Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 29 août 2013

Obama Cameron Flanby Lévy Juppé Fabius et autres vassaux du Qatar et d'Israël fomentent un crime contre l'humanité…


Obama Cameron Flanby Lévy Juppé Fabius et autres vassaux du Qatar et d'Israël, ceux-là veulent l'extermination des chrétiens d'Orient ! Qu'ils soient [comme dirait Flanby] "punis" ! Aucune punition ne sera trop douce pour chacun de ces salopards-là…

Les chrétiens de Syrie s’organisent par peur des rebelles islamistes

Les chrétiens de Syrie tentent de s’organiser, avec des armes rudimentaires, contre les groupes sunnites extrémistes radicaux qui mènent la rébellion…

Le million et demi de chrétiens syriens, catholiques ou, dans leur majorité, orthodoxes, s’efforcent de se tenir à l’écart du conflit.

Dans le Wadi al-Nassara, une vallée parsemée de villages chrétiens dans l’ouest de la Syrie, la population appelle l’armée du président Bachar al-Assad à les protéger contre les menaces jihadistes.

À Marmarita, autrefois lieu de villégiature prisé, les portraits des "martyrs" sont affichés sur les murs en pierre de taille. Des rubans de soie blanc ornent les rues en signe de deuil. Des images du président Assad, que les rebelles tentent de renverser depuis plus de deux ans et demi, sont omniprésentes également dans le bourg.

Marmarita est l’un de nombreux petits villages chrétiens qui s’étalent près du Krak des Chevaliers, une citadelle croisée, aujourd’hui entre les mains des rebelles.

Dans ces villages, qui comptent au total 50.000 chrétiens, les habitants ont formé, avec l’autorisation du régime, des Comités de défense populaire.

Le 15 août, des rebelles venant du village proche sunnite al-Hosn, où se trouve la citadelle, ont attaqué des barrages des Comités tuant cinq de ses membres ainsi que six autres civils.

Dans le salon de sa maison, la mère de Jacques Saadé, tué dans l’attaque, a accroché une photo géante de son fils en treillis sur fond de drapeau national rouge blanc et noir.
"Jacques nous défendait contre ceux qui nous veulent du mal", dit-elle en larmes, vêtue de noir. "Mon fils est mort en martyr", gémit-elle.

"Que l’État gagne et que Dieu nous garde Bachar", implore de son côté Issa Saadé, son mari.

"Nous voulons que l’armée nous aide à nous protéger", renchérit Marta, la soeur de Jacques.

"Nous demandons à l’État de dépêcher l’armée pour nous protéger des hommes armés qui assassinent nos jeunes et nos enfants", lance cette femme de quarante ans, robe noire et cheveux relevés en chignon.
Dans un communiqué, l’opposition syrienne a demandé aux habitants de la région de défendre la "révolution".
"Nous demandons à nos parents sur la côte et dans la montagne (…) de se montrer solidaires avec les objectifs de la révolution, afin de mettre fin à des décennies de despotisme", a indiqué la coalition nationale syrienne, principale formation de l’opposition. 

La coalition a demandé aux habitants d’être "conscients des mensonges colportés par le régime qui prétend protéger les minorités (..) alors qu’en fait, le régime les utilise comme otages pour défendre le clan (Assad) qui ensanglante le pays".
Mais pour ces chrétiens, le principal ennemi ce sont les jihadistes, notamment le groupe sunnite extrémiste Al-Nosra qui s’est rallié aux rebelles.
"Ils sont venus, ils ont coupé les routes, c’est le Front al-Nosra, Ils sont terrifiants", affirme la mère du "martyr" Soumer Yazigi, qui a péri également le 15 août.

"Est-ce cela la liberté que veulent les révolutionnaires ?", s’interroge-t-elle.

"Nous voulons que l’État nous protège. Beaucoup de nos jeunes ont été tués, ça suffit", se plaint-elle.
D’autres habitants ont encore raconté que la route principale du bourg était "sous le feu des rebelles qui se barricadent dans la citadelle". "Ils nous tirent dessus quand nous passons", a dit l’un d’eux.
Nombre de chrétiens, une communauté qui représente 5% de la population syrienne, soutiennent le régime de Bachar al-Assad, craignant les jihadistes et leur poids dans la rébellion.






