Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 6 août 2012

Loin de France… le mal du pays ?


La vie quotidienne dans une grande ville française vue de n'importe où à l'étranger

"Si le mal du pays vous prend, allez faire un petit tour en France, surtout pendant les grèves. Rien de tel pour remettre les pendules à l'heure sur ce pays qui devient le paradis dans les esprits quand on en est loin. La première fois que je suis rentrée en France après quatre mois passés en Corée, j'ai eu la turista tellement la bouffe est riche et lourde. J'ai été choquée par l'état de saleté et de dégradation du RER et de Paris. Les gens m'ont paru sans gène, agressifs et mal polis. Le métro bondé et étouffant (là on regrette la clim à fond)... Et la liste est longue ! Petit à petit, on arrive à prendre du recul et à voir les points positifs et négatifs de son pays d'accueil et aussi de la France, ça demande du temps et parfois quelques aller-retour."

Un refus commun : celui du retour à l’Occident

La constante parmi les témoignages recueillis est celle du refus d’un retour en Occident. Patrick Samnang Mey l’explique : "Je me sens bien en Asie. Maintenant, je me vois mal retourner dans un pays occidental, l’Europe ne me dit pas trop pour l’instant. Quand je retourne en France, par exemple, même si je suis Français, il y a des choses que je ne comprends plus comme avant”. Même son de cloche chez Frédéric : “Je n’irais pas dans les pays trop occidentalisés, comme l’Amérique du Nord ou même l’Argentine. Buenos Aires, c’est très sympa il paraît mais j’ai entendu dire que c’est vraiment une capitale européenne. Je bouge plutôt pour avoir du dépaysement”. Le rejet de Lucci, lui, est plus axé sur un pays en particulier : “Je n’irai pas aux Etats-Unis. Les Américains et moi, on ne vit pas sur la même planète et puis … là-bas, tout est cher”. Son souhait, c’est de retourner en Chine, où il a exercé le métier de cuisinier pendant deux ans. Cette expérience motive à la fois son projet - retourner en Chine - et son rejet d’un pays : le Japon. “Je n’irai pas au Japon non plus, explique t-il, parce que je suis un ami de la Chine. Mais bon, là-bas il y a des Play Station 3, alors…”

EXPATRIATION – Ces pays où vous ne voulez pas aller

EXPATRIATION – Ces pays où les expatriés du Cambodge ne veulent pas aller



samedi 4 août 2012

The Bankgkok Hilton : Bang Kwang







Trois policiers condamnés à mort

Trois policiers viennent d’écoper ce lundi 30 juillet de la peine capitale pour avoir torturé et pendu un étudiant de 17 ans en 2004.

Lorsqu’il était à la tête du gouvernement, entre 2001 et 2006, Thaksin Shinawatra a mené une guerre féroce contre les trafiquants de drogue dans toute la Thaïlande. Au cours de cette période sanglante, les organisations de défense des droits de l’homme ont recensé plus de 2500 exécutions extrajudiciaires. Très peu d’auteurs de ces exactions ont été traduits en justice. Ces années noires sont néanmoins brusquement remontées à la surface lundi 30 juillet avec l’annonce de la condamnation à mort de trois policiers. D’après le New York Times, ils sont reconnus coupables du meurtre d’un étudiant de 17 ans dans le nord-est de la Thaïlande en 2004, et d’avoir tenté de dissimuler les circonstances de sa mort.

La cour a également condamné dans cette affaire, un commandant-adjoint de la police locale à la prison à vie, et un autre commandant à sept ans de prison pour abus de pouvoir. Un officier a, lui, été acquitté.

La jeune victime avait été arrêtée en juillet 2004. Elle était soupçonnée d’avoir volé une mobylette. On l’a retrouvée pendue dans sa cellule. Sa mort a paru suspecte aux proches du défunt, soutenus par la Commission nationale des droits humains. Une enquête a été ouverte en 2005, qui a conduit à l’inculpation des six officiers de police le 9 septembre 2009.


Les trois policiers condamnés à mort libérés provisoirement sous caution

La Cour criminelle a autorisé la libération temporaire et sous caution de trois officiers reconnus coupables de meurtre. Les témoins-clés de cette affaire craignent pour leur vie.

