Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits… on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
Ceux qui n’ont réagi qu’à l’invasion physique du territoire, ont rejoint la Résistance et De Gaulle, sans comprendre que s’il y avait eu cette invasion physique c’est qu’auparavant il y avait eu une invasion intellectuelle par les principes issus de 1789, qui avait désarmé la France, tout en poussant à la guerre.
En revanche, ceux qui avaient compris que le premier devoir était de reconstruire la France sur ses principes fondamentaux, constitutifs, ont rejoint le Maréchal et la Révolution nationale.
C’est à de pareilles expériences que l’on mesure le poids des mots et de leur contenu, d’où la nécessité de la formation doctrinale.
La politique ne doit pas se faire au sentiment, mais par l’analyse froide des données…
… Toutes les révolutions qui ont réussi dans l’histoire ont commencé par être une révolution intellectuelle. Le vrai révolutionnaire ne se vante pas, reste discret, prépare la Révolution en silence…
… C’est ce que le jeune Mitterrand, à l’époque l’un des durs de Vichy, avait parfaitement compris… Déçu, comprenant qu’il n’aurait pas là son avenir, son ambition le détourna. Nous devons en tirer les leçons, toutes les leçons !
Après les dérapages pro-gaullistes, dès le 1er-Mai 2011, de Marine Le Pen puis le noyautage du Front National par le gaullo-franc-maçon Philippot et une horde d'incultes politiques autant que de mafieux animés par la seule soif du pouvoir, voilà que grâce (ou malgré) Jean-Marie Le Pen - enfin - les Français sont confrontés au dérisoire du Front mariniste, ruban bleu marine, et des promesses fallacieuses d'un programme patchwork voulant agglutiner tous les mécontentements, même les plus opposés… Mais de cela ces Français-là ne voudront rien entendre… Alors, après Louis Aliot en Israël, à quand l'indispensable voyage au Qatar ? Un pèlerinage qui fera que Marine Le Pen et son entourage auront définitivement acquis le droit d'occuper rapidement l'Élysée… de toutes les convoitises.
Bachar Jaafari, chef de la délégation du gouvernement de la République Arabe Syrienne participant à la 2ème rencontre consultative inter-syrienne à Moscou, a affirmé que la délégation du gouvernement et celles des opposants étaient parvenues, pour la première fois, à un document unifié.
Dans une interview accordée à la TV syrienne, Jaafari a dit : “Nous sommes parvenus à des dénominateurs communs sur le 1er article intitulé “l’évaluation de la situation actuelle en Syrie”, qui est l’un des cinq points présentés par le coordinateur russe, Vitaly Naumkin, tandis que les autres points n’étaient pas discutés en raison de manque de temps”.
Par ailleurs, Jaafari a exprimé le souci du gouvernement de faire réussir la rencontre de Moscou, disant : “Nous étions très soucieux de faire réussir la rencontre de Moscou pour mettre fin à la souffrance du peuple syrien et réaliser ses aspirations, surtout que les défis géopolitiques qui nous entourent s’aggravent”, a assuré Jaafari.
Et Jaafari de poursuivre : ” L’accomplissement le plus important de cette rencontre est la réunion des Syriens pour mener un dialogue inter-syrien, échanger les points de vue et les opinions et se consulter sans aucune intervention étrangère”.
Jaafari a indiqué qu’il est important de prendre en considération l’absence de la « coalition » présentée lors de la conférence de Genève II comme représentant du peuple syrien, alors que des opposants étaient présents qui, selon le ministre russe des Affaires étrangères, représentent 60% de l’opposition syrienne.
En outre, Jaafari a souligné le grand effort déployé par la partie russe pour l’élaboration de l’ordre du jour d’entente de la rencontre.
“Le coordinateur russe de la deuxième rencontre préliminaire consultative inter-syrienne, Vitali Naumkin, œuvrait toujours pour rapprocher les points de vue”, a indiqué Jaafari qui a qualifié d’ « utile » l’invitation de certaines personnalités opposantes qui ne croient pas en la solution politique de la crise.
Dans le même contexte, Jaafari a souligné la poursuite de la coordination entre les deux gouvernements syrien et russe, jetant la lumière sur l’échange des idées, en tant qu’amis, entre les deux côtés.
“Nous continuerons à discuter d’autres points à chaque fois que nous terminerons les points communs sur un article pour parvenir enfin à une feuille de route détaillée”, a-t-il assuré.
Et le chef de la délégation du gouvernement syrien de conclure : « L’action politique aboutit à des solutions qui doivent être étudiées et attirer la catégorie la plus large des citoyens ayant confiance en leur gouvernement et en leur État qui œuvrent dans l’intérêt général des citoyens ».
كلمة كاثوليكوس أرمن الأرثوذكس لبيت كيليكيا أرام الأول كيشيشيان في القداس الإلاهي لذكرى مئوية الإبادة الجماعية الأرمنية ف...
Posted by القضية الارمنية on dimanche 12 avril 2015
Au début de la messe célébrée en la basilique Saint-Pierre à la mémoire des victimes arméniennes des massacres de 1915, le Pape François a relié ces évènements à l'actualité tragique vécue par les chrétiens d'Orient.
