent complices d'assassins dans leurs œuvres présentes, peut-être précisément à l'instant où se déroulera le show Mandela …

On a diabolisé le Gouvernement Blanc d'Afrique du Sud. En fait, les Blancs avaient bâti une grande nation et les Noirs y prospéraient. Les Noirs y venaient de toute l'Afrique pour y profiter du développement, des soins médicaux, de l'éducation et de l'indépendance relative que les Blancs avaient créés à cet endroit. Si le monde a boycotté l'Afrique du Sud pour son séparatisme racial, ne devrait-il pas la boycotter pour le génocide que subissent les Blancs aujourd'hui dans ce pays ?

[Une vidéo qui convient à tout public : les images choquantes ont été masquées, tel que pratiqué dans les diffusions télévisées.]

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Bernard Lugan à propos de Mandela et de l'Afrique du Sud…







Communiqué de Bernard Lugan - Nelson Mandela : l’icône et le néant



lundi 9 décembre 2013

Éric Miné : Une vision avertie sur l'exception thaïlandaise…


« En Thaïlande, le principe majoritaire ne fonde plus la démocratie »



On comprend mieux la frilosité de nos médias à rendre compte de la réalité des événements thaïlandais...

« Nous en avons assez de cette politique, nous ne voulons plus d’élections. Nous seuls sommes légitimes pour choisir le prochain gouvernement et le soumettre à l’approbation de notre roi. »

Ainsi s’exprimait un manifestant devant un journaliste de l’AFP, ce lundi 9 décembre proclamé « Jour du Jugement » par Suthep Thaugsuban, le tribun qui mobilise depuis plusieurs semaines à Bangkok des foules impressionnantes contre le pouvoir thaïlandais issu des urnes.

Dans le Sud, acquis d’emblée à ce qu’il faut bien appeler une insurrection civile, on ne s’embarrassait pas de ces subtilités et l’imposant cortège qui saturait les rues de Phuket fêtait déjà le « jour de la victoire ».

Victoire ou jugement, l’avenir le dira dans un pays rompu aux coups d’éclat et aux retournements légendaires. Toujours est-il que le Premier ministre, Yingluck Shinawatra, chancelle et, avec elle, un système qui, s’il devait s’effondrer, provoquerait un tsunami politique ressenti bien au-delà des frontières du Royaume.

Comptant parmi les nations capitalistes les plus dynamiques, la Thaïlande est en effet un cas à part. Engagée comme quasiment toute la planète dans la mondialisation, elle n’en a pas moins conservé ses institutions et ses traditions à peu près inchangées depuis le coup d’État de 1932 qui vit l’instauration d’une monarchie constitutionnelle sous l’égide d’un régime nationaliste. Hymne diffusé à heures fixes sur les ondes, port de l’uniforme généralisé des collégiens aux fonctionnaires, organisation très encadrée du respect dû à un monarque par ailleurs très vénéré, clergé bouddhiste et armée omniprésents dans la société, jusqu’au nom même du pays adopté en 1939 pour faire valoir les droits d’une hégémonie « thaïe » sur la région, tout symbolise ici aujourd’hui encore la singularité d’une démocratie établie par l’ancien parti unique qui avait su s’accommoder sans encombre du suffrage universel imposé après-guerre par les vainqueurs à l’allié de la dernière heure.

Ce subtil équilibre mariant tradition et modernité est pourtant mis à mal depuis les années 90 par le clientélisme dispendieux d’un milliardaire autodidacte, Thaksin Shinawatra. Frère de l’actuel Premier ministre, il s’assura alors des voix des grandes régions rurales du Nord-Est qui l’imposeront à la tête du pays en 2001. Depuis, manifestations, putsch militaire, condamnation et exil de l’affairiste n’y feront rien, la corruption à vaste échelle permet à sa famille richissime de rester aux commandes d’un État dont elle sape consciencieusement les bases.

Loin de l’interprétation sociale qu’en font aujourd’hui les médias occidentaux, c’est donc à la réaction massive d’un peuple soucieux de la préservation de son cadre de vie à laquelle on assiste aujourd’hui. En abusant de populations naïves qu’ils désorientent par le mirage d’un consumérisme effréné, les Shinawatra sont perçus ici comme l’avatar local d’une finance internationale sans scrupules, étrangère aux valeurs du Royaume. Les élections leur étant ainsi systématiquement favorables, Suthep Thaugsuban propose donc de troquer le vieux principe démocratique occidental « un homme, une voix » contre une « démocratie absolue sous la monarchie constitutionnelle », dirigée par un « Conseil du peuple » non élu, d’esprit corporatiste et fondé, lui, sur l’histoire de la Nation.

