Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

dimanche 29 décembre 2013

Il n'y a pas d'affaire Dieudonné, mais sûrement une affaire Valls…







Dans cette vidéo révélée en 2011 par Oumma, le ministre de l'Intérieur du gouvernement actuel de la République française Manuel Valls affirme, entre autres paroles stupéfiantes, être « par sa femme, lié, de manière éternelle, à la communauté juive et à Israël ». Le ministre français de l'Intérieur travaillerait-il pour un pays étranger : Israël ? Israël et la France auraient-ils obligatoirement vocation à poursuivre partout et tout le temps une même politique ? Pour nombre de politiciens français de droite comme de gauche cela semble aller de soi.

Une information dérangeante pour celui qui viserait Matignon et l'Élysée. Une information embarrassante pour un politicien fébrile qui voudrait censurer un comédien qui, dans un style très personnel, ne fait que dénoncer des faits établis. Que cette satire sans concession déplaise à ceux qui en offrent la trame, soit. Que ceux-là veuillent interdire les spectacles de ce comédien, c'est de leur part être de bien mauvais démocrates.

La France s'enorgueillit d'une longue tradition de chansonniers… Des chansonniers qui restent certes des amuseurs, mais qui dans un pays démocratique et de libre expression sont aussi là pour dénoncer les éventuels travers des hommes de pouvoir. Et être par là-même un frein aux tentations de dérives et d'excès de pouvoir de ces politiciens. Les rois eux-mêmes, au temps de la monarchie absolue, avaient leurs bouffons ! Manuel Valls et la clique qui a confisqué le pouvoir en France prétendraient-ils exercer une toute-puissance que ne se sont jamais octroyée les monarques les plus omnipotents ?







Compte-rendu de la conférence de Dieudonné au théâtre de la Main d'or
… Se réclamant fièrement de la paternité de la quenelle, l’humoriste précise qu’elle ne lui appartient plus. Et pour cause. D’un geste potache, repris ici et là, faire croire que c’est antisémite est une dangereuse dérive autoritaire, a-t-il estimé. Le public présent le lui a rendu bien, devant des journalistes perdus, hébétés et médusés. Dieudonné les a ensuite taclés, en se demandant pourquoi, alors qu’ils lui crachent à la gueule depuis 10 ans, viennent maintenant lui demander des interviews. Il a annoncé avoir établi une loi selon laquelle, il posera aussi des questions. S’amusant avec la demande de Canal+, il a déclaré que ces derniers ont dit que ça ne sera pas possible. Il se mit à rire aux éclats, une façon pour lui de dire qu’il n’a nullement besoin d’eux pour remplir les salles. L’humoriste allait alors annoncer une nouvelle à faire pâlir de jalousie les autres humoristes. En effet, pour le début de sa tournée "Le Mur", à Nantes, près de 6000 places ont déjà été vendues. Alors Valls, la sens-tu ?






Quand la démocratie est en danger… des attitudes à vous foutre la chair de poule…

Manuel Valls lors du congrès annuel du Parti socialiste
le 27 octobre 2012 à Toulouse
Le national-socialiste Adolf Hitler
lors d'un discours en 1933



DIEUDONNE, NÜREMBERG, GAYSSOT, SIONISME, SEMITISME, MANUEL VALLS, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

samedi 28 décembre 2013

Le général Prayuth Chan-ocha refuse de se prononcer sur un coup d’État militaire


Le chef de l'armée, le général Prayuth Chan-ocha,
pose parmi des soldats de la Garde royale du Prince Héritier Maha Vajiralongkorn

Le chef de l'armée, le général Prayuth Chan-ocha, a refusé ce vendredi de se prononcer sur un coup d'État militaire, mais admet qu’une telle éventualité ne pouvait être exclue tout en exprimant sa préoccupation sur la situation politique actuelle, en particulier la violence croissante.


Bangkok Post : Coup possible if situation demands it, Prayuth says

The Nation : Prayuth refuses to rule out a military coup

Eric Miné : Cette Thaïlande qui défie l’ordre mondial



mardi 24 décembre 2013

L'heure est grave… Chantons "Minuit, Chrétiens !" en communion avec nos soldats…

Il est né le Divin Enfant




Cette messe de minuit commentée, dans une paroisse rurale de la Somme, a été radiodiffusée en 1982.
On y entend la liturgie traditionnelle en latin, le plain-chant et les cantiques populaires de Noël.


Marc-Antoine Charpentier, Messe de Minuit, Part #1, Moscow Oratorio, conductor-Alexander Tsaliuk, Musica Viva Chamber Symphony Orchestra, soloists : Olga Povstyanaya, Irina Aganezova, Anastasiya Bakastova, Georgy Faradzhev, Vladimir Ognev, Live recording at the Gnessin Academy of Music, Moscow, 2004.



