« Activistes LGBT,Vous instrumentalisez les homosexuels qui ne vous ont rien demandé pour faire adopter des lois dont les français ne veulent pas. Sachez que désormais les Hommen n’auront de cesse de révéler à nos compatriotes l’étendue de votre escroquerie.Oui vous êtes des escros ! Vous n’œuvrez pas à l’acceptation de l’homosexualité, vous enfermez les homosexuels dans une image de folle en string panthère qui est aussi irréelle que dégradante.Vous ne défendez pas les homos, vous les réduisez à leurs pratiques sexuelles en voulant faire de votre sexualité une identité. Mano Solo chantait : « je suis esprit avant d’être un corps », le poète doit se retourner dans sa tombe…Vous ne luttez pas contre l’homophobie, vous en vivez ! Vous savez pertinemment que malgré vos happenings provocants et vos slogans haineux comme « un hétéro une balle, sa famille une rafale », l’écrasante majorité des Français n’a rien contre les homosexuels. Qu’à cela ne tienne vous montez en épingle le moindre fait divers pour culpabiliser nos concitoyens et tenter de légitimer votre lobbying communautaire.Nous refusons ce chantage à l’homophobie. Nous défendons l’ordre naturel, le bon sens et les enfants. Vous pourrez "pleurnichier" tant que vous voudrez et nous accuser de tous les maux, nous ne varierons pas d’un iota. Chaque enfant a le droit à un père et à une mère. Beaucoup d’homosexuels moins égoïstes que vous l’ont compris. En adultes capables de gérer leurs frustrations, ils refusent de faire passer leurs désirs avant l’équilibre des enfants. A dire vrai la grande majorité des homosexuels ne veut pas de votre activisme et de vos prétendues avancées. Combien il y a-t-il eu de participants à votre Grand Salon du Mariage "Gay" ? À peine 150 ! Et encore la moitié étaient des figurants de l’Inter-LGBT !Vous ne représentez rien ! Vous n’êtes qu’une poignée de professionnels de l’agitation médiatique arrosés par les millions de Pierre Bergé. Certes ces millions vous ont acquis la classe politique et les médias, mais malgré toute la propagande que vous lui avez fait ingurgiter depuis 30 ans, le pays réel continue à penser, bonhomme, que s’il faut un homme et une femme pour faire un enfant, c’est peut-être qu’il faut aussi un homme et une femme pour l’élever. Vous pouvez contraindre les maires à vous marier, faire placarder des affiches sur lesquelles des types se taillent des pipes, remplacer les drapeaux français par des drapeaux "gay" sur le fronton des mairies, vous n’éteindrez pas les braises de bon sens qui subsistent chez nos compatriotes. Comptez sur nous pour souffler franchement dessus.Les HOMMEN »
Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
dimanche 30 juin 2013
Les Hommen interpellent une manifestation obscène d'activistes homosexuels à Paris…
samedi 29 juin 2013
Alain Mimoun, un Français d'Algérie exemplaire…
Un Français d'Algérie qui a toujours aimé la France est mort. Alain Mimoun, de son vrai nom Ali Mimoun Ould Kacha, est mort jeudi soir à l’âge de 92 ans à l’hôpital militaire Bégin de Saint Mandé.
