Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 5 septembre 2013

L’Élysée choisit un nouveau portrait officiel du Président de République… Plus authentique…

Saluons la modestie non feinte de Philippe Massonnet, directeur de l’information à l’AFP :
« Cette image, somme toute assez banale… » … Banale ou tout simplement vraie ?
Flanby : un portrait officiel pétant d'authenticité (photo Denis Charlet pour l'AFP Lille)

L'Agence France Presse (AFP) qui fournit les rédactions en textes et en images aurait décidé de retirer une photo trop vraie de notre Flanby national, rapporte Le Parisien. Le cliché avait été pris ce mardi 3 septembre lors de la visite du "chef de l'État" à Denain (Nord) pour "sa rentrée" scolaire.

En fait, si nos informations sont exactes, cette photo aurait été retirée de l’offre de l’AFP sur sollicitation pressante de l’Élysée. Flanby peu satisfait de son portrait officiel figé et trop peu naturel pris dans les jardins de son tout nouveau squat en juin 2012 aurait été séduit par l’authenticité inespérée de cette photo prise dans le feu de l’action de sa rentrée 2013. Flash… Coup de foudre… Flanby, ordinairement long à la détente, aurait sur le champ décidé d’en faire son nouveau portrait officiel… Nous qui avons la très mauvaise habitude de critiquer quasi systématiquement les faits et gestes à ce Flanby-là, là nous devons dire avec une profonde humilité que nous applaudissons chaleureusement cette décision… Joyeuse rentrée, Flanby ! Fasse que le bon peuple de France te connaisse enfin tel que tu es !

Avec la révélation d'un tel grand-chef de guerre gageons que Bachar al-Assad sera vraiment effrayé, autant que les moineaux des jardins de l'Élysée !




"Ho ! Ho ! Tout doux, François"… l'arme secrète de Barack Hussein Obama contre la Syrie…


Caniche ou chihuahua ? On ne sait trop… C'est comme avec la théorie du "Genre" de cette rentrée… Ça reste indéterminé… Une chose est sûre : il s'agit d'un nouvel "meilleur ami" de Barack Hussein Obama… Peut importe si l'animalerie où Barack Hussein l'a déniché ne sait trop se prononcer sur le véritable genre de la bestiole fourguée…

Le nouveau plus vieil ami de Barack Hussein Obama (dessin de Sondron - Courrier international)


Algérie-Focus.com : François Hollande, le nouveau chihuahua des américains

The Gardian - Tim Dowling : OBEDIENCE LESSONS FOR THE NEW POODLE

Quand Barack Hussein Obama ment effrontément… son "meilleur ami" frétille de la queue… Les preuves…


lundi 2 septembre 2013

Asma et Bachar el-Assad : un couple arabe de notre temps… autant que les Iraniens Farah Diba et Mohammad Reza Pahlavi…


Elle, Asma Fawaz al-Akhras… sunnite. Lui Bachar al-Assad… alaouite. Un couple arabe syrien moderne et sympathique… Une image intolérable aux fondamentalistes arabes et à leurs minables alliés et vassaux occidentaux…

Qui se souvient d’un couple tout aussi charismatique : Farah Diba et Mohammad Reza Shâh Pahlavi ? Un couple contre lequel l’Occident s’est tout autant acharné…

Le Shâh d’Iran, ami fidèle de l’Occident lâchement abandonné face à une révolution islamiste… Et en particulier, à l’époque déjà au premier rang un président français Valéry Giscard d’Estaing qui accorde à Neauphle-le-Château, près de Paris, l’asile politique au père spirituel de cette révolution islamiste, l’ayatollah Khomeiny.














































La Voix de la Russie : Le Bazar-Henri Lévy, vampire imbécile agité des carpettes…




Au sommaire de cette édition du 2 septembre 2013 :

- Bazar-Henri Lévy : histoire d'un vampire des carpettes qui aimerait bien que le sang coule en Syrie
Serait-ce la tribune de trop pour BHL ?

Dans l’édition du Point de ce jeudi 29 août, le Bazar Henri Lévy se livre à une violente diatribe contre la Fédération de Russie et son Président, Vladimir Poutine. Pour lui, aucun doute, au diable les inspecteurs de l’ONU, c’est Bachar Al-Asssad qui a gazé son peuple. Ne pas le dire, c’est, je cite, écoutez bien, être « d’un quarteron de rouge-brun qui ne ratent aucune occasion d’exercer leur révisionnisme maniaque ». Fin de citation.

