Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

dimanche 9 juin 2013

Le général Benoît Puga, chef d'état-major particulier à l'Élysée…

Pape François : "Ne laissez personne voler votre espoir !"


Le Pape François en tête-à-tête avec les élèves d'écoles jésuites




Quelques neuf mille élèves, d’écoles jésuites d’Italie et d’Albanie ainsi que des mouvements de jeunesse ignacienne, âgés de six à dix-huit ans, ont été reçus vendredi matin au Vatican. Réunis dans la salle Paul VI, ils ont rencontré le pape François, le premier pape jésuite, au terme d'une matinée festive. L'événement alternait moments musicaux, présentation de vidéos et témoignages sur l’éducation reçue grâce à la Compagnie de Jésus. Un chœur de 200 personnes animait la rencontre. Aux alentours de midi, le Pape s'est joint aux jeunes, s'adressant à eux et répondant aussi de façon spontanée aux questions.

Saint Ignace et ses premiers disciples « avaient compris que Jésus leur enseignait comment vivre bien, comment réaliser une existence qui ait un sens profond, qui donne enthousiasme, joie et espérance » : d’emblée le pape François a placé son discours sous les auspices de saint Ignace rappelant que « Jésus est un grand maître de vie et un modèle de vie ». Et chez les jésuites, l’école est primordiale pour « devenir des hommes et des femmes adultes et matures, capables de parcourir la route de la vie ».

Apprendre à être magnanimes

Pour le Pape, l’élément principal est « apprendre à être magnanimes », c’est-à-dire « avoir le cœur grand, avec une grandeur d’âme, de grands idéaux, pour répondre à ce que Dieu nous demande ». Et les écoles jésuites enseignent plus particulièrement la « loyauté, le respect, la fidélité, et l’engagement. La liberté notamment, a souligné le Pape, est de savoir réfléchir sur ce que nous faisons, ça veut dire choisir toujours le bien ». Concernant une autre valeur fondamentale, le service, le Pape a exhorté ces auditeurs à être « des hommes et des femmes avec les autres et pour les autres, de vrais champions dans le service aux autres ».

La formation spirituelle est nécessaire pour être magnanimes : « dans la prière, dans le dialogue avec Jésus, dans la lecture de la Bible, découvrez que Jésus est vraiment proche, apprenez aussi à lire les signes de Dieu dans votre vie » a expliqué le Pape.

S’adressant ensuite aux éducateurs, il les a invités à « être des témoins avec leur vie de ce qu’ils communiquent ». « Sans cohérence il n’est pas possible d’éduquer ». Il les a également encouragés à « chercher de nouvelles formes d’éducation non conventionnelles selon les nécessités des lieux, de l’époque et des personnes ».

Improvisant, le Pape leur a conseillé aussi de « bien équilibrer leurs pas » : un pas vers ce qu’il appelle la zone de sécurité et un autre vers la « zone de risques ». « On ne peut pas seulement éduquer en restant dans la zone de sécurité : si on y reste, alors on empêche les gens de se développer ».

Le Pape François a répondu à toutes les questions, sans embarras

Cette rencontre fut marquée du sceau de l’échange le plus spontané. Dès le début, le Pape a refusé de lire in extenso son discours, pour ne pas « ennuyer » son jeune auditoire. Il a alors résumé les quelques pages qu’il avait dans la main. Concernant les questions posées par quelques jeunes et éducateurs, là aussi la rencontre s’est poursuivie sous le signe de la spontanéité.

Si le Pape refuse d’aller habiter dans les appartements pontificaux, c’est parce qu’il a avait « besoin de vivre parmi les gens ». « Si je reste isolé, je ne ferai pas bien mon travail » a-t-il confié, ajoutant, sur le ton de la plaisanterie qu’un professeur lui avait déjà posé cette question et qu’il avait répondu : « c’est pour des raisons psychiatriques ».

Le Pape s’est fait plus sérieux quand une jeune fille de Naples lui a demandé ce qu’il avait à dire aux jeunes confrontés à la crise qui touche de nombreux pays européens. Le pape François, revenant sur l’essence même de la crise, a déclaré qu’il s’agissait d’une « crise de la personne ». Il a alors dénoncé le fait que « seul l’argent compte », reprenant une antienne qu’il a déjà développé à de nombreuses reprises. Répondant à d’autres questions, il a rappelé que « le devoir du chrétien est de travailler pour le bien commun ».