Robinson suscite une répulsion anti-maçonne favorable à Hery Rajaonarimampianina



Situation lundi 30 décembre, 8 heures 57 à Tana
après dépouillement de plus de 97,72% des bulletins de vote.
Une situation favorable à Hery Rajaonarimampianina, et qui ne peut plus s'inverser.

Infographie des vainqueurs par régions, état comparé du 1er et 2nd tour



Le deuxième tour de la présidentielle qui s’est tenu ce vendredi 20 décembre, penche globalement en faveur du candidat Hery Rajaonarimampianina. Aux premiers échos des circonscriptions électorales dans tout Madagascar, celui-ci mène confortablement dans les provinces, tandis que son concurrent, Jean-Louis Robinson a conservé tant bien que mal son avance dans la capitale et dans les régions Vakinankaratra et Itasy.

Sauf que à Antananarivo et ses environs, le candidat du Hery Vaovao ho an’i Madagasikara, a réalisé une impressionnante remontée par rapport à son retard sur son adversaire, au premier tour. En effet, les premières tendances donnent près de 60% pour Jean-Louis Robinson contre environ 40% pour Hery Rajaonarimampianina. Par contre, dans les autres villes-clés telles que Toliara, Toamasina et Mahajanga, même à Fianarantsoa, ce dernier mène largement au score avec les mêmes proportions. Autrement dit, compte tenu de ces premiers résultats, le candidat n°3 aurait déjà une longueur d’avance sur le 33.

Ayant terminé premier au précédent tour du 25 octobre dernier, Jean-Louis Robinson est sur le point de perdre l’ultime bataille pour diverses raisons que l’on pourrait associer à ses propres maladresses. À commencer par sa sortie trop arrosée, un vendredi après-midi, le jour même de la proclamation officielle des résultats du premier tour. Une occasion pour ses partisans de connaître le vrai visage de leur favori. Bon nombre d’observateurs ont estimé qu’il avait considérablement compromis sa cote de popularité à cause de cette bourde.

Le deuxième coup dur qui lui est fatal est survenu lors du deuxième débat télévisé entre les deux candidats au cours duquel Jean-Louis Robinson a reconnu avoir la nationalité française, être affilié au parti socialiste à Flanby et appartenir à une grande loge de franc-maçonnerie.

Comme un courant francophobe s’est considérablement amplifié dans la capitale malgache depuis le début d'une crise qui serait orchestrée par la France selon l’opinion publique, cette révélation fracassante de Robinson a poussé beaucoup d’indécis à voter pour l’autre camp.

D’autant plus que cette histoire de franc-maçonnerie est très mal vue par les Tananariviens qui en ont déjà une idée via les films documentaires sur le sujet qui inondent le marché d’Analakely et de Mahamasina.


La Gazette de la Grande Île - Bien que Rajaonarimampianina mène… le suspense reste entier


lundi 23 décembre 2013

La Quenelle à Rivarol : Flanby reçoit ses ordres du CRIF !




Les présidents et les gouvernements changent mais c’est toujours le Conseil représentatif des institutions juives de France qui donne ses ordres. Que le locataire de l’Élysée s’appelle Jacques, Nicolas ou François, rien jamais ne varie. Le 16 décembre au soir le chef de l’État recevait en grande pompe les dirigeants du CRIF qui soufflait ses septante bougies.

« Je tenais à vous accueillir pour le 70e anniversaire du CRIF. Le 60e anniversaire c'était Jacques Chirac, nous verrons bien qui sera là pour le 80ème anniversaire. C'est une bonne tradition que de pouvoir, ici à l'Élysée, renouveler le pacte de confiance qui existe entre la République et le CRIF » a déclaré François Hollande plus obséquieux et soumis que jamais. Le mot “pacte” est important car si la séparation de l’Église et de l’État est effective depuis décembre 1905, la République et la synagogue (mais aussi les loges) sont très étroitement imbriquées. « Le CRIF, c'est une histoire. Une longue histoire, qui remonte à 1943, au plus profond de la Shoah » a pleurniché celui qui nous sert de président de la République, évoquant « la souffrance exceptionnelle » des Juifs qui sont les seuls à avoir souffert dans l’histoire sans jamais faire souffrir personne, comme les Palestiniens sont bien payés pour le savoir. Seule la douleur juive est indicible ; elle est unique et ne saurait être comparée à toutes les autres. Même la passion et la mort du Christ au Golgotha ne sauraient rivaliser avec la Shoah, c’est pourquoi il fallait en toute hâte déplacer le carmel d’Auschwitz et enlever la grande croix érigée en ce lieu où Dieu s’est tu. Voilà la vulgate à laquelle il nous faut adhérer. « Le CRIF, c'est une institution originale. Ce n'est pas l'État qui a encouragé, ni décidé la naissance du CRIF. Ce sont les Juifs qui se sont organisés eux-mêmes, qui ont choisi leurs représentants. C'est ce qui explique sans doute la liberté qui a toujours été la vôtre, encore aujourd'hui Monsieur le Président (Cukierman), car quand vous avez des choses à dire, vous les dites et vous les dites librement, franchement, sincèrement, et nous vous écoutons » a déclamé Hollande. Au moins là les choses sont claires. On sait qui dirige dans ce pays. L’allégeance absolue du CRIF à l’entité sioniste ne gêne pas du tout le concubin de Valérie Trierweiler. « Je sais la solidarité du CRIF avec l'État d'Israël. Et je veux y revenir, parce qu'elle ne pose pas problème. Parce que cette solidarité est légitime, et vous n'avez pas à vous en justifier. » D’autant que le chef de l'État, qui se moque éperdument des intérêts de la France, défend vigoureusement ceux de l’entité sioniste, notamment dans le dossier iranien : « nous maintiendrons notre vigilance, parce que pour nous, il n'est pas question que l'Iran puisse accéder, d'une manière ou d'une autre, à l'arme nucléaire ».

