Carnets de Voyages en Syrie avec la Communauté syrienne de France

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mardi 10 juin 2014

Barbecue chez les bleu-marine… La Marine allume une fournée : ouste papa Le Pen !


La faute politique c'est de hurler de concert avec  le totalitarisme de la pensée unique.



« Un Front national gentil, ça n'intéresse personne »
Jean-Marie Le Pen,
président d'honneur (inamovible) du Front national

Pourquoi vouloir dupliquer UMP, PS, UDI… si ce n'est que pour servir les intérêts strictement électoraux d'ectoplasmes aussi ambitieux que sans racines historiques ?…


Jean-Marie Le Pen : « Je considère que la faute politique, c’est ceux qui se sont alignés sur la pensée unique. Ils voudraient ressembler aux autres partis politiques. Si c’est le vœu d’un certain nombre de dirigeants du FN, ils ont réussi. C’est eux qui ont fait une faute politique, pas moi »


Fournée/Le Pen : dérapage ou débat de fond – par Raoul Fougax

4 Vérités : Sortie de Jean-Marie Le Pen : deux remarques…
La soumission au « système » et aux « médias », pourtant tant décriés par les frontistes, est totale. Pas sûr que, quand on veut refonder la France, la soumission soit la meilleure méthode…
Que va-t-il rester de cette belle « fournée dédiabolisée » du Front National ?


Présent - Nous ne pouvons plus nous taire :


Le marin Le Pen…
Jacques Trémolet de Villers

… Jean-Marie Le Pen est le doyen de la vie politique française. Il est le seul, aujourd’hui, chargé d’un mandat public, à avoir connu, comme député, la IVe République et, avant elle, la Seconde Guerre mondiale, la défaite, l’Occupation, la Résistance, la Libération, les guerres d’Indochine et d’Algérie… … « Cette stature d’ancien inspire plus que le respect. Elle donne la confiance »… … Le sauveur ? L’homme providentiel ? le général ? le maréchal ? … personne ne répond à l’appel de ce nom… Alors, peut-être, le doyen ! L’ancien ! Celui qui a vécu, a lutté, a tenu…




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"La dénonciation médiatique des prétendus dérapages de Jean-Marie Le Pen fait partie de l’arsenal de combat des ennemis du Front National.
Le mot “fournée” que j’ai employé dans mon journal de bord hebdomadaire n’a évidemment aucune connotation antisémite, sauf pour des ennemis politiques ou des imbéciles." Jean-Marie Le Pen, président d'honneur [inamovible] du Front national

Le Blog de Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national : www.jeanmarielepen.com


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L’attaque contre Jean-Marie Le Pen n’est qu’une agit’prop grossière


Si on en croit Louis Aliot et quelques autres Jean-Marie Le P. (écrire en sa totalité un tel patronyme, ne serait-il pas déjà se rendre coupable de crime contre l’humanité ?), n’aurait pas le droit de prononcer le mot four, sans être aussitôt jeté au... feu. Et pas seulement. Tous ceux qui sont composés de ces quatre lettres, au début, à la fin ou quelque part au milieu, sont dans sa bouche (dans sa gueule devrait-on dire) anathèmes. Comme fournée. Pour avoir plaisanté sur des propos acerbes de Bruel-Benguigui dirigés contre le FN et avoir annoncé pour l’intermittent du spectacle l’éventualité d’une « prochaine fournée », aussitôt assimilée à la déportation des heures les plus sombres de notre histoire, Jean-Marie Le P., ainsi que le chantait jadis Guy Béart (Béhar), sera pendu.

En français en somme, ce sont plusieurs centaines de termes dont les vigilants de l’antisémitisme se sont désormais autorisés à vérifier l’utilisation qu’il en fait. Dans mon petit dictionnaire de poche j’en compte ainsi 41 qui commencent par ces lettres désormais infâmes. De fourbe à fourmi. Et de fourrage à fourvoyer. En passant par fourgon, fournaise, fournil, fourrure qui tous il est vrai sentent leur holocauste et leur antisémitisme caché ou codé. Mais Internet est beaucoup plus généreux qui en a trouvé 641 commençant par les lettres F.O.U.R. Et, comme il faut se méfier des petits sournois qui sévissent en ces lieux, on doit tenir compte des termes qui comprennent ces quatre lettres dans le désordre : 838 mots. Jean-Marie Le P., chacun le sait, étant particulièrement machiavélique, pourrait brouiller les cartes en même temps que les voyelles et les consonnes. Derrière le “troufion” ne se cacherait-il pas un autre four ? Et dire que tel auteur juif écrirait des textes qui sentent le soufre n’est-ce pas déjà verser dans l’antisémitisme le plus abject ?

