Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

samedi 6 septembre 2014

Une trahison, une honte française… One two tree viva les Harkis et leurs enfants de France !



L'histoire oubliée - Les Harkis : L'enrôlement au service de la mère patrie


L'histoire oubliée - Les Harkis : Trahison et abandon par une mère patrie indigne


L'histoire oubliée - Les Harkis : L'Alzheimer frappe cette patrie marâtre


Free Download Harkis Mp3

Le FLN précurseur de l'État islamique ? Les Vampires d'après la capitulation de DeGaulle…


DeGaulle s'est toujours délecté du sang des Français…

Les derniers mois des évènements d'Algérie sont ensanglantés par le chaos qu'a déclenché la capitulation de la France gaulliste, le 19 mars 1962. Les crimes des triomphateurs insolents du FLN n'ont désormais plus d'opposition malgré les derniers soubresauts de la résistance de desperados de l'Algérie française. Le vide du pouvoir s'installe au fur et à mesure du repli d'une administration française capitularde et de la passivité d'une armée de quillards pour laisser toute latitude aux agissements revanchards d'un FLN vaincu militairement et de ses militants de la 25ème heure. À partir de mars 1962 et de la capitulation imposée par l'infâme criminel compulsif DeGaulle se multiplient les enlèvements d'Européens aux périphéries d'Alger et d'Oran par ces groupes FLN informels. Plus de 630 civils et militaires sont enlevés dans les quatre mois qui séparent la capitulation du 19 mars 1962 du jour de la proclamation de l'indépendance. Le sort de ces disparus n'a jamais été révélé par les autorités algériennes, tandis que les corps n'ont jamais été restitués aux familles. Alors que les hypothèses penchent pour des actes crapuleux ou des arrestations de militants supposés de l'OAS et des vengeances du FLN, rapidement des rumeurs hantent les quartiers européens, qui évoquent la découverte de cadavres d'Européens vidés de leur sang. Un quotidien britannique affirme même que les "forces de l'ordre" auraient retrouvé des cadavres pendus à des crochets de boucher. L'existence de vampires semble ne plus faire de doute pour les Européens. Cette étude historique révèle que derrière ces enlèvements se cache la pratique des prélèvements sanguins forcés. Cet ouvrage, fruit d'un travail de huit années, fait la synthèse de l'ensemble des informations sur les enlèvements destinés à pallier le déficit de banque de sang du FLN. Il présente ainsi l'ensemble des documents militaires français, d'études algériennes et des archives du CICR de Genève qu'il confronte à des témoignages écrits et oraux de rescapés de ces pratiques. Gregor Mathias reconstitue minutieusement le contexte de la fin des évènements d'Algérie et l'émergence du mythe des vampires et explique les raisons qui ont poussé le FLN à recourir à cette pratique qu'aujourd'hui ne désapprouverait pas le pseudo-État islamique…


Gregor Mathias : Les Vampires à la fin de la guerre d'Algérie, mythe ou réalité ? Préface de Guy Pervillé

Guy Pervillé : Préface au livre de Gregor Mathias : Les Vampires à la fin de la guerre d’Algérie, mythe ou réalité ? (2014)

Guy Pervillé : Les prises de sang forcées en Algérie en 1962 : mythe ou réalité ? (2011)
Il faut remarquer, comme le fait Gregor Mathias, que les accusations de prises de sang forcées ne concernent pas seulement l’Algérie de 1962… L’auteur cite les accusation d’anciens prisonniers marocains du Front Polisario libérés après une très longue captivité en 2005, qui déclarent que les prisonniers étaient transformés en "vaches à sang", certains étant pompés "dix fois par mois" [Mélanie Matarese, "Les survivants de l’enfer sahraoui", Le Monde, mardi 11 octobre 2005, p. 13]. Sont encore cités les témoignages de M. Barry, Le Royaume de l’insolence, Afghanistan 1504-2001, Flammarion, 2002, p. 489 ; celui de C. Chameau et R. Panh, La Machine khmère rouge, Flammarion, 2009, p. 193-194. Plus récemment, un rapport du Conseil de l’Europe a mis en cause l’UCK du Kosovo pour un trafic d’organes qui auraient été prélevés sur des prisonniers serbes (cf. Le Figaro, 25 janvier 2011, p. 8).