Il faut le savoir, si vous n’êtes pas de l’avis de BHL, vous êtes un nazi. C’est une première constante chez BHL. Comme ça sent le gaz en Syrie, il faut que l’ONU intervienne, c’est incontournable. Je cite à nouveau : « pas de question non plus sur la nécessité d’une riposte : la morale l’exige ; la cause de la paix le demande ; mais le pragmatisme, l’esprit de sérieux, la realpolitik la plus élémentaire le prescrivent tout autant ». fin de citation. Notez que lui se garde bien d‘y aller car il n’a jamais mis sa peau au bout de ses idées malsaines ! C’est une deuxième constante chez BHL. Et si l’ONU est bloqué, je cite encore : « par les États voyous et, de fait, par leur parrain russe », fin de citation, il faut passer outre le droit international et faire comme en Serbie en 1999.

Tant pis pour les populations civiles bombardées, les terres polluées par l’uranium enrichie des munitions de l’OTAN et les infrastructures civiles rasées. Si la nef de la gloire de BHL doit flotter sur des océans de sang, qu’à cela ne tienne : Serbes, Kosovars, Géorgiens, Ossètes, Palestiniens, Libyens ont déjà payé leur tribut à BHL, c’est au tour des Syriens. C’est une troisième constante chez BHL. Dans son texte, mal écrit comme à l’accoutumé, il dit que la Russie est, je cite : « un grand pays gouverné par des matamores revanchards, dopés au ressentiment ». Et le philosophe péripatéticien de s’interroger : « Et si Vladimir Poutine n’était qu’un tigre de papier ? Un Popeye bodybuildé ? Un maître chanteur sans biscuits, qui ne prendra pas le risque de mettre en péril ses Jeux olympiques de Sotchi ? ». Fin de citation.

On peut tapisser la Syrie de bombes, car la Russie n’interviendra pas. BHL le sait, je cite toujours « [il en] a pris conscience en discutant, cet été, avec un responsable russe dont [il] dois respecter l’anonymat ». Il faut croire BHL sur parole. C’est une quatrième constante chez BHL. Et c’est là qu’il faut faire le portrait de BHL, puisqu’il nous demande de le croire sur parole. Quel est donc cet homme qui a ses audiences dans la plupart des rédactions françaises, dans lesquelles il est soit actionnaire, soit ami avec les propriétaires ?

Le Bazar Henri Lévy, dit BHL, est un agent d’influence millionnaire et un menteur pathologique. Millionnaire, il l’est, grâce à la société de commerce de bois précieux, hérité de son père, la Becob. Côte d’Ivoire, Cameroun, Gabon sont des proies faciles. Si plusieurs enquêtes de journalistes français ont été bloquées et jetées à la corbeille, une association humanitaire anglaise a dénoncé les méthodes quasi-esclavagistes qui règnent dans ces exploitations : salaires en retard, équipements sanitaires déplorables et un ruisseau pollué pour s’alimenter en eau… Chargé de la communication interne, puis vice-président du conseil de surveillance, et même dirigeant pendant deux ans, le Bazar-Henri s’est sérieusement impliqué dans la boutique familiale, boutique qu’il a revendu au Groupe Pinault pour plusieurs centaines de millions d’euros. Pas obligé d’avoir du talent ou de travailler pour bien vivre, BHL peut utiliser tout son temps à se mettre en valeur…

Comme écrivain ou philosophe, BHL est la risée de ses pairs. Les livres qui démontent son mythe, sont légions. Les élucubrations de le Bazar-Henri Lévy lui ont valu les réprimandes et les sarcasmes d’intellectuels aussi divers que Raymond Aron, Gilles Deleuze, Pierre Bourdieu, Pascal Boniface, Michel Onfray ou encore Pierre Vidal-Naquet qui a dit de lui, je cite : « qu’il s’agisse d’histoire biblique, d’histoire grecque ou d’histoire contemporaine, B.H.L. affiche dans tous les domaines la même consternante ignorance, la même outrecuidance ». Fin de citation. La palme revenant sans doute à Alain Soral qui l’a réduit à néant dans l’une de ses vidéos, désormais culte.