Ou bien le président d’honneur du Front national a-t-il le devoir de se faire insulter par des histrions, des saltimbanques et des humoristes ratés — Monsieur Bedos est-il meilleur amuseur que Monsieur Dieudonné ? Est-ce la famille Bedos qui doit en décider ? — par des chanteurs inaudibles, des tennismen reggae, des joueurs de poker juifs. En même temps qu’il aurait l’interdiction, sous peine de faire intervenir la loi Gayssot, de riposter, fût-ce avec humour, au risque d’être traité de fasciste et d’antisémite ? Il est vrai, et on le sait depuis longtemps, que dans ce pays l’humour juif et l’humour caucasien sont deux choses bien différentes. Il suffit à ceux qui en doutent d’écouter Alexandre Astier et son sketch désopilant sur la Physique Quantique ou Gaspard Proust — bon, d’accord, il s’appelle Gasper Pust, Suisse, d’origine slovène et la mère de son grand-père paternel aurait été juive — puis Michel Boujenah ou Élie Semoun. À eux de juger.

Mais le problème qui se pose est de savoir si désormais la codification de la langue française a cessé d’être réservée à l’Académie Française. Si elle revient de droit à Louis Aliot et à sa concubine Marine Le Pen qui a condamné dans Le Figaro du 9 juin la « faute politique » (sic, pas moins !) de son père et au CRIF, à la XVIIe Chambre Correctionnelle, à Yahoo, aux media en général et aux “people” de toutes sortes et de toutes espèces, allant de Ribéry aux analphabètes des Grandes Gueules de RMC et aux bafouilleuses de dépêches de France Info ?

Il n’est pas inintéressant de s’interroger. Même Gilbert Collard en a esquissé vaguement une tentative, tout en exigeant, scandalisé, la démission de Jean-Marie Le Pen. Le mot fournée est banalement français. Il a un sens bien précis et, pour être direct, n’a jamais désigné sous quelque forme que ce soit ni la déportation au cours de la Seconde Guerre mondiale, ni comme le prétend Monsieur Bruel-Benguigui, quelque extermination de six millions de Juifs.

ALIOT ET COLLARD, ALLEZ VOUS-EN !

Le site spécialisé « La définition. Fr » en donne quatre interprétations.

Celle de l’Académie Française de 1798. Elle désigne très strictement la cuisson du pain, de la chaux ou des tuiles dans un four. D’une manière anecdotique on dit d’un homme « qu’il a pris un pain sur la fournée » lorsque, et c’est joliment exprimé, « il a eu commerce par avance avec sa future épouse ». La deuxième définition alors acceptée concernait « les charretées d’individus condamnés par le tribunal révolutionnaire à la guillotine ». Ceux qui jettent des tombereaux d’infamie sur Jean-Marie Le Pen sont-ils disposés à débattre justement de ce point précis ? De la Terreur, de la guillotine et de la belle Révolution ?

La seconde interprétation du mot “fournée” a été donnée par l’Académie Française en 1835. Elle reprend la première partie de la précédente mais “guillotine” et « charretées d’individus » ont pudiquement disparu. En revanche, elle désigne très familièrement un certain nombre de personnes nommées à la fois aux mêmes fonctions. Elle ne s’emploie guère, est-il précisé, que par plaisanterie au sens suivant : « Il ne sera pas de cette fournée. On annonce une nouvelle fournée pour le mois prochain ». Il est évident que tel est le sens de la plaisanterie de Jean-Marie Le Pen. Mais si toute “plaisanterie” dirigée contre le Front National, quelle qu’en soit la forme, est acceptable, venant de lui elle devient détestable.

