Des manoeuvres inquiétantes d'intimidation se multiplient de la part du camp Gbagbo contre la présence de l'ONU et des soldats français 19 décembre 2010, 19:30 Laurent Gbagbo, président sortant, exige le départ immédiat des forces internationales. Au siège de l'ONU à Abidjan, cette exigence a reçu une fin de non recevoir. Les casques bleus se disent préparés à tout. Le "général" Charles Blé Goudé, "le propriétaire de la rue" en action…
Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
dimanche 19 décembre 2010
samedi 18 décembre 2010
Oskar Freysinger porte un message de paix à Paris, malgré Bertrand Delanoé
Manifestations contrastées autour des "Assises contre l'islamisation de l'Europe" tenues à Paris ce samedi 18 décembre 2010 [Télévision Suisse Romande 18 décembre 2010, 19:30] : Le maire de Paris, Bertrand Delanoé, est intervenu cette semaine pour demander que la rencontre soit annulée, en vain. Parmi la vingtaine d'orateurs appelés à la tribune, un certain Oskar Freysinger… Mais prêtez bien attention : la vidéo dévoile plusieurs drapeaux français frappés de la "croix de Lorraine", d’autres "croix de Lorraine" ci et là. Si les plus lucides des Français déploreront l’imbécile naïveté de leurs compatriotes qui une fois de plus dans le danger, à court d’idées, se réfèrent à l’infâme traître DeGaulle, les islamistes quant à eux s’en régaleront… Le ver est dans le fruit… Oskar Freysinger n'est pas Français.
Le conseiller national UDC valaisan Oskar Freysinger a évité de justesse une agression au couteau à Paris lors des «Assises contre l'islamisation de l'Europe». Oskar Freysinger était invité à parler du modèle suisse de démocratie directe. Oskar Freysinger explique être « refroidi » suite à cet incident. « J’ai tenu le couteau dans la main. Cette arme était destinée à tuer », a-t-il indiqué. Auparavant, dans la salle du colloque, Oskar Freysinger avait été accueilli comme un héros et ovationné comme l’homme qui a fait tomber les minarets. À l’extérieur de la salle, des groupuscules ne totalisant pas plus de 200 individus se sont agités sans vraie conviction… Cette contre-manifestation s'était éteinte dans le calme en milieu de journée.
"L’incompatibilité entre la démocratie et les lois islamiques" : l'intervention d'Oskar Freysinger - conseiller national de l’Union démocratique du centre (UDC), chef de file du « Non aux minarets » en Suisse. Un discours politique fort qui dépasse largement le problème de l'islamisation…
G
M
T
Fonction Sound est limitée à 200 caractères
Options : Historique : Commentaires : Donate | Fermer |
jeudi 16 décembre 2010
Kosovo : Crimes de guerre pour trafic organisé d'organes
La rumeur courait depuis des années. Dick Marty l’a confirmée, avec force détails sordides. Des prisonniers serbes au Kosovo ont été exécutés pour récupérer leurs reins. Le premier ministre kosovar, Hashim Thaçi, est au cœur de l’enquête. Il dirigeait en 1999, au sein de l’UÇK, le «Groupe de Drenica», qui a organisé les meurtres et le trafic d’organes.
Le rapport de Dick Marty sur le trafic d’organes humains au Kosovo a été adopté à l’unanimité ce jeudi 16 décembre à Paris en commission de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Le conseiller aux États tessinois espère que les révélations déclencheront une «dynamique de vérité» : «Tout le monde au Kosovo sait ce qui s’est passé. Par peur, ils se taisent». Lire l'entretien de Dick Marty accordé au Temps.
Trafic d'organes au Kosovo: entretien avec Carla Del Ponte, ancienne procureure du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie [TSR 16 décembre 2010, 19:30].
Trafic d'organes au Kosovo: les accusations impliquant le Premier ministre Hashim Thaçi se précisent [TSR 16 décembre 2010, 19:30]. Le trafic aurait été perpétré sous l'autorité de l'actuel premier ministre du Kosovo, Hashim Thaçi. Le rapport du conseil de l'Europe décrit la filière et la sinistre maison jaune où les opérations auraient été pratiquées. Indécente réaction de Bernard Kouchner !
Le rapport de Dick Marty sur le trafic d’organes humains au Kosovo a été adopté à l’unanimité ce jeudi 16 décembre à Paris en commission de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Le conseiller aux États tessinois espère que les révélations déclencheront une «dynamique de vérité» : «Tout le monde au Kosovo sait ce qui s’est passé. Par peur, ils se taisent». Lire l'entretien de Dick Marty accordé au Temps.