Garder l'espérance à tout prix

À la fin de cette rencontre émouvante avec ces enfants qui lui ont témoigné tout leur respect et leur amour, n’hésitant pas même à le tutoyer, le pape François a exhorté toute l’assemblée à « ne pas se faire voler l’espérance ». « L’espérance se trouve dans le Jésus pauvre », et de ce point de vue, « la pauvreté sert à semer l’espoir ».

Dans un texte remis aux provinciaux présents, le Pape a rappelé avec clarté le rôle de l’école, les valeurs qu’elle doit enseigner, et la fonction des éducateurs.



Paroles de "Maghrébin" aux Français : "Vous avez livré votre pays à de sinistres salopards !"





Un "Maghrébin" ordinaire qui assène aux Français quelques vérités premières bonnes à dire et à entendre… Un grand merci !



La France en accusation devant le Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU





Intervention de Grégor Puppinck, directeur du Centre Européen pour les Droits de l’Homme et la Justice - Conseil des droits de l’homme (Genève), le 6 juin 2013, transcrite par Nouvelles de France :
"Dans le cadre de l’Examen Périodique Universel, l’ECLJ souhaite attirer l’attention du Conseil des droits de l’homme sur des événements graves qui se produisent actuellement en France ; à savoir contrôles d’identité, arrestations, détentions arbitraires, et violences policières. Depuis plus de huit mois, des millions de français — oui, des millions — manifestent pacifiquement dans toute la France pour défendre la famille et les droits des enfants contre une loi qui crée un droit à l’adoption et au mariage pour les couples de même sexe. Ce mouvement social est le plus important en France depuis Mai 68. Plutôt que d’en tenir compte, le gouvernement a menacé d’interdire ce mouvement ; il le réprime par l’usage abusif de gaz lacrymogènes contre la foule, par des violences policières, des arrestations et des détentions arbitraires par centaines ; je dis bien : arbitraires, et par centaines.

Monsieur le Président, entre le 24 et le 26 mai, ce sont 350 personnes qui ont été interpellées et détenues en garde à vue jusqu’à trois jours durant. Sur ces 350 détenus, sept seulement ont été condamnés, et ce très légèrement. L’arrestation des 340 autres était arbitraire et politique. En plus, ces dernières semaines, des centaines d’autres personnes ont été arrêtés et retenus au prétexte de contrôles d’identités. Souvent, cela au faciès, parce qu’elles portent ce vêtement marqué du symbole du Mouvement que je vous présente ici. À aucun moment, la légalité de ces arrestations n’a été contrôlée par un magistrat indépendant. Ces manifestants sont à présent fichés par la police. En outre, le gouvernement a ordonné l’identification dans l’armée des officiers proche de ce mouvement. L’ECLJ documente actuellement les cas de répression : nous recevons tous les jours de nombreux témoignages de violences policières, exercées sur des enfants et sur des femmes notamment.

Monsieur le Président, cette répression doit cesser. Elle démontre en particulier un dysfonctionnement grave du système de la garde à vue et des contrôles d’identité. L’ECLJ invite donc respectueusement le Conseil des Droits de l’Homme à se saisir de ces violations particulièrement graves pour un pays qui se targue d’être exemplaire dans le respect des droits de l’homme.

Je vous remercie."



Flanby plus con que jamais… chronique énépuisable : les Japonais sont Chinois !


Tout voyage de Flanby à l'étranger devient systématiquement une occasion de ridiculiser la France…


Le hoquet chronique à Flanby n'explique pas tout…

Alors que les relations entre le Japon et la Chine restent très tendues depuis des mois et que les incidents ne cessent de se multiplier entre les deux États, Flanby lors d'une conférence de presse commune avec le premier ministre japonais Shinzo Abe oublie qu'il est au Japon, se mélange les pinceaux et hoquette ses condoléances au peuple chinois pour un attentat islamiste dont ont été victimes de nombreux Japonais en Algérie…


Bref rappel parmi les précédents épisodes, dans l'attente des suivants :
Hollande, un pingouin qui déshonore la France

Chronique de la France asservie et résistante… Robert SPIELER - RIVAROL N° 3094 du 17 mai 2013