La troisième formule a été énoncée par l’Académie Française en 1932. Et on notera tout ce que cette date a de sinistre et de prémonitoire ! L’essentiel de la définition n’a pas changé, sauf qu’on y a ajouté des « fournées de faïence ». Toutefois un dernier paragraphe, compte tenu justement de la date, mérite l’attention : « (La fournée) se dit d’un certain nombre de personnes qui accomplissent ensemble les mêmes actes ou subissent le même sort ». Deux exemples sont donnés : « Les visiteurs étaient admis par fournées. Les suspects étaient jugés par fournées ». Et, désolé pour les Bedos, Benguigui et compagnie, cette définition pouvait alors englober toutes sortes de circonstances mais certainement pas la Shoah… en 1932. Enfin, la plus intéressante des définitions est celle, toujours en vigueur, énoncée en 1986 par l’Académie Française. Rien ne change concernant les “fournées” de pain, de faïence, de chaux et de tuiles. Mais le dernier paragraphe a, lui, été singulièrement remanié. Et que dit-il ?

« (La fournée) est un groupe de personnes qui accomplissent ensemble les mêmes actes ou subissent le même sort ». Ah, Ah ! Sauf que voici les exemples que donne, en 1986 donc, l’Académie Française : « Les visiteurs étaient admis par fournées. Sous la terreur les suspects étaient jugés par fournées ». Fam. « Une fournée de promotions, de nominations. Il ne sera pas encore de cette fournée ».

Comment par conséquent ne pas remarquer que dans aucune définition officielle il n’est possible de trouver un lien entre le mot “fournée” et la Shoah. Il s’agit d’une pure annexion d’un terme de la langue française, usuel et sans aucune connotation avec la Seconde Guerre mondiale, qui par une odieuse récupération politique a été escamotée par les associations juives d’extrême gauche et par l’extrême gauche elle-même. Une récupération qui tend à se multiplier depuis les élections européennes — on l’a vu lors de la récente manifestation visant le Front National au prétexte d’une agression de skinheads par des anti-fascistes et qui tourna mal pour ces derniers —.  C’est devenu la tactique habituelle de la Gauche lorsqu’elle est battue dans les urnes de chercher à conserver le pouvoir par la force de la rue et la distorsion de la loi.

Aussi est-il pitoyable que de l’intérieur même du Front National en ses échelons les plus élevés, certains se mêlent de soutenir et de donner sens à cette campagne d’agit’prop qui n’est rien d’autre qu’une campagne d’agit’prop à laquelle nous sommes, nous, habitués depuis des décennies. Malheureusement la direction du Front National est passée entre les mains de personnes qui n’ont aucune culture nationaliste et traditionaliste et qui ne savent, ne peuvent ou ne veulent résister à la pression médiatique et à la pensée unique. Plus que tout autre monsieur Collard devrait connaître le sens des mots et être capable de déchiffrer les sémantiques élémentaires. Louis Aliot, étant aussi avocat et professeur de Droit Public et de Droit Constitutionnel, ne peut ignorer qu’il n’y avait rien de condamnable dans la boutade de Jean-Marie Le Pen et que toute cette affaire n’est qu’une manipulation de plus visant à fractionner le Front National. Manipulation à laquelle l’un et l’autre ont apporté un concours tellement stupide et flagrant qu’il laisse largement planer le doute sur la sincérité de leur engagement dans le combat national. Il est temps que l’un et l’autre se retirent.

René BLANC pour Rivarol


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Dernière fournée pour Jean-Marie Le Pen

Une fournée pour les artistes dégénérés

Dans une anodine vidéo publiée dimanche sur le site du Front national (FN) – retirée depuis – Jean-Marie Le Pen est interrogé sur le cas de plusieurs artistes "dégénérés" ayant attaqué et insulté le parti qu’il dirigeait. Sont évoqués Guy Bedos, Madonna, Yannick Noah et Patrick Benguigui dit Bruel, ces deux derniers ayant affirmé qu’ils quitteraient la France en cas de victoire du FN pour retourner dans leur habitat naturel. Mais ni Patrick Benguigui ni Yannick Noah ne sont retournés à la case départ.

