Dans son message annuel à l’Assemblée fédérale, le président Poutine a mis l’accent sur les questions sociales, économiques et de politique intérieure. Il a particulièrement insisté sur la santé morale de la société et le rôle de la Russie dans le monde contemporain.En intervenant devant le parlement le jour du 20e anniversaire de l’adoption de la Loi fondamentale, le président a relevé que les dispositions constitutionnelles déterminant les droits et les libertés étaient immuables mais qu’il était possible et parfois nécessaire de faire des modifications ponctuelles dans d’autres chapitres pour les mettre en phase avec la jurisprudence et les réalités changeantes.La nécessité de développer la concurrence politique s’inscrit également dans la logique du processus constitutionnel. Vladimir Poutine est convaincu que les partis nouveaux ayant obtenu un succès aux élections locales, deviendront bientôt des concurrents sérieux pour les doyens politiques. Selon le président, l’État est intéressé au renouvellement des structures administratives qui ont besoin de cadres bien préparés et responsables. En évoquant le pouvoir, Vladimir Poutine avait également relevé la nécessité du renforcement du contrôle de la société sur les fonctionnaires.Dans le volet économique du message, le président a mentionné les mesures visant à rendre l’économie plus transparente et à donner une puissante impulsion au développement de la Sibérie et de l’Extrême-Orient. Selon le président, le pays doit se tourner vers le Pacifique, ce qui lui donnera des perspectives économiques et des possibilités nouvelles en politique extérieure.Vladimir Poutine estime que l’évolution du monde devient de plus en plus contradictoire et que dans ce contexte la responsabilité historique de la Russie en sa qualité d’État qui défend ses valeurs sans revendiquer l’hégémonie ni chercher à donner des leçons à qui que ce soit, ne cesse de croître.« Nous nous efforceront de devenir leaders tout en défendant le droit international et en faisant respecter la souveraineté nationale, l’autonomie et l’identité des peuples. Cette attitude coule de source pour un État comme la Russie avec sa grande histoire, et son expérience séculaire de coexistence organique des peuples dans le cadre d’un État uni, expérience qui n’a rien à voir avec la soi-disant tolérance asexuée et stérile. »Le président russe estime que de nombreux pays se sont engagés aujourd’hui dans la révision des normes de la morale et de la moralité, l’effacement des traditions nationales et des différences culturelles.« On demande désormais à la société non seulement la reconnaissance du droit de chacun à la liberté de conscience, des opinions politiques et de la vie privée mais encore, aussi étrange que cela puisse paraître, la reconnaissance obligatoire des notions de bien et de mal qui sont antagonistes par définition. Nous savons qu’il y a dans le monde de plus en plus de ceux qui soutiennent notre position en faveur de défense des valeurs traditionnelles comme la famille, la vie humaine y compris religieuse, l’humanisme et la diversité du monde. C’est, naturellement, une position conservatrice mais comme le disait le penseur russe Nikolaï Berdiaev, le conservatisme n’empêche pas le progrès mais bloque le mouvement inverse vers le chaos et les ténèbres. »Il y a eu ces dernières années des tentatives connues de tous visant à imposer à d’autres pays un modèle de développement se voulant plus progressiste. Or, elles tournaient en réalité à la régression, à la barbarie et à un bain de sang. En même temps, la situation autour de la Syrie et désormais autour de l’Iran, montre que tout problème international peut et doit être résolu par des moyens exclusivement politiques, sans recours à la force qui est une impasse rejeté par la plupart des pays.La politique extérieure russe se fondait jusqu’ici sur le pragmatisme, rappelle Fedor Loukianov, rédacteur en chef de la revue La Russie dans la politique globale. Désormais, Vladmir Poutine proclame pour la première fois nettement et ouvertement que le conservatisme devient le fondement de l’idéologie officielle.