Les sites internet se sont régalés de cette photo montrant François Hollande déambuler, la braguette ouverte. Très élégant… Pépère était récemment en Chine, pour une visite officielle. Rebelote. Une nouvelle photo suscite l’hilarité des internautes chinois. Toujours la braguette ouverte. Sauf que, pour être objectif, il s’agissait d’un montage que ces coquins de Chinois s’étaient amusés à réaliser. Cela ne montre pas moins l’incroyable discrédit du Président sur la scène internationale. Il est vrai qu’il a fait très fort, ces derniers mois. Recevant à l’Élysée Lakshmi Mittal, président d’Arcelor Mittal, 62 ans (mais en paraissant moins, à vrai dire), pour évoquer l’avenir des hauts-fourneaux de Florange, il l’avait, après une heure d’entretien, raccompagné sur le perron de l’Élysée, lui lançant cette formule des plus polies : « Best regards to your father » (Toutes mes salutations à votre père). À ce moment-là, Laksmi Mittal se rend compte que le pingouin le prend depuis plus d’une heure pour son fils, et lui réplique froidement : « I’m the father » (Je suis le père). La presse internationale se fait des gorges chaudes des bourdes de François Hollande qui rend hommage aux « dizaines de milliers de Russes » morts durant la Seconde Guerre Mondiale. Il n’y en a eu guère que 22 millions. Et puis, Hollande qui envoie un ministre aux obsèques de Chavez, mais pas à celles de Margaret Thatcher. Et puis, le président qui s’autorisait, au lendemain de l’élection d’Obama, à conclure sa lettre de félicitation par une formule de politesse manuscrite, des plus hasardeuses, “friendly”, ce qui ne signifie pas “cordialement”, mais “sympathique”. Et voici pourquoi la France est la risée du monde.

Holland'ouille au Japon

samedi 8 juin 2013

Communiqué des Jeunesses Nationalistes : "Interdiction de notre manifestation à Toulouse"





Interdiction de la manifestation en hommage au Duc Eudes d’Aquitaine, un seul coupable : le "maire" Cohen

Sur la demande de Cohen, la préfecture interdit les manifestations pacifiques des patriotes français en hommage au duc Eudes d’Aquitaine, précurseur de Charles Martel, alors que dans le même temps Cohen autorise les débordements des antifa "chasseurs de patriotes" qui appellent ouvertement au meurtre. Rappelons que c'est ce même "maire" indigne qui, sous la pression de communistes ex-quillards,  a fait rayer le nom du Chevalier Bayard de la carte de la ville de Toulouse pour y substituer la date de la lâche capitulation de DeGaulle le 19 mars 1962…



Après l’interdiction de la préfecture de se rassembler durant le week-end, Alexandre Gabriac, président des Jeunesses Nationalistes a organisé un point presse place du Capitole dimanche. L’occasion de réaffirmer qu’ils étaient chez eux partout (y compris à Toulouse) et regretter la « bagarre » qui a couté la vie à un jeune militant d’extrême gauche à Paris.

Communiqué des Jeunesses Nationalistes : "Interdiction de notre manifestation à Toulouse"



Le samedi 08 juin 2013, les Jeunesses Nationalistes devaient se retrouver, à Toulouse, pour commémorer le souvenir de la bataille de Toulouse, laquelle, le 9 juin 721, vit le Duc Eudes d’Aquitaine défaire, devant les portes de notre ville, les hordes sarrasines, amorçant ainsi avant Charles Martel à Poitiers 10 ans plus tard, le grand mouvement de reconquête dont naquit la civilisation de nos pays d’Europe, notre civilisation.

Alors même que cette manifestation publique avait été, dès le 21 mai 2013, déclarée auprès des services préfectoraux, elle vient d’être, à 24 heures de sa tenue, interdite par ceux-ci, au motif que diverses organisations dites « antifascistes » entendent occuper la rue signe de protestation, le même jour.

Rompant ainsi le principe d’égalité de ses administrés, l’autorité préfectorale cède hélas une fois de plus à la menace de nervis qui n’ont pourtant que mépris pour les valeurs d’ordre et de discipline qu’elle se devrait d’incarner.

Les casseurs, les pilleurs, bénéficient ainsi d’une totale impunité, leur permettant de venir vomir sur la voie publique leur haine de notre passé et leur refus de tout avenir, tandis que nous, Nationalistes, pourtant toujours respectueux des biens publics et simplement soucieux de rallumer, par notre démonstration de force tranquille, la flamme de l’espérance dans les cœurs de chacun des français non reniés, sommes encore une fois bâillonnés, consignés à domicile sous la menace du bras séculier de cette république.

Mais comme en 721, le grand mouvement de la reconquête, invisible à ceux qui ne voient que leurs intérêts égoïstes, s’amorce, et plus rien ne l’arrêtera.