*Le Journal du Siècle - Les chrétiens de Syrie s’organisent par peur des rebelles islamistes
*Gaz sarin en Syrie : action désespérée des djihadistes et de leurs complices israëlo-occidentaux…
*Un monastère catholique attaqué au cocktail Molotov et souillé de tags injurieux en Israël…
*Xavier Moreau [Realpolitik] : La Russie et l’ONU contre l’OTAN
*Syrie : pour le Patriarche catholique d’Antioche, l’intervention américaine serait un "acte criminel"
*Syrie : le Patriarche latin de Jérusalem appelle à la prudence
*Appel des religieux du Monastère de Deir Mar Musa contre une intervention militaire et toute forme de violence
*Pour sauver les chrétiens de Syrie, dites non à l’intervention militaire des États-Unis et de ses alliés ! *Prise de position du Patriarche de Babylone des Chaldéens contre une « malheureuse » intervention en Syrie
*Le Patriarcat de Moscou met en garde contre une intervention américaine en Syrie
*Syrie : le quartier chrétien de Damas pris pour cible par les rebelles


mercredi 28 août 2013

Toulon rend hommage au Général Raoul Salan, notre chef, commandant suprême de l'OAS


MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE

Le colonel Raoul Salan prend le commandement du 6e Régiment de Tirailleurs Sénégalais (RTS), en Corse, le 30 mai 1944. C'est à Bastia qu'il rencontre pour la première fois, le 16 juin 1944, le général de Lattre de Tassigny qui a demandé à voir le 6e RTS et son colonel…

À la tête de son régiment il débarque le 19 août 1944 au matin sur la plage de La Nartelle dans le Var, lors du débarquement de Provence. Il pénètre à Toulon le 26 août 1944, après six jours de combats intenses sur l’axe Solliès-Pont, La Farlède, La Valette et Toulon.

Le 6e RTS déplore 587 tués, blessés et disparus. Une citation à l’ordre de l’armée rend hommage à ce sacrifice et hauts faits de bravoure.

Le colonel Raoul Salan quitte Toulon le 9 septembre avec son régiment reconstitué par incorporation d'éléments des Forces françaises de l'intérieur (FFI) qui « blanchissent » progressivement ce régiment sénégalais. Par note du 13 octobre 1944, le 6e RTS devient le 6e Régiment d’Infanterie Coloniale (RIC).

En commémoration de la libération de Toulon et pour un hommage tout particulier au Général Raoul Salan, l'ADIMAD donne rendez-vous à tous les fidèles de la grandeur de la France, le mercredi 28 août au carrefour Général Raoul Salan à Toulon (derrière l’hôpital Sainte-Anne) à 11 heures. Fleurs et drapeaux seront les bienvenus.

Raoul Salan, s’il fut un immense chef de guerre, s’il libéra Toulon en 1944 à la tête de ses valeureux Sénégalais ajoute pour nous la dimension de l’Honneur et du Respect de la parole donnée.

Digne héritier des maréchaux Joseph Gallieni et Hubert Lyautey, Raoul Salan est l’homme qui, avec eux, symbolise au plus haut la gloire de l’Empire français… tant en Afrique qu’en Indochine…

Raoul Salan fut notre Chef dans l’Organisation Armée Secrète, commandant suprême face à la coalition ennemie gaullo-FLN.  Raoul Salan mit sa peau au bout de ses idées. Jamais nous ne l’oublierons. Il paya durement sa fidélité à la Nation française, durant de longues années de privation de liberté. Respect Monsieur le Maréchal !

Et ce ne sont pas les misérables qui ont osé le dégrader en débaptisant la place Général Salan en place Colonel Salan qui nous empêcheront de rendre hommage au Libérateur de Toulon, au Général en chef en Indochine et en Algérie, au Chef de la Résistance française à l’abandon et au parjure…

Un repas suivra, à un prix doux, pour ceux qui se seront préalablement inscrits auprès de :

Jean Billo : 04 94 42 51 41

Venez nombreux ce mercredi 28 août 2013, avec vos amis, pour partager ce moment de recueillement, d’amitié, de fidélité et d’espoir français.



En commémoration de la libération de Toulon et pour un hommage tout particulier au Général Raoul Salan, l'ADIMAD donne rendez-vous à tous les fidèles de la grandeur de la France, le mercredi 28 août, à 11 heures, carrefour Général Raoul Salan à Toulon (derrière l’hôpital Sainte-Anne). Fleurs et drapeaux seront les bienvenus.


28 août 1793 : Début du siège de Toulon


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Hommage au Maréchal Raoul Salan le 28 août 2012 à Toulon (photo Adimad)


CÉRÉMONIE CARREFOUR GÉNÉRAL RAOUL SALAN À TOULON

Allocution du président de l'Adimad, Jean-François Collin

(mardi 28 août 2012) 


Chers Amis,

Nous sommes ici pour rendre hommage à l’un de nos plus prestigieux compatriotes le Général d’Armée Raoul Salan.