Plusieurs médias serbes ont accusé Bernard Kouchner d'avoir couvert le scandale du trafic d'organes dans l'affaire de la Maison jaune, par référence à la couleur de la clinique clandestine où des organes auraient été prélevés sur plus de 300 prisonniers civils serbes avant qu'ils ne soient exécutés. L'ancienne procureure du TPI, Carla del Ponte, dans son livre "La Traque, les criminels de guerre et moi" dénonce ces crimes. Mais si quatre ans après les faits, les enquêteurs de Mme Del Ponte avaient localisé la Maison jaune à Burrell (Albanie), ils n'ont pu y trouver d'indices permettant de reconstituer la filière. C'est alors que le Conseil de l'Europe a fait ouvrir une nouvelle enquête…
En répondant à la presse, Bernard Kouchner ne manifeste aucune compassion pour les victimes et leurs familles. Il choisit d'ironiser la complicité passive qu'on lui impute en niant l'existence du crime. En outre, il qualifie de "salauds et d'assassins" ceux qui colportent cette rumeur ; des propos qui incluent Carla Del Ponte.
lundi 13 décembre 2010
Du magasin de farces et attrapes de Gbagbo
Exclusivité du magasin de farces et attrapes de Gbagbo |
« La France aux Français ! » Voilà que des immigrants ivoiriens, sans papiers ou pas, manifestent à Paris sur le slogan : « La France aux Français ! » Un revirement dû aux rigueurs d’un hiver précoce ? Est-ce que ces manifestants réclament des avions pour un retour express ? Un appui inattendu à la multitude qui en France s’alarme face à une immigration depuis longtemps sans contrôle… En fait, ce slogan vient en écho à l’ivoirité prônée depuis deux décennies pour faire barrage au dernier Premier ministre choisi par le président Félix Houphouët-Boigny. « Ivoirité » dont a usé et abusé le prof agitateur historien marxiste Gbagbo pour écarter l’élu de celui dont il s’est depuis toujours déclaré l’ennemi juré. Écarter Alassane Ouattara, aujourd'hui l'élu du peuple ivoirien. « La France aux Français ! », un slogan déniché dans le magasin de farces et attrapes de Gbagbo… Que ne va pas imaginer l’animal aux abois ? … Gbagbo n'a plus de sous… Les agents de l'État ivoiriens voudraient pouvoir fêter l'An nouveau… Gbagbo n'a plus d'ailes… Son Grumman est cloué au sol à Cotonou…
Le Mrap roule pour Marine Le Pen
Marine Le Pen a le sens de la formule. Celle qui fera jubiler les uns, scandalisera les autres… C'est particulièrement indiqué en période électorale… Même s'il ne s'agit que d'élections internes au Front national. Que Marine Le Pen assure une succession dynastique cantonnant le Front national à l'excitation populiste n'est-ce pas le vœu de ses contempteurs les plus acharnés. Pour l'heure quel meilleur appui que celui du Mrap interprétant un encombrement inopportun de rue dans le sens voulu par Marine Le Pen. La stratégie de la victimisation contre le choix d’une politique réfléchie et constructive… Bruno Gollnisch appelant à la prise de conscience par les Français de la justesse de ses analyses et propositions aura bien du mal à l’emporter.
Alors qu’enfle la polémique suscitée par les propos non dénués de bon sens de Marine Le Pen sur l’occupation des lieux publics par les musulmans lors des prières du vendredi, la volonté du MRAP de polariser encore plus l’intérêt sur Marine Le Pen apparaît d’autant plus flagrant quand on sait – et le MRAP ne peut l’ignorer – l’avertissement lancé le 19 juillet 2010 par le ministre algérien des Affaires religieuses et des Wakfs, M. Bouabdallah Ghlamallah : « Seul l’intérieur des mosquées est fait pour les prières et si celui-ci est rempli de pratiquants, les autres fidèles n’ont qu’à prier chez eux et non pas dehors ».
Novopress.info cite le quotidien francophone algérien Le Temps qui publie cette déclaration du ministre fait remarquer qu’« il arrive, en effet, que pendant la prière hebdomadaire du vendredi, plusieurs dizaines de fidèles s’agglutinent (sic) à l’extérieur des mosquées pour accomplir leur devoir religieux à même les trottoirs jouxtant les maisons de Dieu. Ce genre de constat est visible notamment dans les mégapoles du pays, à l’instar d’Alger où les mosquées ne désemplissent pas chaque vendredi. Seulement, ce n’est pas là une raison, insiste le ministre des Affaires religieuses, pour tolérer les rassemblements des fidèles au niveau des endroits environnants les lieux de culte. »
Des propos que les autorités françaises, les journalistes et… le MRAP feraient bien de méditer.