BHL serait sans importance, s’il n’était porté aux nues, par des médias aux ordres, et complaisants. Ses livres et ses films sont des flops retentissants que le public raille quand il ne le boude pas Tout n’est qu’apparence, fatuité, et pour cause, le seul idéal de BHL, c’est lui-même. Falsificateur, affabulateur, menteur, lâche, narcissique, il devient dangereux quand il se prend pour un journaliste ou un diplomate.

Nous ne remonterons pas à la Bosnie ou à la Serbie, où il a déjà sévit, même si son influence était encore restreinte. En 2005, en Géorgie, alors que la Russie a mis fin au massacre des civils en Ossétie du Sud et stabilisé la ligne de Front, BHL s’installe au Mariot, un 5 étoiles à Tbilissi, et témoignera de la férocité des Russes qui ont brûlé Gori, avec des centaines de chars. Pourtant, il n’a rien vu, n’est jamais allé sur le front et ses propos sont démentis par les journalistes et les élus européens présents sur place. Mais ce n’est pas grave, l’oracle a parlé. Deux jours et demi en palace, et il repart comme il est venu, en jet privé. Il paraît qu’il ne pouvait pas rester plus longtemps sur place, il avait une soirée à Nice le samedi…

Mais c’est en 2010 qu’il parvient enfin à avoir sa guerre, déclarée par lui, tout seul. La Lybie. Dans un numéro incroyable, où toute la diplomatie française est squeezée par quelqu’un qui n’a aucun mandat du peuple, pas même une écharpe de maire adjoint d’un bourg de la Corrèze, BHL fait bombarder un État souverain, livrant la population libyenne aux milices islamiques et à l’anarchie.

La France, qui n’a pas les moyens de payer ses fonctionnaires, de nourrir ses retraités et d’équiper ses hôpitaux, lance deux milliards d’euros sur les Libyens, sous forme de bombes, missiles et roquettes. Quand les combats cessent, BHL est là et pose en guerrier, aux milieux de soldats d’opérette, aux treillis bien repassé, aux fusils d’assaut équipés pour le tir à blanc et avec un seul chargeur… Deux ans après, alors que les massacres continuent, BHL n’a jamais eu le moindre mot de compassion pour les civils que son délire à plonger dans le sang, le meurtre et les exécutions confessionnelles. Pire, il veut récidiver en Syrie.

Toutes les abominations commises par ses amis, les pseudo-rebelles, du viol de gamines de moins de 13 ans, à l’éventration des femmes chrétiennes, en passant par les décapitations des soldats capturés vivants ou des scènes de cannibalisme, rien n’a pu altéré la splendide suffisance de ce fou dangereux, qu’il faudrait écouter comme un nouveau messie. Son cas est pathologique, il tient plus de la psychiatrie que de la diplomatie, du journalisme ou même de la philosophie.

C’est cet homme là qui veut entraîner le monde dans une guerre en Syrie, dont nul ne peut dire qu’elles seront les conséquences, vues les puissances régionales et internationales impliquées. Le Bazar-Henri Lévy vend sa folie, comme d’autres vendent leur corps… On dit qu’en Irlande, la folie, ça se danse. En France, visiblement, ça se prostitue. Mais en Russie, ça se soigne. Et c’est sans doute ce qui fait tant peur, à BHL.

- Hommage à Hélie Denoix de Saint Marc qui nous a quitté ce mois d'août
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- Syrie : M. Bricolage veut partir tout seul avec sa petite frégate et risque de revenir sans
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dimanche 1 septembre 2013

Gaz sarin : Une mauvaise manipulation d’armes chimiques fournies par l’Arabie Saoudite à des islamistes aussi "curieux" qu'indisciplinés et inexpérimentés ! Allahou akbar !!!



Des rebelles syriens ont admis qu’ils étaient responsables de l’attaque chimique du 21 août

L’incident du 21 août dernier où des armes chimiques ont fait entre 355 et 1300 morts dans la banlieue Est de Damas aurait été produit par des rebelles syriens selon le très crédible journaliste Dale Gavlak, correspondant au Moyen-Orient pour l’Associated Press depuis deux décennies.