C’est à la demande de Serge Jourdes que, désormais, l’ADIMAD organisera cette cérémonie chaque année. Depuis plus de 10 ans notre ami Jourdes a assumé avec une grande réussite cette réunion dédiée à la fidélité et à l’amitié.

Raoul Salan naît le 10 juin 1899 à Roquecourbe, dans le Tarn.

Le 2 août 1917, il s'engage pour la durée de la guerre et est admis à l'École de Saint-Cyr. Chef de section du 5ème R.I.C., il participe à de nombreux combats dans la région de Verdun où il sera cité.

Volontaire pour le Levant, promu Lieutenant le 11 septembre 1921, il est grièvement blessé au combat d'Accham le 24 octobre suivant, et rapatrié sanitaire en France. En 1924, toujours volontaire, il part pour l'Indochine, où il sera affecté au 3ème Régiment de tirailleurs tonkinois. Promu Capitaine le 28 avril 1933, il prend en octobre 1934, le commandement de la 6ème compagnie du 19ème Régiment mixte d'infanterie coloniale.

Lorsque la deuxième guerre mondiale est déclarée, il est Chef de bataillon et accomplit une mission secrète en Égypte et au Soudan, afin d'apporter une assistance à la résistance des forces d'Abyssinie contre les troupes d'occupation de l’Axe. Le 5 juin 1940, Raoul Salan est en première ligne sur la Somme, à la tête d'un bataillon du 44ème RICM Sénégalais. Il se distinguera par ses actions retardatrices lors des opérations de repli sur la Loire. Nommé Lieutenant-colonel le 25 juin 1941, il sert à nouveau en Afrique. Le 30 mai 1944, le Colonel Salan prend le commandement du 6ème RTS en Corse. Le 19 août 1944, son régiment débarque dans le Var où il va mener de féroces combats contre les forces allemandes, jusqu'à la libération de Toulon. Les Toulonnais l’appelleront d’ailleurs, à juste titre, « Libérateur de Toulon. En une semaine, le 6ème RTS dénombre dans ses rangs 587 tués, blessés et disparus...

En novembre 1944, le Colonel Salan conduit le 6ème RTS devenu 6ème Régiment d'infanterie coloniale, dans le Doubs, où il réduit les poches de résistance allemandes, puis en Alsace, où il libère plusieurs localités. Raoul Salan est promu Général de brigade et prend la tête de la 9ème D.I.C. qui va détruire les forces allemandes qui occupent Colmar. Il termine la guerre à la tête de la 14ème Division d'infanterie.

À partir de janvier 1952, le général Salan remplace le général de Lattre de Tassigny, décédé, au poste de Commandant en chef des forces françaises en Indochine. La stratégie qu'il développe va permettre de gagner la bataille de Na San.

En 1957, on retrouve le général Salan en Algérie, au commandement de la 10ème Région militaire. En 1958, malgré ses réticences, victime des comploteurs gaullistes, il fait appel à DeGaulle Charles et lui apporte, hélas, son appui. Farouche partisan de l'Algérie française, et profondément en désaccord avec la politique d'abandon rapide décidée par le plus grand traître de l’histoire de France - dont il prévoit les funestes conséquences – Il se réfugie alors en Espagne pour conserver sa liberté d’action ce qui lui permet de rejoindre l’Algérie au moment du soulèvement militaire du 22 avril 1961.

Après l'échec de la révolte militaire, fidèle à la parole donnée, il refuse de se rendre, entre dans la clandestinité et devient le chef de l’ Organisation Armée Secrète. Arrêté, il assume fièrement son engagement devant un tribunal d’exception et déclare : « Je suis le chef de l’OAS. Ma responsabilité est donc entière. Je la revendique, n’entendant pas m’écarter d’une ligne de conduite qui fut la mienne pendant 42 ans de commandement .Je ne suis pas un chef de bande, mais un général français représentant l’armée victorieuse, et non l’armée vaincue ». Il est condamné par le Tribunal Militaire à la prison à vie ; il sera libéré le 15 juin 1968 par De Gaulle Charles fuyant en Allemagne les émeutiers de Paris. Comme ses Camarades de combat il sera amnistié par François Mitterrand en 1982.

Le Général Raoul Salan s'est éteint le 3 juillet 1984 à l'hôpital du Val de Grâce à Paris. Il a été inhumé au cimetière de Vichy. Il est l'auteur de deux ouvrages : "Fin d'un Empire" et "Indochine rouge, le message d'Hô Chi Minh".