Ali Mimoun Ould Kacha est né le 1er janvier 1921 à Maïder (arrondissement du Télagh) dans le département d’Oran. Aîné d'une fratrie de sept enfants, issu d’une famille de modestes agriculteurs, sa mère Halima le destine à une carrière d’instituteur. Il obtient le certificat d’études primaires (avec mention « Bien »), mais on lui refuse malgré tout une bourse. Il s'engage alors dans l'armée au début de la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il n'a pas encore 19 ans, et est envoyé sur la frontière belge. Après la débâcle, en 1940, il est pour un temps intégré au 19ème régiment du génie, à Besançon où il se livre à la pratique du sport : football, cyclisme… et enfin à la course à pied. Puis il va à Bourg-en-Bresse où il vient s'entraîner dans le stade. Là, le président du club d'athlétisme local, M. Vilar, le remarque. Il participe au championnat départemental de l'Ain et remporte l'épreuve du 1500 mètres. Muté en Algérie, à Alger, avec le 19ème régiment du génie, il intègre l'équipe de cross-country de l'unité, puis combat contre l'Afrikakorps lors de la Campagne de Tunisie (novembre 1942-mai 1943) sous les ordres du général Giraud. Dès juillet 1943, il participe à la campagne d'Italie comme caporal dans le 83ème bataillon du génie, au sein de la 3ème division d'infanterie algérienne du Corps expéditionnaire français commandé par le maréchal Juin. Grièvement blessé au pied par un éclat d'obus lors de la bataille du mont Cassin le 28 janvier 1944, il évite de justesse l'amputation de sa jambe gauche préconisée par les médecins américains et est soigné à l'hôpital français de Naples qui lui évite cette épreuve, puis participe néanmoins au débarquement de Provence (15 août 1944). Son bataillon y gagnera la Croix de guerre avec quatre citations. Après le conflit, il devient garçon de café au Racing club de France à la Croix-Catelan et habite un modeste deux pièces au 127, avenue Simon-Bolivar à Paris.
Avec Alain Mimoun, immense champion des années 1940 et 1950, c'est un pan de l'histoire de l'athlétisme qui a disparu jeudi soir. Champion olympique le 1er décembre 1956 du marathon, dans la chaleur de Melbourne (36°C à l'ombre), avec un simple mouchoir blanc sur la tête comme seule protection et alors que l'on promettait le titre à son rival éternel et grand ami Emil Zatopek. Après sa victoire en 1956, il déclara : « Je compare ma carrière à un château : ma médaille d'argent de Londres, ce sont les fondations ; mes 2 médailles d'Helsinki, ce sont les murs; ma médaille d'or de Melbourne, c'est le toit. » Mimoun, demeure le plus grand coureur français de tous les temps.
Alain Mimoun a toujours été l'exemple même de l'intégration dans une Algérie française… Alain Minoun, symbole, a su toujours défendre les symboles de la Nation française, le drapeau mais aussi le Coq gaulois !
Le symbole du Coq gaulois a été utilisé pendant des années pour représenter la nation française, il est présent sur les maillots des sportifs dans les compétitions internationales. En 1997, le CNOSF décida de retirer cet emblème du logo officiel. Beaucoup de personnalités se sont élevées contre cette décision ; Mimoun fut leur porte-parole.
Dans les années 1950 et 1960, il était de mise, pour encourager un jeune sportif dans les compétitions, que ses camarades lui lancent : « Allez Mimoun ! ».
Alain Mimoun a une passion pour l'histoire de France perceptible dans l'aménagement de son pavillon de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) où l'on trouve des références au chevalier Bayard, à Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus et aux papes Jean XXIII et Jean-Paul II. Alain Mimoun est un fervent catholique ; le champion olympique s'est fait construire une chapelle dans le cimetière de Bugeat, en Corrèze.
Décoré de la Légion d'honneur
Sa soif de reconnaissance légitime d'un pays, la France, qu'il a toujours considéré comme le sien, sera finalement assouvie quand quatre présidents de la République le décoreront de la légion d'honneur : René Coty en 1956 (chevalier), Georges Pompidou en 1972 (officier), Jacques Chirac en 1999 (commandeur) et Nicolas Sarkozy en 2008 (grand officier).
En décembre 2012, le journal l’Équipe, qui l'avait sacré champion des champions en 1949 et 1956, lui avait remis son premier trophée de champion des champions de légende. Lorsqu'il avait reçu chez lui les représentants du journal l’Équipe, à Champigny-sur-Marne, il se remémorait ainsi l'apothéose de sa vie de champion, à Melbourne, au lendemain de la naissance de sa fille Olympe : « Quand le drapeau français a été hissé, j'ai pleuré sans larmes tellement j'étais déshydraté. Le lendemain, il flottait encore. C'est un destin fantastique, non ? » Assurément Monsieur Mimoun.
Les médias francs-maçons et socialo-communistes ne vont pas s’étendre sur sa vie, l'exemple d'Alain Mimoun n'étant pas leur tasse de thé, lui préférant des histrions raisonneurs crachant dans la soupe… comme Djamel Debouze.
vendredi 28 juin 2013
Moi-je-Pipo-Flanby… par malheur, la France arrivra-t-elle jusqu'au 8ème jour piétinée par cet enfoiré ?