« On fera une fournée la prochaine fois », déclarait dans la vidéo pour clore ce sujet Jean-Marie Le Pen.




L’utilisation dans deux phrases proches du terme « fournée » et du nom d’un Juif a suffi pour que l’establishment fabrique une polémique. Elle se serait sans doute éteinte d’elle-même rapidement si les principaux cadres du néo-FN, mis en place par Jean-Marie Le Pen, n’avaient repris, amplifié et relancé les accusations contre Jean-Marie Le Pen.

Condamnation unanime des "hauts dirigeants" du néo-Front national

« C’est une mauvaise phrase de plus. C’est stupide politiquement et consternant », s’est lamenté le franc-maçon Louis Aliot, compagnon de Marine Le Pen et numéro 2 du néo-Front national.

Les "Hauts Dirigeants" du néo-Front national

« Sur la forme, c’est inacceptable et intolérable, ça fait du mal à ceux qui les entendent et se sentent concernés, ça fait du mal au Rassemblement bleu marine et au Front national. […] Je suis fatigué de ces cabrioles avec les mots qui font vraiment des bleus à l’âme. […] Il y a peut-être un moment où l’heure sonne de prendre sa retraite », a lâché le député franc-maçon Gilbert Collard.

Dès hier soir, Marine Le Pen, abandonnant toute autre préoccupation – comme la constitution de plus en plus hypothétique d’un groupe au Parlement européen –, a tenu à rejoindre SOS Racisme, la LICRA, l’UEJF et d’autres associations communautaristes anti-françaises, dans la condamnation de son père.

« Je suis convaincue que le sens donné à ses propos relève d’une interprétation malveillante. Il n’en demeure pas moins que, avec la très longue expérience qu’est celle de Jean-Marie Le Pen, ne pas avoir anticipé l’interprétation qui serait faite de cette formulation est une faute politique dont le Front national subit les conséquences. Si cette polémique peut avoir une retombée positive, c’est celle de me permettre de rappeler que le Front national condamne de la manière la plus ferme, toute forme d’antisémitisme, de quelque nature que ce soit », a attaqué sa fille.

Le “Menhir” en guerre ouverte contre la direction du néo-FN

« À quel moment quelqu’un a utilisé le mot de fournée dans le sens que semblent avoir voulu croire un certain nombre ? C’est dingue ça ! […] Je vois une réaction de M. Aliot : s’il y a des gens de mon camp qui l’interprètent de cette manière, c’est que ce sont des imbéciles ! Je n’ai pas à m’expliquer avec lui, il ne m’a pas demandé mon avis, par conséquent je n’ai pas de raison de lui donner une explication, je n’ai pas à d’explication à lui donner d’ailleurs. […] La sottise est quelque fois une excuse absolutoire », a répondu Jean-Marie Le Pen à Louis Aliot. La réponse à l’inutile Gilbert “Connard” – avec lequel Jean-Marie Le Pen a une longue histoire, l’avocat maçon ayant été à l’origine de la publication de photos dénudées de sa première épouse dans Playboy – a été plus expéditive et plus cinglante :
« Ce n’est pas un membre du FN. [...] Je lui réponds qu’il devrait changer les consonnes de son nom »

Enfin, c’est contre sa fille Marine que Jean-Marie Le Pen a lancé ses plus dures attaques :

« Je considère que la faute politique, c’est ceux qui se sont alignés sur la pensée unique. Ils voudraient ressembler aux autres partis politiques. Si c’est le vœu d’un certain nombre de dirigeants du FN, ils ont réussi. C’est eux qui ont fait une faute politique, pas moi […], les gens et quelques dirigeants du FN qui ont donné de la consistance à ce qui était de la fantasmagorie soulevée par nos adversaires. »


Source : Jean Dupont pour Jeune Nation : Dernière fournée pour Jean-Marie Le Pen




Demander à Le Pen – comme à quiconque – de se taire revient à abdiquer devant la pensée autorisée et réclamer une France encore plus cadenassée…

Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national : Tant que Dieu m'en donne la possibilité…

La Flamme : Le plan secret du franc-maçon Philippot pour se débarrasser de JMLP



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