« Les succès enregistrés au cours de l’année qui s’achève par la politique extérieure russe donnent l’impression qu’on ne peut plus compote uniquement sur le pragmatisme. En effet, qu’elle le veuille ou non, la Russie est de plus en plus perçue dans le monde comme appelée à jouer un très grand rôle. Il me semble que Poutine a fait comprendre que nous sommes en train de devenir un pôle idéologique. Le pôle antagoniste très bien défini par Poutine est "la tolérance asexuée et stérile" personnifiée par l’approche occidentale contemporaine (lire libérale). Le conservatisme se situe aux antipodes et nous sommes en train de nous en réclamer. »En même temps, la Russie est prête à coopérer pleinement avec tous les partenaires pour assurer une sécurité commune, égale et indivisible. Le président y a également mis accent dans son message. C’est ainsi que, selon Vladimir Poutine, Moscou se rend parfaitement compte que le bouclier antimissile américain n’a de défensif que le nom et est en réalité un élément majeur du potentiel stratégique offensif. À leur tour, l’élaboration et la réalisation du soi-disant concept de « global strike », peut avoir des conséquences très négatives pour la stabilité régionale et globale.Personne ne doit se faire d’illusions quant à la possibilité d’obtenir la supériorité militaire sur la Russie, a souligné le président. La Russie est capable de relever tous les défis tant politiques que technologiques. La doctrine militaire nationale et les armements de pointe permettront de garantir sans aucun doute la sécurité de l’État russe.
La Voix de la Russie - Message présidentiel : un conservatisme sain et une défense puissante
Metamag : Poutine, homme de l’année
Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
samedi 14 décembre 2013
Message du Président Vladimir Poutine : un conservatisme sain et une défense puissante
jeudi 12 décembre 2013
Flanby excité comme une puce dans une porcherie hallal…
L'Afrique a tout pour être prospère. Tout, sauf une vie politique digne de ce nom : la corruption, la démagogie, les guerres civiles pourrissent tout. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, il me semble évident qu’à brève échéance, la démagogie et l’incompétence de « nos » dirigeants politiques vont entraîner pour nous le même chaos qu’en Afrique. À moins de nous débarrasser rapidement de ces politiciens et de reprendre en main notre destin commun.
Absurde. Incohérent. Grotesque. Ridicule. Des inepties à Flanby on a pu se contenter d’en rire. Mais quand cela devient criminel, fini la rigolade. Après le Mali pour une opération sans vision politique, voilà que Flanby va-t-en-guerre dépêche les soldats de France en Centrafrique. 1600 soldats dans un pays où se déchaîne une guerrilla généralisée, tant dans les villes que les campagnes. Mission : désarmer les guerrilleros… des guerrilleros déterminés. Il n’est pas nécessaire d’être un fin stratège, pour comprendre toute l’absurdité d’une telle mission. Mission impossible. Mission suicidaire.
Nicolas Vokaer (23 ans) et Antoine Le Quinio (22 ans), parachutistes français sacrifiés à Bangui |
Le drame ne s’est pas fait attendre. Dès les premières heures d’une mission inacceptable deux jeunes parachutistes français, Nicolas Vokaer (23 ans) et Antoine Le Quinio (22 ans), ont été exécutés. Assassinés. Il n’y a pas d’autres termes pour parler de cette mort injuste, absurde. Le commanditaire ? Celui-là seul qui a décidé d’une telle opération.
Pour quels motifs inavoués ? Aller faire le beau en Afrique pour espérer se faire valoir auprès de Français qui dans une quasi unanimité à présent le rejettent… Conforter cette propagande anti-catholique qui reste le fond de la communication d’un gouvernement reniant toutes les valeurs ancestrales d’une Nation. Ces images tournant en boucle sur les chaînes de télévision françaises et montrant des chrétiens se faisant justice contre le terrorisme musulman ne sont certainement pas innocentes.