Les puissances occidentales ont blâmé les forces de Bachar al-Assad, mais selon les témoignages recueillis par Gavlak, cette attaque serait en fait le résultat d’une mauvaise manipulation d’armes chimiques fournies par l’Arabie Saoudite !

Selon le journaliste de l’Associated Press [probablement pour peu de temps encore], de nombreux médecins, résidents de Ghouta, des combattants rebelles et leurs familles, prétendent que certains rebelles ont reçu des armes chimiques par l’intermédiaire du chef du renseignement saoudien, le prince Bandar bin Sultan, et que ce sont ces armes qui sont responsables de l’attentat chimique mortel.

Les rebelles ont dit à Gavlak qu’ils n’ont pas été correctement formés sur la façon de manipuler les armes chimiques, qu’ils ne savaient pas de quoi il s’agissait. Il semble que les armes devaient initialement être données à Al Qaïda et au groupe Front al-Nosra [un groupe djihadiste de rebelles armés].

Un militant de l’opposition a dit au journaliste qu’ils étaient très curieux au sujet de ces armes et que malheureusement certains d’entre eux ont manipulé les armes de façon inappropriée, ce qui a déclenché les explosions. Un autre combattant, une femme, a ajouté que le groupe de rebelles ne savaient pas de quel type d’armes il s’agissait ni comment les utiliser.

Abou Abdel-Moneim, le père d’un rebelle de l’opposition, a également dit à Gavlak : "Mon fils est venu me voir il y a deux semaines me demandant ce que je pensais du fait qu’on lui avait demandé de garder des armes." Le fils aurait décrit les armes comme une structure en forme de tube tandis que d’autres étaient comme une énorme bouteille de gaz. Le père a nommé le militant saoudien qui aurait fourni les armes comme étant Abou Ayesha. Selon le père, les armes ont explosé à l’intérieur d’un tunnel, tuant 12 rebelles.

Plus d’une douzaine de rebelles ont été interrogés et ont indiqué que leurs salaires proviennent du gouvernement saoudien, écrit Gavlak.

Une révélation qui ridiculise autant Barack Hussein Obama que son bouffon…

Si cette histoire est exacte, elle pourrait rendre complètement invalide l’attaque des États-Unis sur la Syrie.

Le rôle présumé de l’Arabie Saoudite dans la fourniture d’armes aux rebelles n’est pas une surprise étant donné les révélations plus tôt cette semaine à l’effet que les Saoudiens ont menacé la Russie d’attaques terroristes aux Jeux olympiques d’hiver à Sotchi l’an prochain, à moins qu’ils n’abandonnent leur soutien au président syrien. 

Le journal The Telegraph a rapporté que le prince Bandar aurait dit à Vladimir Poutine que les groupes tchétchènes qui menacent la sécurité des jeux sont contrôlés par eux (Saoudiens).






jeudi 29 août 2013

Obama Cameron Flanby Lévy Juppé Fabius et autres vassaux du Qatar et d'Israël fomentent un crime contre l'humanité…


Obama Cameron Flanby Lévy Juppé Fabius et autres vassaux du Qatar et d'Israël, ceux-là veulent l'extermination des chrétiens d'Orient ! Qu'ils soient [comme dirait Flanby] "punis" ! Aucune punition ne sera trop douce pour chacun de ces salopards-là…

Les chrétiens de Syrie s’organisent par peur des rebelles islamistes

Les chrétiens de Syrie tentent de s’organiser, avec des armes rudimentaires, contre les groupes sunnites extrémistes radicaux qui mènent la rébellion…

Le million et demi de chrétiens syriens, catholiques ou, dans leur majorité, orthodoxes, s’efforcent de se tenir à l’écart du conflit.

Dans le Wadi al-Nassara, une vallée parsemée de villages chrétiens dans l’ouest de la Syrie, la population appelle l’armée du président Bachar al-Assad à les protéger contre les menaces jihadistes.

À Marmarita, autrefois lieu de villégiature prisé, les portraits des "martyrs" sont affichés sur les murs en pierre de taille. Des rubans de soie blanc ornent les rues en signe de deuil. Des images du président Assad, que les rebelles tentent de renverser depuis plus de deux ans et demi, sont omniprésentes également dans le bourg.

