Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
mercredi 9 novembre 2011
lundi 7 novembre 2011
La mort violente d’un amoureux de Madagascar, cette île des naufrageurs…
Jean Serres, retraité ancien professeur d'économie et de gestion au lycée de Nevers à Montpellier, avait choisi de vivre à Madagascar. Il s’y était intégré, avait aidé les gens. Il a été assassiné, poignardé, dans des conditions pas encore vraiment élucidées.
Jean Serres, naufragé à Madagasacar, est mort : le 25 octobre, il a été tué chez lui à Mahambo, sur la côte est de la Grande île au nord de Tamatave |
Ceux qui ont connu Jean Serres racontent, émus… Un homme qui « aimait Madagascar et en parlait toujours avec passion ». Un « homme passionné, désintéressé, qui avait tourné sa vie vers les autres ». Un « excellent professeur », un « homme intègre » ou tout simplement un « bon type ». Jean Serres est mort. Le 25 octobre, il a été tué chez lui à Mahambo sur la côte est de Madagascar près de Tamatave, et découvert dans la soirée par un gardien de nuit venu prendre son service. Il a été tué à l’arme blanche, par deux jeunes hommes qui, arrêtés, seraient passés aux aveux.
Un fils adoptif
Jean Serres avait élu domicile à Madagascar voilà quatre ans. Pas par hasard : cette île, il l’avait connue il y a longtemps, lors de son service militaire en tant que coopérant. Né en Algérie en 1943, Jean Serres a vécu la plus grande partie de sa vie à Montpellier. Jeune homme, il quitte le séminaire pour choisir une autre voie, celle de l’enseignement. Une grande partie de sa carrière se passe au lycée Nevers, un établissement privé de Montpellier. Il y enseigne l’économie, la gestion, des notions de droit. Retraité en 2004, il s'en va vers l’île qu’il aime, consacre trois années, de 2004 à 2007, à construire une école à Mandritsara, dans le nord de l’île. Hélas ! En 2007, il est agressé. « Il a été victime d’un braquage, mais il ne s’est pas laissé faire », raconte Thierry Serres, son neveu qui vit à Nîmes. Il quitte alors Mandritsara et va s’installer à Fianarantsoa, au sud de Tana, où il séjourne plus d’une année. « C’est là qu’il adopte Oliva, un garçon qui a aujourd’hui environ 20 ans, poursuit Thierry. Il lui a payé ses études d’hôtellerie, a aidé sa famille… »Il déménage ensuite à Tana… Mais là, on lui empoisonne son chien. Qui ? Impossible de savoir même si, d’après ses proches, Jean soupçonne l’entourage de son fils adoptif. « Cette famille lui demandait beaucoup… Et, dernièrement, il avait confié à l’un de ses anciens collègues qu’il en avait marre, qu’il pensait rentrer en France », témoigne l’un de ses proches. En mars dernier, il s’est marié avec une jeune sœur d’Oliva. « Ce n’est pas un homme très porté sur les femmes, alors s’il a fait ça, c’est sans doute pour qu’elle obtienne la nationalité française », poursuit ce proche. Il avait enfin élu domicile à Mahambo, où il avait ouvert un restaurant.
Meurtre crapuleux ou assassinat minutieusement prémédité ?L’enquête suit son cours. Par les "aveux" des deux jeunes meurtriers présumés, elle pourrait bientôt aboutir… tout en laissant ignorés les vrais mobiles et une vraisemblable commandite. Acte crapuleux ou commandité ? Personne sera dupe…Toutefois on peut malgré tout s'interroger… S’agit-il d’un meurtre ou d’un assassinat organisé ? Cet homme, jugé « autoritaire », « pas facile à vivre » malgré sa foi et sa générosité, a-t-il refusé une faveur, a-t-il déplu ? Le ministère des Affaires étrangères assure, lui, être en contact à la fois avec la famille de Jean Serres et avec les autorités malgaches. « Nous leur faisons confiance pour traduire les auteurs en justice », assure un porte-parole du Quai d’Orsay. La diplomatie a ses raisons…Pourtant la famille de Jean Serres feint encore de croire pouvoir avoir rapidement des réponses . « Nous aurions aimé faire rapatrier son corps, pour une autopsie sérieuse et l’enterrer en France mais, comme il s’est marié là-bas, c’est compliqué », déplore Thierry. Quant à se rendre sur place, Thierry redoute ce pays « à risques » depuis quelque temps. Jean n’avait peur de rien, fréquentait peu les Occidentaux habitant l’île. S’est-il brûlé à toucher de si près une île où il restait un étranger ?