Flanby, "chef" des Armées |
On le sait, et cela a été affirmé par son géniteur sur le coup d’État oublié de 1958, la Ve République a été fondée et ne survit que parce que les Français sont des "veaux". On proteste, on braille puis tout s’arrête quand vient l’été et le temps des vacances. On l’a vécu en cette année 2013. Cela reviendra en 2014. Mais l’Armée ? L’Armée toujours davantage privée de moyens. L’Armée anémiée. Comment cette Armée pourra-t-elle longtemps encore accepter les inepties de celui qui par un vote populaire étique prétend encore en être le "chef" ?
mercredi 11 décembre 2013
Hery Rajaonarimampianina livre ses réflexions sur l’avenir de Madagascar au JDE
Souvenons-nous qu'alors que Hery Rajaonarimampianina était au début des années 90 directeur des études à l'INSCAE, la Banque Mondiale considérait l'INSCAE comme son meilleur projet au monde pour l'éducation. Une confiance des bailleurs de fonds que devrait retrouver Hery Rajaonarimampianina, président de Madagascar.
http://www.heryvaovao.com/
Le Journal de l'économie
Entretien avec Hery Rajaonarimampianina :
« Je suis déterminé à faire du potentiel de mon pays la source de bien-être des Malgaches »
Le 20 décembre se déroule à Madagascar le second tour de l’élection présidentielle. Hery Rajaonarimampianina aura pour adversaire un certain Robinson, franco-malgache, valet de Ravalomanana, et de plus se proclamant franc-maçon et affilié au parti socialiste français, celui-là à Flanby, toutes les tares sont permises ! Un Robinson qui ose prendre les Malagasy pour de bons sauvages… Hery Rajaonarimampianina est un expert comptable formé au Québec, ancien ministre des Finances, ancien administrateur général de la Banque Africaine de Développement… Souvenons-nous qu'alors que Hery Rajaonarimampianina était au début des années 90 directeur des études à l'INSCAE, la Banque Mondiale considérait l'INSCAE comme son meilleur projet au monde pour l'éducation. Une confiance des bailleurs de fonds que devrait retrouver Hery Rajaonarimampianina, président de Madagascar.
Hery Rajaonarimampianina, candidat à la magistrature suprême, a livré au Journal de l'économie ses réflexions sur l’avenir de Madagascar.
Hery Rajaonarimampianina, candidat à la magistrature suprême, a livré au Journal de l'économie ses réflexions sur l’avenir de Madagascar.
Hery Rajaonarimampianina, candidat au second tour de l'élection présidentielle malgache du 20 décembre prochain |
Vous êtes candidat au second tour de l’élection présidentielle à Madagascar, autour d’un programme de « rassemblement » et de « combativité nationale ». En quoi cette ligne de conduite est-elle nouvelle, ou différente de celle de vos adversaires ?
Ma ligne de conduite, dès le début de mon engagement pour cette élection présidentielle, a été celle du large rassemblement de toutes les composantes de la nation malgache. Je veux œuvrer à bâtir un avenir de prospérité et de paix dans toutes les régions de Madagascar. Je suis profondément convaincu que les Malgaches souhaitent vivement en finir avec la crise. Lors de mes déplacements, ils m’interpellent sur la nécessité de ne plus revenir en arrière. Je pense que ce qui me différencie, c’est cette volonté de me situer au dessus des différends, de rassembler et de convaincre. Je veux réhabiliter le Fihavanana, vertu cardinale de notre civilisation malagasy [forme de lien social reposant sur des valeurs d’entraide et de solidarité].
Après la crise politique de 2009, vous avez été appelé en renfort par l’Autorité de transition afin de redresser la situation économique. Pourquoi vous être engagé à l’époque ?
La situation économique de l’époque ne me laissait guère d’autre choix que d’accepter d’apporter mon aide à l’Autorité de transition. Celle-ci m’avait sollicité non pas en raison de mes convictions politiques, mais en vertu de mon expertise des questions économiques. Souvenez-vous : les vannes de l’aide publique au développement avaient été fermées et le pays était alors entré en récession. Il fallait impérativement inverser cette spirale infernale en regagnant la confiance des acteurs économiques, et les dirigeants de l’époque m’ont demandé de les accompagner en ce sens. Quand on aime son pays, accepter les responsabilités qu’on vous impartit, en dépit des difficultés quelles qu’elles soient, est un devoir moral. Il est dicté par l’intérêt supérieur de la Nation.
