Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

samedi 27 avril 2013

Toulouse : Le pont de l'Infamie… 19 mars 1962, un "maire" ose célébrer une capitulation !!!


Attentat contre le Chevalier Bayard fomenté par Cohen qui prétend débaptiser le pont dédié à l'honneur du Chevalier pour y inscrire la date infâme de la capitulation d'Évian du 19 mars 1962…
En 1504, Pierre Teillard, dit le chevalier Bayard, accomplit un de ses plus hauts faits d’armes sur le Garigliano … Sa vaillance, son adresse et son endurance font merveille…  440 ans plus tard, en mai 1944, la bataille du Garigliano permit aux troupes du Corps Expéditionnaire Français du général Juin de déborder puis d’enfoncer les lignes allemandes permettant ainsi aux Alliés de reprendre leur progression vers Rome, interrompue depuis janvier 1944, corps Expéditionnaire composé de soldats issus de l’Armée d’Afrique et donc d’une grande partie de Pieds-noirs, le maréchal Juin étant lui-même le plus célèbre d’entre eux. Bayard était donc tout le contraire d'un DeGaulle, ce dernier ayant été un soldat contesté, un résistant contesté, un général contesté. Dès lors, comment peut-on débaptiser le pont Bayard à Toulouse pour lui donner celui de "pont du 19 mars 1962", ou une victoire militaire fut transformée en capitulation politique par Charles le Mauvais, le traître DeGaulle et infâme criminel compulsif ?
Le pont de la Honte… 19 mars 1962 : Cohen, ce prétendu maire insulte effrontément la mémoire de dizaines de milliers de Harkis, Pieds-noirs et Métropolitains assassinés après la capitulation d'Évian… 



Après les insultes publiques proférées ce 27 avril contre les victimes de la capitulation d'Évian, André Aussignac, soldat métropolitain capturé par le FLN en juillet 1962, s'adresse au "maire" de Toulouse, Cohen :





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LE CERCLE ALGÉRIANISTE DE TOULOUSE AVAIT DONNÉ RENDEZ-VOUS AUX FRANÇAIS PATRIOTES, HARKIS, PIEDS-NOIRS, MÉTROPOLITAINS CE SAMEDI 27 AVRIL UN PEU AVANT DIX HEURES AU PONT BAYARD POUR MANIFESTER LEUR INDIGNATION

Le maire socialiste de Toulouse avec la complicité du communo-quillard Darmanin de la sinistre FNACA persiste dans son intention de radier le nom du chevalier Bayard pour y substituer la date de l'infâme capitulation de DeGaulle face au FLN applaudie par tous les lâches quillards,  traîtres et ennemis communistes de la France… 

Ainsi le Pont Bayard serait débaptisé pour devenir "pont  du 19 mars 1962"

Une ignominie face à laquelle les nationalistes et patriotes ne peuvent rester sans réaction… Donc rendez-vous est pris pour demain samedi 27 avril avant 10 heures, Pont du Chevalier Bayard, pour manifester notre indignation. Nous ne devons pas laisser faire et ne pas réagir vivement.

Merci de diffuser ce message le plus largement possible. 

Ghislaine Delmond
Présidente du Cercle algérianiste de Toulouse
Présidente du CEFANOM


Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire

Quand Cohen assassine le Chevalier Bayard… avec l'outrecuidance des Quillards du 19-Mars1962

"Pont Bayard" de Toulouse : capitulation de Cohen, député-maire-pas-longtemps-encore !

19 mars : Honte à DeGaulle et à Flanby… Que vive à jamais l'exemple de Jean Bastien-Thiry !


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Michel Delenclos : "19 mars 1962 ? Waterloo !"
"Une véritable mine d'or pour les chercheurs" (Maurice Faivre)

Michel Delenclos : "19 mars 1962 ? Waterloo !
Conséquences et interprétations des accords d'Évian
Préface du général Maurice Faivre
Éditions L'Harmattan

Le livre - L'auteur revient ici sur les "Déclarations gouvernementales du 19 mars 1962 relatives à l'Algérie", au sujet desquelles certains entretiennent encore la confusion. L'emploi fréquent des référendums, le scrutin d'autodétermination, les disparitions, les enlèvements, les prisonniers et les massacres collectifs de civils et de militaires... tous les évènements qui ont précédé cet accord en expliquent le dénouement tragique. "Une véritable mine d'or pour les chercheurs", selon le général et historien Maurice Faivre.