Ce Combattant volontaire, blessé de guerre, fier de porter les galons de Caporal-chef d'honneur de la Légion étrangère, arborait sur sa poitrine 10 rangs de décorations: il était Grand Croix de la Légion d'Honneur, titulaire de la Médaille militaire et de quatre Croix de guerre totalisant 17 citations.

À la demande de nombreux Toulonnais et Réfugiés d’Algérie ce carrefour avait été baptisé par la municipalité Le Chevallier :

Carrefour Général Raoul Salan
Libérateur de Toulon
28 août 1944

En juin 2005 les misérables gaullistes de la municipalité Falco, à l’unanimité, moins une voix, cédèrent au lobby de la Ligue des Droits de l’homme et votèrent le changement d’appellation de ce carrefour qui devint, pour eux, mais pas pour nous :

Carrefour colonel Salan
Libération de Toulon
Août 1944

Ainsi, notre Chef fut dégradé et ne fut plus le Libérateur de Toulon ! Honte à ces élus sans courage et soumis au politiquement correct.

Quant à nous nous continuerons chaque année à venir honorer celui qui fut l’Honneur de la France face au parjure et à l’abandon.

À l’an prochain !


mardi 27 août 2013

Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD…

MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE
[Cliquez sur le texte pour l'agrandir]


1.- Mercredi 28 août à 11 heures, à Toulon, hommage à notre Chef le Général Raoul SALAN sur la place inaugurée à son grade et nom et débaptisée honteusement par une équipe de misérables élus municipaux !
Un repas suivra, à prix doux. Inscriptions téléphonique auprès de Jean Billo : 04 94 42 51 41

2.- Mercredi 25 septembre à 17 h 30 hommage à un grand Français le Bachaga Saïd BOUALAM – Vice-Président de l’Assemblée nationale - dans le square à son nom et devant la Stèle qui lui est dédiée à Giens/Hyères (en face de l’hôtel Provençal).
Lors de cette cérémonie un don sera remis publiquement à Zohra et Hamid pour exécuter les dernières volontés de notre Camarade et Ami Michel Gonnaud qui combattit dans les rangs du Maquis de l’Ouarsenis, sur les terres du Bachaga qui y avait éradiqué les terroristes FLN. Il l’avait payé de trop longues années de prison ! Sa dernière volonté : pas de fleurs mais une quête pour une association de Harkis. De l'exécution de cette dernière volonté de Michel Gonnaud, l’ADIMAD en a reçu la mission.


Zohra et Hamid se sont particulièrement illustrés dans leur lutte pour la défense des Harkis en campant pendant près de deux ans devant l’Assemblée nationale sans que Sarkozy de Nagy Bocsa les prenne en considération et leur fit subir, au contraire, les pires ennuis policiers…
Par ailleurs ils ont effectué une marche de Montpellier jusqu’à Paris, pour la même raison et n’ont même pas été reçus par les « autorités » ! Leur halte au cimetière de Bourg-la-Reine, sur la tombe du Colonel Jean BASTIEN-THIRY méritait bien cette misérable vengeance !
Par ailleurs encore, le maire de Gorniès (34), un salaud nommé Hans Mettler, les a expulsés de leur logement avec l’assistance de 20 gendarmes alors que Zohra était sous assistance respiratoire ! Depuis, ils campent dans un mobil-home devant la mairie !

3.- Une fille de Harki recherche des militaires français vivants ayant sauvé du génocide gaulliste ces soldats méritants. Prière de  transmettre leurs coordonnées à : adimadsud@wanadoo.fr

À Toulouse, le pont du Chevalier Bayard honore les Harkis, martyrs du FLN et des gaullistes…








lundi 26 août 2013

La Voix de la Russie : En Syrie les amis de Laurent Fabius abattent leurs dernières cartes : assassinat ciblé et gazage de masse




Au sommaire de cette édition du 26 août 2013 :

- Flanbyland : des rats des villes émeutifs et des rats des champs de moins en moins patients
- Syrie : les amis de Laurent Fabius abattent leurs dernières cartes : assassinat ciblé et gazage de masse
- Allemagne : revue des troupes politiques avant le grand soir électoral de septembre
- Hongrie : interview exclusive  de Gabor Vona, président fondateur du Jobbik
- Fukushima : pour une nécessaire entente Russo-japonnaise
- Cannes : prend les habits de la Sibérie à l'occasion du Festival des arts russes
- Quittez la Hollandie pour revenir en France, le temps d'un Spectacle médiéval à la Chapelle d'Angillon les 7 et 8 septembre prochains
- L'émission "À bâton rompu" reçoit le politologue russe Segey Fedorov pour une analyse de la scène politique française.

dimanche 25 août 2013

Gaz sarin en Syrie : action désespérée des djihadistes et de leurs complices israëlo-occidentaux…


Président Bachar al-Assad : "La Syrie ne deviendra jamais la marionnette de l'Occident"

"Innommable"… les mots ne suffisent plus à nommer le larbin à BHL…
Rien n'a changé depuis le temps où Juppé se croyait ministre !