Les "Sans-Dents" laperont Flanby…


"On ne se moque pas des gens qui n’ont pas les moyens d’aller chez le dentiste. C’est indigne, surtout quand on est un président socialiste. "
Florent Massoneau, oncle paternel de Valérie Trierweiler


https://www.facebook.com/SansDents

Discours pathétique… De toute évidence, du "prêt à dire" d'un menteur invétéré aux abois. La crédibilité ne se quémande pas… elle s'accorde. La confiance perdue l'est à jamais…


Flanby : "Je vais vous répondre parce qu'il y a des questions de principe qui sont en cause. Il y a d'abord la fonction présidentielle. Elle doit être respectée non pas pour préserver la personne qui a la charge de conduire la France comme chef de l'État, parce que j'assume pour ma part toutes les responsabilités de cette mission. Respecter la fonction présidentielle, ce n'est pas préserver la personne, c'est préserver notre institution."


Jean Ansar - Hollande : La vengeance d’une blonde… Chérie, j’ai encore rétréci le président

Livre de Valérie Trierweiler : le coup de grâce politique qui va achever Hollande

Trierweiler : une autocensure digne de l'URSS

No sex please, we’re French – what an absurd anachronism
As an act of revenge it would be hard to beat the kiss-and-tell book that Valérie Trierweiler has just inflicted on François Hollande. The scorned former première dame has deployed her journalist’s skill to shred the remnants of the president’s authority. She depicts the hapless socialist as a cynical liar who has betrayed a gullible electorate in the same way that he duped her with Julie Gayet, an actress. It is a rollicking tale of passion and treachery in the palace, a mix of Molière and boulevard comedy.  Charles Bremner


https://www.facebook.com/SansDents





https://www.facebook.com/SansDents


https://www.facebook.com/SansDents

vendredi 5 septembre 2014

Martin Peltier : L'antichristianisme juif - « L'enseignement de la haine »





Martin Peltier parle de son livre "L'antichristianisme juif - « L'enseignement de la haine »"
Un exposé remarquable par sa limpidité, sa concision, allant à l'essentiel
quant aux forces conjuguées de domination occulte qui depuis des siècles enseignent la haine…
À écouter,  et diffuser sans modération !!!

« On parle fréquemment d'antisémitisme chrétien. Un historien juif français, Jules Isaac (celui de Mallet et Isaac), a répandu la thèse que l'Église aurait dispensé un "enseignement du mépris" du peuple juif. Un évêque français, Mgr de Berranger, a déclaré que ce serait "le terreau" sur lequel aurait poussé la Shoah.
Aucune source sérieuse n'étaie ces allégations fantaisistes.
On constate à l'inverse que la tradition rabbinique du Talmud a distillé un enseignement de la haine du Christ et des chrétiens : depuis deux mille ans, l'antichristianisme juif a pris les formes les plus diverses, du blasphème à la lapidation, du bûcher à la révolution. 330 pages bourrées de faits établis, de références solides, pour recomposer une perspective historique raisonnable. Et en finir avec les fantasmes.
Historien, essayiste, romancier, journaliste, Martin Peltier n'a plus l'âge de prendre les censeurs au sérieux. Les sujets qui fâchent l'amusent, à condition de les examiner sérieusement. Il est attaché à la vieille maxime : "Si j'ai tort, qu'on me le prouve, si j'ai raison, qu'on me l'accorde". »

Martin Peltier : L'antichristianisme juif - « L'enseignement de la haine »