Le mot de l’auteur

Ce livre ouvert à « Monsieur le président de la République, Mmes, MM. les Députés et Sénateurs, Maires et Citoyens de France », redonne toute sa place à l'Histoire car, comme le soulignait l'ancien président de la République, Jacques Chirac : « ... le moment est venu pour nous tous, Français, de porter un regard de vérité sur une histoire méconnue, une histoire déformée, une histoire effacée... ».

« "L'accord de cessez-le-feu" devait mettre fin aux opérations militaires et à toute action armée sur l'ensemble du territoire en Algérie le 19 mars 1962 à 12h00 ». Il n'en fut rien. Le FLN poursuivit sa guerre révolutionnaire : les disparitions, enlèvements et les assassinats collectifs programmés vont se multiplier chez les civils comme chez les militaires jusqu'en juillet 1964. Au point même que l'ancien négociateur, Robert Buron, face à cette folie meurtrière, laissera tomber : « Le passage des Huns ! » (L'Aurore du 17.05.1962).

L'emploi fréquent du référendum pour l'Algérie est avéré anticonstitutionnel par les juristes comme par les parlementaires, comme le clame le député du Nord, Paul Reynaud, le 26 avril 1962 : « Toutes les grandes questions sont réglées en passant par-dessus la tête des représentants du peuple. On soumet à ce dernier, par la voie référendaire, des matières qu'on enlève au Parlement… Là où la Constitution n'est plus respectée, il n'y a plus de République ».

L'après 19 mars 1962 deviendra champ de bataille du présent et objet de marchandage : à l'Assemblée nationale, au Sénat, au sein des mouvements et associations pour ou contre la célébration du 19 mars. Mais les discours et les communiqués politiques comme la propagande n'occulteront pas les données historiques.

Cet ouvrage donne la parole aux Algériens comme aux Français qui se sont affrontés durant plus de sept ans. Le lecteur découvrira, au fil des chapitres : l'origine historique de l'Accord du 1er novembre 1954, la crise du FLN depuis 1961 et après le "cessez-le-feu", les analyses et commentaires des journalistes, observateurs et juristes, les promesses et discours de tout bords, la chronologie des faits, l'utilisation des référendums et de l'autodétermination, les travaux et analyses des historiens pour comprendre la finalité des accords, les effectifs et pertes militaires et des harkis, les civils disparus, les actions en faveur des prisonniers français, le devenir des sépultures françaises, les gouvernements successifs durant la guerre de 1954 à 1962, etc.

Michel Henri Delenclos
Chercheur en Histoire

Concours de circonstances : alors que l'ignare imbécile Cohen tague son pont de l'Infâmie, le prix d’Histoire récompense Michel Delenclos pour son ouvrage « 19 mars 1962 ? Waterloo ! », au « Salon national des artistes et écrivains » d'Antibes.

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En guise d'avertissement au socialo Cohen et au communard-quillard Darmanin…






NotreJournal - Toulouse : "Pont du 19 mars" ? N’est-ce pas un peu tard ?

Le Pilori : Lettre ouverte contre le 19 mars 1962

Marcel Berthomé, maire de Saint-Seurin-sur-l’Isle : un Homme d'Honneur





Flanby risée des Chinois… Braguette ouverte à sa descente d'avion… Une récidive, après l'Algérie…


Flanby à sa descente d'avion en Chine… Braguette ouverte… Une récidive, après l'Algérie… Ce qui est le plus déplorable, c'est que ses hôtes chinois l'aient noté et le fassent remarquer… Flanby, risée des Asiatiques, pourtant eux généralement si discrets, si habiles à éviter toute moquerie directe, toute blessure d'amour propre… Une preuve, s'il en fallait encore, de la piètre estime dans laquelle nos amis chinois tiennent ce Flanby-là… Et ils ne sont pas seuls de par le Monde…