Marmarita est l’un de nombreux petits villages chrétiens qui s’étalent près du Krak des Chevaliers, une citadelle croisée, aujourd’hui entre les mains des rebelles.

Dans ces villages, qui comptent au total 50.000 chrétiens, les habitants ont formé, avec l’autorisation du régime, des Comités de défense populaire.

Le 15 août, des rebelles venant du village proche sunnite al-Hosn, où se trouve la citadelle, ont attaqué des barrages des Comités tuant cinq de ses membres ainsi que six autres civils.

Dans le salon de sa maison, la mère de Jacques Saadé, tué dans l’attaque, a accroché une photo géante de son fils en treillis sur fond de drapeau national rouge blanc et noir.
"Jacques nous défendait contre ceux qui nous veulent du mal", dit-elle en larmes, vêtue de noir. "Mon fils est mort en martyr", gémit-elle.

"Que l’État gagne et que Dieu nous garde Bachar", implore de son côté Issa Saadé, son mari.

"Nous voulons que l’armée nous aide à nous protéger", renchérit Marta, la soeur de Jacques.

"Nous demandons à l’État de dépêcher l’armée pour nous protéger des hommes armés qui assassinent nos jeunes et nos enfants", lance cette femme de quarante ans, robe noire et cheveux relevés en chignon.
Dans un communiqué, l’opposition syrienne a demandé aux habitants de la région de défendre la "révolution".
"Nous demandons à nos parents sur la côte et dans la montagne (…) de se montrer solidaires avec les objectifs de la révolution, afin de mettre fin à des décennies de despotisme", a indiqué la coalition nationale syrienne, principale formation de l’opposition. 

La coalition a demandé aux habitants d’être "conscients des mensonges colportés par le régime qui prétend protéger les minorités (..) alors qu’en fait, le régime les utilise comme otages pour défendre le clan (Assad) qui ensanglante le pays".
Mais pour ces chrétiens, le principal ennemi ce sont les jihadistes, notamment le groupe sunnite extrémiste Al-Nosra qui s’est rallié aux rebelles.
"Ils sont venus, ils ont coupé les routes, c’est le Front al-Nosra, Ils sont terrifiants", affirme la mère du "martyr" Soumer Yazigi, qui a péri également le 15 août.

"Est-ce cela la liberté que veulent les révolutionnaires ?", s’interroge-t-elle.

"Nous voulons que l’État nous protège. Beaucoup de nos jeunes ont été tués, ça suffit", se plaint-elle.
D’autres habitants ont encore raconté que la route principale du bourg était "sous le feu des rebelles qui se barricadent dans la citadelle". "Ils nous tirent dessus quand nous passons", a dit l’un d’eux.
Nombre de chrétiens, une communauté qui représente 5% de la population syrienne, soutiennent le régime de Bachar al-Assad, craignant les jihadistes et leur poids dans la rébellion.






*Le Journal du Siècle - Les chrétiens de Syrie s’organisent par peur des rebelles islamistes
*Gaz sarin en Syrie : action désespérée des djihadistes et de leurs complices israëlo-occidentaux…
*Un monastère catholique attaqué au cocktail Molotov et souillé de tags injurieux en Israël…
*Xavier Moreau [Realpolitik] : La Russie et l’ONU contre l’OTAN
*Syrie : pour le Patriarche catholique d’Antioche, l’intervention américaine serait un "acte criminel"
*Syrie : le Patriarche latin de Jérusalem appelle à la prudence
*Appel des religieux du Monastère de Deir Mar Musa contre une intervention militaire et toute forme de violence
*Pour sauver les chrétiens de Syrie, dites non à l’intervention militaire des États-Unis et de ses alliés ! *Prise de position du Patriarche de Babylone des Chaldéens contre une « malheureuse » intervention en Syrie
*Le Patriarcat de Moscou met en garde contre une intervention américaine en Syrie
*Syrie : le quartier chrétien de Damas pris pour cible par les rebelles


mercredi 28 août 2013

Toulon rend hommage au Général Raoul Salan, notre chef, commandant suprême de l'OAS


MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE

Le colonel Raoul Salan prend le commandement du 6e Régiment de Tirailleurs Sénégalais (RTS), en Corse, le 30 mai 1944. C'est à Bastia qu'il rencontre pour la première fois, le 16 juin 1944, le général de Lattre de Tassigny qui a demandé à voir le 6e RTS et son colonel…

À la tête de son régiment il débarque le 19 août 1944 au matin sur la plage de La Nartelle dans le Var, lors du débarquement de Provence. Il pénètre à Toulon le 26 août 1944, après six jours de combats intenses sur l’axe Solliès-Pont, La Farlède, La Valette et Toulon.