Suite à la diffusion très médiatisée des propos de Marine Le Pen à propos de l’occupation musulmane de certaines rues à Paris et ailleurs en France, nous sommes évidemment d’accord sur les faits et notre mouvement, depuis sa création, lutte contre l’islamisation de notre pays et de notre continent.
Ce qui nous étonne, c’est ce brusque soubresaut du clan Le Pen à propos de l’islam alors que le FN a toujours eu une position plus qu’ambigüe sur ce sujet fondamental.
Une petite piqûre de rappel à l’attention de nos amis nationalistes :
Voici des extraits d’une interview donnée au journal Flash par Jean-Marie Le Pen (Numéro 23 – 24 Septembre 2009). Propos que nous avions qualifiés de scandaleux à l’époque !
Journal Flash : Parlons franchement, y a-t-il incompatibilité entre les cinq piliers de la foi musulmane - profession de foi, cinq prières quotidiennes, ramadan, charité du vendredi, pèlerinage une fois dans sa vie à la Mecque - et le mode de vie français ?
JMLP : A mon sens, aucune. En principe, les religions chrétiennes étaient religions de paix, de fraternité et d'amour. Ca n'a pas empêché les catholiques et les protestants de s'égorger des siècles durant, tel qu'en Irlande aujourd'hui encore.
Journal Flash : Pour les populations issues de l'immigration, le retour à la culture religieuse d'origine, ça aide aussi au maintien de l'ordre public ?
JMLP : Sûrement. Mais pour aller plus loin, sachant que les médias jouent à nous faire peur avec l'islamisme, je me demande, moi qui suis iconoclaste, dans quelle mesure le terrorisme islamiste n'a pas été imaginé pour freiner l'expansion islamique.
Selon JMLP, les Chrétiens sont des égorgeurs ! (le monde à l’envers !). L’islam sert au maintien de l’ordre public et l’islamisme a été inventé par les médias !
Camarades, à notre avis, Marine se fait un coup de pub pour essayer de rassembler les "natios" derrière sa bannière. Car si cela ne s’appelle pas un virage à 180°, nous ne connaissons rien à la géométrie (variable) !
Contact NDP 92 : ndp-92@orange.fr
dimanche 12 décembre 2010
"Si nous nous taisons les pierres hurleront"
Le vrai journal (Canal plus) 22 novembre 1998
Le 27 mars 1996, sept moines trappistes du monastère de Tibhirine, en Algérie, sont enlevés par un groupe armé. En mai 1996, ils sont assassinés. Officiellement, ils ont été victimes d'islamistes. Mais en 1998, Canal plus diffuse un sujet qui met en doute la version officielle.
Après douze années un haut fonctionnaire occidental dévoile la vérité :
« Un hélicoptère de l’armée algérienne mitrailla le bivouac où ils étaient retenus»
«Les sept moines français sequestrés dans la nuit entre le 26 et le 27 mars 1996 à Tibhirine par un groupe islamique infiltré par la sécurité militaire (ndt DRS), furent tués depuis un hélicoptère de l’armée algérienne. L’engin aérien survolait la zone des reliefs montagneux de l’Altlas Tellien autour de Médéa en compagnie d’un autre hélicoptère. C’était la mi-mai, après le crépuscule. L’équipage avait repéré le feu d’un campement et le chef d’escadrille en personne, un colonel, avait tiré sur le bivouac. Depuis quelques temps déjà, les forces régulières ne s’aventuraient plus sur le terrain dans cette zone impraticable, faiblement peuplée et controlée par les intégristes : elles se limitaient à faire des reconnaissances aériennes et à combattre avec l’aviation. Après l’attaque, les engins aériens atterrirent près du bivouac. Les hommes à bord comprirent vite qu’ils avaient frappé la cible erronée. Le chef d’escadrille appela le commandement de la base d’hélicoptères détaché à Blida et dit clairement : “Nous avons fait une connerie, nous avons flingué les moines”. Ce fût ainsi que se conclut le sequestre».
samedi 11 décembre 2010
vendredi 10 décembre 2010
La CPI pour Gbagbo ?
Une défection significative |
Laurent Gbagbo comptait sur une contestation violente de son coup d'État dans la rue, afin de massacrer les populations et mettre Alassane Ouattara, le nouveau président, dans une position inconfortable devant la communauté internationale. Mais le nouveau président et le groupement politique qui le soutient ont préféré utiliser "la tactique du serpent boa" qui consiste à s'enrouler autour de la proie pour l'avoir par asphyxie.
