Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

dimanche 14 décembre 2014

Flanby frappé grave d'amnésie… ou infantilisé par un Alzheimer précoce ?…

"La grande défaite en tout, c'est d'oublier."
Louis-Ferdinand Céline
Voyage au bout de la nuit

Lettre ouverte d'Anne CAZAL
à
François HOLLANDE, président de la République française




ANNE CAZAL
JOURNALISTE-ÉCRIVAIN
BOITE POSTALE 28 – 31620 FRONTON
Courriel : anne.cazal@orange.fr                                                                                         


                                                                                                       Monsieur François HOLLANDE
                                                                                                       Président de la République
                                                                                                       Palais de l’Élysée
                                                                                                       55 rue du Faubourg Saint Honoré
                                                                                                       75008 PARIS
                        
LETTRE OUVERTE

Monsieur le Président de la République,
« La France n’a plus aucun otage » avez-vous affirmé, la main sur le cœur, lors de l’accueil réservé à Serge Lazarévic…
Vous avez poursuivi ainsi : "La France ne compte plus d'otage et elle ne doit plus compter d'otages. Ce qui suppose une grande vigilance, une grande protection de nos intérêts. Et je fais ici appel à toutes les entreprises et les administrations pour éviter ces drames. Que les Français prennent bien conscience que ces questions d'otages sont extrêmement douloureuses"…
Oh ! Qu’en termes  sommaires ces choses-là sont dites, Monsieur le Président de la République Française ! Plus aucun otage français… En êtes-vous certain ?
« La France n’a plus d’otage. » Auriez-vous totalement effacé de votre mémoire la déclaration du Président de la République algérienne en 1971, lequel déclarait : « À Paris on semble ignorer que nous détenons un très grand nombre d’otages français. Quand il le faudra nous en communiquerons la liste à toute la presse et cela provoquera une émotion considérable en France. Alors, pour obtenir la libération de ces otages, il faudra y mettre le prix » ?
Lorsque vous avez déclaré, aussi légèrement : « La France n’a plus aucun otage », étiez-vous soudain frappé d’amnésie, ou aviez-vous décidé de gommer de l’Histoire de France les 537 jeunes appelés, dits « prisonniers du FLN » et qui n’ont jamais été rendus au premier président-fondateur de la cinquième République, sans que celui-ci ne bronche ?
« La France n’a plus d’otage. » Ne vous est-il jamais venu à l’idée que quelques-uns de ces malheureux jeunes Français, qui avaient 20 ans à l’époque de la capitulation gaulliste, puissent encore survivre, esclaves dans quelques bouges, réduits à l’état de bêtes de somme, condamnés à tourner sans fin quelque noria dans le sud algérien ?...
« La France n’a plus d’otage. » Et ceux que la France gaulliste a si légèrement  nommés « les disparus », dont vos Archives falsifiées ont réduit le nombre à 3018, mais qui furent éminemment plus nombreux, et ces Harkis, soldats français tous otages de cet ennemi vaincu, devant lequel la France a capitulé, qui furent décimés par centaines de milliers ?
Et ces jeunes filles, à peine nubiles, arrachées aux bras de leurs parents sur le quai des ports d’Oran ou d’Alger, pour assurer le repos des guerriers, sont-elles toutes mortes en esclavage ? N’en reste-il pas une seule de vivante puisque «  la France n’a plus d’otage » ?…
Non, Monsieur le Président de la République Française, nous ne sommes pas « à un moment important », nous nous noyons en pleine amnésie !

Anne CAZAL

*     *     *

Vidéo-témoignage d'André Aussignac



André Aussignac, appelé du 23e Rima à Alger, a été déclaré disparu le 21 juillet 1962 par l'armée française… André Aussignac, un militaire appelé en Algérie et originaire de Bordeaux a attendu l'âge de 68 ans pour oser relater son enlèvement par le FLN, après l'indépendance, et l'effroyable calvaire subi dans une mine de fer près de Miliana, son calvaire mais aussi celui d'autres Français civils et militaires qui eux n'en réchappèrent pas.