Quel bilan tirez-vous de votre action ?
Aujourd’hui, le consensus politique dicté par la nécessité et par l’urgence a porté ses fruits : nous sommes parvenus à préserver les contribuables d’une pression fiscale trop forte. En outre, malgré cette crise inouïe, l'inflation et le cours de l’ariary [monnaie malgache] sont demeurés stables, et les traitements des fonctionnaires ont toujours été payés à bonne date. Si l’on compare la situation de Madagascar à celle d’autres pays occidentaux comme la Grèce ou le Portugal, où les fonctionnaires, les pensions et les retraites en font les frais, je pense pouvoir affirmer que nous nous sommes montrés à la hauteur du défi.
Votre expertise particulière des questions économiques et financières fait donc de vous un candidat sur lequel repose beaucoup d’espoir ?
Il n’est pas superflu d’avoir l’ambition d’offrir à tous les Malgaches, sans exception, un accès large aux services sociaux de base tels l’éducation et la santé. Il faut pour autant disposer d’instruments financiers garants de la performance économique du pays, car l’éducation et la santé ont un coût pour l’État. L’économie doit être au service de l’humain, et non l’inverse. Je pense donc en effet que la maîtrise des sujets économiques et une expérience préalable de l’action étatique constituent une condition essentielle de l’exercice du pouvoir. On ne peut prétendre à la fonction suprême que si l’on est sûr de disposer des compétences pour assurer la prospérité à son pays.
Vous avez été directeur d’études à l'INSCAE, expert-comptable, gouverneur de la BAD, ministre… Faut-il y voir une construction logique de votre parcours jusqu’à cette candidature ?
Mon engagement en faveur de Madagascar ne date pas d’hier. Mais ma candidature, elle, est dictée par la volonté de la nation malgache de rompre avec des traditions politiques qui lui ont porté préjudice jusqu’alors. Je veux simplement mettre mon expérience au service de mon pays, et me faire le porte-voix des forces vives assoiffées de changement. Comme je le laissais entendre précédemment, dans la vie d’un homme politique, « l’envie » de servir son pays se mue progressivement en sens du « devoir » que l’on s’impose à soi-même en qualité de citoyen. Dans une certaine mesure, ma candidature s’inscrit donc dans la continuité logique de mon engagement citoyen, à ceci près qu’un homme d’État n’est pas un citoyen comme les autres : il a davantage de devoirs que de droits, et un candidat doit y être préparé.
Vous dites vouloir renforcer le cadre institutionnel de Madagascar pour redonner aux Malgaches confiance dans leur pays. Expliquez-nous.
La nation malgache doit trouver dans ses institutions un facteur de stabilité économique, sociale et juridique, quelle que soit la couleur politique de ses représentants élus. C’est le premier pilier de la lutte contre les inégalités et de la restauration d'un climat sain pour rassurer les investisseurs étrangers et le secteur privé. Un cadre institutionnel solide et stable est également la condition à remplir pour que Madagascar rejoigne le concert des grandes nations économiquement développées, et puisse dialoguer avec la communauté internationale dans une relation équilibrée. Madagascar doit, et peut aujourd’hui regagner son rôle de poumon économique et diplomatique dans l’océan Indien. En outre, nous devons devenir, à court terme, le "grenier à riz" de l'océan Indien.
En matière de diplomatie, comment entendez-vous piloter des relations internationales distendues par les crises politiques successives qui ont frappé Madagascar au cours des dernières décennies ?
Je veux « ré-enchanter » notre diplomatie. Pour ce faire, je veux redonner une crédibilité durable à notre pays vis-à-vis de ses partenaires extérieurs à savoir les institutions internationales, et les pays amis. Je veux aussi mobiliser nos représentations diplomatiques à l'extérieur au service du développement de notre pays. J'aurai également une attention toute particulière pour que la culture de notre pays rayonne au plan international. Nous avons d'immenses artistes. Il faut les mobiliser pour montrer la richesse culturelle de notre Nation.
