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vendredi 14 mars 2014

Sous l'éclairage de Saint Thomas d’Aquin : "Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide"


Une excellente étude historique et morale, pour marquer les 50 ans de l'assassinat du colonel Jean Bastien-Thiry.

« Le 22 août 1962, à Clamart, un attentat visait le chef de l’État et manquait de peu son objectif. Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre de DeGaulle.

Le 11 mars 1963, son instigateur, le colonel Jean Bastien-Thiry, était fusillé. Il est le dernier en France à avoir été victime de ce procédé.

« Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d’un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? » se demanda la presse de l’époque.

Quant au motif de « tyrannicide » que Jean Bastien-Thiry a avancé pour justifier moralement « l’opération Charlotte Corday », était-il acceptable ?

L’auteur répond ici à ces questions. En s’appuyant sur les réflexions de Saint Thomas d’Aquin – le « Docteur commun » de l’Église –, il étaye solidement son analyse par d’utiles et implacables rappels historiques.

Nous sommes invités ici à réouvrir un douloureux procès, qui souleva des interrogations morales et politiques de la plus haute importance. »


Abbé Olivier Rioult : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide - « Aspect moral d'un acte politique » - 62 p. - Éd. des Cimes, 2013.


4e de couverture :
« Le 22 août 1962, à Clamart, un attentat visait le chef de l’État et manquait de peu son objectif. Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre du général De Gaulle.

Le 11 mars 1963, son instigateur, le colonel Jean Bastien-Thiry, était fusillé. Il est le dernier en France à avoir été victime de ce procédé.

« Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d’un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? » se demanda la presse de l’époque.

Quant au motif de « tyrannicide » que Jean Bastien-Thiry a avancé pour justifier moralement « l’opération Charlotte Corday », était-il acceptable ?

L’auteur répond ici à ces questions. En s’appuyant sur les réflexions de Saint Thomas d’Aquin – le « Docteur commun » de l’Église –, il étaye solidement son analyse par d’utiles et implacables rappels historiques.

Nous sommes invités ici à réouvrir un douloureux procès, qui souleva des interrogations morales et politiques de la plus haute importance. »



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