*     *
*



On ne saura jamais ce qu’aurait donné l’alliance du judaïsme et de la réaction païenne si Julien n’était mort d’un coup d’un coup de lance lors d’une bataille en Mésopotamie, à Ctésiphon (363). En quelques années désormais, l’Empire va prendre des formes Chrétiennes. C’est-à-dire que la secte rejetée, risible, méprisée, moquée, vilipendée, persécutée par les juifs demeurés fidèles à la tradition de Ben Zakaï, va être associée à l’Empire du monde.
Cruel moment pour le judaïsme rabbinique : il a été très loin dans l’insulte et la voie de fait, il a lapidé, il a apporté des fagots aux bûchers, dénoncé les chrétiens à l’administration qui crucifiait ou jetait dans l’arène, et maintenant, il a peur de l’heure des comptes. (…)
Les juifs ont dénigré les chrétiens devant les nations pour obtenir leur persécution, et cela fut un succès, mais l’influence chrétienne a grandi. Aussi, dès avant Constantin, déjà, les juifs cherchent leur salut hors de l’Empire.
Ils cherchent des alliances pour se prémunir à toutes fins utiles. Ils trouveront du coté des Perses. En faisant bon accueil par exemple au roi sassanide Sapor lors de son intrusion en Asie mineure et en Syrie vers 260, et en le poussant à des persécutions antichrétiennes. Ils recommencent deux siècles et demi plus tard lors d’une nouvelle invasion perse.
En 608, ils en profitent pour massacrer les Chrétiens d’Antioche, et, en 614, se livrent à un progrome antichrétien général en Palestine. Cette stratégie, payante à court terme, ne sera ni oubliée des Chrétiens, qui découvrent des ennemis cruels et tenaces, ni des romains, qui verront chez les juifs des populations propres à faciliter les invasions étrangères.
Du coté de l’Arabie, aussi, les juifs cherchaient alliance et protection contre les Chrétiens. Par la conversion des rois notamment. Ainsi au sixième siècle, le roi Yusuf Asar Yathar, devenu juif, enleva la ville de Najran (517) et massacra les Chrétiens qui la peuplaient. Considéré sous ce point de vue, la réussite de Mahomet un peu plus d’un siècle plus tard serait un triomphe pour les juifs : ils trouveraient enfin l’allié indispensable contre l’empire romain devenu chrétien.
Cet Empire, ils contribuèrent à le disloquer en faisant bon accueil au conquérant musulman, partout, en Syrie, en Cyrénaïque, au Maghreb et en Espagne, livrant au besoin la clé de certaines villes aux armées du prophète et ses successeurs. Ce dernier fait, qui est attesté par tous les chroniqueurs de l’époque quel que soit leur bord, n’est plus nié par personne, même par les plus ombrageux historiens juifs.

Martin Peltier – L’antichristianisme juif : l’enseignement de la haine, 2014 – Chapitre 4 (Dominer par l’intérieur : la stratégie de l’hérésie) – éditions Die

Martin Peltier : À quoi sert l'Histoire ?





L'écrivain et journaliste Martin Peltier nous parle de son livre À quoi sert l'Histoire ? (écrit sous le pseudonyme Hannibal),

Depuis la Grèce antique deux histoires cohabitent : l'une s'efforce de ressembler à une science, l'autre est une action. C'est l'histoire-action qui remplit la tête des gens, par tous les moyens de communication. Or l'histoire juge. Elle forme notre morale, prescrit certains comportements, en proscrit d'autres. Il est donc capital de savoir qui écrit l'histoire à l'usage du peuple, et dans quel dessein.

Hannibal le Carthaginois étudia Rome afin de la vaincre. Sous ce pseudonyme se cachait Martin Peltier, journaliste connu de la grande presse. Il observe les dessous de l'empire du bien et les ressorts de sa puissance.





Martin Peltier : L'antichristianisme juif - « L'enseignement de la haine »


Martin Peltier : Shoah Story



Le sort des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale pèse sur la conscience occidentale, il a fait l’objet d’un nombre surabondant de films, livres, articles et rapports. Mais le récit qui en ressort a beaucoup évolué en soixante-dix ans, des premières rumeurs aux thèses d’aujourd’hui. La politique s’y est greffée, donc les polémiques, souvent douloureuses : en particulier entre les mémoires des survivants et ceux qui nient l’existence des chambres à gaz. Ce livre rappelle de telles controverses mais n’y entre pas. Il décrit avec soin l’évolution du récit à travers ses contradictions, faisant ainsi l’histoire des variations de la Shoah, ou encore l’histoire de l’histoire de la Shoah. Par le biais de l’historiographie, le lecteur se trouve amené à la vérité d’un récit aujourd’hui fondamental. L’auteur, fasciné par les divers états d’un récit pas comme les autres, vient de réussir une analyse tout à fait à part et très « spicy » d’une des questions d’historiographie capitales pour notre société.