source : France Soir
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Ce n'est vraiment pas un fait isolé, une semaine après l'assassinat de Jean Serres, le mardi 1er novembre : Matraqué au volant de son véhicule, un quinquagénaire français a été tué dans des circonstances atroces à Nosy Be Helville. Le mobile du crime est nébuleux.** *Ceux nombreux qui ont vécu à Madagascar, se sont laissé envoûter, ne s'étonneront pas de cette "mésaventure", vraiment pas tellement extra-ordinaire… Tout simplement, un de plus ! Et, soyons assuré que cette longue série sera sans fin, chaque nouvelle proie dans son éblouissement se croit plus futée que les malheureux "qui n'ont pas su s'y prendre"… Paroles de rescapé… Une excellente occasion d'exhumer une tribune libre publiée le 27 janvier 2003 par L'Express de Madagascar et judicieusement intitulée "L'île des naufrageurs"… Des réflexions signées par un Malgache lucide qui restent certainement toujours très actuelles : les régimes sont toujours "nouveaux", les gens et les cupidités toujours les mêmes…
Une réputation de “naufrageurs”
La lutte contre la corruption, volet essentiel de la promesse de changement du nouveau régime [à l'époque celui de Marc Ravalomanana, à présent piteusement débusqué !], sera un thème éditorial récurrent et un travail de longue haleine.
L’opinion attend, bien sûr, les premiers signaux forts et concrets que le combat est réellement engagé contre ce mal social qui gangrène certainement le développement mais sape, aussi et surtout, les meilleures bonnes volontés d’investissement et de faire des affaires normalement.Pour l’instant, les échos que l’on a des pratiques de l’administration et des usages commerciaux, ou judiciaires, sont très exactement identiques à ce qu’ils étaient avant la crise !Il y a même des localités, comme Nosy Be par exemple, où les dysfonctionnements de la justice, sous la forme d’un racket organisé au détriment des étrangers bien évidemment, s’étalent au grand jour et sont notoirement connus de toutes les autorités locales mais également centrales.D’un peu partout remontent des plaintes, des interrogations - sur tel tarif de visa qui a brusquement augmenté, par exemple - qui conduisent à penser que la bataille contre la corruption et les abus de pouvoir de quelques despotes locaux va constituer le plus gros handicap du nouveau régime et du gouvernement qui le sert.C’est sans doute, en définitive, un handicap énorme, une tare ancienne que d’être un pays attrayant ! On sait à quel point les “vahaza” succombent à ses attraits naturels pour les investissements, tout ce qu’il y a à y entreprendre, même quand il ne s’y ajoutent pas pour les “vahiny” les charmes tout aussi attachants et tentants de la population.
Que faire quand on est trop belle, pour se protéger des convoitises de l’étranger, pour repousser les avances, et qu’un savoir-faire ajouté, le plus souvent, à des capitaux en volume suffisants laissent à penser à des rêves de conquête, même dans les meilleures dispositions d’esprit possibles ?Il est clair que l’on se protège comme on peut, en usant de toutes les ruses et traquenards possibles pour dissuader le nouveau venu, et parfois l’ancien quand il s’agit de le spolier de ses biens, de “flasher” sur Madagascar.Aux discours officiels d’invitation permanente, et comme rituelle, aux investisseurs étrangers répondent sur les terrains administratif et judiciaire notamment, un arsenal de dispositions réglementaires et de décisions de justice, de nature à faire fuir le mieux disposé des “vahaza”.C’est si vrai que l’on finit par se demander si cette promotion permanente du pays ne constitue pas, finalement, un piège - comme celui des sirènes de la mythologie - dans lequel le voyageur imprudent est appelé à tomber ?Une chose est certaine : ce ne sont ni les salons internationaux de promotion des investissements, pas plus que les missions de “patrons” étrangers qui changeront la réputation de “naufrageurs” du pays et de sa population.
