Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mardi 19 juin 2012

David Cameron ironise face à la "noblesse d'âme" et à l'angélisme fiscal de Flanby


Plus de bises pour la France…

Ce 18 juin au sommet du G20 au Mexique, le Premier ministre britanique, David Cameron, vivement applaudi, ironise sur la ruine annoncée de la France et l'angélisme de Flanby et des socialistes français : "La Grande-Bretagne déroulera le tapis rouge aux entreprises françaises si le président français François Hollande instaure un taux d'imposition de 75% sur les revenus des plus riches".

Opportuniste, le chef du gouvernement britannique a par ailleurs tendu des perches à l'Allemagne, soulignant sa proximité de vues avec la chancelière Angela Merkel…

Tout cela serait bien insignifiant si à travers un tel président ce n'était la France et l'ensemble des Français qui étaient ridiculisés…

Incapable d’une réponse argumentée, voilà que pour la télévision Flanby-bouche-cousue justifie son silence par de la « noblesse d’âme »… sic ! sic ! j’ai bien entendu ! nous avons tous bien entendu aux infos de la 2, chez Pujadas ! C’est vrai qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, mais si c’était le cas pourquoi personne ne l’a remarquée plus tôt cette « noblesse d’âme » ? Et que viendrait faire dans ce différend de politique fiscale une prétendue « noblesse d’âme » ?

Voudrait-il plutôt parler du sacrifice consenti des pigeons français qui sans broncher accepteront d’être spoliés ? Il demeure bien inquiétant que Flanby le Normal soit autant à court d’arguments dans un tel débat. Car c’est un véritable débat… La croissance ne se décrète pas, surtout pas par des incantations et, à présent, par une auto-proclamation d’une « noblesse d’âme » jusque là bien dissimulée. La croissance se nourrit d’abord de confiance en l’avenir et d’encouragements concrets…

S’il fallait décerner de la « noblesse d’âme » ce serait certainement à la compassion de David Cameron qui face à la déconfiture du président de la France (car c’est le président de la France !) a fait mine de concéder qu’il n’avait fait que plaisanter…

Merci, Mr. David Cameron pour votre compassion à l’égard de notre président mais surtout à l’égard de nous-mêmes malheureux Français… Hommage soit rendu à votre « noblesse d’âme » !


Édouard VIII, il régna 326 jours… avant d'abdiquer pour les beaux yeux de Wallis Simpson




Édouard VIII (Edward Albert Christian George Andrew Patrick David, 23 juin 1894 - 28 mai 1972) fut roi du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et des autres dominions du Commonwealth britannique et empereur des Indes du 20 janvier 1936 au 11 décembre 1936, date de son abdication. Après son abdication, il prit le titre de duc de Windsor.

Avant son accession au trône, Édouard était prince de Galles, duc de Cornouailles et de Rothesay. Il participa à la Première Guerre mondiale au sein des forces armées britanniques et réalisa plusieurs voyages pour le compte de son père, le roi George V. Édouard eut des liaisons avec de nombreuses femmes mariées et souvent plus âgées que lui mais resta célibataire jusqu'à ce qu'il devienne roi.

Quelques mois après le début de son règne, il provoqua une crise constitutionnelle en demandant en mariage la mondaine américaine Wallis Simpson qui avait divorcé de son premier époux et était en instance de divorce avec le second. Les premiers ministres du Royaume-Uni et des dominions s'opposèrent à cette union en avançant que le peuple n'accepterait jamais une femme avec ses deux ex-époux en vie comme reine. De plus, un tel mariage serait entré en conflit avec le statut d'Édouard en tant que chef de l'Église d'Angleterre, qui s'opposait au remariage de personnes divorcées si leurs anciens époux ou épouses étaient toujours en vie. Édouard savait que le gouvernement dirigé par le premier ministre Stanley Baldwin démissionnerait si le mariage avait lieu, que cela l'aurait poussé à organiser des élections générales où il aurait perdu son statut de monarque politiquement neutre. Plutôt que de renoncer à sa relation avec Simpson, Édouard choisit d'abdiquer. Son frère cadet Albert monta sur le trône sous le nom de George VI. Avec un règne de 326 jours, Édouard est l'un des monarques ayant eut le règne le plus court de l'histoire de la monarchie britannique. Il ne fut jamais couronné.