Peu d’événements ont autant d’importance politique que la Shoah. Sa mémoire pèse sur la diplomatie et la politique militaire, notamment au Proche-Orient. Sa simple évocation rend difficiles l’expulsion d’immigrés clandestins ou les démantèlements d’un camp de Roms. Son enseignement est au cœur des programmes de l’Éducation nationale.Elle est devenue une pièce centrale des discours mémoriels.
Sans faire de concessions aux révisionnistes qu’il appelle « révigationnistes », Martin Peltier alias Philippe Mozart présente une très intéressante histoire de l’histoire de la Shoah. Derrière le titre impertinent Shoah Story, cette histoire en abyme est pleine d’enseignements pour les esprits libres. Martin Peltier a bien voulu répondre aux questions de Polémia





Entretien avec Martin Peltier alias Philippe Mozart

Polémia : Pourquoi un énième livre sur la Shoah ?

Martin Peltier : Dans À quoi sert l’histoire, Hannibal a montré que la Shoah fonde la démocratie occidentale – à la manière dont la Passion du Christ a fondé le christianisme et dont la Torah régit le judaïsme. La Shoah commande notre jugement politique et moral sur le Proche-Orient, sur la dernière guerre, sur l’immigration, elle cause de profondes modifications doctrinales dans l’Église catholique, elle a servi la propagande décolonisatrice, elle définit ce que les Italiens nomment l’arc constitutionnel, c’est-à-dire l’ensemble des partis autorisés à gouverner. Elle est enseignée, avec l’appui de l’ONU, pour fonder le civisme des jeunes.

Polémia : Mais que dire de neuf ?

Martin Peltier : Le sujet est à la fois rebattu, dangereux et pourri, c’est pour cela qu’il fallait le renouveler. Je me suis aperçu que la Shoah était partout mais son histoire nulle part. Mille films, dramatiques, articles, témoignages, composent un immense corpus : en les regardant de près, on se rend compte que c’est un fatras qui ne mérite en aucun cas le nom d’histoire. Il y a des récits et il y a des controverses, il n’y a pas encore vraiment d’histoire.

Polémia : Alors vous la rejetez en bloc ?

Martin Peltier : Pas du tout. J’examine ces récits et ces controverses, afin de déterminer quand et pourquoi ils sont apparus. En quelque sorte j’esquisse l’histoire des variations de la Shoah, ou encore l’histoire de l’histoire de la Shoah. C’est par le biais de l’historiologie que je tente une nouvelle approche d’un sujet traité de façon plutôt décevante jusqu’à présent.

Polémia : Vous exagérez ! Dès 1961, Raul Hilberg a publié La Destruction des Juifs d’Europe, livre qui a été immédiatement considéré comme une somme.

Martin Peltier : Méfions-nous de l’esprit d’autorité. Hilberg est un grand nom, son apport n’est pas nul, mais, cité comme témoin au procès Zündel en 1985, il a montré les limites de ses connaissances et de sa véracité. La Destruction des Juifs d’Europe est un moment du récit de la Shoah qui correspond à un certain état des mentalités et forme à ce titre un matériau intéressant pour l’historiologue, mais qu’en subsiste-t-il de solide pour l’historien ?

Polémia : Comment faites-vous le tri ?

Martin Peltier : Très facilement. Un étudiant en licence d’histoire sait qu’il faut aller aux sources, les vérifier, les classer, les comparer.

Polémia : C’est le B A BA…

Martin Peltier : C’est ce B A BA qui est rarement fait. L’histoire de la Shoah est une histoire proprement extraordinaire. Par sa fonction. Par les historiens qui s’en occupent, par les méthodes qu’ils appliquent.

Polémia : Des historiens extraordinaires ?