Le Printemps Français s'invite chaque jour sur le Tour de France… Mais une date à retenir particulièrement : le 7 juillet ! |
Moi-je… pipo… pipo… pipo…
Flanby dans ces œuvres… jusqu'au 8ème jour ?
Devant l'Assemblée nationale, Dominique Dord, député de la Savoie, revisite la Genèse pour résumer la "politique" menée par Flanby depuis un an…
Le premier jour, il est allé voir madame Merkel. Il lui a dit : "Madame Merkozy, je veux renégocier votre traité". Elle lui a dit : "Nein !". Alors, il a dit : "Au diable les Allemands, ces conservateurs égoïstes !". Et vous avez ratifié le traité.Le deuxième jour, il a voulu casser tout ce qu'avait fait Nicolas Sarkozy. Finies, les heures supplémentaires pour huit millions d'ouvriers et d'employés ! Il a dit : "Au diable, le pouvoir d'achat des classes moyennes !"Le troisième jour, il a levé 30 milliards d'impôts. Tous les riches ont quitté le pays et il a dit : "Au diable les riches ! Qu'ils aillent dépenser leur argent en Angleterre !"Le quatrième jour, il s'est fait plaisir. Il a levé sept milliards de dépenses, en créant, par exemple, 60 000 postes dans l'éducation. Il a dit : "Je refuse de céder au diktat des 3% ! Nous serons à 3,6% !". On apprend aujourd'hui qu'il est à 3,9%. Il a dit : "Vive les déficits et vive les marchés financiers !"Le cinquième jour, il a récompensé madame Royal : il a fait d'elle une banquière, parce qu'elle le vaut bien ! Et il a dit : "Au diable la République irréprochable !"Le sixième jour, il a envoyé la police contre les familles qui tentaient de s'accrocher au peu de repères qu'elles avaient encore. Et il a dit : "Au diable les familles, les religions, les conservateurs et les rétrogrades ! Vive le progrès ! Vive les LGBT !"Enfin, le dernier jour, comme le veut la tradition, il s'est reposé. Il est monté sur le Mont Corrèze avec Valérie pour contempler son œuvre, et là, il a vu une France en ruine, des Français sans un sou, sans espérance, sans avenir, sans fraternité. Et il a eu cette phrase historique, il a dit : "Je sais que je tiens le bon cap". Alors, il est revenu à Paris en train, comme il l'avait promis !
Et, le Huitième Jour… malheur !!!
Flanby… le 8ème jour… malheur ! |
jeudi 27 juin 2013
Francs-Tireurs Patriotes : "Les larmes du drapeau"… "Rupture de Ban"… "Leçon d'histoire" !
Les larmes du drapeau
"Place du Capitole à Toulouse, le 18 novembre 2009 : des hordes d'Algériens (pardon, de Français d'origine algérienne) prennent prétexte d'un match de football de leur pays (pardon, de leur pays d'origine) pour arracher le drapeau tricolore, le brûler et le remplacer par leur torchon croissanté. Les autorités interdisent à la police d'intervenir pour ne pas "créer de désordre"... Si je parlais ici en tant que Joyeux Rebelle, ce n'est pas ma plume que je saisirais mais une arme de guerre. Pour ne pas "créer de désordre", je laisserai le drapeau exprimer lui-même son amertume de n'être plus défendu sur son propre sol..."
J’ai longuement flotté sur les champs de bataille,
Résistant bravement aux coups de la mitraille ;
Maintes fois ma voilure épongea dans le vent
Le sang des soldats morts, les pleurs des survivants.
Au sommet du pays je dressais mes couleurs,
Témoignage vibrant de la Foi, de l’Honneur.
Les anciens devant moi soulevaient leur chapeau,
Qu’y a-t-il de plus beau que l’amour d’un drapeau ?
Mais la honte survint par un soir gris d’hiver :
Ma hampe fut brisée par des mains étrangères.
Lacérés, mes beaux plis sanglotaient en silence
En voyant que ces doigts s’attaquaient à la France.
Devant la foule haineuse, on me jeta à terre.