« Malheureusement, encore aujourd’hui, nous entendons le cri
étouffé et négligé de beaucoup de nos frères et sœurs sans défense, qui,
à cause de leur foi au Christ ou de leur appartenance ethnique, sont
publiquement et atrocement tués – décapités, crucifiés, brûlés vifs –,
ou bien contraints d’abandonner leur terre », dans une allusion implicite au drame vécu par les minorités de Syrie et d'Irak. « Aujourd’hui encore nous sommes en train de vivre une sorte de génocide causé par l’indifférence générale et collective », a-t-il précisé.
Reprenant le terme de « premier génocide du XXème siècle »
utilisé par Jean-Paul II en 2001 dans une déclaration commune avec le
chef de l'Église apostolique arménienne Karékine II, le Pape François a
replacé cette persécution des Arméniens dans la perspective des grandes
tragédies du siècle passé : nazisme, stalinisme, Khmers rouges au
Cambodge, génocide des Tutsis au Rwanda...
Mais surtout le Pape François a tiré le signal d'alerte sur un
certain relâchement des opinions publiques internationales face aux
atrocités commises dans le cadre des conflits actuels, alors qu'un
certain développement des Droits de l'homme semblait s'imposer sur la
scène mondiale il y a quelques années. « Il semble que
l’enthousiasme qui est apparu à la fin de la Seconde guerre mondiale
soit en train de disparaître et de se dissoudre. Il semble que la
famille humaine refuse d’apprendre de ses propres erreurs causées par la
loi de la terreur ; et ainsi, encore aujourd’hui, il y en a qui
cherchent à éliminer leurs semblables, avec l’aide des uns et le silence
complice des autres qui restent spectateurs », a averti François,
dans une tonalité proche de ses propos du Vendredi Saint sur le silence
complice et l'indifférence face aux persécutions.
Et le travail de mémoire est un outil indispensable dans la lutte contre l'oubli. «
Aujourd’hui nous rappelons (...) le centenaire de ce tragique
événement, de cette effroyable et folle extermination, que vos ancêtres
ont cruellement soufferte, a précisé le Pape François. Se
souvenir d’eux est nécessaire, plus encore c’est un devoir, parce que là
où il n’y a plus de mémoire, cela signifie que le mal tient encore la
blessure ouverte ; cacher ou nier le mal c’est comme laisser une
blessure continuer à saigner sans la panser ! »
« Chers frères et sœurs Arméniens, chers frères et sœurs,
En des occasions diverses j’ai défini cette époque comme un temps de guerre, une troisième guerre mondiale « par morceaux »,
où nous assistons quotidiennement à des crimes atroces, à des massacres
sanglants, et à la folie de la destruction. Malheureusement, encore
aujourd’hui, nous entendons le cri étouffé et négligé de beaucoup de nos
frères et sœurs sans défense, qui, à cause de leur foi au Christ ou de
leur appartenance ethnique, sont publiquement et atrocement tués –
décapités, crucifiés, brulés vifs –, ou bien contraints d’abandonner
leur terre.
Aujourd’hui encore nous sommes en train de vivre une sorte de
génocide causé par l’indifférence générale et collective, par le silence
complice de Caïn qui s’exclame : « Que m’importe ? », « Suis-je le gardien de mon frère ? » (Gn 4, 9 ; Homélie à Redipuglia, 13 septembre 2014).
Notre humanité a vécu, le siècle dernier, trois grandes tragédies
inouïes : la première est celle qui est généralement considérée comme « le premier génocide du XXème siècle »
(Jean-Paul II et Karekin II, Déclaration commune, Etchmiadzin, 27
septembre 2001) ; elle a frappé votre peuple arménien – première nation
chrétienne – avec les Syriens catholiques et orthodoxes, les Assyriens,
les Chaldéens et les Grecs. Des évêques, des prêtres, des religieux, des
femmes, des hommes, des personnes âgées et même des enfants et des
malades sans défense ont été tués. Les deux autres ont été perpétrées
par le nazisme et par le stalinisme. Et, plus récemment, d’autres
exterminations de masse, comme celles au Cambodge, au Rwanda, au
Burundi, en Bosnie. Cependant, il semble que l’humanité ne réussisse pas
à cesser de verser le sang innocent. Il semble que l’enthousiasme qui
est apparu à la fin de la seconde guerre mondiale soit en train de
disparaître et de se dissoudre. Il semble que la famille humaine refuse
d’apprendre de ses propres erreurs causées par la loi de la terreur ; et
ainsi, encore aujourd’hui, il y en a qui cherchent à éliminer leurs
semblables, avec l’aide des uns et le silence complice des autres qui
restent spectateurs. Nous n’avons pas encore appris que « la guerre est une folie, un massacre inutile » (cf. Homélie à Redipuglia, 13 septembre 2014).