Martin Peltier : Aucun de ceux qui ont entrepris l’histoire de la Shoah n’était historien de formation. Aucun historien de renom ne s’est lancé sur le sujet, même si quelques historiens s’y sont fait un nom. Mais surtout, on a institué la justice professeur d’histoire, à Nuremberg, dans les procès Barbie, à Francfort, etc. : or Thémis et Clio ne font pas bon ménage.

Polémia : Des méthodes extraordinaires ?

Martin Peltier : La Shoah n’est pas un objet historique comme la vie de Napoléon ou la bataille de Verdun, qui ont produit une foule de documents d’époque de divers types, état civil, lettres, formulaires administratifs, ordres, et de nombreux restes archéologiques. L’histoire de la Shoah est une histoire sans documents, sans débats, fondée sur les témoignages, mais les témoins sont souvent oubliés et leur témoignage recueilli sans respect. Cela débouche parfois sur des résultats aberrants dont les révisionnistes font leurs choux gras.

Polémia : Des exemples ?

Martin Peltier : J’ai pointé certains témoignages si fantaisistes que, présentés sans précaution, ils pourraient fragiliser dans son ensemble le récit de la Shoah. Il fallait dénoncer aussi les faux témoins du genre Elie Wiesel. Puis j’ai relevé les contradictions qui apparaissent, selon l’état du récit, sur le nombre de camps d’extermination, leur emplacement, la taille et la capacité des chambres à gaz, la technologie employée par les nazis. J’ai expliqué ces contradictions par les nécessités politiques de l’heure. Les historiens de l’avenir devront les résoudre.

Polémia : Pouvez-vous être plus précis ?

Martin Peltier : Un seul exemple, le secret. La Solution finale fut-elle secrète ? Les premiers récits l’affirment. Les témoins, Aron, Poliakov, Frossard, Wellers, ne savaient pas. Même au camp on ne savait pas tout. Primo Levi dans Si c’est un homme affirme ne pas avoir vu de chambre à gaz. Quant aux officiels et journalistes alliés, jusqu’en 1945 ils ont tenu la Shoah pour un « bobard de guerre ». Pourtant le secret est incompatible avec les fosses en plein air, les photos aériennes, les flammes des crématoires et le fait qu’Auschwitz était situé dans une zone urbaine, dont il n’était même pas séparé par un mur plein. Aussi s’est développée dans les années 1980 une nouvelle théorie : « Tout le monde savait ». Elle répond à des nécessités politiques. Elle a permis de poursuivre Papon, Touvier. Elle se dessine dès les années soixante et la pièce Le Vicaire, de Hochhut, moi-même j'en ai démonté le mécanisme dans Qui instrumentalise l’Église ? Il s’agissait de discréditer Pie XII parce qu’il était anticommuniste. D’où le mot d’ordre : « Il savait mais il a gardé le silence ». Cependant, si tout le monde savait, c’est la surprise des armées américaine et russe en entrant dans les camps qui surprend, celle du TMI de Nuremberg aussi, l’ignorance de la Croix-Rouge (qui a reçu le prix Nobel de la Paix pour son action dans les camps) et de l’Agence juive internationale, et le vocabulaire codé des nazis. Tout se passe comme si la Shoah ne pouvait être ni secrète ni non secrète. Voilà le genre de problèmes qu’auront à traiter les historiens de l’avenir.

Polémia : Tout cela a un petit fumet révisionniste. Or vous citez le procès de Zündel, généralement considéré comme négationniste !

Martin Peltier : La Shoah provoque des controverses. Certaines sont débattues librement : Fut-elle programmée par le IIIe Reich ou découla-t-elle de la nature du système ? Hitler a-t-il donné un ordre ? La Solution finale fut-elle décidée à Berlin rue de Wannsee ? Les restes qu’on montre à Auschwitz sont-ils authentiques ? Les convois qui n’étaient pas enregistrés au camp étaient-ils entièrement gazés ? D’autres sont interdites par la loi : Les chambres à gaz homicides ont-elles existé ? Le typhus était-il le premier agent mortel à Birkenau ? Le nombre des juifs morts dans les camps est-il de deux cent mille, quatre millions ou six millions ?