L’Express de Madagascar : EXPRESSions du lundi 27 janvier 2003
L'Info Réunion : Deux bénévoles français tués à Madagascar
Madagascar, funeste île de Naufrageurs… nouvel épisode tragique d'une série sans fin…
Madagascar… île des Naufrageurs… Défense de s'échapper…
Suicide, mode d’emploi : allez "vivre" à Madagascar !
Madagascar, île de naufrageurs : encore un Français assassiné par des cambrioleurs
Madagascar, île de naufrageurs (suite sans fin) : Français assassiné et incinéré dans sa villa
Madagascar Mandritsara : meurtre odieux de Sœur Marie Emmanuel Helesbeux, 82 ans
Madagascar : Deux voleurs lynchés à mort par une foule en colère
Madagascar : Andohalo - Un voleur de voiture lynché par la foule
Farafangana : Quatre bandits lynchés à mort
86 voleurs de bœufs lynchés à mort à Madagascar
dimanche 6 novembre 2011
Musulmans et catholiques unis pour la dignité contre les bobos merdeux du système sioniste
"Shit Christ" : une régression au stade anal de bobos, apatrides, hors sol…
LE THÉÂTRE DE LA VILLE S'EST TRANSFORMÉ EN IMMENSE VESPASIENNE. UN SPECTACLE DÉGRADANT SCATOLOGIQUE PROVOQUE NAUSÉE ET DÉGOÛT CHEZ CES GENS PRÊTS À DÉBOURSER 29 EUROS POUR DEVENIR DES VOYEURS OBSERVANT SUR SCÈNE UN VIEIL HOMME SE FAISANT TORCHER. ILS VONT JUSQU'À LANCER DES EXCRÉMENTS SUR LA FACE DU CHRIST ! ET ILS VOUDRAIENT QUE PERSONNE NE RÉAGISSE !
HALLUCINANT ! "MONSEIGNEUR" 23 OU PLUTÔT 33 NE DÉFEND PAS SES OUAILLES, TOUS CEUX QUE LE "SPECTACLE" DES EXCRÉMENTS LANCÉS SUR LA FACE DU CHRIST INSULTE ET HUMILIE! IL LES CONDAMNE ! LES ORGANISATIONS MUSULMANES DÉFENDENT MIEUX LES CROYANTS CATHOLIQUES HUMILIÉS DANS LEUR FOI QUE LE PRÉTENDU ARCHEVÊQUE DE PARIS !
"Ces bobos, ces apatrides, ces hors sol..."
Musulmans et Chrétiens catholiques unis contre les mêmes ennemis adeptes de l'usure et adorant le dieu "argent-roi".
En tant qu'être humain, en tant que Musulman, en tant que simple individu doté d'une morale non dégénérée, je condamne avec toute mes forces cette insulte faite au prophète Jésus (Paix soit sur lui) et salue la protestation des chrétiens face à cette horreur. De l'art dégénéré, probablement subventionné, comme les associations ultra racistes, paternalistes SOS ou ni *** ni soumise. Derrière, les mêmes apatrides maçonniques qui eux ont leur sacré... Vive Dieudo qui en sait quelque chose !
Très joli ! "Ceux qui confondent scatologie et eschatologie"... Bravo, magnifique intervention cher ami. Et quant à ces artistes subventionnés par le PS et Delanoé, on se prend à rêver qu'ils dépassent une bonne fois leur stade anal et nous foutent un peu la paix. Bande de dégénérés.
Frères, ne cédons pas à la haine, ce serait descendre à leur niveau, merci l'Auvergnat pour ce message plein de bon sens et de mesure, merci aux musulmans qui nous soutiennent pour cette affaire, honte aux protestants qui se disent chrétiens et refusent de se dresser contre cette infamie. Vive le Christ Roi.