Défendez-vous l’idée d’une nouvelle constitution pour endiguer les fléaux institutionnels qui déstabilisent le pays ? Si oui, comment entendez-vous garantir son respect ?
La Constitution de la Quatrième République a été élaborée après de très nombreuses consultations populaires dans toute l'Île. Sa rédaction a fait l'objet de nombreuses consultations de spécialistes nationaux et internationaux. Cette Loi fondamentale, je le rappelle, a été adoptée par 74 % de nos compatriotes avec une participation de 53 %. En tant que Président de la Quatrième République, je serai le gardien de cette Constitution. Je veux la stabilité institutionnelle de mon pays.
Si vous êtes élu, sur quel point vous engagez-vous à être jugé, au terme de votre mandat ?
Je suis déterminé à faire du potentiel de mon pays la source de bien être des Malgaches. À mon sens, l’IDH [Indicateur de Développement Humain] constitue un indicateur fiable de la santé et du bonheur d’une nation, et lui seul témoigne de la capacité d’un pays à combattre durablement la pauvreté. Mais c’est un chantier qui exige de mettre en œuvre une vision stratégique, et dont les effets se mesurent sur le long terme. Cela se traduit par des ambitions concrètes de modernisation. Je veux d’abord mettre en place de grands chantiers pour changer le quotidien des Malgaches : des routes, des barrages, des infrastructures, des réseaux d’irrigation pour conférer au pays les moyens de son développement. Beaucoup de choses en découlent : du travail, notamment pour les jeunes, des transports pour désenclaver nos régions centrales et côtières, un meilleur accès à la santé, à l'eau ou encore à l'électricité. L'éducation est également une de mes priorités, de telle sorte à ce que notre jeunesse puisse profiter grandement du développement et en devenir, par la suite, le moteur. J’ai la volonté de développer notre agriculture pour aller rapidement vers l'autosuffisance alimentaire. Enfin, parce que c'est la clef du développement, je veux que chacun, s'il le désire, puisse créer son entreprise. Ce ne sont là que quelques pistes. Le chantier est donc vaste, mais je sais que notre peuple est prêt pour relever ce défi de faire de Madagascar enfin un pays prospère.
Vous définissez-vous plutôt comme un candidat libéral ou interventionniste ?
Je veux le retour d'un État fort, d’un État stratège et d’un État garant des libertés et du bien-être de chaque Malagasy. J’entends par là « un État fort par le peuple et pour le peuple », enfin capable de restaurer la sécurité. Il n'y a pas de développement sans sécurité.
Hery Rajaonarimampianina: Grande offensive en province
Madagascar présidentielle 2013, 2è tour : Jean Louis Robinson, un affabulateur de 4è catégorie
La pluie menace les élections - De fortes précipitations sont annoncées sur presque tout le territoire dans les prochains jours. Le cas de force majeure n'est pour l'instant pas envisagé.
mardi 10 décembre 2013
Les Lions monolithes du Srah Tamri, Phnom Kulen…
Chaque nouvelle visite à Angkor et dans ses environs est source de désillusions… Des touristes toujours plus nombreux et irrespectueux des lieux… Des restaurations souvent malvenues, telle celle commise par des Indiens à Ta Prohm, ce temple envoûtant, là où, selon l’expression de Pierre Loti régnaient "les figuiers [en réalité le plus souvent des fromagers - Tetrameles nudiflora] des ruines", ces figuiers mangeurs de murailles ; heureusement Préah Khan, voisin, n’a pas (encore) subi les outrages de ces restaurateurs impies… Banteay Srey - si cher à Malraux au point qu’il s’appropria nombre de ses richesses - à présent cerné par d’immenses parkings et boutiques de souvenirs dérisoires pour touristes… Et pourtant malgré toutes ces déceptions chaque nouvelle visite peut réserver d’agréables surprises… Comme cette découverte des Lions de Srah Damrei - du Srah Tamri selon la transcription de Jean Boulbet, plus proche d'une oreille de francophone… Taillés à même le roc deux magnifiques Singha, un Éléphant et une énorme Grenouille dominant une forêt encore intacte. Dans un site accessible uniquement en moto, après une demi heure de piste difficile !