L’innommable Juppé et le Bazar-Henri Lévy sortent de leur tanière pour hurler de concert avec la meute Obama Netanyahu Ban Ki-moon Cameron Flanby Fabius et autres vassaux du Qatar et d'Israël… Autant de hyènes dont le ricanement aussi menteur que désespéré ne peut être que de bon augure : une preuve de leur déroute et de la reprise du contrôle du pays par l’Armée nationale syrienne… Mais malgré leur défaite annoncée ne négligeons pas le pouvoir de nuisance et l’activisme vigilant prêt-à-tout de l’alliance israélo-islamiste

Attaque à l'arme chimique en Syrie ? Ayssar Midani décrypte la propagande…



Le commandement général de l'armée : La possession par les gangs terroristes des substances chimiques démontre leur recours à l'arme chimique

Damas - Le commandement général de l'armée et des forces armées a indiqué dans un communiqué que dans le cadre des opérations réussies exécutées par l'armée arabe syrienne, un entrepôt contenant des matières premières pour la fabrication de l'arme chimique, des masques anti-gaz et de grandes quantités de médicaments utilisés pour traiter l'effet de l'inhalation des matières chimiques toxiques, a été saisi… …

Syrie – Le massacre chimique d’Al-Ghouta. La Russie fournit les preuves satellites aux Nations-Unies sur les auteurs du massacre

La Russie fournit aux Nations-Unies les images satellites, irréfutables, des deux missiles chargés de produits chimiques qui se sont abattus sur Al-Ghouta faisant des centaines de morts, dont la plupart des enfants, ont été lancés depuis la région de Douma en Syrie, sous contrôle des rebelles! Information relayée par plusieurs autres médias…

Qui utilise vraiment des armes chimiques en Syrie ?



Ce 24 août, les soldats des troupes loyalistes syriennes ont découvert un stock important d'armes chimiques en se rendant maîtres d'un site tenu par les insurgés de l'opposition armée à Jobar, une banlieue de Damas où ont lieu des combats acharnés entre troupes du gouvernement, fidèles à Bachar el Assad, et opposants entrainés en Turquie et en Jordanie par des cadres américains, turcs, jordaniens et israéliens. L'Agence de presse nationale syrienne SANA (loyaliste) rapporte que les soldats gouvernementaux « ont commencé à s'étouffer en entrant dans Jobar »

… Un fait divers assez récent attire l'attention sur cette question de l'utilisation de l'arme chimique. Douze membres du Front al-Nosra, une fraction de l'opposition armée syrienne liée à Al-Quaida, avaient été arrêtés par les autorités turques le 30 mai 2013 à Adana, ville située à 100 km de la frontière syrienne. Ils étaient en possession d'un bidon cylindrique contenant 2 kilos de gaz sarin et s'apprêtaient à commettre des attentats sur le sol turc. La Turquie est d'ailleurs bien mal recompensée de sa peine puisqu'elle livre depuis des mois des armes, des véhicules militaires et des missiles aux opposants et a même bombardé la Syrie depuis sa frontière. Les journaux Taraf, Cumhuriyet et Aksam ont relayé la nouvelle, ainsi que la chaîne russe en langue anglaise RT (Russia Today). Silence radio en revanche pour les médias français et occidentaux. De quel côté se trouvent vraiment la violence chimique et la censure ?

Aymeric Chauprade : Contre la culture du mensonge, la culture de la France !


Dossier sur la désinformation sur les médias de l'audiovisuel français

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Il n'y a pas que le gaz sarin… Mauvaise rencontre sur une route du Levant…





Le compte publiant cette video a été supprimé par YouTube : "non respect des règles de YouTube concernant la violence… violation de la charte de YouTube"… Il est vrai que cette vidéo est extrêmement violente par son réalisme… Une vidéo qui ne peut avoir été réalisée que par les djihadistes eux-mêmes… Alors pourquoi vouloir occulter ce qu'eux-mêmes revendiquent ? Une censure qui ne peut que révéler davantage le comportement criminel des Obama, Netanyahu, Cameron, Flanby, Lévy, Fabius, Juppé qui tentent par là de masquer la vraie nature de ceux que de leur seule initiative ils soutiennent… et qui les haïssent. Comment concevoir que notre Légion étrangère et de jeunes Français soient engagés aux côtés de ces monstres ? Soient sacrifiés pour la cause de ces monstres ?