Laurent Gbagbo pourra-t-il gouverner la Côte d'Ivoire contre la volonté clairement affichée de son peuple et contre monde entier ? Il pensait pouvoir mettre le monde entier devant le fait accompli en procédant à son investiture, alors même que l'Union africaine avait annoncé pour le même jour, l'arrivée en Côte d'Ivoire de l'ancien président sud-africain, Tabo M'beki, pour essayer de trouver une solution à la crise qu'il a créée en refusant de reconnaître sa cuisante défaite après le deuxième tour. Il espérait, se souvenant sans doute de plusieurs précédents, que la communauté internationale adopterait des positions contradictoires sur lesquelles il s'appuierait pour se maintenir au pouvoir, en "bon démocrate", contre la volonté de son peuple. Mal lui en a pris. Car, Laurent Gbagbo, en bon historien, vient de se rendre compte que pour la première fois dans l'histoire, la communauté internationale a fait preuve d'une unanimité incroyable dans la condamnation d'un coup d'État électoral. Laurent Gbagbo se retrouve donc seul, sans aucun soutien ou plutôt avec plusieurs soutiens dont celui de… on n'en voit pas. Il comptait sur la Russie et la Chine. Depuis hier, ces deux pays ont signé la déclaration du Conseil de sécurité de l'Onu, condamnant son coup d'État électoral et reconnaissant M. Alassane Ouattara comme le président élu et légitime de la République de Côte d'Ivoire. Le Conseil de sécurité a même menacé d'infliger des sanctions ciblées (Gbagbo et ses généraux) contre tous ceux qui font obstacle à la volonté du peuple de Côte d'Ivoire. Le monde ne veut plus voir naître en Afrique, des dictateurs qui bafouent et méprisent le choix de leur peuple. Et cette nouvelle attitude commence avec Laurent Gbagbo qui, aussi incroyable que cela puisse paraître, a décidé de troquer les habits de démocrate contre ceux de fossoyeur de la démocratie. Sa stratégie, qui a toujours consisté à opposer l'Afrique à l'Europe, n'a cette fois-ci, connu aucun succès. L'Afrique, à travers l'Union africaine et la Cedeao, lui a demandé, fermement, de quitter le pouvoir pour laisser la place au président légitime des Ivoiriens. Laurent Gbagbo est donc isolé et cela de façon accrue, comme lui avait promis le Président américain, Barack Obama. Ses camarades du Parti socialiste français (Ps) ont reconnu Alassane Ouattara comme "le Président légitime de Côte d'Ivoire". L'Union européenne a rejeté son coup d'État, de même que l'ensemble des pays et organisations à travers le monde. Autant dire que "le fruit est mûr" et que la honte qui va s'abattre sur Laurent Gbagbo n'est plus qu'une question de jours et peut-être même d'heures. Il peut continuer à s'illusionner et à tromper ses partisans en nommant des ministres (qui ne sortiront pas du pays), en recevant au palais présidentiel les populations acquises à sa cause (mais minoritaires), n'empêche, il a perdu les élections. Il le sait, sa femme Simone le sait, de même que tous les refondateurs, y compris Affi N'guessan, l'annonceur de décès en direct sans vérification. Laurent Gbagbo comptait sur une contestation violente de son coup d'État dans la rue, afin de massacrer les populations et mettre Alassane Ouattara, le nouveau président, dans une position inconfortable devant la communauté internationale. Mais le nouveau président et le groupement politique qui le soutient ont préféré utiliser "la tactique du serpent boa" qui consiste à s'enrouler autour de la proie pour l'avoir par asphyxie. Et cette tactique responsable, qui donne ses fruits aujourd'hui, a été appréciée par la communauté internationale qui a donné raison à Alassane Ouattara. Et Laurent Gbagbo vient de découvrir qu'on ne peut pas rouler indéfiniment le monde entier dans la farine en se faisant passer pour une victime de l'impérialisme occidental. Un refrain qu'il ne peut plus utiliser. La cavale de Gbagbo est donc sans issue. Ni pour lui-même, ni pour ses partisans, y compris les gradés de l'armée qui le soutiennent et qui ont déjà fait sortir toutes leurs familles du pays, comme Affi N'guessan et les autres. Laurent Gbagbo sait que Charles Taylor a eu la même attitude irrespectueuse à l'égard de la communauté internationale. Il a suffi que le président américain lui demande de quitter le pouvoir pour qu'il se retrouve devant la Cour pénale internationale. Pourtant, Taylor avait plus de soutiens à l'époque que Laurent Gbagbo aujourd'hui. Et Laurent Gbagbo, (s'il s'entête), risque de subir le même sort que Charles Taylor. Depuis hier, suite à la déclaration du Conseil de sécurité, Laurent Gbagbo et ses partisans sont considérés à travers le monde, comme des hors-la-loi. Et tout le monde sait comment la Communauté internationale traite les hors-la-loi.
Inscription à :
Articles (Atom)