Polémia : Entrez-vous dans ces dernières controverses ?

Martin Peltier : Non. Elles sont interdites : entrer dans un débat dont l’issue n’est pas libre n’a aucun intérêt. Observons cependant que la loi Gayssot prouve à elle seule l’importance exceptionnelle de la Shoah, puisqu’un système qui se définit par la liberté nie sur ce point toute liberté.

Polémia : Vous employez le mot de "révigationniste" : que veut-il dire ?

Martin Peltier : Faurisson et d’autres ont accompli un gros travail de critique. Ils se disent « révisionnistes », leurs adversaires « négationnistes ». J’ai inventé le mot "révigationniste" par prudence, pour ne pas trancher a priori leur différend. Pour l’historien Henri Rousso, le révisionnisme est une activité normale de l’historien et le négationnisme une perversion de sa recherche. C’est au lecteur de dire quand il y a révisionnisme et quand il y a négationnisme. Même Hilberg a reconnu ce que l’histoire de la Shoah doit à Faurisson. On peut critiquer celui-ci, noter son esprit de système, sa rigidité, son obsession, mais le définir comme un faussaire serait un mensonge.

Polémia : Vous pensez donc qu’il faut prendre ses travaux en compte ?

Martin Peltier : En les triant. Faurisson et les "révigationnistes" ne passent pas leur temps à chanter « les chambres à gaz n’ont pas existé ». Ils examinent des témoignages, ils découvrent des documents. On doit les faire entrer dans le débat, discuter leurs arguments, les réfuter. Leur décapage est aussi utile que les contributions positives d’un Serge Klarsfeld. L’histoire de la Shoah avancera sur les deux jambes de la critique et de la mémoire. L’une ne va pas sans l’autre. Ce n’est pas pour rien que j’ai dédicacé mon livre à Serge Klarsfeld et Robert Faurisson. J’espère qu’ils se serreront la main un jour.

Polémia : Entretien avec Philippe Mozart

Philippe Mozart, Shoah Story, Éditions DIE  [La Sarrazine, La Fosse Marceline 10140 Jessains], 232 pages, 23 euros.

Bibliothèque de combat : Shoah Story

Polémia : « Qui instrumentalise l’Église ? » de Martin Peltier


Un poilu raconte la mort de son lieutenant, le 5 septembre 1914… il s'appelait Charles Péguy





Du 3 août 1964 au 23 décembre 1968, dans le cadre du 50ème anniversaire du premier conflit mondial, le service "Enquêtes et reportages" de la télévision belge a réalisé, sous le titre "14-18", une chronique en 123 épisodes retraçant l'histoire de la Grande Guerre.

Dans cet extrait, un fantassin français du 276ème Régiment d'Infanterie (VIème armée Maunoury) décrit la reprise à la baïonnette, le 5 septembre 1914, du village de Monthyon (6 kilomètres au Nord-Ouest de Meaux) et la mort au combat de son lieutenant. Il s'appelait Charles Péguy.



En hommage à Charles Péguy…

jeudi 4 septembre 2014

Esteban Morillo libéré des geôles socialistes après 15 mois d'une détention injustifiée…



Après 15 mois de détention, Esteban Morillo a enfin été rendu à la liberté (surveillée).
Début juin 2013, Esteban et quelques uns de ses amis avaient été agressés par une bande de provocateurs voyous gauchistes dans le quartier Saint Lazare à Paris. L'un des agresseurs est décédé accidentellement alors qu'il avait lâchement attaqué les jeunes nationalistes. Le pouvoir socialiste saisit le prétexte de ce banal incident pour incarcérer de jeunes nationalistes, dont Esteban, et dissoudre plusieurs de leurs organisations.


Northmen Impakt - Esteban


Entretien avec Roland Hélie, co-fondateur du Collectif pour la défense des libertés publiques…
Rivarol n°3100 du 28 juin 2013


Northmen Impakt

Libération d’Esteban Morillo



คาราบาว : สวัสดีประเทศไทย - Carabao : Salut Thaïlande