Souvenez-vous après le fin de la guerre du Vietnam, les Américains auront passé plus de dix ans à aller chercher dans tous les recoins de la jungle tous leurs prisonniers. La France, elle, les a sacrifiés au FLN ! On notera avec stupeur qu’un ministre algérien a visité les prisonniers français dans les couloirs des mines de Miliana où ils étaient traités avec la dernière sauvagerie… Honte à DeGaulle pour ce lâche abandon complice… Honte à François Hollande pour son comportement ignoble à l'égard de tous ceux qui ont combattu le FLN… pour sa collusion éhontément affichée avec le FLN et ses héritiers…

Voici, résumée cette confession, de l'horreur à l'absurde…
« Le soir du 21 juillet 1962 je suis sorti, en uniforme, de ma caserne de Maison-Carrée près d'Alger pour aller acheter des cigarettes…
Je suis alors tombé sur un barrage d'Arabes algériens en uniforme. Ils m'ont pris ma carte d'identité militaire et l'ont déchirée. Je me suis retrouvé dans une camionnette avec des civils européens, dont le propriétaire du véhicule. Nous avons été conduits dans une briqueterie, déshabillés et jetés dans un four encore tiède. Dans la nuit, d'autres Européens sont arrivés. À la fin, nous étions 17. Nous sommes restés là, entassés, sans boire ni manger, à redouter qu'ils allument le four. Au bout de quarante-huit heures environ, nous sommes partis en camion bâché. Une fois dans le djebel, on nous a fait descendre et nous avons entamé une marche forcée de plusieurs semaines pour finalement aboutir dans une mine de fer près de Miliana.

Là, on nous a jetés à moitié nus dans une galerie. Dans la mienne, nous étions environ 60, mais il y avait d'autres galeries avec d'autres Européens. On nous obligeait à creuser avec des petites pioches. Nous avions droit à un verre d'eau par jour et parfois à un plat de semoule. Pour ne pas mourir de soif, nous mettions nos slips dans les parois humides de la mine et nous suçions les gouttes d'eau. Quand le plat de semoule arrivait, nous nous battions entre nous comme des chiens. Certains sont morts d'épuisement, d'autres se sont volontairement tués. Un jour, l'un d'entre nous a planté sa pioche dans la terre et s'est jeté sur la lame.
 Un autre jour, un ministre algérien est venu visiter la galerie. Je ne me suis pas levé pour le saluer. Il m'a balancé un grand coup de pied dans la tête [la cicatrice à l'arcade sourcilière est encore visible]. J'ai essayé de m'évader deux fois sans succès. La première fois, en représailles, on m'a donné de grands coups de bâton sur les chevilles. La deuxième, on m'a assis sur une pierre, ligoté à un pieu et arraché les ongles des orteils avec une pince. La troisième tentative a été la bonne. J'étais avec deux autres copains qui ont été abattus. J'ai marché jusqu'à l'épuisement. Des Pieds-noirs m'ont découvert évanoui et nu dans un fossé. Ils m'ont soigné, puis fait embarquer sur un chalutier en direction de Marseille.
 Quand je suis arrivé chez moi, à Bordeaux, ni mes parents ni ma fiancée ne m'ont reconnu. Je pesais moins de 40 kilos [contre 70 avant mon départ]. Le 22 juillet 1963, j'ai été arrêté par la gendarmerie de Villeneuve-sur-Lot. C'était pendant mon voyage de noces. On m'a interné au fort du Hâ pour « désertion en temps de paix » !
J'ai été brutalisé. On voulait que je livre les filières qui m'avaient permis de revenir d'Algérie. Je suis resté muet. On m'a ensuite conduit à l'hôpital militaire Robert Piquet. Sur la porte de ma chambre, on avait inscrit : « Individu dangereux, à ne pas mettre en contact avec les autres recrues ». Le tribunal militaire de Bordeaux m'a finalement acquitté. Je rends hommage au commissaire du gouvernement qui a plaidé pour ma non culpabilité. Il a ensuite été muté. En novembre 1963, le sénateur Etienne Dailly a évoqué mon cas au Sénat (Journal officiel du 24 novembre 1963, p. 2572).

Quelques jours auparavant, la Sécurité militaire m'avait menacé pour que je me taise. Mon histoire gênait. Je me suis tu jusqu'à aujourd'hui. J'offre ce témoignage à la mémoire de mes compagnons qui ont été sacrifiés. »
 
Témoignage d'un soldat métropolitain enlevé par le FLN en juillet 1962



vendredi 12 décembre 2014

Le Parlement Européen à Bruxelles a sa Crèche de Noël, bénie par Mgr Bernard Fellay…


“La civilisation n’est plus à inventer : elle a été, elle est, c’est la civilisation chrétienne, c’est la cité catholique. Il ne s’agit que de l’instaurer et de la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins”.