Après son abdication, il fut fait duc de Windsor. Il épousa Wallis Simpson en France le 3 juin 1937 après que son second divorce fut officialisé. Plus tard dans l'année, le couple se rendit en Allemagne. Durant la Seconde Guerre mondiale, il fut initialement stationné avec le Corps expéditionnaire britannique en France mais après des accusations de sympathies nazies, il fut envoyé aux Bahamas après sa nomination au poste de gouverneur. Après la guerre, il ne reçut plus aucun titre officiel et il passa le reste de sa vie en France.

lundi 18 juin 2012

Jacques Bompard et Marion Maréchal-Le Pen élus dans le Vaucluse, laboratoire de la droite



Jacques Bompard, fondateur de la Ligue du Sud
Maire d'Orange - Député de la 4ème circonscription du Vaucluse

Marion Maréchal-Le Pen, 22 ans, étudiante en master de droit public à Assas (Paris-II)
Benjamine dans l'Histoire de l'Assemblée nationale : un symbole - Un avenir libéré

Thierry Mariani, Droite populaire, parti se faire réélire (59,3 % en Thaïlande) dans la 11ème circonscription des Français de l'étranger à laquelle appartiennent sa fille et son épouse franco-russes, la voie était libre pour une large union des droites dans le Vaucluse… Un magistral exemple avec l'élection de Jacques Bompard et de Marion Méréchal-Le Pen qui de surcroît sera la benjamine de l'assemblée nationale. Tout un symbole. L'avenir ! 

Jacques Bompard, maire d'Orange s'impose dans la 4e circonscription du Vaucluse avec 58,77% des voix, après avoir récolté 23,51% des suffrages au premier tour. Il était alors arrivé en deuxième position derrière son adversaire PS (25,16%). A 69 ans, Jacques Bompard signe ainsi son retour à l'Assemblée nationale…

Né le 24 février 1943 à Montpellier d'un père sous-officier de carrière, Jacques Bompard, « enseignant en mathématiques » puis « chirurgien-dentiste », milite très jeune pour l'Algérie française, avant de rejoindre Occident, puis Ordre nouveau. Il adhère dès sa création au Front national en 1972 où il crée un groupe à Montpellier, avant de fonder trois ans plus tard la Fédération Front national du Vaucluse.

En 1995, il est élu maire d'Orange alors que le Front national réalise de bons scores dans le Sud-Est avec notamment la conquête des mairies de Toulon et de Marignane. Il y est réélu en 2001, puis en 2008 dès le premier tour, malgré son exclusion en septembre 2005 du bureau politique du Front national sur « des arguments fallacieux » de Jean-Marie Le Pen, toujours président du FN. Il a également été conseiller régional (1986-2002) et député FN (1986-88).

En décembre 2005, il rejoint le Mouvement pour la France (MPF) de Philippe de Villiers, qu'il quitte en 2010 pour fonder la Ligue du Sud, une formation politique indépendante inspirée de la Ligue du Nord italienne.

Maire de Bollène depuis mars 2008, Marie-Claude Bompard partage d'ailleurs avec son époux un itinéraire politique similaire: figure du FN en Paca, elle avait aussi rejoint le MPF avant de le quitter pour la Ligue du Sud.

Orange : l'exemple de Jacques Bompard… face aux rancunes séniles de Jean-Marie Le Pen
Thierry Mariani confie Orange à Bompard… et vient défendre les Français d'Asie…
Cinq candidats d’horizons différents brouillent les cartes dans le Vaucluse
Le Vaucluse, un laboratoire : "Charte d’union de la Droite et du Centre"

*   *
*

"À moy que chault !" : Soirée électorale
Même quand elles sont « de notre camp », les victoires démocratiques me navrent... Qu'un histrion du type Collard, grande gueule labellisée Bouvard et TF1, aussi nul en débat que prétentieux en privé, bouffon télévisuel vedette à la grande époque des Morandini et consorts, sous-Tapie de droite à peu près aussi sincère et droit qu'un DSK, soit l'un des seuls élus « nationaux » est d'évidence tout à fait tragique...