Les idiots utiles de ce système peuvent bien venir hurler sur nos places, avec la bénédiction de ceux qui ruinent notre peuple : ils ne représentent que l’une des deux faces de cette monnaie sans valeur qu’ont créée pour nous nous exploiter, nous spolier, ceux qui, dans l’anonymat, détiennent réellement le pouvoir.

Mais les chaînes les plus solides ne peuvent rien contre vingt siècles d’histoire de France : l’avenir nous appartient.

Le banquet prévu le dimanche midi est bien évidemment maintenu


Flanby et le ministère de la Défense laissent profaner la chapelle du Val-de-Grâce…


« Les laïques chrétiens ont le devoir de s’enfoncer dans la politique.
La politique, c’est sale – mais elle est peut-être sale parce que les chrétiens ne s’y impliquent pas…
La politique est la forme la plus haute de la charité, car elle cherche le bien commun…
C’est une obligation pour les chrétiens qui ne peuvent pas s’en laver les mains comme Pilate…
Ne laissez personne voler votre espoir ! »

« Une nation s’affaiblit à se fondre dans l’irrespect du sacré, par jeu ou par intérêt.
Car le respect est la force des nations.
Et la source du respect, c’est l’humilité devant ce qui nous dépasse. »


Au Royaume de France, la guerre est définitivement et ouvertement déclarée au catholicisme… Avec la complicité de Flanby et de son entourage franc-maçon la chapelle du Val-de-Grâce est délibérément profanée… Loué par des fonctionnaires partisans du ministère de la Défense pour 2500 euros la journée, le sanctuaire est transformé en cabaret où se contorsionne en tenue légère une prétendue artiste, concubine (actuelle ou ancienne, peu importe) du Bazar-Henri Lévy…

Cette chapelle érigée en 1621 par Anne d’Autriche lors de la construction de l’Hôpital d’instruction des Armées, malgré une histoire troublée et sanglante chargée de haine contre le catholicisme, avait jusqu’à présent été épargnée par les révolutions et les guerres… Et voilà qu’elle tombe sous les vocalises d’une chanteuse de variété peu vêtue s’imaginant chanter l’Ave Maria de Gounod… entourée d’éphèbes maquillés en anges et moinillons, de techniciens désinvoltes laissant traîner caméras, appareils photos et autres accessoires sur l’autel, devant un Saint Sacrement toujours exposé…

Une nouvelle provocation qui ne peut qu’accroître le trouble des catholiques de France, et également dans les armées…

Le plus beau monastère de Paris - Le Val de Grâce : l'œuvre d'une reine.

Profanation de la chapelle du Val-de-Grâce

Arielle Dombasle tourne un clip au Val de Grâce malgré l’interdiction du recteur de la chapelle

À propos du tournage du clip d’Arielle Dombasle à la chapelle du Val de grâce le 4 juin 2013 : Communiqué de l’évêque aux armées



jeudi 6 juin 2013

Quand Flanby sème la guerre civile en France, cynisme (ou humour ?) de l'Unesco qui le décore d'un prix de la paix… qui sera apprécié comme il se doit par les touaregs…



Ouest France : "Flanby reçoit mercredi à Paris le Prix de l’Unesco pour la paix en présence des principaux dirigeants ouest-africains, venus lui rendre hommage pour son action militaire au Mali, au moment où la tension remonte dans le nord du pays"…


François Hollande et Abdelaziz Bouteflika co-responsables du nouveau terrorisme au Mali
Les populations touarègues et arabes du nord du Mali tombent de Charybde en Scylla. Après le règne des obscurantistes « islamistes », voici venu le temps de la terreur des soldats maliens. Ils doivent ce « bonheur » à la douce France et à la courtoisie et à la précieuse assistance du président Bouteflika, surnommé Abdelkader El Mali pendant la guerre de libération nationale. Amorcée sous un déluge de feu, transité par l’Algérie et ayant causé des dizaines de morts, l’opération Serval a fait plus de victimes que le terrorisme qu’il prétend combattre…

Pape François : « un chrétien doit éviter d'être politiquement correct »…




Les chrétiens doivent avoir le courage de la « vérité contre l’hypocrisie et le langage socialement éduqué, car l’hypocrisie est le langage de la corruption ». Le chrétien doit se faire porte-parole de la « vérité de l’Évangile avec la même transparence que celle des enfants ». C’est ce qu’a demandé le Pape François mardi matin durant la messe célébrée dans la chapelle de la Maison Sainte Marthe au Vatican, en présence de la présidente de la Radio Télévision Italienne, Anna Maria Tarantola, et de son directeur général Luigi Gubitosi, leurs familles, ainsi que des employés de la Bibliothèque du Vatican.