Le parlement européen a sa Crèche de Noël…

Tandis que face à franc-maçonnerie l’affaire des crèches de Noël bat son plein en France, une belle Crèche a été installée dans le grand hall du Parlement européen de Bruxelles.
Ce sont quelques jeunes qui forment l’association « La Crèche du Parlement » qui près avoir obtenu les autorisations nécessaires, ont installé cette  belle Crèche ce lundi 8 décembre 2014.
En arrière plan, ils ont tendu deux grandes bâches portant ces inscriptions : « Merry Christmas » et « Gloire à Dieu au plus haut des Cieux, et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté ».

Ce 9 décembre 2014, une crèche de Noël a été inaugurée au Parlement Européen à Bruxelles et bénie par Mgr Fellay…


Ce 9 décembre 2014, à l'initiative de Civitas et avec l'appui de l'eurodéputé Mario Borghezio, une crèche de Noël a été inaugurée au Parlement Européen à Bruxelles et bénie par Mgr Fellay…


 
La crèche bénie par Son Excellence Mgr Bernard Fellay, Supérieur Général de la FSSPX

Une magnifique crèche de Noël, de grande taille, a trouvé sa place
dans l’espace officiel du Parlement Européen à Bruxelles
au milieu d’un hall central de l’institution européenne.


À 16 heures 30, ce mardi 9 décembre 2014 , le député européen Mario Borghezio a accueilli les personnes invitées à assister à l’inauguration de cette crèche de Noël. Des eurodéputés, des assistants parlementaires et des fonctionnaires européens, ainsi que quelques invités extérieurs, étaient présents.
Alain Escada, Président de Civitas, a brièvement pris la parole pour rappeler que cet Enfant-Jésus au centre de la crèche est appelé à régner sur les Nations et que tout pouvoir vient de Dieu.
En ce centenaire de la mort de saint Pie X, le président de Civitas a cité devant les eurodéputés ces paroles célèbres du souverain pontife :
“La civilisation n’est plus à inventer : elle a été, elle est, c’est la civilisation chrétienne, c’est la cité catholique. Il ne s’agit que de l’instaurer et de la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins”.
Ensuite, Mgr Bernard Fellay, qui avait personnellement tenu à être présent, a solennellement procédé à la bénédiction de cette crèche de Noël assisté de monsieur l'abbé Thierry Legrand, Supérieur du District de Belgique et des Pays-Bas.




Puis, à son tour, le Supérieur Général de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X s’est adressé aux présents en ces termes :
"C'est là que tout a commencé, dans la crèche. Il est donc normal que les dirigeants de l'Europe rendent hommage à ce Dieu qui vient au milieu des hommes pour les sauver, Lui qui est le Roi des Rois. Car rappellons-nous ce que disait dit le cardinal Pie : "si le moment n’est pas venu pour Jésus-Christ de régner, alors, le moment n’est pas venu pour les gouvernements de durer."
Par la bénédiction de cette crèche, l'Eglise va lier cet endroit à la grâce du Bon Dieu. Ce petit endroit va devenir un sacramental et profiter à tous ceux qui viendront se recueillir ici."
Dans un court entretien vidéo fourni par nos confrères de MPI, Mgr Fellay a invité tous les fidéles à avoir le courage de participer à la veillée du 17 décembre à 20 H 00 , devant la crèche de Noël, aux abords de la "Libre Pensée" à Paris.




Outre M. Mario Borghezio, organisateur avec Civitas de cette première, plusieurs eurodéputés ont assisté à cette bénédiction : français, anglais, grecs, portugais, et italiens.
Un salut spécial et nos sentiments très reconnaissants à M. Claudio Giordanengo, responsable des "Pèlerinages Pascendi", à qui nous devons toutes les démarches auprès des autorités de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X - et plus spécialement auprès de Mgr Bernard Fellay - pour parvenir à cette splendide mise en perspective de la crèche de Noël.
L’évènement était couvert en exclusivité par les journalistes de Médias-Presse.Info et de La Porte Latine.