La vidéo (en moins bonne qualité)  peut encore être vue à partir du lien suivant… à voir absolument pour définitivement avoir réalisé combien sont  criminels le comportement et les propos des Obama, Netanyahu, Cameron, Flanby, Lévy, Fabius, Juppé… :

http://youtu.be/jhCX0LmL4Ig

Inutile de comprendre l'arabe… Si vous êtes pris par un barrage volant de stupides fauves djihadistes de ( الدولة الإسلامية في العراق والشام ) l'État islamique d’Irak et du Levant [ie "Grande Syrie"]  mieux vaut savoir répondre à n'importe quelle question piège sur les prières que tout bon musulman sunnite n'aurait pas le droit d'ignorer…

Synopsis… Sur une route dans le désert syrien, barrage volant de djihadistes… Trois camions sont pris au piège… Les conducteurs extraits de leur cabine, rassemblés, et sous la menace d’une kalachnikov contraints de s’accroupir face à l’un des djihadistes… Saisie des papiers… Questions dans un arabe vulgaire, loin celui chatié des Syriens… – « Tu es alawite ? » – « Nous sommes sunnites »…  – « Vous mentez… toi tu es né à Tartous »… La carte d’identité est alors brandie comme preuve face à la caméra… Bien que le sort des malheureux soit déjà tranché, le djahadiste insiste – « Un sunnite doit se prosterner combien de fois lors de la prière de midi ? » Hésitation des trois hommes… – « Trois fois… puis cinq… » Une réponse qui ne satisfait pas le djihadiste sunnite… Les trois hommes sont des alawites… Vient alors le dénouement… dans une horreur indicible… D’avoir vu cette vidéo, dans son intégralité, j’en ai encore des nausées…

Avis à Obama, Netanyahu, Cameron, Flanby, Fabius, Lévy ou Juppé s'il leur prend l'envie de s'aventurer par là-bas soutenir leur frères et amis sunnites… Honnêtes chauffeurs routiers ou politiciens bravaches, devant le tout puissant allah vous serez tous égaux… Et, malheureusement le seraient aussi les braves et innocents soldats qu'ils voudraient  expédier soutenir le terrorisme islamiste…

Les amis sunnites d'Obama, Netanyahu, Cameron, Flanby, Lévy, Fabius, Juppé…

Une visite du site permettra à quiconque de comprendre toute l'ampleur de la subversion… et le haut degré de criminalité de la démarche des dirigeants occidentaux qui osent effrontément soutenir ces islamistes, avec la complicité du Qatar et d'Israël : État islamique d’Irak et du Levant

CENTRE FRANÇAIS DE RECHERCHE SUR LE RENSEIGNEMENT (CF2R) : NOTE D'ACTUALITÉ N°309 SYRIE - IRAK : LE FRONT AL-NUSRA
Pourquoi les démocraties occidentales soutiennent-elles les sunnites et sont-elles prêtes à les aider à exterminer les chiites ?
Parce que les sunnites ont beaucoup plus de pétrole, énormément plus de pétrole que les chiites :
MINURNE - RÉSISTANCE : APRÈS L'IRAK, LA SYRIE !

Une "synthèse" pour l'université d'été des socialauds à La Rochelle : du pain sur la planche !






vendredi 23 août 2013

Mieux que le Malet-Isaac des francs-maçons… Jamel Debbouze : l'Histoire nouvelle…


M6 : l’Histoire de France racontée par Jamel Debbouze ?

   


Un programme court qui sera diffusé sur M6…

La mini-série devrait voir le jour à la fin de l’hiver prochain et nul ne sait à l’heure actuelle si Jamel Debbouze apparaîtra à l’écran où s’il n’aura fait que se consacrer à l’écriture.

Inconnue et inquiétude de l'OJIM : "À quoi ressemblera l’Histoire debbouzienne ? En novembre 2010, l’historien déclarait que l’Islam était présent en Europe depuis 3000 ans. Attendons-nous ainsi à voir des Gaulois en train de prier tournés vers La Mecque !"