Triomphe de la Tweetweiler aux législatives… 0ù siège le pouvoir, c'est enfin clair !

Après l'échec royal de Flanby à La Rochelle, il est clair que c'est désormais la Tweetweiler qui dans le couple présidentiel porte la culotte… Il est tout aussi manifeste que si les Français ont voté pour le pusillanime Flanby, nonobstant il n'était pas dans leur intention de porter au pouvoir sa maîtresse… Si dans la sphère privée présidentielle le cocufiage règne et devient la règle, les Français qui ont choisi François - certes le Normal ! - n'entendent pas que se niche dans le fauteuil du président, à défaut d'un coucou, une pie-grièche… Si Flanby tient fermement à son amour et à son esclavage, dès lors  il n'a pas d'autre issue : respecter la volonté démocratique du peuple français en s'inspirant de la couronne anglaise et de l'exemple souverain d'Édouard VIII qui sut franchement choisir entre ses amours et les exigences d'une fonction. Tout autre choix serait une violation de la démocratie.

Nicolas Sarkozy faisait tout, Flanby règne en abdiquant tout pouvoir… le changement, c'est bien ça !
Et c'est la Tweetweiler qui porte la culotte : "Que tout soit nickel… et surtout pas de tweet à Ségo !"



Éclatante victoire de François Bayrou, jusque contre lui-même dans son fief à Pau !


En 2007, François Bayrou a allumé la flamme de l'immense espoir d'une France réconciliée, ni à droite ni à gauche… Cette flamme François Bayrou, contrairement à nos souhaits, a été incapable de la réactiver dans sa campagne présidentielle de 2012… Pire, loin de maintenir le cap d'une France émergeant d'une guerre civile larvée vieille de décennies, François Bayrou a carrément viré à gauche… Virage que nous condamnions, et nous n'êtions pas seuls… Pourtant les électeurs de François Bayrou, dans sa circonscription à Pau ont tranché… en approuvant massivement le choix de leur leader charismatique… Un véritable triomphe, au-delà de ce que François Bayrou, dans ses rêves les plus fous pouvait espérer… Soyons beau joueur, et avec modestie reconnaissons nous être fourvoyés en donnant notre confiance à François Bayrou… Et applaudissons à son incontestable succès, une réussite que depuis longtemps n'avait plus connue François Bayrou : installer un socialiste dans son propre fauteuil !  Toutes nos félicitations les plus sincères et les plus humbles !



dimanche 17 juin 2012

Bernard Debré sermonne la Tweetweiler : "Lettre ouverte à Valérie Trierweiler"


Flanby se souviendra-t-il d'Édouard VIII ?  Ça ce serait du cran ! Foin de l'indécision ! Et, enfin il mériterait de la France unanime la plus haute estime… et, en toute liberté, l'amour aussi passionné que désintéressé de la dame de son cœur… Et, Ségolène Royal et, dans les cieux tous les anges sauraient définitivement qui pour Flanby est la vraie femme de sa vie… La preuve ultime d'amour que serait en droit  d'exiger la Tweetweiler… Du courage Valérie ! Demande à Flanby de t'aimer plus encore… au-delà d'un baiser public désespérément quémandé…
 
Lettre ouverte à Valérie Trierweiler


Ségolène Royal : bravitude et légitimité, l'avenir lui appartient…
Et si Flanby imitait Édouard VIII ?
Madame,

Lorsque vous êtes apparue aux côtés de François Hollande, après qu’il eut quitté Ségolène Royal, les citoyens français ont accepté votre présence, certains avec interrogation, d’autres avec un petit sourire, mais la plupart avec gentillesse. En France, l’amour est roi et les nouveaux couples qui se forment, surtout en politique, attirent plutôt la bienveillance.