Texte : Communication District de France
Crédits photos : LPL - Matthieu Croonen - Jean-Pierre Huguet




Soirée "Crèche" avec Civitas

La crèche de Noël est devenue l’emblème de la résistance à l’antichristianisme franc-maçon ! Le 17 décembre à 20 h, rendez-vous avec Civitas pour une veillée avec crèche de Noël à Paris aux abords du siège de la « Libre Pensée », sinistre repaire des ayatollahs de la laïcité.
Rendez-vous place de l’Estrapade, Paris 5e (intersection rue Lhomond et rue des Fossés-Saint-Jacques).



Cher Monsieur le Tribunal,

J'ai pris connaissance il y a quelques jours de votre décision d'interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de la Vendée.

Quelle mouche vous a donc piqué ?

Vous avez fait des études je suppose. Peut-être savez vous donc que Noël vient du latin "Natalis" qui veut dire "Naissance". Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous. La naissance dont-il est question est celle d'un certain Jésus de Nazareth né il y a un peu plus de 2000 ans. Je dis ça parce qu'étant donné que vous n'avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noël n'est pas l'anniversaire de la naissance du Père Noël (je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous) mais bien celle de ce Jésus. Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l'andouillette tout en interdisant la consommation d'andouillette le jour de la fête de l'andouillette.

La crèche c'est ce qu'on appelle une tradition. Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n'est parce qu'il est le fruit d'une tradition ?

Vous êtes un briseur de rêves Monsieur, vous êtes un étouffeur de sens. La crèche c'est Noël et Noël c'est la crèche. La crèche c'est aussi l'histoire d'une famille qui faute de droit opposable au logement est venue se réfugier dans une étable. C'est un signe d'espoir pour tous les sans-logement. La crèche c'est aussi un roi arabe et un autre africain qui viennent visiter un juif. C'est un signe d'espérance et de paix en ces temps de choc de civilisations et de conflit au Moyen Orient. la crèche c'est aussi des éleveurs criant de joie et chantant dans une nuit de décembre. Connaissez vous beaucoup d'agriculteurs qui rigolent en cette période de crise ? la crèche c'est un bœuf, symbole de la condition laborieuse de l'homme. Enfin, la crèche, c'est un âne, même si une rumeur court disant que cet âne a quitté la crèche en 2013 pour rejoindre le Tribunal administratif de Nantes.

Malgré le fait que vous allez sans doute, par souci de cohérence, vous rendre à votre travail le 25 décembre, je vous prie de croire, Monsieur le Tribunal, à l'expression de mes souhaits de bon et joyeux Noël.

Jean Pierre Santon



jeudi 11 décembre 2014

Quand vient le temps de l'émerveillement devant la crèche… Jésus raconté aux enfants





Enfants chrétiens, enfants musulmans, enfants "instruits" dans l'obscurantisme de l'école de la république et de certaines familles francs-maçonnisées suivez Margot, Derek et Moki tout au long de leur périple dans le passé. À travers leurs yeux, découvrez la vie de Jésus : ses épreuves, ses miracles et les enseignements qu'il a transmis à ses disciples. Voici un excellent documentaire sur la vie de Jésus Christ et la religion chrétienne qui ne vous laisseront pas indifférents…

- LA NATIVITÉ : Évangile de Jésus Christ selon Matthieu ;
- LES MIRACLES DE JÉSUS : Pour Jésus et les hommes de son temps, les miracles sont des signes ;
- PÂQUES, LA RÉSURRECTION : Les soldats romains crucifièrent Jésus à la troisième heure.


mercredi 10 décembre 2014

L’État Islamique a réalisé sa vidéo de décapitation de 22 soldats syriens en plusieurs heures


L’État Islamique a réalisé sa vidéo de décapitation de 22 soldats syriens en plusieurs heures…
plusieurs heures d"agonie pour leurs malheureuses victimes…



Les terroristes musulmans de l’EI ont accès à un équipement très couteux et ont des cinéastes professionnels.

L’État Islamique a mis entre 4 et 6 heures pour réaliser sa vidéo de décapitation de 22 soldats syriens et a utilisé un équipement qui coûte autour de 200 000 $, comme l'a démontré une nouvelle analyse du Consortium d’Analyse et de Recherche du Terrorisme (TRAC) basé aux États-Unis et la Fondation Quilliam au Royaume-Uni

La vidéo intitulée en arabe “Les mécréants qui Le méprisent”, a été réalisée le 16 novembre 2014 et dure près de 16 minutes. Elle montre la décapitation simultanée des soldats syriens par 22 bourreaux de l’EI, tous étrangers, dont le Français Maxime Hauchard, ainsi que le meurtre de l’humanitaire américain Peter Kassig.