Jamais le Coran ne traite ainsi Jésus et Marie. Et que dit le talmud à propos de Marie ? Le talmud dit qu'il s'agissait d'une prostituée, et ne m'oblige à venir te donner les références exactes du talmud parce que je les ai ! Sale sionard de merde…
Mais ça c'est autorisé, cracher sur Jésus (Paix soit sur lui), c'est subventionné. aucune association raciste de mes deux pour réagir.
Par contre quand monsieur Dieudonné, celui que je considère comme le meilleur comédien de sa génération, joue un colon extrémiste israélien, on lui coupe les vivres en essayant de le tuer professionnellement.
Comme vous nous y avez habitué monsieur FXC83, vous touchez droit dans le mille.
samedi 5 novembre 2011
"Piss Christ" inspire Roméo Castellucci : après le blasphème urophile, la scatophilie…
« Vous n'avez qu'à jeter de la merde sur les spectateurs et leur dire que c'est de l'art.
Je pense qu'ils comprendront le message ! »
Le jeudi 20 octobre avait lieu au Théâtre de la ville, la première représentation à Paris de la pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu ». L’auteur de la pièce, le scatophile exhibitionniste Roméo Castellucci, y met en scène un vieillard déféquant sur scène et son fils venant le nettoyer, avec pour arrière-plan le portrait du Christ. Les excréments récoltés par le fils étant destinés à être lancés par des enfants sur le portrait du Christ à la fin de la pièce.
La haine antichrétienne se montre là sous son aspect le plus primaire, le plus immonde, le plus imbécile tout comme avec l'affaire d'urophilie du « Piss Christ » à Avignon où cette fois-là, il était question de représenter le Christ dans de l’urine.
Pour le scatophile Roméo Castellucci, évidemment déjà présent festival d’Avignon, il ne s’agit pas d’une œuvre christianophobe mais « d’une pièce faisant appel à l’intelligence et la sensibilité de chacun des spectateurs. À la fin du spectacle, un voile noir d’excréments coule sur le portrait du fils de Dieu : Dieu se retire dans le brouillard du fond de la scène, depuis lequel il avait fait son apparition ».
L'exhibitionniste scatophile aurait-il osé s'en prendre de la même façon au judaïsme, voire à l'islam pourtant bouc émissaire de démagogues de tout bord ? Certainement pas. Dès septembre, les recours légaux avaient été utilisés pour faire interdire ce spectacle aussi scandaleux que nauséabond... Sans succès. En France, nation façonnée par le Christianisme, il est toléré de s'en prendre à cette religion par tous les expédients possibles ; c'est même encouragé par les autorités, puisque le spectacle en question a bénéficié de subventions publiques...
Mais la réaction s'est organisée.
Les militants du Renouveau français ont eu l'honneur d'inaugurer la chaîne de protestation contre ces blasphèmes !
C'est ainsi que les spectateurs benêts outrés (et plus encore les responsables du théâtre) ont eu la mauvaise surprise de voir leur représentation interrompue durant plus d’une demi heure.
Face aux 400 bobos venus se délecter de fantasmes scatologiques, les militants du Renouveau français sont montés sur la scène aux cris de « Christianohobie, ça suffit ! »
Avec ce slogan, parfaitement visible sur la banderole qui fut déployée, tous devraient avoir saisi la raison de cette action du Renouveau français, mais surtout, avoir compris que les défenseurs de la Chrétienté ne tolèreront désormais plus que l'on s'en prenne ainsi à la religion, colonne vertébrale de notre civilisation.
Après une dizaine de minutes plutôt animées, les militants du Renouveau français ont entamé le chapelet d'abord face aux spectateurs en guise de réponse à leurs insultes, puis face à la sainte image du Christ, désarçonnant ainsi la sécurité des lieux, avant d'être finalement délogés par la police.
Ils s'en sont tirés avec près de vingt-quatre heures de garde-à-vue : une répression ahurissante et scandaleuse alors qu'aucune violence n'avait été commise.
Le Comité directeur du Renouveau français a félicité la dizaine de jeunes militants qui se sont illustrés ce jeudi 20 octobre, convaincu qu'ils feront des émules, au service de la dignité, de notre civilisation et de la chrétienté.