Chers fidèles arméniens, aujourd’hui nous rappelons, le cœur
transpercé de douleur mais rempli d’espérance dans le Seigneur
ressuscité, le centenaire de ce tragique événement, de cette effroyable
et folle extermination, que vos ancêtres ont cruellement soufferte. Se
souvenir d’eux est nécessaire, plus encore c’est un devoir, parce que là
où il n’y a plus de mémoire, cela signifie que le mal tient encore la
blessure ouverte ; cacher ou nier le mal c’est comme laisser une
blessure continuer à saigner sans la panser !
Je vous salue avec affection et je vous remercie pour votre témoignage.
Je salue et je remercie pour sa présence Monsieur Serž Sargsyan, Président de la République d’Arménie.
Je salue aussi cordialement mes frères Patriarches et Évêques : Sa
Sainteté Karekin II, Patriarche Suprême et Catholicos de tous les
Arméniens ; Sa Sainteté Aram Ier, Catholicos de la Grande Maison de
Cilicie ; Sa Béatitude Nerses Bedros XIX, Patriarche de Cilicie des
Arméniens Catholiques ; les deux Catholicossats de l’Église Apostolique
Arménienne, et le Patriarcat de l’Église Arméno-Catholique.
Avec la ferme certitude que le mal ne vient jamais de Dieu infiniment
Bon, et enracinés dans la foi, nous affirmons que la cruauté ne peut
jamais être attribuée à l’œuvre de Dieu, et en outre ne doit absolument
pas trouver en son Saint Nom une quelconque justification. Vivons
ensemble cette célébration en fixant notre regard sur Jésus-Christ,
vainqueur de la mort et du mal. »
(Maquette réalisée par Josseline Revel-Mouroz et Hélène Mattéi - AGEA)
Une pensée pour Robert Boissières, né le 11 février 1942 à Toulouse, odieusement assassiné à vingt ans devant le domicile de ses parents le jeudi 12 avril 1962 à Alger par une bande d'aviateurs de l'armée française en vadrouille. Troufions éméchés fervents degaullistes quillards de l'Appel à la capitulation du 19-Mars… Agression gratuite, lâche, imbécile, criminelle.
Geste de Français ordinaires…
Seigneur, voici couler le sang de nos garçons,
Il a tout recouvert la Patrie déchirée.
Quand verrons-nous jaillir, ô tardive saison
De tout ce sang versé, la moisson désirée ?
Monsieur
Hollande, quand on n’a pas le courage de nommer des ambassadeurs gays
au Qatar et en Arabie Saoudite, on évite de jouer au chaud à peu de
frais avec le Vatican. C’est comme chercher des noises à un minet de 16
ans qui fume un joint alors qu’on invite des dealers d’héro à venir
manger à la maison.
Personnellement, les minets de 16 ans me tapent sur le système. Je les
trouve insupportables mais, somme toute, inoffensifs. Les dealers d’héro
par contre…
Et puis c’est quoi ce complexe du Chrétien ? Vous nous cachez quelque
chose. Un vilain curé vous aurait-il fait des misères quand vous étiez
cet enfant rondouillard et sympathique qui faisait tant rire ses petits
camarades ? Il faut nous raconter pour qu’on puisse comprendre. Parce
que là c’est trop.
Déjà l’affaire des coptes égyptiens égorgés par Daech c’était d’un faux
derche… Refuser de mentionner leur appartenance religieuse alors que
celle-ci a été la raison de leur mise à mort était un summum de
veulerie.
Oui je sais, la laïcité.
Mais quand cette laïcité est à deux vitesses, quand elle joue à Chuck
Norris avec les uns et au chienchien qui quémande son susucre avec les
autres, il y a comme qui dirait une coucouille dans le couscous. Ce qui
est, vous en conviendrez, assez indigeste.
Puis quand la laïcité devient une religion, avec son dogme et ses
Savonarole, son hypocrisie et sa Sainte Inquisition, l’anticlérical que
je suis se doit de lui chercher des poux dans la tonsure, comme chantait
le père Brassens.
Il faut être conséquent avec soi-même. Vous devriez essayer, ça fait un bien fou.
Il n’y a pas d’esprit « Charlie » pour Jean-Marie Le Pen… Traiter le pape de pédophile, c’est la liberté d’expression, refuser de dire que le Maréchal Pétain est un traître est un crime moralement réprouvé par la meute.
(Xavier Celtillos)
"… Il y a quelque chose d’indécent à ce que des individus qui n’étaient pas encore au Front national il y a cinq ans, qui n’en ont connu ni les épreuves, ni la traversée du désert, qui ne savent rien de l’adversité à laquelle il a dû faire face pendant des décennies, qui de surcroît n’ont pas connu la Seconde Guerre mondiale, se permettent de juger et de condamner de la sorte Jean-Marie Le Pen, lequel a vécu sous l’Occupation, a porté en Indochine, à Suez et en Algérie l’uniforme de l’armée française, est le héraut, le principal porte-voix et porte-drapeau depuis soixante ans de l’opposition nationale en France…"
Mille mercis à Jean-Marie Le Pen de faire qu'ainsi se démasquent ceux qui ont fait main basse sur le Front national que nous aimons et respectons… Le Front national avec Roger Holeindre…