Les analystes expliquent que la lumière et les ombres révèlent que cette vidéo a été tournée avec de multiples prises pendant plusieurs heures.

Pratiquement tous les tueurs – d’appartenances ethniques et de nationalités différentes – sont à visages découverts et potentiellement identifiables, bien que seul Maxime Hauchard, un français converti à l’islam, soit formellement identifié à ce jour. Les tueurs semblent menés par le personnage connu comme étant “Jihadi John”, un Britannique masqué sans doute déjà responsable des décapitations de James Foley, Steven Sotloff, David Haines, Alan Henning et Peter Kassig et de deux soldats syriens non identifiés.

Veryan Khan, une chercheuse du TRAC a analysé la vidéo plan par plan. Elle pense que ce court métrage a eu un réalisateur, un producteur et que le scénariste peut même avoir utilisé un storyboard comme pour des films conventionnels. La vidéo a été probablement produite en utilisant la Technologie Avide, un programme de pointe qui coûte au moins 200 000 $ avec plusieurs cameras Haute Définition.

Khan soutient que les bourreaux ont été choisis selon des qualités cinématographiques, leur physique leur allure martiale. Elle indique que ces hommes ont une certaine sorte d’esthétique ; ils sont plutôt beaux, propres et semblent avoir déjà répété leur rôle. Le fait qu’ils viennent du monde entier est destiné à illustrer la large portée du califat auto-proclamé de l’EI, ajoute madame Khan.

Les chercheurs estiment que cette vidéo est destinée à des recrues potentielles. Ces combattants désirent probablement “jouir de l’infamie internationale, les transformant ainsi en héros de média sociaux comme ‘Jihadi John‘ et seront des atouts pour la propagande future. Sur Twitter les supporters de l’EI utilisent déjà les photos des bourreaux comme leurs avatars”.

Les analystes indiquent aussi que les bourreaux se sont lavés entre le tournage des meurtres et des scènes de post-exécution, une autre indication du travail impliqué dans la production du film.

L’approche médiatique centrale de l’État Islamique est de montrer son invincibilité. Mais malgré ce travail professionnel, les analystes ont remarqué des incohérences dans les images qui pourraient permettre d’obtenir une empreinte médico-légale spécifique des assassins et nous rapprocher des responsables les plus hauts placés dans l’appareil de l’EI.


El Estado Islámico se radicaliza y difunde en video su ejecución más salvaje

Le film de décapitations de masse de l’État Islamique a été tourné en 6h et a nécessité plusieurs prises

ISIS Mass Beheading Video Took 6 Hours to Film and Multiple Takes

How to Financially Starve ISIS

mardi 9 décembre 2014

Serge Lazerevic échangé contre ses propres ravisseurs Ag Wadossène et Heiba Ag Achérif…


Twitter : @otagesmali





Un porte-parole français a annoncé ce mardi 9 décembre la libération de Serge Lazarevic, enlevé par Al Qaida au Maghreb Islamique (Aqmi) le 24 novembre 2011 dans un hôtel de Hombori près de Mopti où il logeait en compagnie de son ami Philippe Verdon. Serge Lazarevic et Philippe Verdon avait été repérés par deux proches d'Aqmi, Mohammed Ali Ag Wadossène, alors âgé de 22 ans, et son demi-frère par leur mère Heiba Ag Achérif. Les deux jeunes Touaregs, anciens militaires, se lieront aux Français avant de les kidnapper.

Les services français auront vite retrouvé la trace des ravisseurs grâce à une carte de recharge de téléphone abandonnée à l'hôtel. Les kidnappeurs seront repérés et interpellés dès le 10 décembre 2011, Mohamed Ali Ag Wadossène à Gao, Haiba Ag Acherif à Bamako. Ils avoueront alors avoir livré leurs prisonniers à une katiba d'Aqmi.

Serge Lazarevic était le dernier otage français officiellement aux mains d’AQMI. Un Suédois, un Néerlandais et un Sud-Africain enlevés un jour après, le 25 novembre 2011, à Tombouctou sont toujours détenus au Sahel par Aqmi.

Étrange coïncidence,  le 6 décembre dernier les deux détenus d’Aqmi, Mohamed Ali Ag Wadossène et Heiba Ag Achérif, sont transférés discrètement de Bamako vers le Niger voisin. Là, les négociateurs d’otages les attendent pour faire l’échange avec Serge Lazarevic dans un endroit jusque-là tenu secret.