Un instant je pensai : « nous sommes donc en guerre ! »
Mais en guerre un étendard a ses défenseurs,
Ici nul n’accourut pour calmer ma douleur !
Les uniformes bleus trépignaient de colère,
Mais leur chef, tout là-haut, préservant sa carrière,
Me laissa sans mot dire aux mains de mes bourreaux :
Je mourus sans qu’une arme quitte son fourreau.
Ce soir je regrettai de porter ces couleurs,
Car une part de la France est morte dans mes pleurs.
Quand mon pays me laisse ainsi succomber, seul,
Je ne suis plus drapeau, mais je deviens linceul…
À propos des Larmes du drapeau
Certaines personnes ont diffusé sur Youtube une vidéo reprenant mon poème "Les larmes du drapeau", en l'attribuant à un certain Colonel Brault que je ne connais ni d'Éve ni d'Adam. J'ai demandé il y a quelque temps des explications à ce colonel, il m'a affirmé s'être contenté de poster mon poème sur son site, mais que d'autres personnes l'y ayant trouvé en ont déduit qu'il en était l'auteur.J'effectue ce rectificatif car, étant membre du groupe FTP (Francs-Tireurs Patriotes), je mettrai ce poème en musique pour le prochain disque du groupe, et n'ai aucunement envie de passer pour un plagiaire alors que "les larmes du drapeau" sort de ma petite plume !
Le groupe de Rock Patriote, "Francs-Tireurs Patriotes", sort son deuxième album : Rupture de ban dont est extrait le morceau "Les larmes du drapeau". Autres titres : "Gardiens du désordre" - "Leçon d'histoire" - "St Michel Archange" - "Légitime défense" - "Crève en silence" - "Lettre à mon fils" - "Le volontaire" - "Hôtel des verrous" - "Tous pourris" - "L'âme du vin".
Pourquoi « FTP » ?
"Au sens propre, un franc-tireur est un combattant qui ne fait pas partie de l’armée régulière. Nous avons décidé de reprendre ce sigle (à l’origine Francs-tireurs Partisans, communistes coupables de crimes de guerre sous l’Occupation), en le travestissant en Francs-tireurs Patriotes. L’image est double : d’une part nous sommes des combattants politiques en marge du Système, et d’autre part la récupération de ces trois lettres équivaut à un doigt d’honneur fièrement brandi à destination des gauchistes."
* * *
Leçon d'histoire
Rivarol s'entretient avec le groupe nationaliste et catholique Francs-Tireurs Patriotes (FTP) :
“Nous avons reçu notre lot de gaz et de GAV… Mais il en faudra plus pour nous faire taire…”
RIVAROL : Philippe, vous êtes guitariste et chanteur de FTP (pour Francs-Tireurs Patriotes). Avec vos camarades, vous sortez votre deuxième album, Rupture de ban. Avant de parler plus précisément de cette nouveauté musicale qui intéressera assurément une large fraction de la mouvance nationaliste, pouvez-vous présenter aux lecteurs de RIVAROL qui ne sont pas tous experts de musique RIF ou RAC la fière équipe composant le groupe ?Francs-Tireurs Patriotes : Avec plaisir ! Tout d’abord le groupe a été créé en 2009 par Tanguy et moi-même, motivés à l’idée de redynamiser la scène RIF laissée bien vide par les arrêts d’In Memoriam (qui s’est reformé depuis), Vae Victis et Ile-de- France, à nos yeux les trois meilleurs groupes que le RIF ait jamais connus. À l’été 2009, l’arrivée à Paris de Fasc (déjà connu sur Internet par ses clips de rap antisionistes) a finalisé la constitution des Francs-Tireurs Patriotes (on retrouve d’ailleurs nos trois initiales dans ce nom riche de sens !). Peu après nous avons été rejoints par l’Anguille, ancien leader d’Europa Nostra, qui a depuis laissé sa place à Julien, notre bassiste depuis trois ans !R. : Comment pouvez-vous définir votre évolution artistique, spirituelle et intellectuelle depuis la sortie de votre premier album ?FTP : Le principal changement entre nos deux albums est d’abord dû à l’expérience que nous avons acquise ainsi qu’aux moyens mis en œuvre pour faire de « Rupture de ban » un produit “pro”. Néanmoins, il y a aussi eu une évolution à la fois intellectuelle et artistique qui est directement issue de notre prise de conscience qu’on n’attire pas