Il invite les Français las du climat actuel à le rejoindre, ou du moins le soutenir, et à travers lui soutenir les jeunes Français qui ont sauvé l'honneur ce jeudi 20 octobre.
La messe scatophile « Sur le concept du visage du fils de Dieu » de Roméo Castellucci s’en va à Rennes du 10 au 12 novembre…
Mgr Centène évêque de Vannes qui a apporté son soutien aux manifestants parisiens, dans une lettre adressée à François de Penfentenyo, président de l’institut Civitas et publiée par le Salon beige, écrit :
Principaux sites de références : Agora Vox, Le Salon Beige, La Porte Latine, Gloria TV, France Jeunes Civitas
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La pièce « Sur le concept du visage du fils de Dieu », dans laquelle le géniaaaal scatophile exhibitionniste Roméo Castellucci n’a rien trouvé de mieux pour exhiber son fantasme que de faire jeter des excréments à la tête de Jésus, s’est réfugiée au Théâtre Cent Quatre (104 rue d’Aubervilliers) dans le XIXe arrondissement de Paris, après avoir été dûment chassée du Théâtre de la Ville.
Si les catholiques se sont cette fois-ci mobilisés, et avec quel succès, il est à souligner qu’ils ont été rejoints par des musulmans lors de la manifestation de samedi dernier 29 octobre. Si c’est bien normal, c'est surtout très réconfortant car si Jésus est le fils de Dieu pour les chrétiens, il est également l’un des principaux prophètes de l’Islam, qui annonce son prochain retour afin de tuer l’antéchrist.
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La messe scatophile « Sur le concept du visage du fils de Dieu » de Roméo Castellucci s’en va à Rennes du 10 au 12 novembre…
« Une pièce devant laquelle le Tout-Paris cultureux se pâme. Très audacieuse, si si si, elle consiste essentiellement à tout tartiner de merde, y compris un portrait du Christ. »Catherine Ségurane, Agoravox
Mgr Centène évêque de Vannes qui a apporté son soutien aux manifestants parisiens, dans une lettre adressée à François de Penfentenyo, président de l’institut Civitas et publiée par le Salon beige, écrit :
« Comme vous le faites justement remarquer, les manifestations prétendument culturelles et artistiques attaquant le Christ et son Église sont en hausse constante. À l’heure où, en de nombreux pays, les chrétiens subissent, au seul motif de leur foi, de multiples vexations quand leur vie n’est pas tout simplement mise en péril, il me semble effectivement nécessaire de réagir avec fermeté… Alors que nos frères, en de nombreux endroits, font face avec courage et détermination pour maintenir le trésor de la foi malgré le danger, je ne peux que soutenir toute action visant à défendre, avec charité et fermeté, l’honneur du Christ et de l’Église.…»À l’appel de plusieurs mouvements catholiques une manifestation est prévue le 10 novembre à 18 h 30 devant le théâtre national de Bretagne. Absente la plupart du temps dans les quartiers dangereux de Rennes, par euphémisme dits « sensibles », la police sera bien au rendez-vous…
« … Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même. »
« Un service d’ordre extrêmement puissant sera présent à l’extérieur du Théâtre national de Bretagne, rue Saint-Hélier, afin d’éviter tout contact entre manifestants et spectateurs. Des policiers, il y en aura aussi dans la salle. Au moindre dérapage, les fauteurs de trouble seront interpellés, des poursuites seront engagées »,La République laïcicarde sioniste franc-maçonne est bien gardée… De l'anticléricalisme, on est bien passé à la phase christianophobe… sœur jumelle de l'islamophobie.
Principaux sites de références : Agora Vox, Le Salon Beige, La Porte Latine, Gloria TV, France Jeunes Civitas
vendredi 4 novembre 2011
Ce n'est qu'au nom de tous les combattants de l'Organisation Armée Secrète (OAS)
… que Jean-François Collin consent à accepter la Légion d'Honneur
« Je vous promets que je ne porterai jamais cette Croix tant qu'il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l'Élysée ! Jamais je n'aurai la marque du collier !» |
Entouré de ses proches et de ses amis, Jean-François Collin, président national de l’ADIMAD, a reçu, le mardi 1er novembre 2011, les insignes de chevalier dans l'ordre de la Légion d'honneur, des mains du capitaine Jean Biraud, chef de commandos OAS en Oranie, condamné à mort par contumace par un tribunal d’exception gaulliste.