L'ensemble monolithe de grès de Srah Damrei, datant du Xe siècle |
Carte interactive des Sites Archéologiques Khmers (CISARK) : Srah Damrei
Flanby au show Mandela : complice du génocide des Blancs d'Afrique du Sud !!!
Les Blancs en Afrique du Sud font face à un génocide latent, systématiquement orchestré par la classe au pouvoir. Un génocide délibérément ignoré par des politiciens indignes, en Europe comme ailleurs. Un génocide contre lequel nul n'ose lever la voix. Un génocide contre lequel tout homme digne, nos dirigeants en particulier, ont le devoir non seulement de condamner mais de combattre activement. En dépit de cette situation dramatique d'une large part de la population d'un pays où règnent chaos, racisme et meurtres anti-blanc, la bienpensance universelle se rue en Afrique du Sud pour célébrer celui par lequel ce génocide de milliers de Blancs se perpétue… Flanby et sa clique, en Afrique du Sud comme en Algérie, se complaisent inlassablement à copiner avec les assassins… Pire qu'en Algérie, le génocide étant en cours, ceux-là par leur présence cautionnent et se rendent complices d'assassins dans leurs œuvres présentes, peut-être précisément à l'instant où se déroulera le show Mandela …
On a diabolisé le Gouvernement Blanc d'Afrique du Sud. En fait, les Blancs avaient bâti une grande nation et les Noirs y prospéraient. Les Noirs y venaient de toute l'Afrique pour y profiter du développement, des soins médicaux, de l'éducation et de l'indépendance relative que les Blancs avaient créés à cet endroit. Si le monde a boycotté l'Afrique du Sud pour son séparatisme racial, ne devrait-il pas la boycotter pour le génocide que subissent les Blancs aujourd'hui dans ce pays ?
[Une vidéo qui convient à tout public : les images choquantes ont été masquées, tel que pratiqué dans les diffusions télévisées.]
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Bernard Lugan à propos de Mandela et de l'Afrique du Sud…
Communiqué de Bernard Lugan - Nelson Mandela : l’icône et le néant
lundi 9 décembre 2013
Éric Miné : Une vision avertie sur l'exception thaïlandaise…
« En Thaïlande, le principe majoritaire ne fonde plus la démocratie »
On comprend mieux la frilosité de nos médias à rendre compte de la réalité des événements thaïlandais...
« Nous en avons assez de cette politique, nous ne voulons plus d’élections. Nous seuls sommes légitimes pour choisir le prochain gouvernement et le soumettre à l’approbation de notre roi. »
Ainsi s’exprimait un manifestant devant un journaliste de l’AFP, ce lundi 9 décembre proclamé « Jour du Jugement » par Suthep Thaugsuban, le tribun qui mobilise depuis plusieurs semaines à Bangkok des foules impressionnantes contre le pouvoir thaïlandais issu des urnes.
Dans le Sud, acquis d’emblée à ce qu’il faut bien appeler une insurrection civile, on ne s’embarrassait pas de ces subtilités et l’imposant cortège qui saturait les rues de Phuket fêtait déjà le « jour de la victoire ».
Victoire ou jugement, l’avenir le dira dans un pays rompu aux coups d’éclat et aux retournements légendaires. Toujours est-il que le Premier ministre, Yingluck Shinawatra, chancelle et, avec elle, un système qui, s’il devait s’effondrer, provoquerait un tsunami politique ressenti bien au-delà des frontières du Royaume.