à nos idées par des moyens qui ne sont pas adaptés au public que l’on vise. Notre premier album était très communautaire dans le style comme dans le fond, c’était de la musique pour « les nôtres ». Et les concerts que nous avons donnés un peu partout en France entre 2009 et 2012 nous ont montré combien la musique militante participe directement de l’esprit de communauté. Pour ce second album, nous avons véritablement mis l’accent sur la rupture (politique mais également artistique) : sans renier aucunement l’aspect communautaire et militant inhérent à notre travail, nous avons voulu proposer notre musique à d’autres gens, peut-être de simples patriotes peu politisés mais qui peuvent être séduits par des mélodies travaillées, des paroles qui font plus appel à l’âme et à l’esprit qu’aux passions, bref un public qui écoute du RIF sans le savoir ! Nous avons été surpris du nombre de personnes étrangères au milieu nationaliste qui ont acheté et apprécié notre dans notre clip « les larmes du drapeau », qui touche un public très large malgré les croix celtiques qui ornent nos instrus.R. : Êtes-vous investis en politique, au-delà de vos activités musicales ? Militez-vous dans un mouvement ?FTP : Notre militantisme ne se limite bien sûr pas à composer des chansons et à jouer de la guitare ! Ces activités se greffent sur un engagement qui n’est pas nouveau. Pour la plupart nous sommes proches du Renouveau français, mouvement clair sur sa doctrine et qui dégage un impressionnant sentiment de communauté et de camaraderie. Mais en tant que groupe musical, FTP n’est inféodé à personne et n’est le groupe de personne sinon de ceux qui écoutent et aiment notre musique ! Nos rapports avec l’ensemble de la planète nationaliste et identitaire sont donc bons, indépendamment des divergences doctrinales ou des querelles de personnes… Concernant nos activités militantes récentes, nous nous sommes investis comme beaucoup dans la bataille contre la dénaturation du mariage, aux côtés de milliers de personnes qui bravent quotidiennement un Système qui se fiche du peuple. Sans entrer dans les détails, nous avons reçu notre lot de gaz et de GAV (tiens, j’ai placé détail et gaz dans la même phrase !) Mais il en faudra plus pour nous faire taire.R. : Vous proposez de belles mélodies (et l’on comprend que votre nouveau “bébé” connaisse déjà son petit succès !), et des textes parfois particulièrement sulfureux. Comme ceux du titre Leçon d’histoire [à écouter absolument !] dans lesquels le professeur Cohen est croqué insolemment ! Mais ne croyez-vous pas que le point central que vous touchez ici mériterait carrément un album complet ?FTP : Sans aucun doute, mais il faut en garder pour les prochains albums ! Cette chanson, « Leçon d’histoire », est emblématique de notre disque. C’est sans aucun doute la plus radicale, mais aussi la plus drôle, et une des plus douces ! Quand un de mes collègues de travail me dit que ses deux enfants la connaissent par cœur, je me dis que nous avons réussi ce cocktail détonnant : radicalité du message et aspect irrésistiblement sympathique, bref de la piraterie musicale ! Sur un plan plus politique, il est clair que le sujet de l’éducation “nationale” est connexe à beaucoup d’autres qui ont tous pour clé de voûte la domination du lobby qui n’existe pas… Vous pouvez donc compter sur nous pour dénoncer avec nos instruments les maux que, chaque semaine à RIVAROL, vous analysez sans compromission !
Propos recueillis par Valentin BARNAY pour Rivarol n° 3100 du 28 juin 2013
Le CD Rupture de ban de FTP coûte 17 euros port compris. Il est commandable sur patriote-productions.com ou à cette adresse : PP/Asma, BP 80308, 75723 Paris Cedex 15.
mercredi 26 juin 2013
L'Œuvre Française… "Dictature socialiste : nous la mettrons à bas !"
Communiqué d’Yvan Benedetti en réaction à une procédure de dissolution des Jeunesses Nationalistes et de l’Œuvre française
Dictature socialiste : nous la mettrons à bas !