Serge Lazarevic était aux mains d'Abdelkrim el-Targui, l'un des très rares responsables d'Aqmi à être touareg. Des tractations qui ont donc eu lieu entre Touaregs. « Nous avons rendu des services pour cette libération avec l'aide de Mohamed Akotey », confirme Alghabass Ag Intalla, secrétaire général du Haut Conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA), un groupe rebelle touareg. La famille Ag Intalla, l'une des plus puissantes de Kidal, s'attache à faire oublier une ancienne la proximité de certains de ses membres avec Ansar Dine, un groupe proche d'Aqmi.

En juin 2014, Ag Wadossène réussit à s'échapper de la prison malienne mais est rattrapé quelques jours plus tard par le service de renseignement malien à Bamako. Depuis juin 2014, les deux prisonniers étaient détenus dans la prison du service de renseignement malien à Bamako.


Le Causeur - Hommage à Diane Lazarevic : Antigone au secours de son père

Sahelien.com - Mali/Otage : Serge Lazerevic libéré en même temps que ses ravisseurs

Mali : comment les auteurs présumés du rapt de Verdon et Lazarevic ont été arrêtés

Libération de l'otage français Serge Lazarevic…

Philippe Verdon : cérémonie du souvenir du 22 août 2013, cimetière de Montferrand-Périgord


Quand Flanby passe par Moscou, le président Poutine lui présente la France d'aujourd'hui…


6 décembre 2014 : toujours aussi benêt, Flanby passe par l'aéroport Vnoukovo de Moscou pour découvrir son propre pays…







dimanche 7 décembre 2014

Quand Manuel Gomez se fond dans la ligne éditoriale de L'Aurore : "J'accuse De Gaulle"…



Manuel GOMEZ est né à Alger (Bab-el-Oued) le 17 novembre 1941. À l'âge de 15 ans, il a été engagé comme journaliste pigiste par Albert Camus dans le quotidien Alger-Républicain, puis chef de rubrique à La Dépêche d'Algérie. Après 1962, il a poursuivi sa jeune carrière en France, comme chef de rubrique au quotidien L'Aurore, également comme rédacteur à Paris-Turf et correspondant du quotidien Le Méridional. Depuis 1995 il a écrit 16 livres :
- Le Passé recomposé
- Triangle Noir
- Dîner dans sang
- Assassins
- Porquerolles adieu
- Camus l'Algérois
- Joseph Caillaux, traître ou visionnaire
- La Vérité sur Jeanne d'Arc
- Histoire des courses
- Ahmed Rafa, le premier général franco-algérien
- 28 Synopsis
- Immortels… à quel prix ?
- À la rencontre de l'Autre
- De Gaulle, sa face cachée - ses impostures, ses forfaitures, ses crimes
- 50 ans… c'était hier l'Algérie Française
- J'accuse De Gaulle…

J’accuse De Gaulle d’impostures, de forfaitures et de complicité de crimes contre l’humanité :
- d’incitation à la destruction de la flotte française à Mers-el-Kebir
- d’agression contre des soldats français à Dakar
- d’avoir attaqué l’armée française en Syrie
- de l’abandon des partisans du Vercors
- d’avoir permis une épuration non contrôlée
- d’avoir livré aux soviets de Staline plus de 100 000 Russes prisonniers en France
- d’avoir déclenché la guerre d’Indochine
- de la répression massive à Sétif le 8 mai 1945
- de complicité dans l’assassinat du commandant Rodier
- de complot contre l’État en mai 1958
- de complicité dans l’exécution des chefs des willayas en 1960
- d’avoir organisé un clash meurtrier à Alger en janvier 1960
- d’avoir menti et trompé l’armée française en Algérie
- d’être responsable de la création de l’OAS
- d’avoir menti au peuple de France pour obtenir les pleins pouvoirs en 1961
- d’avoir autorisé la création de la « Mission C ».
- d’avoir autorisé l’envoi de « barbouzes » en Algérie
- d’avoir autorisé la torture en Algérie sur des Français
- d’avoir programmé le sacrifice de soldats français près de Souk-Ahras en mars 1962
- d’avoir programmé le massacre de la rue d’Isly le 26 mars 1962
- d’avoir permis tous les enlèvements et assassinats après le 19 mars 1962
- d’avoir programmé le massacre de Français d’Algérie en ralentissant leur rapatriement
- d’avoir programmé le massacre de dizaines de milliers d’Harkis
- d’avoir autorisé les enlèvements et les assassinats du 5 juillet 1962 à Oran
- d’être responsable du suicide du général de Larminat
- d’avoir refusé la grâce et ordonné l’exécution du lieutenant Degueldre
- d’avoir ordonné la condamnation à mort des généraux Salan et Jouhaux [sic !]
- d’avoir refusé la grâce et ordonné l’exécution du lieutenant-colonel Bastien-Thiry
- de complicité dans les assassinats du SAC jusqu’en 1968
- d’avoir sacrifié la santé et la vie de milliers de personnes lors des essais nucléaires
- de racisme par ses actes et ses déclarations
- d’avoir préparé un nouveau coup d’état militaire en mai 1968…