Un programme court… Tout un programme… C’est bien avec des programmes courts que l’on embrigade… Que l’on manipule. Propagande… Tracts… Court pour mieux être incrusté dans des cerveaux fragiles…

Cette façon d’enseigner l’Histoire n’est certes pas nouvelle… J’ai toujours été rebelle à tout procédé d’apprentissage appelant à la mémoire… J’aime trop essayer de comprendre avant tout. Hélas ! c’est à un authentique viol de conscience que j’ai été soumis, tout comme mes condisciples, durant une interminable et inutile scolarité au lycée Lamoricière d’Oran… Je souffre encore de la paresse et de l'incompétence de certains enseignements, leur insulte à la raison hante toujours certains de mes cauchemars. L’Histoire… Souvenir douloureux de ce prof d’Histoire corse qui ne levait le cul de sa chaise que pour aller pisser, paraphrasait - quand il ne se contentait de lire - le Malet-Isaac… Puis qui nous intimait pour le cours suivant d’apprendre par cœur le résumé de la leçon qu’il venait lui-même d’ânonner… Nous étions alors notés sur notre seule aptitude à débiter intégralement l’insidieux résumé. Pensionnaire, le jeudi j'allais fouiner dans la bibliothèque de mes grands-parents. Je découvrais les livres. Je devais être en première quand j'eus l'outrecuidance de réviser pour ma compo d’Histoire dans un ouvrage peu favorable à la révolution russe découvert un de ces jeudis. Cela me valut un 2/20. Évaluation sans appel de l'ignorance de tous ces profs installés dans le dérisoire de leur autorité et leur servilité à l’idéologie officielle. Que de temps gâché. Combien j'ai par la suite envié l'éducation de Marguerite Yourcenar, elle qui n'a jamais connu les bancs de l'école.

Que de violence… Que de temps perdu… Tout ce que j'ai appris, je l'ai acquis hors ou après l'école. Quelle ivresse le lycée oublié de pouvoir enfin goûter au bonheur et à la liberté d’apprendre…

Ânonner le résumé du Malet-Isaac, que voilà un bel exemple de la stupidité pernicieuse des méthodes pédagogiques auxquelles nous avons été soumis. Si nos parents et nous-mêmes avions été éduqués différemment aurions-nous acquis une maturité politique qui nous eût permis de répondre autrement à l'adversité ? Combien de fois me le suis-je demandé. Courir au bateau, la tête vide ! Voilà ce que nous ont appris nos maîtres dits "historiens", agents zélés d'une république franc-maçonne.


Histoire ou mémoire ?

C’est fou ce que chaque mois porte de dates remarquables… Des dates qui appartiennent à l’Histoire ou à la mémoire ? Autrement dit qu’est-ce que l’Histoire, qu'est la mémoire ? L’Histoire (avec nécessairement une majuscule !) se veut la Vérité. Évidemment !… puisqu’elle est écrite et réécrite par les vainqueurs. À présent le privilège revient Jamel Debbouzze… C'est fait. C'est entériné. Jamel Debbouze et les siens officiellement reconnus nouveaux maîtres de la France ! Nouvelles falsifications d'une Histoire invariablement travestie mythifiée imposée, en définitive "enseignée",  rôle dévolu aux larbins du pouvoir, aux instits, aux profs dits d'Histoire, aux moralistes et démagogues de tout poil, à tous ceux qui approchent les plus influençables, les jeunes, les enfants, les moins cultivés… Ainsi l'Histoire reste d’essence totalitaire… ne souffre aucune contestation… Menaçante comme le Dieu méchant des juifs et des musulmans… La mémoire, elle, appartient à chacun de nous, aux rebelles, aux vaincus, aux minorités… En ce sens, elle seule a des chances d’être vraie, authentique, plurielle… À condition que nous soyons honnêtes envers nous-mêmes… que nous ne nous racontions pas d’histoires… Gardons-nous de ceux qui prétendent nous dire l'Histoire…


Histoire-géographie au lycée ou comment on embrigade la jeunesse









Un monastère catholique attaqué au cocktail Molotov et souillé de tags injurieux en Israël…


La Croix : Le monastère catholique de Beit Jamal, en Israël, visé par un cocktail Molotov et des graffitis


Un cocktail Molotov a été lancé contre le monastère catholique de Beit Jamal, près de Beit Shemesh, dans les collines de Judée, en Israël, a annoncé une porte-parole de la police mercredi 21 août 2013. Des images de caméras de sécurité montrent le feu brûler pendant plusieurs minutes, mais sans s’étendre à la végétation ni au mobilier en bois.

« Des graffitis en hébreu ont également été gribouillés sur les murs, sur lesquels on peut lire “mort aux goys”  et “vengeance” », a précisé Luba Samri dans un communiqué. « La police enquête sur toutes les pistes, dont des motivations nationalistes », a-t-elle ajouté.

Les Sœurs de Bethléem, qui habitent le monastère près de la ville de Beit Shemesh, ne se sont pas rendu compte de l’attaque que lorsque des visiteurs sont arrivés et ont constaté les dégâts, précise le quotidien israélien Haaretz. Mercredi 21 août, le patriarche latin de Jérusalem, Mgr Fouad Twal, s’est rendu sur place et a condamné l’incident.