Cerise sur le gâteau, Hollande, dans ce discours sirupeux, appelle les Français à la délation et s’en prend à l'humoriste Dieudonné : « Contre lʼantisémitisme, la Garde des Sceaux, le ministre de l'Intérieur, sont entièrement mobilisés. Vous savez qu'ils ne laissent rien passer. L'antisémitisme, nous l'avons tous dit, ce n'est pas l'affaire de la communauté juive, c'est l'affaire de tous les Français. C'est pourquoi j'invite tous ceux qui sont victimes d'actes racistes, d'une manière générale, mais d'actes ou de propos antisémites, à ne rien tolérer et à s'adresser à la police, à la justice, parce que les coupables doivent répondre de ces actes et doivent être identifiés et sanctionnés. De même, nous agissons, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, pour que sur Internet — on en a parlé souvent — nous puissions là-encore éviter la tranquillité de l'anonymat qui permet de dire des choses innommables sans être retrouvé. J'ai demandé au gouvernement d'y veiller tout particulièrement et de lutter contre le sarcasme ou ceux qui se prétendent humoristes et qui ne sont que des antisémites patentés que nous devons également combattre. » Va-t-on à nouveau interdire les spectacles de Dieudonné ? Criminaliser le geste de la quenelle que la LICRA assimile de manière délirante à « un salut nazi inversé » ?

Lors d’un procès qui nous a été récemment intenté par le ministère de l'Intérieur pour un article d’Hervé Ryssen « La stratégie de la terreur » paru dans RIVAROL en mars 2011, nous avons fait valoir devant la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris qu'aujourd’hui le regretté Pierre Desproges ne pourrait plus faire paraître son livre "Les étrangers sont nuls" ni intégrer dans ses spectacles son sketch hilarant sur les juifs et que même le film "Les Aventures de Rabbi Jacob" avec Louis de Funès pourrait être interdit. À notre grande surprise, le substitut du procureur qui réclamait notre condamnation (nous avons finalement été relaxés dans ce dossier) en a convenu, en ajoutant que, si Desproges et De Funès ne pourraient plus en effet dire et faire aujourd’hui ce qu’ils disaient et faisaient naguère c’était de la faute à des antisémites comme Ryssen et les journalistes de RIVAROL ! Voilà où nous en sommes !


La vérité, c’est qu’avec le phénomène Dieudonné qui obtient un succès impressionnant (certaines de ses vidéos sont regardées par plus de deux millions d’internautes !), le Système a pris un coup auquel il ne s’attendait pas. Et plus il a cherché à faire taire l’ancien compère d’Elie Semoun, plus ce dernier en a rajouté dans la provocation, s’acoquinant avec Jean-Marie Le Pen puis avec Robert Faurisson dont, sous un mode humoristique, il aide puissamment à faire connaître les positions dans le grand public. Alors que notre modeste presse ne touche que quelques milliers de personnes, Dieudonné remplit des salles entières, à Paris comme en province, en France comme à l’étranger et comme il a un talent fou (c’est à notre avis le plus grand humoriste depuis Desproges), il est d’autant plus dangereux pour les dirigeants du courageux petit peuple. Le gouvernement a donc décidé de mettre en œuvre tous les moyens pour le neutraliser comme si dans une France où se commettent chaque année des millions de crimes et de délits la priorité absolue était de faire taire les humoristes libres, talentueux et courageux.



Dieudonné : "François, la sens-tu qui se glisse dans…, la Quenelle !"


Quand Dieudonné célèbre Flanby… Une attention appuyée, et inattendue de l'humoriste à l'intention d'un politicien passé maître dans l'art de se ridiculiser lui-même… À chacun de juger. Flanby avait-il vraiment besoin des services d'un Dieudonné ? Quoique pour la crédibilité de la France, il reste préférable que les rôles ne soient pas confondus… Il n'appartient pas à un prétendu moi-président de jouer éternellement au bouffon.  Encore moins d'afficher son ivresse chaque fois qu'il se trouve en la compagnie qui lui est la plus chère, aujourd'hui avec le CRIF,  il y a peu en "Israël".