On comprend mieux la frilosité de nos médias à rendre compte de la réalité des événements thaïlandais. Une rébellion tout à la fois populaire et réactionnaire qui rejette le principe majoritaire de la démocratie, voilà qui ne figure pas dans leur grille de lecture.


Lire aussi un article très complémentaire à celui-ci : Ingouvernable Thaïlande

Le "Grand Jour" est-il arrivé ?… Extraordinaire ambiance dès ce début de matinée !



สุเทพ เทือกสุบรรณ - Suthep Thaugsuban


Facebook : Suthep Thaugsuban (สุเทพ เทือกสุบรรณ)

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Lundi 9 décembre… 9 heures 39… Colère d’une population unie et respirant le bonheur de restaurer la fierté de la Thaïlande…

9 heures 42, nouvelle manœuvre dilatoire de Yingluck Shinawatra, elle demande la dissolution du Parlement…

























dimanche 8 décembre 2013

István Bakony : Impérialisme, judaïsme et communisme, ces trois forces qui dominent le monde




Les Éditions Saint Rémy publient un ouvrage essentiel… Un livre qu'on a voulu faire disparaître, qui ressort du tombeau traduit de l'anglais en français par François Thouvenin : Impérialisme, judaïsme et communisme, ces trois forces qui dominent le monde de István Bakony. Un livre dont on trouve une citation en français dans le livre de Jean Boyer, Les Pires ennemis de nos peuples. Un livre qui semblerait avoir déjà été publié en français, mais on n'en connaît plus aucun exemplaire en français. Il est parvenu aux Éditions Saint Rémy une photocopie de la version anglaise, sans qu'il soit possible d’en retrouver une version originale complète. Un livre qui semble avoir été bien nettoyé… Les Éditions Saint Rémy ont cependant décidé de le retraduire en français et de le rééditer. Malheureusement la mauvaise qualité des photos de la version photocopiée n'a pu être améliorée. Les Éditions Saint Rémy ont tout de même décidé d’insérer ces photos accompagnées de légendes et de références d’où elles proviennent. Il raconte comment les Juifs se sont implantés par le marranisme chez tous les peuples, y compris chez les Chinois, les Musulmans, les Noirs et les Japonais, afin de les dominer. Un livre écrit en 1969 alors que le communisme était encore dans toute sa vigueur qu'il convient d'interpréter mais indispensable pour comprendre le présent alors que les islamismes, métastases de la contestation de l'État d'Israël, se sont affirmés comme une nouvelle force… Quels intérêts servent en définitive les islamismes ? Impossible de ne pas établir une relation avec les origines talmudiques de l'islam

István Bakony : Impérialisme, judaïsme et communisme, ces trois forces qui dominent le monde

L’organisation secrète du judaïsme impérialiste

Télécharger et lire un extrait de l'ouvrage : Impérialisme, judaïsme et communisme


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Infiniment merci à Manuel Valls, actuel ministre de l'Intérieur et prétendant à la Présidence de la République en France ne nous administrer une confirmation éclatante des informations données par le livre d'István Bakony : Impérialisme, judaïsme et communisme, ces trois forces qui dominent le monde. Une vidéo que Manuel Valls, franc-maçon "pour l'éternité lié au judaïsme", tenterait de faire disparaître de la Toile !




Depuis son accession au pouvoir, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls essaye d'étouffer le scoop d'Oumma dévoilant sa propre confession de son « lien éternel » avec « la communauté juive et Israël ». Retour sur les dessous d'une information embarrassante pour celui qui vise désormais Matignon et l'Élysée.
Depuis quelques semaines, la rumeur parcourt les réseaux sociaux et les sites alternatifs : selon certains, Manuel Valls aurait lui-même demandé à Youtube et Dailymotion de retirer cette vidéo, révélée en 2011 par Oumma, dans laquelle il affirma, entre autres paroles stupéfiantes, être « par sa femme, lié, de manière éternelle, à la communauté juive et à Israël ». Voilà donc la vidéo en question, désormais remise en ligne.
Le ministre français de l'Intérieur travaillerait-il pour un pays étranger : Israël. Israël et la France auraient-ils obligatoirement vocation à poursuivre partout et tout le temps une même politique ? Pour nombre de politiciens français de droite comme de gauche cela semble aller de soi.