Déjà distingué de la Valeur militaire avec palme, il a mérité le grade de Chevalier de la Légion d'Honneur, avec traitement, à titre militaire, en tant que mutilé de guerre en Algérie. C’est donc pour son engagement militaire :
« Je remplissais les conditions. J'ai été appelé à l'armée le 1er novembre 1959. Et j'ai été blessé au combat en Algérie, dans l'Ouarsenis, en 1960, contre les fellaghas, par un élément rebelle du Front de libération nationale, j'ai tué mon ennemi qui m'a grièvement blessé, mon biceps droit a été arraché et je suis devenu invalide de guerre. Puis il y a eu la révolte des Généraux, j'étais content. Et après avoir été soigné, je suis parti à Paris. J'ai alors pris contact avec l'Organisation de l'Armée Secrète et j'ai intégré l'OAS Métro avec le Capitaine Sergent. J'ai été arrêté le 18 février 1962 puis condamné à douze années de réclusion criminelle et en ai effectué cinq, à la Santé, à Fresnes, et à l'île de Ré. Puis, le 14 juillet 1968, De Gaulle a amnistié l'ensemble de l'OAS, mais la véritable amnistie avec réintégration des grades et des retraites, a eu lieu sous Mitterrand ».
"Aux fusillés, aux combattants tombés pour que vive l'Algérie française"
« Cela me permet de rappeler que c'est le grand Corse, Napoléon 1er, qui a créé cet ordre militaire pour honorer ses soldats méritants. Je considère que c'est lui qui m'honore aujourd'hui et non le paltoquet qui vibrionne à l'Élysée ! J'aurais honte de devoir remercier ce personnage qui confond les coureurs cyclistes dopés à l'EPO, les chanteurs de rap, les porteurs de valises, avec les défenseurs de l'intégrité du territoire national ! Et qui s'est félicité personnellement de la profanation de cette Stèle devant laquelle nous nous tenons ! Pour que les choses soient claires, je tiens à préciser que je n'imaginais même pas que cette éminente distinction puisse m'être attribuée. C'est mon ami d'enfance, Jean-Pierre Carrio, président de l'Union Nationale des Parachutistes de Hyères, qui me l'a assurée. Devant mon refus de constituer le dossier de présentation au Chancelier il m'a demandé mon accord pour l'établir lui-même. J'ai encore refusé. Mais il m'a dit que si, par miracle, j'obtenais cette Croix, cela rendrait fous de rage les "gars pourris" - je dis bien les "gars pourris" – les ligues et associations ennemies de la plus grande France ! Cette argumentation m'a persuadé et après consultation du bureau de l'ADIMAD - convaincu que cette démarche n'avait aucune chance d'aboutir - j'ai cédé à l'amical désir de mon ami. Je tiens à ajouter que cette Croix, je la dédie à tous les Combattants de l'Organisation Armée Secrète qui sont morts les armes à la main, ou ont été fusillés par le plus grand traître de l'Histoire de France. Ce sont eux, aujourd'hui, qui devraient être honorés à ma place ! Et pour que les choses soient limpides je vous promets que je ne porterai jamais cette Croix tant qu'il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l'Élysée ! Jamais je n'aurai la marque du collier ! ».
Assurons Jean-François Collin de toutes nos félicitations et d'une immense fierté partagée… Merci et bravo pour ce grand demi-siècle de combat et d'abnégation avant d'accepter cette décoration tant méritée, au nom de tous ceux de l'OAS.
Du haut vers le bas et de gauche à droite : L’assistance - Dépôt de gerbes par de nombreuses associations de Français d’Algérie - Les trois parrains - Le capitaine Jean Biraud, chef de commandos OAS en Oranie, condamné à mort par contumace par un tribunal d’exception gaulliste, notre ami Jean Pretro - Jean-François Collin et les parrains de la cérémonie - Remise de la décoration - Jean François Collin - La Stèle fleurie.
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