Quand Jésus parle à ses disciples, il dit : « Que votre manière de parler soit Oui, oui ! Non, non ! », tenait à souligner le Pape, pour qui « l’hypocrisie n’est pas un langage de vérité ». « Ceux-ci (en se référant à ceux qui utilisent un langage politiquement correct) veulent une vérité soumise à leurs propres intérêts ». « Ils sont eux-mêmes victimes, expliquait-il, de l’idolâtrie narcissique qui les porte à trahir les autres, et les porte à commettre des abus de pouvoir à l’encontre de ceux qui ont confiance en eux ». Et le Pape d’encourager à repousser la vanité, cette faiblesse qui fait que l’on aime les compliments, qui ne sont que « langage persuasif qui porte au contraire à l’erreur, au mensonge ».

L’homélie de ce mardi, dans la continuité de celle de lundi matin sur la corruption, partait du texte de l’Évangile qui nous raconte les questionnements des pharisiens à Jésus au sujet du tribut à verser à César.

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Le pape François reconnaît le martyre de 93 victimes du marxisme républicain…


BASÍLICA DE LA SANTA CRUZ DEL VALLE DE LOS CAÍDOSCúpula : Los mártires

Siguiendo el apunte de Padrós, las figuras de mártires que se pueden identificar en la cúpula son : voir site


Ce lundi 3 juin 2013 a été publié le décret pontifical reconnaissant le martyre de 93 victimes de la guerre d’Espagne, tous religieux :

- Le serviteur de Dieu Abel Angel Palazuelos Maruri (Dom Mauro, OSB) et ses 17 compagnons bénédictins espagnols, tués en haine de la foi en 1936.
- Le serviteur de Dieu Joan Vilaregut Ferrer (Frère Juan de Jesús, OFM.Carm), et de ses 3 compagnons carmes espagnols et de Pau Segalá Solé, prêtre diocésain, tués en haine de la foi en 1936.
- Les serviteurs de Dieu Crisanto, Aquilino, Cipriano, José et leurs 63 compagnons maristes espagnols, et de deux laïcs, tués en haine de la foi entre 1936 et 1939.
- La servante de Dieu Clementina Arambarri Fuente (Soeur Aurelia) et de ses 3 consœurs religieuses espagnoles de l’ordre des Servantes de Marie ministres des infirmes, tuées en haine de la foi en 1936.

Voici le récit du martyre de l’un des maristes :
Le 14 août les troupes nationalistes libérèrent la ville [de Badajoz], les prisonniers retrouvèrent leur liberté et la communauté se reconstitua, mais le Fr. Auréliano manquait à l’appel.

Avec un groupe d’amis, il avait tenté la fuite vers le Portugal. Ceux-ci portaient des armes pour franchir la frontière avec plus d’assurance. Constatant cela le Fr. Aureliano préféra retourner dans la famille des Pesini, à Badajoz, qui lui avait déjà offert refuge. Ils le cachèrent dans une petite villa hors de la ville. Mais la cuisinière de la famille dénonça la cachette et des miliciens vinrent pour arrêter le Frère.

Le rencontrant sur la route l’un d’eux dit : « C’est un prêtre ! » Tous se jetèrent sur lui, le frappant avec la crosse des armes, lui donnant des coups de sorte que plusieurs fois il tomba. Il sortit un crucifix et se mit à le baiser. Cela rendit furieux les miliciens qui se mirent à le frapper de manière si violente qu’un œil lui sorti de l’orbite. Des femmes miliciennes criaient : « Déshabillez-le ! ».

Avec des coups et des bousculades, il le firent arriver à une des arches du pont. Ils voulaient le fusiller debout, mais lui se mettait à genoux. Ils le forçaient à se tenir debout, il s’agenouillait encore. Pendant tout ce temps les miliciens et les miliciennes n’avaient cessé de blasphémer. Plusieurs fois ils avaient invité le Frère à répéter les blasphèmes mais lui ou se taisait ou répondait : « Cela je ne le dirai pas ! » Ils lui demandèrent : « Où veux-tu que nous te tuons ? » « Où vous voulez ! » fut sa réponse. C’est à genoux qu’ils le fusillèrent tandis qu’il serrait le crucifix et criait : « Vive le Christ Roi ! »