Nicolas Sarkozy avait bénéficié de cette même « grâce » lorsque Cécilia était partie. Il s’en était expliqué, peut-être un peu trop, en conférence de presse et s’était marié avec Carla Bruni. Autre temps, autre mœurs, diriez-vous. Effectivement, qu’il s’agisse de Giscard d’Estaing et d’Anne-Aymone, de François Mitterrand et de Danielle ou même de Jacques Chirac et de Bernadette, ces femmes versaient plutôt dans le caritatif discret que vers l’émergence people tapageuse.

Il est vrai cependant que la presse, pour François Mitterrand, a laissé tomber un manteau de discrétion sur sa double vie qu’il n’a révélée qu’à ses dernières heures. Déjà, il paraissait (mais qui a osé en parler ?) tout à fait anormal que sa deuxième « épouse » et sa fille soient prises en charge par l’État : appartement officiel sur le Quai Branly, voitures, chauffeurs, gardes du corps, cuisines et cuisiniers.

Bref ! Les frasques de François Mitterrand, gardées secrètes par des journalistes complices, ont coûté quelques 8 à 10 millions d’euros au budget de l’État

1919, le prince de Galles, duc de Cornouailles et de Rothesay,
futur Édouard VIII
Carla Bruni n’a pas agi dans ce sens ni Bernadette Chirac. Mais vous voilà arrivé et avec vous, comme le dit la gauche, la modernité, ringardisant tout ce qui s’est passé avant.

Après tout, François Hollande a le droit d’avoir comme amie qui il veut et le temps qu’il le désire. Quant au titre de « première dame », il est usurpé. Ce statut n’existe pas et a été monté de toutes pièces par des journalistes avides de sensationnel. Vous n’avez, Madame, aucune existence légale d’autant plus que vous n’êtes ni mariée, ni pacsée. Que dirait-on d’un président de la République qui accumulerait les « premières dames » comme on accumule des amies ou des flirts ?

Vous avez néanmoins exigé d’avoir autour de vous une équipe composée d’hommes et de femmes qui vous suivent, qui vous aident, qui travaillent avec vous et qui sont payés par l’État. Au nom de quoi l’État doit-il s’occuper de votre secrétariat pléthorique ? Ce n’est pas, je pense, pour vous aider à écrire des articles dans votre journal « Paris Match ».

Voici un autre problème. Vous vous réclamez, à juste titre, du statut de journaliste et vous désirez continuer à écrire. Au début de la campagne présidentielle et même, si je ne me trompe, dès l’élection de François Hollande, vous avez clamé haut et fort que vous ne renonceriez pas à écrire dans l’hebdomadaire « Paris Match » et vous avez même annoncé que vous alliez interroger les grands de ce monde pour faire des papiers de politique étrangère ! Journaliste oui, mais journaliste politique non !

Il me semble que ce métier est incompatible avec la fonction que vous aimeriez avoir, même si elle n’est pas officielle. Vous avez donc décidé de faire du journalisme de bavardages pour bien montrer votre autonomie par rapport à votre ami François Hollande. Vous avez néanmoins accepté, demandé, peut-être même exigé de l’accompagner dans ses voyages officiels. A quel titre ? Simplement d’amie !

Il y avait et il y a toujours un obstacle : Ségolène Royal ! Vous ne la supportez pas, elle qui est pourtant mère des quatre enfants de François Hollande. Il semblerait qu’à la Bastille, lorsque François Hollande a « claqué une bise » sur les deux joues de Ségolène Royal, vous ayez exigé qu’il vous embrasse sur la bouche pour montrer la différence de statut ! Cet acte était sinon puéril du moins cruel.

Voici maintenant qu’en femme moderne, vous tweetez. Vous avez réussi, par vos bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France.

Ségolène Royal est candidate, certes parachutée, en Poitou-Charentes. Elle affronte Monsieur Falorni, implanté localement depuis de nombreuses années et ami de François Hollande. Il était naturel que les caciques du Parti socialiste viennent à son secours, elle qui avait été la femme candidate à l’élection présidentielle de 2007.