图说【喷嚏图卦20130426】有胆的你们放马过来… 【4】开放的法国总统奥朗德到达中国访问


DSK avait au moins la pudeur, lui, de très vite savoir retrouver une tenue correcte…
Le vrai scandale n'est pas ce qui ce passe dans l'intimité d'une chambre d'hôtel
mais dans ce que l'on affiche en public… Le suppléant à DSK en a-t-il conscience ?
… Aussi indécent et ridicule qu'un mariage pédé-goudou…

La haine destructrice à Flanby est sans bornes : voilà qu’il s'acharne contre le bon goût…


M. Hollande, vous n’avez aucune conscience, et je ne vous considère pas comme mon président…
« Le nœud de cravate tire-bouchonné, la chemise qui sort du pantalon, la braguette ouverte. La prochaine fois que vous allez en Algérie, monsieur le président, portez donc une djellaba ! »

Et en Chine ?



vendredi 26 avril 2013

Le Président Andry Rajoelina au Vatican, en audience pontificale




Audience Pontificale du Président Andry Rajoelina au Vatican

Le Président de la Transition à Madagascar, SEM Andry Rajoelina, a quitté la Grande Île, ce mercredi 24 avril, dans la soirée, pour honorer l’Audience Pontificale avec Sa Sainteté le Pape François, qui a eu lieu au Vatican, ce vendredi 26 avril à 11 heures (heure de Rome).

Après cette audience avec le Souverain Pontife, le Président Andry Rajoelina a eu un entretien avec Son Éminence le Cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d’État de Sa Sainteté, à la Prima Loggia du Palais Apostolique.


Vatican : Andry Rajoelina se rend chez le pape François

Rajoelina doit rencontrer le pape François

Le Président Andry Rajoelina au Vatican, en audience pontificale


Le couple présidentiel, Mialy et Andry Rajoelina, reçu affectueusement par le Pape François



jeudi 25 avril 2013

Flanby et sa concubine ambassadeurs des charcutiers en Chine… ou la bravitude perdue…


Flanby et sa concubine ambassadeurs des charcutiers…

Aujourd'hui : Flanby ambassadeur des charcutiers en Chine

À défaut de "bravitude" on vendra des cochons… L’affaire est loin d’être "anecdotique", souligne-t-on anxieux à l’Élysée… Depuis trois ans, les marchands français de cochons négocient avec les autorités chinoises les termes d'un indispensable protocole sanitaire qui autoriserait l’importation de charcuteries françaises. Tout devait être bouclé avant l’arrivée de Flanby… mais un obstacle de dernière minute pourrait contrarier ces projets. Alertées par le scandale de la viande chevaline, les autorités chinoises s'inquiètent de n'avoir pas visité les établissements français susceptibles d’exporter.


C'était hier : Bravant les rafales de vent, Ségolène Royal salue un "symbole du temps qui demeure" et déclare solennellement devant les caméras du monde entier : "Comme le disent les Chinois, un Chinois qui ne vient pas sur la Grande muraille n’est pas un brave et un Chinois qui vient sur la Grande muraille conquiert la bravitude".

Flanby et sa concubine gagneront-ils cette bravitude ou se confineront-ils dans la vente de cochons ?


mercredi 24 avril 2013

Marianne


La République, on ne le dira jamais assez, n'est pas la France. Elle n'est pas l'aboutissement d'une longue tradition germée dans l'humus de l'âme et du sol français, développée au fil des nobles races successives qui la firent et dont le dernier rejeton péri, encore enfant, dans l'une de ses infâmes geôles, au nom de la Liberté, de l'Égalité et de la Fraternité. Ce n'est même pas le fruit, plus ou moins mûri, d'aspirations partagées au décours de son histoire. Ce n'est le fait que d'une faction de conjurés, de bêtes sauvages, cyniques et malfaisantes, d'anthropophages qui ne parvinrent à l'imposer que par le meurtre, l'assassinat juridique et le génocide.