Le gouvernement est exsangue. A bout de souffle, il ne sait plus comment nous faire taire, sans doute sait-il qu’il n’y parviendra jamais. Sa dernière tentative : une procédure discriminatoire en vue de la dissolution des Jeunesses Nationalistes, fondées par Alexandre Gabriac et de l’Œuvre française que je préside. Comble de l’infamie, cette forfaiture a été commise au nom du gouvernement par une direction dite des libertés publiques. Quand on ne sait inventer, on en vient à copier. Aussi ce gouvernement socialiste finit-il par recourir aux méthodes qui ont déjà servi autrefois pour « la chasse aux nationalistes ». On retrouve les références à la guerre d’Espagne d’un Emmanuel Valls en proie aux relents anti-fascistes viscéraux, au goût immodéré pour les dissolutions comme arme du désespoir, d’un Ayrault qui n’en n’a pas même l’orthographe, mais tente de s’inspirer des faits de guerre du Front Populaire pour mettre à bas cette France non reniée qui ne veut pas s’éteindre. En s’en prenant à l’ Œuvre française, ils attaquent un mouvement de près d’un demi-siècle, qui n’a jamais fait l’objet de condamnation pas plus que d’interdiction, dont le fondateur, Pierre Sidos a vu deux de ses frères tomber pour la Patrie et qui est l’héritier d’un père héros de Verdun.
Tant de références qui devraient susciter le respect, tant de références qui ne peuvent chez eux qu’attiser la haine, car eux sont l’anti-France. N’arrivant pas à dissoudre les individus par une répression toujours plus forte, c’est collectivement qu’ils tentent de nous atteindre par une procédure liberticide, calomnieuse, illégitime, contraire aux beaux principes dont ils se font les chantres, contraire même à la Constitution dont les droits semblent n’avoir été écrits que pour ceux par qui elle a été rédigée et les devoirs pour ceux contre lesquels elle a été instituée. Ce gouvernement de coqs a-t-il sans doute pris goût aux défaites, des taux record du chômage, à l’augmentation de la dette, à l’insécurité croissante, à la bêtise crasse, à l’immoralisation de la vie politique, à l’idéologie sectaire… il tente désormais d’ajouter à la longue liste celle de la mort programmée du Nationalisme.
Leur démocratie est prétendument fondée sur la légitimité populaire. Où se trouve la légitimité d’un gouvernement qui a connu huit échecs sur les huit dernières échéances électorales, dont les sondages d’opinion sont plus qu’un camouflet, un véritable désaveu, dont les moralisateurs sont tous corrompus jusqu’à la mœlle, dont l’imposture idéologique n’a d’écho tangible que l’imposture morale, dont l’oreille est sourde aux cris du peuple qui souffre chaque jour un peu plus. Ne trouvant plus sa légitimité dans le peuple qui l’a abandonné puis renié, c’est dans la violence que le gouvernement l’a définitivement perdu, instaurant une véritable tyrannie. Mais la dictature socialiste tombera, comme elle est toujours tombée, et avant même que le Nationalisme n’ait vacillé. La liberté n’est pas un alibi, elle est une arme affûtée dont le couperet tombera. Elle n’est pas celle illusoire des contes démocratiques, mais celle bien réelle des révolutions.
Qui souffrirait de voir se prolonger le diktat imposé par les persécutions policières, les arrestations arbitraires, le gazage des femmes et des enfants, les rétentions illégitimes … qui ? Certainement pas le peuple, certainement pas la France ! Certainement pas nous ! Le poing levé ne parera pas le coup franc ! Alors mobilisation générale contre ce mauvais coup porté non seulement contre nous mais aussi contre les libertés. Cette dictature socialiste nous la mettrons à bas, et ça, ça n’est pas un vœu pieux, c’est une promesse. Pas l’ Œuvre française, non. Pas les Jeunesses Nationalistes, non. Le peuple, la France ! En avant la victoire !
Yvan BENEDETTI, président de l’Œuvre française envers et contre tout
Semper fidelis !… De là-bas j'en suis… Non rien de rien, non je ne regrette rien...