Le 6e RTS déplore 587 tués, blessés et disparus. Une citation à l’ordre de l’armée rend hommage à ce sacrifice et hauts faits de bravoure.

Le colonel Raoul Salan quitte Toulon le 9 septembre avec son régiment reconstitué par incorporation d'éléments des Forces françaises de l'intérieur (FFI) qui « blanchissent » progressivement ce régiment sénégalais. Par note du 13 octobre 1944, le 6e RTS devient le 6e Régiment d’Infanterie Coloniale (RIC).

En commémoration de la libération de Toulon et pour un hommage tout particulier au Général Raoul Salan, l'ADIMAD donne rendez-vous à tous les fidèles de la grandeur de la France, le mercredi 28 août au carrefour Général Raoul Salan à Toulon (derrière l’hôpital Sainte-Anne) à 11 heures. Fleurs et drapeaux seront les bienvenus.

Raoul Salan, s’il fut un immense chef de guerre, s’il libéra Toulon en 1944 à la tête de ses valeureux Sénégalais ajoute pour nous la dimension de l’Honneur et du Respect de la parole donnée.

Digne héritier des maréchaux Joseph Gallieni et Hubert Lyautey, Raoul Salan est l’homme qui, avec eux, symbolise au plus haut la gloire de l’Empire français… tant en Afrique qu’en Indochine…

Raoul Salan fut notre Chef dans l’Organisation Armée Secrète, commandant suprême face à la coalition ennemie gaullo-FLN.  Raoul Salan mit sa peau au bout de ses idées. Jamais nous ne l’oublierons. Il paya durement sa fidélité à la Nation française, durant de longues années de privation de liberté. Respect Monsieur le Maréchal !

Et ce ne sont pas les misérables qui ont osé le dégrader en débaptisant la place Général Salan en place Colonel Salan qui nous empêcheront de rendre hommage au Libérateur de Toulon, au Général en chef en Indochine et en Algérie, au Chef de la Résistance française à l’abandon et au parjure…

Un repas suivra, à un prix doux, pour ceux qui se seront préalablement inscrits auprès de :

Jean Billo : 04 94 42 51 41

Venez nombreux ce mercredi 28 août 2013, avec vos amis, pour partager ce moment de recueillement, d’amitié, de fidélité et d’espoir français.



En commémoration de la libération de Toulon et pour un hommage tout particulier au Général Raoul Salan, l'ADIMAD donne rendez-vous à tous les fidèles de la grandeur de la France, le mercredi 28 août, à 11 heures, carrefour Général Raoul Salan à Toulon (derrière l’hôpital Sainte-Anne). Fleurs et drapeaux seront les bienvenus.


28 août 1793 : Début du siège de Toulon


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Hommage au Maréchal Raoul Salan le 28 août 2012 à Toulon (photo Adimad)


CÉRÉMONIE CARREFOUR GÉNÉRAL RAOUL SALAN À TOULON

Allocution du président de l'Adimad, Jean-François Collin

(mardi 28 août 2012) 


Chers Amis,

Nous sommes ici pour rendre hommage à l’un de nos plus prestigieux compatriotes le Général d’Armée Raoul Salan.

C’est à la demande de Serge Jourdes que, désormais, l’ADIMAD organisera cette cérémonie chaque année. Depuis plus de 10 ans notre ami Jourdes a assumé avec une grande réussite cette réunion dédiée à la fidélité et à l’amitié.

Raoul Salan naît le 10 juin 1899 à Roquecourbe, dans le Tarn.

Le 2 août 1917, il s'engage pour la durée de la guerre et est admis à l'École de Saint-Cyr. Chef de section du 5ème R.I.C., il participe à de nombreux combats dans la région de Verdun où il sera cité.