Je n'ai pas encore lu l'ouvrage mais je doute que, malgré toutes ses recherches, Manuel Gomez ait pu être exhaustif tant les crimes de DeGaulle, infâme criminel compulsif, certainement le plus grand criminel qu'ait jamais connu la France de toute son Histoire, sont nombreux et étendus dans tant de domaines… Malgré la fermeté de ton : "J'accuse De Gaulle", l'engagement de Manuel Gomez paraît faible… les accusations trop "diluées"… Faut-il d'abord accuser DeGaulle d'avoir trahi ou d'être responsable de la création de l'OAS ? Une formulation qui met autant en accusation DeGaulle que l'OAS… Si Manuel Gomez cite les assassinats de Jean Bastien-Thiry et Roger Degueldre  il oublie ceux d'Albert Dovecar, de Claude Piegts… Manuel Gomez accuse DeGaulle "d'avoir permis une épuration non contrôlée"… Une manière d'approuver l'Épuration et ses crimes, ses exécutions sommaires ou après des jugements dont le verdict était d'avance connu… Ainsi Manuel Gomez évoque l'Épuration, sans citer l'assassinat de Robert Brasillach… Encore plus significatif, puisque par là-même Manuel Gomez se range derrière DeGaulle a contrario de la majorité des Français d'Algérie en 1944 : dans son article de présentation, Manuel Gomez omet la tentative d'assassinat du général Henri Giraud près de Mostaganen le 28 août 1944… Le général Henri Giraud dont Manuel Gomez a précisément rencontré tout récemment à Condom l'un des petits-fils Henri-Christian Giraud !… Celui qui alors était dans son landau, à la villa de Mazagran ce 28 août 1944 ?


MagoTurf - Manuel Gomez : Réquisitoire contre De Gaulle

MagoTurf - Manuel Gomez : Condom,  les antifascistes anonymes s'insurgent !






vendredi 5 décembre 2014

๕ ธันวาคม ๒๕๕๗ - 5 décembre 2014 : anniversaire de Sa Majesté… fête des Pères…




วันฉัตรมงคล - 5 mai 1950, le Couronnement





๙ : neuf, comme Rama IX


À Sanam Luang cette nuit du 4 décembre, immense ferveur du peuple et des officiels du Royaume de Thaïlande unis dans la célébration du 87ème anniversaire de Sa Majesté le Roi… (reportage photographique du Bangkok Post)

Cohésion sans faille d'un Royaume… Des milliers de Thaïlandais unis dans une même ferveur célèbrent le 87ème anniversaire la naissance de Sa Majesté par la cérémonie de la flamme des bougies, à l'hôpital Siriraj et à Sanam Luang. En début de matinée de nombreux sympathisants s'étaient assemblés dans l'espoir d'une apparition publique du Roi en la salle du Trône Amarin Winitchai [พระที่นั่งอมรินทรวินิจฉัยมไหยสูรยพิมาน] du Grand Palais pour la présentation des vœux pour ce 87ème anniversaire, une manifestation qui malheureusement a dû être annulée… (reportage photographique du Bangkok Post)

Ce 5 décembre en Thaïlande, en même temps que le 87ème anniversaire du Roi, c’est la fête des Pères. Aujourd'hui de nombreux Thaïlandais offriront à leurs pères et grands-pères "dok puttaruksa" (fleur de Canna) réputé fleur masculine. Se vêtir de jaune c’est rendre hommage au Roi, le jaune étant la couleur du lundi, jour de naissance du roi Bhumibol Adulyadej…




Madagascar aime la France, son modèle absolu… pour le pire !