La République n'est pas autre chose qu'un monstrueux parasite, un hideux greffon artificiel, pareil à un chancre purulent sur le corps valétudinaire d'une noble fille, qu'il va bien falloir finir par extraire avant qu'elle n'en crève.


Marianne dans tous ses états : 
La république en caricature de Daumier à Plantu par 
Guillaume Doizy, Jacky Houdré - Alternatives


Saynètes : "Les tanneries de peaux humaines" et "Lecture de la lettre aux soldats de la république"

Enregistrement de deux saynètes issues du spectacle "Terreur en Vendée":






Du printemps français au sursaut contre-révolutionnaire…

Du printemps français au sursaut contre-révolutionnaire…




À l'Élysée, à Matignon, à l'Assemblée nationale ainsi qu'au Sénat, l'essentiel de la clique politicienne s'obstine à rester sourde et aveugle au mécontentement croissant du pays réel mobilisé depuis des mois pour défendre la Famille, le mariage et la parenté.

. La France s'enfonce chaque jour un peu plus dans le totalitarisme organisé par une gauche omnipotente. Et cela se fait avec la complicité du centre mou et de la droite flasque, comme nous l'avons vu lors du vote au Sénat organisé à main levée et en catimini dans une assemblée quasi vide. Peu importe leur bord politique, la grande majorité d'entre-eux n'a pas eu la décence de se déplacer, préférant n'apparaître que devant les caméras ou lors de manifestations.

. Les médias se précipitent pour contribuer à la manipulation de l'opinion publique. Chaque homosexuel qui trébuche devient aussitôt la victime d'une agression "homophobe". Un Français de souche hétérosexuel victime d'une agression, c'est devenu tellement banal que cela n'intéresse quasi aucun journaliste. Mais qu'un homosexuel se fasse bousculer quelque part et cela devient une affaire d'Etat afin de culpabiliser les honnêtes Français qui continuent à affirmer que le mariage doit rester l'union d'un homme et d'une femme. Par contre, combien de journalistes s'émeuvent de la façon dont, depuis le 24 mars dernier, des milliers de personnes ont arbitrairement subi les gaz lacrymogènes et les coups de matraque de CRS et de gendarmes transformés en police politique ? Des enfants, des mères de famille, des vieillards, des prêtres, des étudiants, sont traités de façon scandaleuse mais pas un journal télévisé ne le dénonce. Vendredi dernier, un religieux a littéralement été tabassé puis mis en garde à vue par des CRS mais qui s'inquiète de cette dérive du régime ? Nous sommes la France bien élevée, celle des étudiants qui vont en cours, des Français qui travaillent et qui payent leurs impôts et la police se comporte vis-à-vis de nous comme jamais elle n'oserait le faire ni face à la CGT ni dans les banlieues. Cela suffit !

. Le pouvoir croit s'en sortir en accélérant l'agenda. Mais il n'a pas compris que la sentence des parlementeurs ne signifie pas la fin de notre mobilisation. C'est au contraire l'effet inverse qui se constate. Et la Providence nous place dans cette situation inattendue : 45 ans après Mai 68 et son flot de subversion, c'est un Mai 2013 marqué par l'esprit contre-révolutionnaire qui pourrait bien surgir de ce printemps français en cours.

C'est dans cette perspective d'un mois de mai contre-révolutionnaire que CIVITAS vous convie à trois rendez-vous.

1° Le Congrès de la France Catholique, ce 27 et 28 avril (de 14h à 18h, 164 rue Javel dans le 15ème arrondissement). De nombreux intervenants se succèderont à la tribune pour analyser la situation alarmante et proposer des pistes concrètes pour résister, riposter et reconstruire.


2° Le défilé en hommage à Ste Jeanne d'Arc, le dimanche 12 mai à 14h30, de la place Saint-Augustin à la place des Pyramides. Attaquer la Famille, c'est également attaquer la Patrie et la Foi. Dans ce contexte, Sainte Jeanne d'Arc s'impose comme le modèle de chef dont la France a cruellement besoin. Soyons nombreux à le témoigner publiquement.