Comptant parmi les nations capitalistes les plus dynamiques, la Thaïlande est en effet un cas à part. Engagée comme quasiment toute la planète dans la mondialisation, elle n’en a pas moins conservé ses institutions et ses traditions à peu près inchangées depuis le coup d’État de 1932 qui vit l’instauration d’une monarchie constitutionnelle sous l’égide d’un régime nationaliste. Hymne diffusé à heures fixes sur les ondes, port de l’uniforme généralisé des collégiens aux fonctionnaires, organisation très encadrée du respect dû à un monarque par ailleurs très vénéré, clergé bouddhiste et armée omniprésents dans la société, jusqu’au nom même du pays adopté en 1939 pour faire valoir les droits d’une hégémonie « thaïe » sur la région, tout symbolise ici aujourd’hui encore la singularité d’une démocratie établie par l’ancien parti unique qui avait su s’accommoder sans encombre du suffrage universel imposé après-guerre par les vainqueurs à l’allié de la dernière heure.
Ce subtil équilibre mariant tradition et modernité est pourtant mis à mal depuis les années 90 par le clientélisme dispendieux d’un milliardaire autodidacte, Thaksin Shinawatra. Frère de l’actuel Premier ministre, il s’assura alors des voix des grandes régions rurales du Nord-Est qui l’imposeront à la tête du pays en 2001. Depuis, manifestations, putsch militaire, condamnation et exil de l’affairiste n’y feront rien, la corruption à vaste échelle permet à sa famille richissime de rester aux commandes d’un État dont elle sape consciencieusement les bases.
Loin de l’interprétation sociale qu’en font aujourd’hui les médias occidentaux, c’est donc à la réaction massive d’un peuple soucieux de la préservation de son cadre de vie à laquelle on assiste aujourd’hui. En abusant de populations naïves qu’ils désorientent par le mirage d’un consumérisme effréné, les Shinawatra sont perçus ici comme l’avatar local d’une finance internationale sans scrupules, étrangère aux valeurs du Royaume. Les élections leur étant ainsi systématiquement favorables, Suthep Thaugsuban propose donc de troquer le vieux principe démocratique occidental « un homme, une voix » contre une « démocratie absolue sous la monarchie constitutionnelle », dirigée par un « Conseil du peuple » non élu, d’esprit corporatiste et fondé, lui, sur l’histoire de la Nation.
On comprend mieux la frilosité de nos médias à rendre compte de la réalité des événements thaïlandais. Une rébellion tout à la fois populaire et réactionnaire qui rejette le principe majoritaire de la démocratie, voilà qui ne figure pas dans leur grille de lecture.
Lire aussi un article très complémentaire à celui-ci : Ingouvernable Thaïlande
Le "Grand Jour" est-il arrivé ?… Extraordinaire ambiance dès ce début de matinée !
สุเทพ เทือกสุบรรณ - Suthep Thaugsuban |
Facebook : Suthep Thaugsuban (สุเทพ เทือกสุบรรณ)
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Lundi 9 décembre… 9 heures 39… Colère d’une population unie et respirant le bonheur de restaurer la fierté de la Thaïlande…
9 heures 42, nouvelle manœuvre dilatoire de Yingluck Shinawatra, elle demande la dissolution du Parlement…
dimanche 8 décembre 2013
István Bakony : Impérialisme, judaïsme et communisme, ces trois forces qui dominent le monde
Les Éditions Saint Rémy publient un ouvrage essentiel… Un livre qu'on a voulu faire disparaître, qui ressort du tombeau traduit de l'anglais en français par François Thouvenin : Impérialisme, judaïsme et communisme, ces trois forces qui dominent le monde de István Bakony. Un livre dont on trouve une citation en français dans le livre de Jean Boyer, Les Pires ennemis de nos peuples. Un livre qui semblerait avoir déjà été publié en français, mais on n'en connaît plus aucun exemplaire en français. Il est parvenu aux Éditions Saint Rémy une photocopie de la version anglaise, sans qu'il soit possible d’en retrouver une version originale complète. Un livre qui semble avoir été bien nettoyé… Les Éditions Saint Rémy ont cependant décidé