Surprise dans l’affaire des trois policiers condamnés à mort pour le meurtre d’un étudiant de 17 ans dans la province de Kalashin dans le nord-ouest du pays en 2004 : la Cour pénale a autorisé leur libération temporaire et sous caution le 1er août. Les trois officiers condamnés à la peine capitale et deux autres purgeant respectivement une peine de prison à perpétuité et de sept ans ont recouvré la liberté après avoir payé chacun la somme d’1 million de bahts (26000 €).

Cette décision qu’un juge peut prendre s’il est convaincu que les accusés ne chercheront pas à fuir, attise les craintes des témoins-clés de cette affaire. L’un d’entre eux a d’ores et déjà demandé, rapporte le Bangkok Post, que soit prolongé le programme de protection des témoins dont il bénéficie avec deux autres personnes. L’une de ces dernières a fait part de sa peur au quotidien anglophone : « Je crains que ces policiers ne cherchent à me tuer avant qu’ils ne soient exécutés ». Le programme de protection a pris fin le 30 juillet, jour de l’annonce de la condamnation à mort des trois policiers. Les faits qui leurs sont reprochés se sont déroulés à l’époque où Thaksin Shinawatra, le premier ministre alors en poste, avait déclaré une guerre féroce aux trafiquants de drogue. Plusieurs organisations humanitaires avaient dénoncé qu’au cours de ces années noires (2001-2006), pas moins de 2500 meurtres extrajudiciaires avaient eu lieu. La grande majorité de ces cas sont restés impunis.


Jail drug trade worth B350 : Probe uncovers gang of five's bank finances

jeudi 2 août 2012

วันอาสาฬหบูชา - Asalha Puja




Asalha Puja (วันอาสาฬหบูชา) est célébré le jour de la pleine lune du 8ème mois du calendrier lunaire, en commémoration du premier sermon de Bouddha prononcé à Sarnath en Inde devant ses cinq premiers disciples, qui constituent aussi le premier Sangha ou corps des fidèles bouddhistes. Cette année Asalha Puja est célébré le jeudi 2 août…

Le lendemain, vendredi sera le premier jour d'une retraite de trois mois pour des moines bouddhistes ou Khao Phansa (วันเข้าพรรษา), longue retraite qui correspond au plus fort de la saison des pluies pendant laquelle tout déplacement devient plus difficile… Il s'agira bien d'une retraite… et non d'un carême comme il est malheureusement trop souvent écrit. Les moines bouddhistes s'imposent une discipline alimentaire stricte tout au long de l'année.

lundi 16 juillet 2012

Skoll : Yukio Mishima




Yukio Mishima

La notte era nera e piena di stelle,
Ma l´orizzonte si cinse di nuvole
Che a sprazzi di luce lampeggiavano libere.

Le lanterne di carta bianca di riso
Si dimenavano al vento come vespe nervose
E l´orchesta suonava, c´eravamo solo noi.

Ed il vento si alzó le prime gocce che caddero,
L´orchestra fuggí, noi guardammo in su
Continuando la danza nel silenzio del buio.

Le gocce eran piume che solleticavano il volto,
Ci pulirono gli occhi che scopriron lo specchio,
Ci guardammo da fuori abbracciati cosí.

I nostri corpi riflessi i pochi vestiti già fradici,
Le lanterne si spensero ma vedemmo piú chiaro,
Allora capimmo di piu: Yukio Mishima!

I grandi uomini non parlano,
Come fiori di ciliegio si disperdono,
Prima delle discendenze che si ostinano a sopravvivere agli eroi.

Ma come il fiore reciso che io scelsi tra mille per te
Il piú bello è il più giovane che prima cade sul prato.
Per dimostrare che vivere non ha senso senza il morire.
Ripercorrendo il sostanziale sacrificio degli eroi!


dimanche 15 juillet 2012

Redouanne Harjane - Marrakech 2012 : une schizophrénie délirante…


"Tu te dis que ça n'arrive qu'aux autres, mais pourtant ça n'arrive qu'à toi."




" Hey, hier soir j'ai mis tellement de crème anti-vieillissement que ce matin jme suis réveillé hier "…

"On dirait des hiboux empaillés, quelle idée d'empailler des hiboux sa bouge déjà pas le truc… comment… ils sont cons les riches !"…

"Coucher avec une femme enceinte, premier pas vers la pédophilie"…


Redouanne Harjane : La vie c'est dingue, la vie c'est fou !