"Non rien de rien, non les anciens de l’OAS ne regrettent rien..." sur France Inter à 15 heures les 12, 13, 14 et 17 juin… À partir du lien précédent l'émission peut être réécoutée dans le calendrier de France Inter…
Un entretien sur France Inter avec la participation de l'Adimad, Jean-François Collin, Jean-Pierre Papadacci, Paul Stéfani, Régis Guillem, Jean Casanova, Bernard Salkin, Michel Ximénes, Jean-Yves Casalonga… Une émission malheureusement entachée par la personnalité et la mauvaise foi de son producteur et animateur, Daniel Mermet… un proche du réseau Jeanson, ces traîtres à la patrie française, larbins criminels porteurs de valises des égorgeurs du FLN.
De là bas j'en suis… réponse à Daniel Mermet
Pour répondre aux inepties de l'émission "Là si j'y suis"
Salut Daniel,
De là-bas, j'en suis.
J'ai écouté ton émission sur « les anciens de l'OAS qui ne regrettent rien ». Fraternellement, je voudrais te dire que j'y ai retrouvé tous les poncifs idéologiques que l'on assène depuis tant d'années. On cherche à y faire accréditer l'idée d'une organisation terroriste qui s'en est pris aux civils et en particulier aux musulmans.Des bavures, il y en eut sûrement mais l'OAS est une organisation tyrannicide qui s'en est pris à un appareil d'État qui, tordant la légalité, a conduit à créer les conditions nécessaires pour que se perpétuent trois crimes contre l'Humanité (les milliers de disparus, l'exode et le massacre du 5 Juillet à Oran, le massacre des Harkis et de nombreux combattants du FLN des wilayas de l'intérieur par l'armée des frontières qui les a désignés comme traîtres). Le pacte secret, pour ne traiter qu'avec la tendance la plus radicale du FLN pour la signature des accords d'Évian (voir l'affaire Si Salah) et ces pratiques contraires à l'esprit de la constitution, dénoncées en leur temps par le prix Nobel Maurice Allais (abandon d'une partie du territoire national, exclusion du vote de certains citoyens, etc.) ont fait le lit d'une guerre civile franco-française.Il s'est produit alors quelque chose d'unique, de jamais vu. Des massacres, il y en eut d'autres dans l'histoire et dans le monde, mais là, ils eurent lieu sur des civils innocents pour l'essentiel pro-français avec la présence des forces armées françaises en nombre, et non vaincues militairement, qui ne portèrent aucun secours à leurs concitoyens en danger, hormis quelques militaires courageux comme le capitaine Rabah Khelif. Quel peuple pouvait accepter pareille abomination ?Bien sûr, vous nous avez mis en avant Delphine Renaud pour laquelle j'ai beaucoup de compassion mais j'évoquerai plus loin les nombreux cas d'enfants pour lesquels aucune compassion n'est exprimée ; on nous sert l'inénarrable Pierre Nora et son pamphlet ou encore le Pied Noir qui, lui, aimait les arabes, pour justifier le « ni valise ni cercueil ». C'est connu, archi connu.L'OAS a été créée en 1961, mais depuis 1945, le CRUA puis le FLN avaient massacré et mutilé dix-mille Européens et neuf à dix fois plus de musulmans ; encore tout récemment en Algérie, on pouvait trouver ces visages au nez coupé ou aux oreilles arrachées. C'était une stratégie délibérée, basée sur la terreur, pour créer un fossé irrémédiable entre les communautés. Si ce fossé existait, pourquoi s'en être pris à des Musulmans et aux Européens qui leur étaient proches ?Jeune à l'époque, je n'ai rejoint l'OAS qu'à quatre ans !!! Je garde en souvenir la fin tragique de mes voisins les De Cara ou celle des Ortega à Mers El Kébir dont les crânes ont été fracassés contre les murs par de « valeureux combattants FLN », les fillettes de sept ans violées et les petits garçons émasculés. Il faut excuser ces gosses, ils ne sont plus là pour témoigner. On oublie également la bombe posée volontairement par la sénatrice Zohra Drif, qu'on accueille aujourd'hui en grande pompe en France, chez un crémier, « le Milk Bar », passage rituel pour tous les enfants d'Alger à la veille de la rentrée des classes.Pierre Nora et Jean-Paul Sartre font partie de ces intellectuels qui ont cautionné, voire plus pour