Il était peut-être moins évident que le président de la République se mêle de ces élections. En Président « normal », il avait annoncé qu’il n’y participerait pas. Les Français avaient d’ailleurs compris que le petit mot de soutien à Ségolène Royal était plus affectif que politique. Elle avait été sa compagne pendant si longtemps.

Mais vous ne la supportez pas, taraudée par la jalousie. Après le ridicule de « embrasse moi sur la bouche » que, semblait-il, vous aviez prononcé, voici maintenant la trahison ! En effet, de quoi vous mêlez-vous en soutenant Monsieur Falorni qui, au demeurant, reste très sympathique ? Est-ce en tant que journaliste politique que vous prenez position pour un candidat ?

Il s’agirait là d’une déviation intolérable de la neutralité politique d’un journaliste. Voyez-vous Monsieur Jean-Michel Apathie, Madame Ruth Elkrief, Monsieur Alain Duhamel prendre position pour qui que ce soit ? Ils devraient rendre immédiatement leur carte de presse, s’inscrire à un parti politique et ne plus parler. 

Certes, beaucoup de journalistes, beaucoup de journaux, sont à gauche et l’ont montré lors de ces dernières élections. Mais vous, Madame, journaliste à « Paris Match », vous n’auriez jamais dû prendre position. Ce n’est donc pas comme journaliste que vous avez envoyé ce tweet, vous êtes trop intelligente pour tomber dans un tel piège.

Est-ce pour affirmer votre indépendance vis-à-vis de votre compagnon ? Peut-être aussi pensiez-vous affirmer l’importance de la liberté de la femme ? Je ne le crois pas non plus car je ne suis pas sûr que la liberté consiste à faire des gaffes. Peut-être ce mot est-il trop faible ? Il s’agit d’une faute grave. En réalité, vous ne pouviez pas imaginer une seconde que Ségolène Royal, élue, puisse un jour arriver au fauteuil de présidente de l’Assemblée nationale. « Comment cette femme, qui était avec mon ami auparavant, qui a vécu si longtemps avec lui, peut-elle revenir en pleine lumière ? ».

Mais, pire encore, vous imaginiez, dans vos rêves les plus épouvantables, dans les cauchemars les plus terribles, les cérémonies officielles présidées par François Hollande obligatoirement accompagné par Ségolène Royal, en tant que quatrième personnage de l’État. Vous cauchemardiez à l’idée de voir ces grands dîners à l’Élysée, ces dîners officiels où votre place était équivoque, alors que Ségolène, rayonnante, aurait été proche de votre ami par la grâce du protocole. D’ailleurs, c’est pour cette raison déjà qu’à La Rochelle, vous aviez exigé, semble-t-il, que François Hollande parle de vous comme de « son unique amour ». Petite flèche empoisonnée dans le dos de Ségolène Royal.

La France, par ce tweet, a été ridiculisée dans le monde entier. Une si petite phrase ayant de telles conséquences ! Vous avez non seulement desservi la France où vous n’avez aucun rôle à jouer même si vous avez accompagné François Hollande dans ses voyages officiels à l’étranger (ce qui, déontologiquement, diplomatiquement, était déjà une extravagance), mais vous avez desservi le président de la République élu par une attitude grotesque de femme jalouse qui se mêle de politique pour entraver la carrière de son ami ou compagnon.

Vous avez ridiculisé et humilié les femmes des autres présidents français qui, elles, faisaient de l’humanitaire. Vous avez, semble-t-il, balayé d’un revers de la main ces actions remarquables qu’elles avaient menées et, par conséquent, vous avez méprisé tous ceux qui, en France ou ailleurs, ont consacré leur vie aux enfants, aux handicapés, à ceux qui étaient atteints du SIDA, etc.

Bref, ce petit tweet de rien du tout a été le révélateur, Madame, d’un malaise que les Français n’osaient pas admettre, qui mélange la faiblesse du président de la République et la méchanceté de sa compagne.

Acceptez, Madame, mes sentiments mêlés de tristesse, de rage et de surprise.

