Attentat contre le Chevalier Bayard fomenté par Cohen qui prétend débaptiser le pont dédié à l'honneur du Chevalier pour y inscrire la date infâme de la capitulation d'Évian du 19 mars 1962…En 1504, Pierre Teillard, dit le chevalier Bayard, accomplit un de ses plus hauts faits d’armes sur le Garigliano … Sa vaillance, son adresse et son endurance font merveille… 440 ans plus tard, en mai 1944, la bataille du Garigliano permit aux troupes du Corps Expéditionnaire Français du général Juin de déborder puis d’enfoncer les lignes allemandes permettant ainsi aux Alliés de reprendre leur progression vers Rome, interrompue depuis janvier 1944, corps Expéditionnaire composé de soldats issus de l’Armée d’Afrique et donc d’une grande partie de Pieds-noirs, le maréchal Juin étant lui-même le plus célèbre d’entre eux. Bayard était donc tout le contraire d'un DeGaulle, ce dernier ayant été un soldat contesté, un résistant contesté, un général contesté. Dès lors, comment peut-on débaptiser le pont Bayard à Toulouse pour lui donner celui de "pont du 19 mars 1962", ou une victoire militaire fut transformée en capitulation politique par Charles le Mauvais, le traître DeGaulle et infâme criminel compulsif ?Le pont de la Honte… 19 mars 1962 : Cohen, ce prétendu maire insulte effrontément la mémoire de dizaines de milliers de Harkis, Pieds-noirs et Métropolitains assassinés après la capitulation d'Évian…
Après les insultes publiques proférées ce 27 avril contre les victimes de la capitulation d'Évian, André Aussignac, soldat métropolitain capturé par le FLN en juillet 1962, s'adresse au "maire" de Toulouse, Cohen :
* * *
LE CERCLE ALGÉRIANISTE DE TOULOUSE AVAIT DONNÉ RENDEZ-VOUS AUX FRANÇAIS PATRIOTES, HARKIS, PIEDS-NOIRS, MÉTROPOLITAINS CE SAMEDI 27 AVRIL UN PEU AVANT DIX HEURES AU PONT BAYARD POUR MANIFESTER LEUR INDIGNATION
Le maire socialiste de Toulouse avec la complicité du communo-quillard Darmanin de la sinistre FNACA persiste dans son intention de radier le nom du chevalier Bayard pour y substituer la date de l'infâme capitulation de DeGaulle face au FLN applaudie par tous les lâches quillards, traîtres et ennemis communistes de la France…Ainsi le Pont Bayard serait débaptisé pour devenir "pont du 19 mars 1962"Une ignominie face à laquelle les nationalistes et patriotes ne peuvent rester sans réaction… Donc rendez-vous est pris pour demain samedi 27 avril avant 10 heures, Pont du Chevalier Bayard, pour manifester notre indignation. Nous ne devons pas laisser faire et ne pas réagir vivement.Merci de diffuser ce message le plus largement possible.Ghislaine Delmond
Présidente du Cercle algérianiste de Toulouse
Présidente du CEFANOM
Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire
Quand Cohen assassine le Chevalier Bayard… avec l'outrecuidance des Quillards du 19-Mars1962
"Pont Bayard" de Toulouse : capitulation de Cohen, député-maire-pas-longtemps-encore !
19 mars : Honte à DeGaulle et à Flanby… Que vive à jamais l'exemple de Jean Bastien-Thiry !
* * *
Michel Delenclos : "19 mars 1962 ? Waterloo !" "Une véritable mine d'or pour les chercheurs" (Maurice Faivre) |
Michel Delenclos : "19 mars 1962 ? Waterloo !
Conséquences et interprétations des accords d'Évian
Préface du général Maurice Faivre
Éditions L'Harmattan
Le livre - L'auteur revient ici sur les "Déclarations gouvernementales du 19 mars 1962 relatives à l'Algérie", au sujet desquelles certains entretiennent encore la confusion. L'emploi fréquent des référendums, le scrutin d'autodétermination, les disparitions, les enlèvements, les prisonniers et les massacres collectifs de civils et de militaires... tous les évènements qui ont précédé cet accord en expliquent le dénouement tragique. "Une véritable mine d'or pour les chercheurs", selon le général et historien Maurice Faivre.
Le mot de l’auteur
Ce livre ouvert à « Monsieur le président de la République, Mmes, MM. les Députés et Sénateurs, Maires et Citoyens de France », redonne toute sa place à l'Histoire car, comme le soulignait l'ancien président de la République, Jacques Chirac : « ... le moment est venu pour nous tous, Français, de porter un regard de vérité sur une histoire méconnue, une histoire déformée, une histoire effacée... ».
« "L'accord de cessez-le-feu" devait mettre fin aux opérations militaires et à toute action armée sur l'ensemble du territoire en Algérie le 19 mars 1962 à 12h00 ». Il n'en fut rien. Le FLN poursuivit sa guerre révolutionnaire : les disparitions, enlèvements et les assassinats collectifs programmés vont se multiplier chez les civils comme chez les militaires jusqu'en juillet 1964. Au point même que l'ancien négociateur, Robert Buron, face à cette folie meurtrière, laissera tomber : « Le passage des Huns ! » (L'Aurore du 17.05.1962).
L'emploi fréquent du référendum pour l'Algérie est avéré anticonstitutionnel par les juristes comme par les parlementaires, comme le clame le député du Nord, Paul Reynaud, le 26 avril 1962 : « Toutes les grandes questions sont réglées en passant par-dessus la tête des représentants du peuple. On soumet à ce dernier, par la voie référendaire, des matières qu'on enlève au Parlement… Là où la Constitution n'est plus respectée, il n'y a plus de République ».
L'après 19 mars 1962 deviendra champ de bataille du présent et objet de marchandage : à l'Assemblée nationale, au Sénat, au sein des mouvements et associations pour ou contre la célébration du 19 mars. Mais les discours et les communiqués politiques comme la propagande n'occulteront pas les données historiques.
Cet ouvrage donne la parole aux Algériens comme aux Français qui se sont affrontés durant plus de sept ans. Le lecteur découvrira, au fil des chapitres : l'origine historique de l'Accord du 1er novembre 1954, la crise du FLN depuis 1961 et après le "cessez-le-feu", les analyses et commentaires des journalistes, observateurs et juristes, les promesses et discours de tout bords, la chronologie des faits, l'utilisation des référendums et de l'autodétermination, les travaux et analyses des historiens pour comprendre la finalité des accords, les effectifs et pertes militaires et des harkis, les civils disparus, les actions en faveur des prisonniers français, le devenir des sépultures françaises, les gouvernements successifs durant la guerre de 1954 à 1962, etc.
Michel Henri DelenclosChercheur en Histoire
Concours de circonstances : alors que l'ignare imbécile Cohen tague son pont de l'Infâmie, le prix d’Histoire récompense Michel Delenclos pour son ouvrage « 19 mars 1962 ? Waterloo ! », au « Salon national des artistes et écrivains » d'Antibes.
* * *
En guise d'avertissement au socialo Cohen et au communard-quillard Darmanin…
NotreJournal - Toulouse : "Pont du 19 mars" ? N’est-ce pas un peu tard ?
Le Pilori : Lettre ouverte contre le 19 mars 1962
Marcel Berthomé, maire de Saint-Seurin-sur-l’Isle : un Homme d'Honneur