de le retraduire en français et de le rééditer. Malheureusement la mauvaise qualité des photos de la version photocopiée n'a pu être améliorée. Les Éditions Saint Rémy ont tout de même décidé d’insérer ces photos accompagnées de légendes et de références d’où elles proviennent. Il raconte comment les Juifs se sont implantés par le marranisme chez tous les peuples, y compris chez les Chinois, les Musulmans, les Noirs et les Japonais, afin de les dominer. Un livre écrit en 1969 alors que le communisme était encore dans toute sa vigueur qu'il convient d'interpréter mais indispensable pour comprendre le présent alors que les islamismes, métastases de la contestation de l'État d'Israël, se sont affirmés comme une nouvelle force… Quels intérêts servent en définitive les islamismes ? Impossible de ne pas établir une relation avec les origines talmudiques de l'islam…
István Bakony : Impérialisme, judaïsme et communisme, ces trois forces qui dominent le monde
L’organisation secrète du judaïsme impérialiste
Télécharger et lire un extrait de l'ouvrage : Impérialisme, judaïsme et communisme
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Infiniment merci à Manuel Valls, actuel ministre de l'Intérieur et prétendant à la Présidence de la République en France ne nous administrer une confirmation éclatante des informations données par le livre d'István Bakony : Impérialisme, judaïsme et communisme, ces trois forces qui dominent le monde. Une vidéo que Manuel Valls, franc-maçon "pour l'éternité lié au judaïsme", tenterait de faire disparaître de la Toile !
Depuis son accession au pouvoir, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls essaye d'étouffer le scoop d'Oumma dévoilant sa propre confession de son « lien éternel » avec « la communauté juive et Israël ». Retour sur les dessous d'une information embarrassante pour celui qui vise désormais Matignon et l'Élysée.
Depuis quelques semaines, la rumeur parcourt les réseaux sociaux et les sites alternatifs : selon certains, Manuel Valls aurait lui-même demandé à Youtube et Dailymotion de retirer cette vidéo, révélée en 2011 par Oumma, dans laquelle il affirma, entre autres paroles stupéfiantes, être « par sa femme, lié, de manière éternelle, à la communauté juive et à Israël ». Voilà donc la vidéo en question, désormais remise en ligne.
Le ministre français de l'Intérieur travaillerait-il pour un pays étranger : Israël. Israël et la France auraient-ils obligatoirement vocation à poursuivre partout et tout le temps une même politique ? Pour nombre de politiciens français de droite comme de gauche cela semble aller de soi.
Rappelons-nous le propos scandaleux que tenait le parlementaire juif, Éric Raoult, en plein débat sur les retraites en France : "Pour moi, Israël est plus important que les retraites"…
Un verre dans le nez : Flanby, pété, avoue aimer Israël plus que la France… "La Vie en rose"…
jeudi 5 décembre 2013
Heureux anniversaire et longue vie à Sa Majesté le Roi…
À l’occasion de son 86e anniversaire, Sa Majesté le Roi Bhumibol Adulyadej accordera sa grande audience publique aux membres de la famille royale et aux représentants du gouvernement au pavillon Rajapracha Samakhom du palais Klai Kangwon à Hua Hin, à 10h30 ce 5 décembre 2013. Dans l’histoire de la Thaïlande, ce sera la première audience publique hors de la capitale du Royaume…
Le 5 décembre en Thaïlande, en même temps que l’anniversaire du Roi, c’est la fête des Pères. Ce jour-là de nombreux Thaïlandais offrent à leurs pères et grands-pères "dok puttaruksa" (fleur de Canna) réputé fleur masculine. Se vêtir de jaune c’est rendre hommage au Roi, le jaune étant la couleur du lundi, jour de naissance du roi Bhumibol Adulyadej.
H.M. the King to grant public audience at Klai Kangwon Palace for his 86th birthday
His Majesty King Bhumibol Adulyadej's 86th Birthday
Mémorable journée du 85ème anniversaire de Sa Majesté le Roi de Thaïlande (2012)
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