Pr. Bernard DEBRÉ
Ancien Ministre
Député de Paris


samedi 16 juin 2012

"Plus belle la vie" à trois… bravitude… normalitude… jalousitude maniaco-tweeteuse…



Il était une fois en Hollandie…



Les acteurs : 
La mère de famille : Ségolène Royal (la bravitude)
Le pupazzo : François le Normal (la normalitude… pusillanimitude ?)
La pie-grièche : La Tweetweiler (la jalousitude maniaco-tweeteuse)


Pie-grièche maniaco-tweeteuse


"Plus belle la vie" à trois… Un scénario limpide : Un champ clos… où tout le monde épie tout le monde… où tout le monde couche avec tout le monde… où chacun son tour passe immanquablement par la case cocufié… où chacun ment… où le poids du passé prime sur le présent… où personne ne sait où il veut aller… où nul ne sait quelle est sa place… où tout se règle sur un dosage d’irrationnel… où seuls les opposants sont, à l’occasion, exemplaires… La normalitude dérisoire d’un mouvement sans fin…

Casting… le trio de base…

Ségolène Royal, née à Dakar, d’un père lieutenant-colonel d'artillerie de marine lui-même issu  d’une famille de longue tradition militaire… Bravitude, label déposé

Flanby, président normal, alias François le Normal, alias FLN… Dénommé officiellement François Hollande, il est né à Rouen d’un médecin ORL proche de l’OAS et de Jean-Louis Tixier-Vignancour mais d’une mère catholique de gauche… Normalitude, label électoral

Ségolène Royal lui a donné quatre enfants : Thomas en 1984, Clémence en 1986, Julien en 1987, Flora en 1992.

Anne Hidalgo, premier-adjoint au maire de Paris, séduit Flanby et lui donne un enfant, Elsa en 1988…

Dans la même période Ségolène Royal fricote avec Jean Marc Ayrault, maire de Nantes…

Valérie Massonneau, épouse Trierweiler, dans le début des années 2000, séduit Flanby lors d’une université d’été des socialistes à La Rochelle, avec la complicité de leur hôte, Olivier Falorni, alors premier secrétaire de la fédération PS de Charente-Maritime… Valérie Massonneau est la petite fille du fondateur de la banque Massonneau et Cie, rachetée par le Crédit de l'Ouest, lui-même racheté par CIC Ouest…  Valérie Massonneau, épouse non divorcée Trierweiler est de plus actionnaire de la chaîne Direct 8… Jalousitude, label tweeté

À présent Flanby, président normal, est à la colle avec la rentière Valérie Massonneau, épouse non divorcée Trierweiler et maitresse d’une chaîne de télévision… Flanby choisit pour Premier ministre celui avec qui Ségolène Royal l'a fait cocu… Valérie Massonneau alias Tweetwieler, consciente de sa fragilité, est folle de jalousie envers la seule femme qui a vraiment comptée dans la vie de Flanby… Elle a fait d'Olivier Falorni son chouchou de La Rochelle pour nuire à Ségolène Royal.  Flanby reste très pusillanime…


mercredi 13 juin 2012

Georges Mathieu, un artiste opposant irréductible à la bien-pensance républicaine et à l’imposture démocratique



Communiqué de l'Action Française : La mort de Georges Mathieu

C’est avec une profonde tristesse que l’Action française a appris la mort, dimanche 10 juin, du peintre Georges Mathieu.

Celui qui, comme l’écrivait Philippe Aleyrac en 2007 pour L’Action Française, « porte à l’élévation et s’insurge contre la laideur qui règne et la médiocrité du monde », fut tout d’abord l’immense artiste de l’abstraction lyrique, “peinture essentielle” selon Pierre Boutang. Mais l’Action française s’honore également de le compter parmi les opposants irréductibles à la bien-pensance républicaine et à l’imposture démocratique. Dans son article du Dossier H consacré à Pierre Boutang, Georges Mathieu rappelait non seulement qu’ « en 1955, lorsqu[e Pierre Boutang] voulut créer son propre hebdomadaire, il me demanda de faire la maquette de ce qui allait devenir La Nation Française, que l’on dit avoir été “l’honneur de la presse écrite d’après-guerre” », mais, évoquant sa « passion monarchique », il affirmait aussi : « La plus grande gloire de Maurras à mes yeux fut d’avoir démontré superbement la crétinerie de la démocratie, annonçant implicitement le totalitarisme et la mondialisation destructrice des nations ».