Rappelons-nous le propos scandaleux que tenait le parlementaire juif, Éric Raoult, en plein débat sur les retraites en France : "Pour moi, Israël est plus important que les retraites"


Un verre dans le nez : Flanby, pété, avoue aimer Israël plus que la France… "La Vie en rose"…

jeudi 5 décembre 2013

Heureux anniversaire et longue vie à Sa Majesté le Roi…










À l’occasion de son 86e anniversaire, Sa Majesté le Roi Bhumibol Adulyadej accordera sa grande audience publique aux membres de la famille royale et aux représentants du gouvernement au pavillon Rajapracha Samakhom du palais Klai Kangwon à Hua Hin, à 10h30 ce 5 décembre 2013. Dans l’histoire de la Thaïlande, ce sera la première audience publique hors de la capitale du Royaume…

Le 5 décembre en Thaïlande, en même temps que l’anniversaire du Roi, c’est la fête des Pères. Ce jour-là de nombreux Thaïlandais offrent à leurs pères et grands-pères "dok puttaruksa" (fleur de Canna) réputé fleur masculine. Se vêtir de jaune c’est rendre hommage au Roi, le jaune étant la couleur du lundi, jour de naissance du roi Bhumibol Adulyadej.

H.M. the King to grant public audience at Klai Kangwon Palace for his 86th birthday

His Majesty King Bhumibol Adulyadej's 86th Birthday

Mémorable journée du 85ème anniversaire de Sa Majesté le Roi de Thaïlande (2012)


mardi 3 décembre 2013

"Fondamentus Dream Event 2013" à Angkor Wat…







Diaporama Fondamentus (spectacle du 6 décembre, photos Xavier Pigot et Emmanuel Scheffer)


Les répétitions à Angkor Wat


Le spectacle Fondamentus, regroupant  l'Orchestre Symphonique National de Birmanie, le Ballet Royal du Cambodge, la compositrice et fondatrice de Fondamentus Odile Perceau ainsi que le Quatuor des Équilibres va se produire au temple d'Angkor Wat. Une scénographie créée par Béatrix de la Tour d'Auvergne pour cette représentation exceptionnelle magnifie les acteurs de ce spectacle, danseurs comme musiciens.


"Fondamentus Dream Event 2013" au Théâtre National de Yangon

"Fondamentus Dream Event 2013" : une première, le Ballet Royal du Cambodge et l'Orchestre Symphonique National de Birmanie pour la première fois réunis pour offrir deux soirées exceptionnelles de concert au sein même de l'enceinte sacrée du temple d'Angkor Wat, les jeudi 5 et vendredi 6 décembre.


L'Orchestre Symphonique National de Birmanie

Le Ballet Royal du Cambodge

Organisée à l'occasion de la 3e Conférence intergouvernementale sur Angkor du 5 décembre en la ville de Siem Reap, cette manifestation est soutenue conjointement par Apsara l’autorité nationale qui gère le parc archéologique d'Angkor et l’ambassade de France, avec l'appui de l'Unesco, de l'Institut français et de nombreux autres donateurs.

La conférence, co-présidée par la France et le Japon, coïncide avec le 20e anniversaire du Comité de coordination d'Angkor créé lors de la première conférence intergouvernementale en 1993 à la tête des efforts visant à restaurer Angkor après la signature en 1991 de l'accord de paix de Paris.

Apsaras… danseuses sacrées

Le concert sera donné côté nord-ouest du temple, Angkor Wat lieu sacré où encore jamais une autorisation n'avait été donnée pour une telle prestation souligne Mme Kerya Chau Sun, porte-parole de l’autorité APSARA qui précise : « La plus grande célébrité sur cette Terre ne pourrait donner un concert à Angkor Wat si cela offense l'Esprit du temple ». Le chef d'orchestre français, Odile Perceau, avait préalablement reconnu ce site pour son acoustique exceptionnelle.



Déclaration de Mme Kerya Chau Sun, porte-parole et conseillère d'APSARA


Premières impressions d'Odile Perceau, chef d'orchestre et compositrice

Odile Perceau précise que les musiciens birmans se tiendront sur plusieurs niveaux du monument pendant le concert dominant ainsi les danseurs khmers. L'événement mettra également en vedette les Français, Agnès Pyka (violon), Anne-Céline Paloyan (violon), Hélène Desaint (alto), Édouard Sapey-Triomphe (violoncelle), du Quatuor des Équilibres.

Au programme, une œuvre du répertoire traditionnel ainsi qu’une nouvelle danse classique chorégraphiée par la princesse Buppha Devi qui dirige le Royal Ballet. Les danseurs présenteront également une œuvre chorégraphique de Sa Majesté le Roi Sihamoni, dont la vocation première était la danse.

Le concert du 6 décembre sera télédiffusé, au Cambodge en direct sur CTN et également retransmis en direct sur un écran géant dans le parc jouxtant le Palais royal de Phnom Penh. France 2 retransmettra également Fondamentus à Angkor.