Volontaire pour le Levant, promu Lieutenant le 11 septembre 1921, il est grièvement blessé au combat d'Accham le 24 octobre suivant, et rapatrié sanitaire en France. En 1924, toujours volontaire, il part pour l'Indochine, où il sera affecté au 3ème Régiment de tirailleurs tonkinois. Promu Capitaine le 28 avril 1933, il prend en octobre 1934, le commandement de la 6ème compagnie du 19ème Régiment mixte d'infanterie coloniale.

Lorsque la deuxième guerre mondiale est déclarée, il est Chef de bataillon et accomplit une mission secrète en Égypte et au Soudan, afin d'apporter une assistance à la résistance des forces d'Abyssinie contre les troupes d'occupation de l’Axe. Le 5 juin 1940, Raoul Salan est en première ligne sur la Somme, à la tête d'un bataillon du 44ème RICM Sénégalais. Il se distinguera par ses actions retardatrices lors des opérations de repli sur la Loire. Nommé Lieutenant-colonel le 25 juin 1941, il sert à nouveau en Afrique. Le 30 mai 1944, le Colonel Salan prend le commandement du 6ème RTS en Corse. Le 19 août 1944, son régiment débarque dans le Var où il va mener de féroces combats contre les forces allemandes, jusqu'à la libération de Toulon. Les Toulonnais l’appelleront d’ailleurs, à juste titre, « Libérateur de Toulon. En une semaine, le 6ème RTS dénombre dans ses rangs 587 tués, blessés et disparus...

En novembre 1944, le Colonel Salan conduit le 6ème RTS devenu 6ème Régiment d'infanterie coloniale, dans le Doubs, où il réduit les poches de résistance allemandes, puis en Alsace, où il libère plusieurs localités. Raoul Salan est promu Général de brigade et prend la tête de la 9ème D.I.C. qui va détruire les forces allemandes qui occupent Colmar. Il termine la guerre à la tête de la 14ème Division d'infanterie.

À partir de janvier 1952, le général Salan remplace le général de Lattre de Tassigny, décédé, au poste de Commandant en chef des forces françaises en Indochine. La stratégie qu'il développe va permettre de gagner la bataille de Na San.

En 1957, on retrouve le général Salan en Algérie, au commandement de la 10ème Région militaire. En 1958, malgré ses réticences, victime des comploteurs gaullistes, il fait appel à DeGaulle Charles et lui apporte, hélas, son appui. Farouche partisan de l'Algérie française, et profondément en désaccord avec la politique d'abandon rapide décidée par le plus grand traître de l’histoire de France - dont il prévoit les funestes conséquences – Il se réfugie alors en Espagne pour conserver sa liberté d’action ce qui lui permet de rejoindre l’Algérie au moment du soulèvement militaire du 22 avril 1961.

Après l'échec de la révolte militaire, fidèle à la parole donnée, il refuse de se rendre, entre dans la clandestinité et devient le chef de l’ Organisation Armée Secrète. Arrêté, il assume fièrement son engagement devant un tribunal d’exception et déclare : « Je suis le chef de l’OAS. Ma responsabilité est donc entière. Je la revendique, n’entendant pas m’écarter d’une ligne de conduite qui fut la mienne pendant 42 ans de commandement .Je ne suis pas un chef de bande, mais un général français représentant l’armée victorieuse, et non l’armée vaincue ». Il est condamné par le Tribunal Militaire à la prison à vie ; il sera libéré le 15 juin 1968 par De Gaulle Charles fuyant en Allemagne les émeutiers de Paris. Comme ses Camarades de combat il sera amnistié par François Mitterrand en 1982.

Le Général Raoul Salan s'est éteint le 3 juillet 1984 à l'hôpital du Val de Grâce à Paris. Il a été inhumé au cimetière de Vichy. Il est l'auteur de deux ouvrages : "Fin d'un Empire" et "Indochine rouge, le message d'Hô Chi Minh".

Ce Combattant volontaire, blessé de guerre, fier de porter les galons de Caporal-chef d'honneur de la Légion étrangère, arborait sur sa poitrine 10 rangs de décorations: il était Grand Croix de la Légion d'Honneur, titulaire de la Médaille militaire et de quatre Croix de guerre totalisant 17 citations.