L’Action française présente ses plus sincères condoléances à toute la famille et aux proches du peintre et invite tous les Français à honorer la mémoire de celui que Jean Cocteau nommait « un grand seigneur : tout ce qu’il touche devient féodal et noble ».

Nous ne manquerons pas d’informer nos lecteurs de la date et du lieu de ses obsèques.

L’Action française

Georges Mathieu, 87 ans, assiste, le 08 février 2008 à Paris,
à la vente aux enchères de sa Mercedes 500K Cabriolet noire de 1936
avec laquelle il avait l'habitude de sillonner Paris [AFP PHOTO JEAN AYISSI]


Georges Mathieu : Les Capétiens partout - 1954


La célèbre une de La Nation Française,
confiée par Pierre Boutang à Georges Mathieu


Pièce de 10 francs - pile


Pièce de 10 francs - face


Une des dix-sept affiches réalisées
pour la Compagnie Air France - 1966

Le logo d'Antenne 2 dessiné par Geaoges Mathieu




Flanby le Normal et la Raie-publique cocufiée : crêpages de chignon de concubines


Voilà qu’entre en scène la Tweetweiler, après Nafissatou Diallo :
Flanby reste bien le suppléant "normal" de DSK…


  "Plus belle la vie"… Un scénario limpide : Un champ clos… où tout le monde épie tout le monde… où tout le monde couche avec tout le monde… où chacun son tour passe immanquablement par la case prison… où tout se règle sur un dosage d’irrationnel… où seuls les adolescents sont, à l’occasion, exemplaires… La normalitude dérisoire d’un mouvement sans fin…

Le contexte "sentimental" 

Ségolène Royal et François Hollande ont vécu ensemble pendant une trentaine d'années et ont eu quatre enfants. Ils avaient annoncé leur rupture en 2007 après l'échec de Ségolène Royal à l'élection présidentielle. Trois ans plus tard, François Hollande officialisait sa relation avec Valérie Trierweiler, journaliste à l'hebdomadaire Paris Match et désormais première dame de France. 




Les socialistes embarrassés, la droite amusée

Le tweet de Valérie Trierweiler [désormais "Tweetweiler" !] a suscité l'embarras des socialistes, notamment de leur patronne Martine Aubry. "La seule chose qui nous importe, c'est le soutien de François Hollande à Ségolène Royal, il est clair, il est net", a-t-elle déclaré.

La poule "Hollande" : "pas de perchoir, pas de pouvoir"

Mais Jean-Louis Bianco, député socialiste proche de Mme Royal, a violemment réagi à la prise de position de la première dame. "Nous n'avons pas élu Valérie Trierweiler, nous avons élu François Hollande, donc je demande : De quoi se mêle-t-elle ?", s'est-il insurgé sur la chaîne d'information LCI. "Je trouve ça purement et simplement indigne", a-t-il ajouté.

La droite, de son côté, s'amusait de ce mini-psychodrame socialiste. "Le vaudeville entre à l'Elysée (...) Les socialistes ont au moins une vertu, ils nous font beaucoup rire", a déclaré le député du parti UMP Eric Ciotti.


*   * 
 * 

À moy que chault ! : Le lycée à perpétuité 

La cour de récré s'étend désormais au monde. Au monde occidental en tout cas. Au monde de ceux que ça fatigue vraiment de faire des trucs d'adultes, que ça fait carrément chier de passer à autre chose qu'aux conneries de l'adolescence... La course aux bonnasses, les ragots, les plans de supers soirées, la passion des fringues, du « style », la démangeaison sexuelle obsessionnelle, les combines à deux balles, la passion du paraître, les pleurnicheries... Sans parler de ceux qui critiquent et regrettent cet état de fait mais qui, à la première occasion, se jettent à leur tour à corps perdu dans le grand jeu... Quelle fatigue, quelle désolation...