3° La manifestation du dimanche 26 mai. CIVITAS organisera ce jour-là une grande manifestation nationale dont le mot d'ordre sera "Du balai !". Oui, venons nombreux de toute la France pour que la clameur "Du balai !" se fasse entendre à tous les destructeurs de la Famille, de la Patrie et de la Foi.

Que ces trois rendez-vous soudent les rangs de tous les partisans d'un sursaut contre-révolutionnaire. Et bien sûr, n'oublions pas de huer chaque ministre en déplacement. On ne lâche rien !

Alain Escada,
président de CIVITAS

FRANCE-JEUNESSE-CIVITAS



lundi 22 avril 2013

Hé, les filles ! Qu'avez-vous dans la tête ? Écervelées, désintoxiquez-vous ! Consternant d'inculture historique et d’imbécillité !





Un  article aussi excellent qu'opportun signé Jean Sévillia sur Boulevard Voltaire :

Eh les filles, enlevez votre bonnet phrygien !

Un article qui rappelle fort opportunément la signification de ce sinistre bonnet phrygien… Un seul reproche à Jean Sévillia : sa gentillesse polie, sa courtoisie, une franche galanterie dont je me serais fort dispensé… Il ne s'agit pas bien sûr d'inviter ces filles à se mettre autre chose sur la tête mais DANS la tête…

Les bonnets phrygiens et le massacre des prêtres à la prison des Carmes
(Alain Decaux raconte la Révolution française aux enfants)

Les Noyades de Nantes en 1793 : les « mariages républicains »
huile sur toile de Joseph Aubert, 1882

"… être opposé à la légalisation du mariage homosexuel ne m’a pas fait perdre la mémoire.

Or, je trouve bien curieux que, dans toutes ces manifs si sympathiques, des kyrielles de jeunes filles s’affublent d’un bonnet phrygien. J’ai bien compris l’idée que les organisateurs veulent traduire en les déguisant ainsi : l’heure est à la défense de la liberté contre la dictature. Mais précisément, parce que je sais un peu d’histoire de France, je m’autorise à souligner que le symbole est mal choisi. Car pour ce qui est du combat de la liberté contre la dictature, ce n’est vraiment pas du côté de la Révolution française qu’il faut chercher.

Le bonnet phrygien, devenu l’emblème du mouvement révolutionnaire en 1790, s’impose fin 1792, son usage culminant jusqu’à la réaction thermidorienne de 1794. C’est-à-dire que ce couvre-chef incarne peu ou prou la Terreur et même la Grande Terreur, qui est sans doute un des moments les plus tragiques de notre histoire.

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense donc à la princesse de Lamballe, assassinée pour crime d’amitié avec Marie-Antoinette, et dont le corps nu, décapité au couteau de boucher, a été promené dans Paris, la vue de son intimité soigneusement exposée suscitant des propos égrillards de la part de délicats militants de la Liberté.

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ces prêtres et à ces religieuses que Carrier, à Nantes, déshabillait et liait nus, l’un à l’autre, l’un face contre l’autre pour être précis, sexe contre sexe, avant de les noyer dans la Loire. Ce charmant adepte de l’Égalité appelait cela un « mariage républicain ». Parenthèse : détourner la symbolique du mariage n’est donc pas nouveau…

Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ce curé vendéen à qui des soldats, sans doute partisans de la Fraternité, avaient tranché les deux mains avant de répandre dans l’auge à cochons le contenu du tabernacle de son église. Ce martyr a été retrouvé accroupi devant l’auge, les deux avant-bras collés contre terre afin de tenter d’arrêter l’hémorragie, et lapant dans l’auge, s’efforçant de disputer aux cochons les hosties consacrées.

Je ne cherche pas ici à ranimer de vieilles querelles idéologiques, et je sais que le succès de la Manif pour tous repose sur sa diversité et l’acceptation de cette diversité. Mais quand même. Jolies jeunes filles de 2013 qui vous promenez avec un bonnet phrygien, pensez aux crimes de 1793 : mettez-vous autre chose sur la tête. Je vous assure que vous n’en serez que plus belles."


Démocratie Royale : 81% des victimes du Tribunal Révolutionnaire sont issues du peuple