À la demande de nombreux Toulonnais et Réfugiés d’Algérie ce carrefour avait été baptisé par la municipalité Le Chevallier :

Carrefour Général Raoul Salan
Libérateur de Toulon
28 août 1944

En juin 2005 les misérables gaullistes de la municipalité Falco, à l’unanimité, moins une voix, cédèrent au lobby de la Ligue des Droits de l’homme et votèrent le changement d’appellation de ce carrefour qui devint, pour eux, mais pas pour nous :

Carrefour colonel Salan
Libération de Toulon
Août 1944

Ainsi, notre Chef fut dégradé et ne fut plus le Libérateur de Toulon ! Honte à ces élus sans courage et soumis au politiquement correct.

Quant à nous nous continuerons chaque année à venir honorer celui qui fut l’Honneur de la France face au parjure et à l’abandon.

À l’an prochain !


mardi 27 août 2013

Manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD…

MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE
[Cliquez sur le texte pour l'agrandir]


1.- Mercredi 28 août à 11 heures, à Toulon, hommage à notre Chef le Général Raoul SALAN sur la place inaugurée à son grade et nom et débaptisée honteusement par une équipe de misérables élus municipaux !
Un repas suivra, à prix doux. Inscriptions téléphonique auprès de Jean Billo : 04 94 42 51 41

2.- Mercredi 25 septembre à 17 h 30 hommage à un grand Français le Bachaga Saïd BOUALAM – Vice-Président de l’Assemblée nationale - dans le square à son nom et devant la Stèle qui lui est dédiée à Giens/Hyères (en face de l’hôtel Provençal).
Lors de cette cérémonie un don sera remis publiquement à Zohra et Hamid pour exécuter les dernières volontés de notre Camarade et Ami Michel Gonnaud qui combattit dans les rangs du Maquis de l’Ouarsenis, sur les terres du Bachaga qui y avait éradiqué les terroristes FLN. Il l’avait payé de trop longues années de prison ! Sa dernière volonté : pas de fleurs mais une quête pour une association de Harkis. De l'exécution de cette dernière volonté de Michel Gonnaud, l’ADIMAD en a reçu la mission.


Zohra et Hamid se sont particulièrement illustrés dans leur lutte pour la défense des Harkis en campant pendant près de deux ans devant l’Assemblée nationale sans que Sarkozy de Nagy Bocsa les prenne en considération et leur fit subir, au contraire, les pires ennuis policiers…
Par ailleurs ils ont effectué une marche de Montpellier jusqu’à Paris, pour la même raison et n’ont même pas été reçus par les « autorités » ! Leur halte au cimetière de Bourg-la-Reine, sur la tombe du Colonel Jean BASTIEN-THIRY méritait bien cette misérable vengeance !
Par ailleurs encore, le maire de Gorniès (34), un salaud nommé Hans Mettler, les a expulsés de leur logement avec l’assistance de 20 gendarmes alors que Zohra était sous assistance respiratoire ! Depuis, ils campent dans un mobil-home devant la mairie !

3.- Une fille de Harki recherche des militaires français vivants ayant sauvé du génocide gaulliste ces soldats méritants. Prière de  transmettre leurs coordonnées à : adimadsud@wanadoo.fr

À Toulouse, le pont du Chevalier Bayard honore les Harkis, martyrs du FLN et des gaullistes…








lundi 26 août 2013

La Voix de la Russie : En Syrie les amis de Laurent Fabius abattent leurs dernières cartes : assassinat ciblé et gazage de masse




Au sommaire de cette édition du 26 août 2013 :

- Flanbyland : des rats des villes émeutifs et des rats des champs de moins en moins patients
- Syrie : les amis de Laurent Fabius abattent leurs dernières cartes : assassinat ciblé et gazage de masse
- Allemagne : revue des troupes politiques avant le grand soir électoral de septembre
- Hongrie : interview exclusive  de Gabor Vona, président fondateur du Jobbik
- Fukushima : pour une nécessaire entente Russo-japonnaise
- Cannes : prend les habits de la Sibérie à l'occasion du Festival des arts russes
- Quittez la Hollandie pour revenir en France, le temps d'un Spectacle médiéval à la Chapelle d'Angillon les 7 et 8 septembre prochains
- L'émission "À bâton rompu" reçoit le politologue russe Segey Fedorov pour une analyse de la scène politique française.