Ces trois dernières années, une vingtaine de sites chrétiens et musulmans ont été la cible d’agressions…


Christianophobie en Israël : actes de vandalisme contre le monastère trappiste de Latroun

Netanyahou chouchoute les rabbins fanatiques… Campagnes christianophobes en Israël…

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Saviez-vous que tous les jours des religieuses catholiques vont prier le chapelet au mur pour la paix et la justice ? On retrouve même sur le mur des images religieuses comme cette superbe icône de Marie. Les habitants de l’endroit la nomment Marie-qui-fait-tomber-les-murs.
Marie-qui-fait-tomber-les-murs (photo © Marie-Armelle Beaulieu)


mardi 20 août 2013

Boîte à idées : Expédier les vieux mourir en Thaïlande… Une suggestion qui titille la Suisse !


Croquis de Stéphane Montavon


L’idée se répand insidieusement de délocaliser ces citoyens coûteux en Thaïlande ou en Croatie.

Quelques petits cantons et communes ont fait travailler leurs neurones afin de trouver comment éviter un certain nombre de dépenses publiques. Tous ces vieux qui n’ont pas les moyens de payer entièrement les 5 à 6 000 francs suisses mensuels de l’EMS les ont titillés. Devoir assurer le complément de ce paiement leur est sans doute apparu moins naturel que le financement de grandes banques en difficulté. Aussi l’idée se répand-elle insidieusement de songer à délocaliser ces citoyens coûteux en Thaïlande ou en Croatie. Comme l’a fait remarquer subtilement un de ces penseurs à la mode : « De toute façon, les vieux devenus déments ne se rendront même pas compte qu’ils ne sont plus en Suisse. »

Au 19e siècle dans notre pays, en pleine période de crise voire de famine, des cantons et des communes ont préféré payer le voyage dans les Amériques plus un petit pactole à des familles plutôt que de risquer devoir leur offrir un logement et une aide matérielle. À cette époque, il n’existait aucune assurance sociale et le colonialisme paraissait être une solution, selon le principe du « gagnant-gagnant ».

Point de rupture de la solidarité

Dans le cas des vieux externalisés, il ne s’agit pas vraiment de cela. Mais bien plutôt de la volonté de faire disparaître du paysage helvétique les vieux qui ne sont pas riches. Ce n’est pas seulement le comble de la dérive du marché et de son cynisme. C’est pire. On atteint ici le point de rupture de la solidarité. La remise en cause de principes essentiels comme celui qui veut que le bien portant paie pour les malades, que les vieux paient des impôts pour financer les écoles et la formation, que le monomaniaque de la voiture aide à financer les transports publics, que celui qui ne sort jamais la nuit paie l’éclairage public, que le riche partage. Cette solidarité est grignotée chaque jour. Et l’on va même jusqu’à agir comme si les liens avec sa famille, ses petits enfants, ses amis, ses souvenirs, ses racines étaient sans valeur par rapport au fric. Le vivre ensemble n’existerait-il qu’entre gens professionnellement actifs ? Après les vieux expatriés, à qui le tour ?

Des centaines de retraités allemands ont déjà été déportés en Hongrie ou en Slovaquie, vu les coûts des EMS. Bien entendu, d’habiles entrepreneurs organisent et gèrent ces relégations en pays lointains, arguant que les familles peuvent en profiter pour y passer une fois l’an de chouettes vacances auprès de leur cher papy ou mamie. Nul doute que des pompes funèbres envisagent déjà de gagner quelque argent dans le rapatriement des corps de retraités exilés défunts, dernier profit que l’on pourra en tirer.

Des dérives qui conduisent à l’exclusion

Notre société en est-elle arrivée à ce point de marchandisation ? Elle qui se targue dans le préambule de la Constitution fédérale que le peuple suisse et les cantons sont « déterminés à vivre ensemble dans leur diversité… sachant que la force de la communauté se mesure au bien être du plus faible de ses membres ». Vat-on tolérer l’exclusion plus ou moins volontaire de ceux qui ont construit la prospérité du pays et qui ont lutté pour créer des assurances sociales dont la plus ancienne, l’AVS, n’a que 65 ans ? La marchandisation de la santé qui est en marche démontre ici de façon éblouissante sa stratégie obstinée et les dérives qu’elle implique.

Certes, en théorie, personne ne peut contre son gré être embarqué dans une telle galère. Mais les pressions, la culpabilité de « coûter cher à la société », le sentiment d’être inutile vont faire leur œuvre sournoise.

Dans un communiqué, l’Avivo suisse a fait savoir son inquiétude et son indignation.


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