Fondamentus

Facebook : Fondamentus‬

Dossier de presse pour l'Enceinte sacrée du temple d'Angkor (Angkor Wat)

Dossier de presse pour le Théâtre National de Yangon et le Palais Royal de Mandalay

Des Équilibres

Facebook : Quatuor des Équilibres

Première de Fondamentus le 21 novembre au Théâtre National de Yangon

Cambodia and Burma to Come Together for Angkor Wat Show

National Theatre of Yangon

lundi 2 décembre 2013

La Voix de la Russie : Les "Bonnets Rouges" abattront-ils enfin ce régime politique honni ?




Au sommaire de cette édition du 2 décembre 2013, une émission spéciale consacrée à la manifestation des Bonnets Rouges à Carhaix, le 30 novembre 2013

Les 5 équipes de ProRussia.tv ont donné la parole, sans censure, aux militants bretons qui ont bien voulu la prendre :

- Christian Troadec : maire et conseiller général de Carhaix (DVG - Régionaliste breton)
- Lucien Le Harzig : commerçant à la retraite - Carhaix
- Thierry Jolivet : porte-parole de «Bretagne Réunie»
- Marc Lefur : député UMP de la 3e circonscription des Côtes d'Armor
- Yves Le Quéré : maire de Calanhel (Côtes d'Armor
- Yannig Baron - président de l'association «Breizh Impacte»
- Claude Rault : collectif des transporteurs routiers bretons
- Alain Malardé - président de l'association «Marins du Monde»  
- ainsi que des militants bretons anonymes, artisan à la retraite, ouvrier, syndicaliste, agriculteur, artiste, responsable du milieu associatif, salarié, patron d'entreprise.

Réunis à Carhaix en centre Bretagne, pour leur seconde manifestation, le mouvement de contestation des « Bonnets rouges » a visiblement réussi son pari : réunir plus de monde qu'à Quimper le 2 novembre dernier, et cela malgré les tentatives de division des centrales syndicales, de représentants politiques ou les commentaires d'experts médiatiques. 

En effet, l'ordre social établi et stérilisant la France depuis des dizaines d'années, est mis à mal par un mouvement populaire et enraciné qui met en évidence le manque total de légitimité de ces centrales syndicales non-représentatives, politisées et simples relais de transmissions des mots d'ordre parisiens. De même, ce mouvement des Bonnets Rouges agace et inquiète des formations politiques, car elles n'arrivent pas à le récupérer, et ne parviennent pas à saisir cette âme bretonne, qui transgresse toutes les lignes de fractures que sont les divisions politiques droite-gauche, salariés-patrons, fonctionnaires-commerçants, actifs-retraités, bref, tout ce qui permet d'ordinaire au pouvoir en place de se maintenir, en jouant sur des divisions stériles du pays réel, afin de maintenir en place un pouvoir légal incompétent, contestable et contesté.

Les experts médiatiques s'y perdent, incapables de cacher la réalité de ce mouvement, malgré les ordres reçus des rédactions parisiennes de minorer et de caricaturer ce drôle de peuple qui a décidé de ne plus subir, mais de « vivre, décider et travailler en Bretagne ».

Car c'est bien résolument placé sous les couleurs bretonnes, que plus de 35 000 personnes, selon les organisateurs, se sont réunies pour dénoncer un pouvoir centralisateur et uniformateur parisien, complètement déconnecté des aspirations et des réalités locales.

Partageant comme de nombreux français le sentiment d'être méprisés mais aussi abandonnés par un pouvoir politique qui semble une fois de plus demeurer sourd et distant, ce sont des salariés, artisans, entrepreneurs, artistes mais aussi des personnes de tous les horizons qui sont venus en famille clamer encore plus fortement leurs revendications mais aussi leur attachement à leur identité régionale. Le mouvement des Bonnets Rouges est certes breton mais il témoigne d'un mal profond qui touche toutes les régions françaises. Celui de populations qui réclament de redevenir maîtresses de leur présent comme de leur destin, et de pouvoir offrir à leurs enfants le projet de vivre, de travailler mais surtout de décider au pays, sans se voir imposer des mesures par un pouvoir jugé anti-démocratique et spoliateur. Car en effet, on ne gouverne plus à Paris, on ne fait qu'administrer les décisions prises à Bruxelles par un comité restreint de personnalités non-élues. Devant l'impuissance, la trahison, diront les plus déterminés, des politiciens, des syndicalistes, des journalistes, le cri de colère des Bonnets Rouges en Bretagne, exprime la volonté de tout un peuple de redevenir maître de son destin et de sa terre. Face au mondialisme et au cosmopolitisme, ils veulent rester « eux mêmes »?