Sartre, les violences faites à des innocents. Camus dans une célèbre controverse s'y est, lui, opposé. Quant aux Pieds Noirs restés en Algérie[1], cela devient une propagande du type de celle pratiquée aux heures les plus sombres de l'Union soviétique ou encore utilisée par le régime Nord-Coréen actuel.Cher Daniel, merci de t'être intéressé à ces résistants qui ont fait l'honneur des Français d'Algérie comme les combattants du ghetto de Varsovie pour les juifs. Bien sûr le trait du reportage est caustique et quelque peu méprisant. Sache qu'ils sont toujours dans mon cœur et qu'ils ont toute mon admiration. Semper fidelis.Comme le peuple Pied Noir et Harki, le peuple Algérien est un peuple courageux qui continue à souffrir des violences politiques du fait du mensonge sur une histoire confisquée par une nomenklatura militaire. C'est un peu comme une plaie mal cautérisée qui s'infecte. Ce peuple fuit sa situation politique dans l'exil, dans l'islamisme, ou dans des immolations (deux-cent-cinquante par an) ; mais tu vois, cher Daniel, le plus grave c'est que la bien-pensance française cautionne au nom des droits de l'homme le fait qu'ils ont été et sont toujours bafoués. Camus disait que notre temps est celui où ce sont les coupables qui pour se donner une bonne conscience ont décidé d'accabler les innocents.Ni haine, ni oubli.Je vais t'avouer que je connais d'avance le mépris qui accueillera cet écrit et je sais bien compromise la liberté d'expression en France, en particulier quand une victime comme Nicole Guiraud se voit condamner parce qu'elle ne supporte pas de voir faire l'apologie de ses bourreaux sur une chaîne du service public et ce sans droit de réponse.Ce qui m'intéresse, ce n'est que la vérité avec le plus grand respect pour toutes les victimes innocentes quelles qu'elles soient. Je souhaite longue vie à ton émission mais aussi une rapide prise de conscience.
Cordialement,Georges Belmonte
[1] Sous-entendant, selon la thèse de Pierre Daum, le pseudo-historien et véritable révisionniste ami du FLN, que ceux qui sont partis le sont par racisme.* **
À propos de Daniel Mermet et ses relations avec les collaborateurs de LBSJS voir l'article et les commentaires qui l'accompagnent sur Article 11 : Daniel Mermet ou les délices de « l’autogestion joyeuse »
Ce n’est jamais un plaisir de « tirer » sur son propre camp. Mais quand l’une des personnalités les plus influentes de l’audiovisuel « de gauche » adopte au quotidien des techniques de management dignes du patronat néolibéral le plus décomplexé, difficile de détourner les yeux. Enquête sur l’animateur un brin schizophrénique de « Là-bas si j’y suis », l’émission culte de France Inter…
Observatoire des journalistes et de l'information médiatique (OJIM) : Daniel Mermet, le père Fouras du communisme : « Comme d’autres sont nègres, moi je suis rouge. » (Médias, automne 2011)
mardi 25 juin 2013
La Voix de la Russie : "En Flanbyland vaut mieux être casseur ami du Qatar que catholique et fier de l'être…"
Au sommaire de cette édition du 24 juin 2013 :
- En Hollandie : une justice à deux vitesses enferme plus facilement ses prisonniers politiques que ses délinquants
- 50e Salon aéronautique du Bourget : la Russie, vedette militaire, spatiale et civile
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Les Hommen interpellent Flanby
Paris, 23 juin 2013 : Lors du rassemblement parisien en soutien à Nicolas Bernard-Busse, ce jeune incarcéré après une manifestation anti mariage pédés-gouines, les Hommen - comme à leur habitude torse nu et visage masqué - on lu une lettre ouverte à François Hollande où ils l'interpellent sur son refus d'écouter les manifestants, notamment en ignorant la pétition déposées au CESE et rassemblant plus de 700 000 signatures. Assenant au passage cette phrase choc : "Vous faites adopter une loi qui viole les droits de la majorité et des plus vulnérables pour plaire un un lobby qui représente la minorité d'une minorité".
Prorussia.tv et Agence2Presse
dimanche 23 juin 2013
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