Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

samedi 8 novembre 2014

SAR le Prince Maha Vajiralongkorn a revêtu le Bouddha d'Émeraude de ses vêtements de saison froide…




Le Bouddha d’Émeraude est une statue de 48,3 cm de large pour 66 cm de haut. La statue qui est en réalité taillée dans de la jadéite appartient par son style à l’école de Chiang Saen et daterait du 15e siècle.

Selon la légende, en 1434, la foudre aurait éventré un chedi à Lamphun. Dans les décombres, les moines découvrirent alors une statue couverte de stuc qui, se craquelant, laissa bientôt apparaître un Bouddha de couleur vert émeraude. Il fut baptisé Phra Kéo Morakot.

La statue resta 32 ans à Lamphun puis fut déplacée à Chiang Mai où la niche est du chedi Luang l’accueillit jusqu’en 1551, année où elle fut capturée par les armées du roi de Luang Prabang qui l'emmena dans sa capitale. Puis, en 1564 le Bouddha partit pour Vientiane…

Ce fut le général Chakri, futur Rama 1er,  qui reprit la statue au royaume de Vientiane en 1778 pour la ramener à Thonburi au wat Arun. C'est le 22 mars 1784 qu'elle fut accueillie dans la grande chapelle du nouveau palais royal de Rattanakosin.

Depuis le Bouddha d’Émeraude est vénéré en tant que protecteur du Royaume et de ses rois.

mercredi 5 novembre 2014

Meurtre par procuration : Haroun, instrumentalisé tant par DeGaulle que ses alliés FLN, assassine Meursault …





Page d'accueil de La Chronique de Kamel DAOUD sur Facebook

Pour tout enfant d'Algérie, Européen, Arabe ou Kabyle, d'hier ou d'aujourd'hui, DeGaulle et les gaullistes, le FLN et ses agents n'ont jamais été des adversaires politiques mais des ennemis de sang… Leurs crimes en témoignent. La vérité historique comme le respect de la mémoire des martyrs des deux bords exige que, tant pour les Algériens vivant aujourd'hui en Algérie ou en France que pour les Français d'aujourd'hui, ceux-là - gaullistes, néo-gaullistes, FLN et islamistes issus du FLN - ne soient en aucun cas considérés comme des adversaires politiques mais pour ce qu'ils sont en réalité : des ennemis de sang… Tout laudateur contemporain, à la cervelle d'oiseau, de DeGaulle se rend immanquablement complice des crimes conjugués gaullistes et FLN dont Haroun et Meursault furent les victimes exemplaires contées par Kamel Daoud et Albert Camus… C'est sans doute pour éviter que cette évidence éclate que le jury du prix Goncourt a préféré ignorer l'œuvre littéraire d'un écrivain au talent immense et fervent pratiquant de la langue française, un écrivain de chez nous : notre Algérie déchirée… Ne pleurons pas



Kamel Daoud sur Berbère Télévision nous parle de son roman Meursault, contre-enquête

Kamel Daoud, écrivain-journaliste, qui espérait encore le prix Goncourt ou Renaudot parle de son parcours personnel et de son roman Meursault, contre-enquête sur Berbère Télévision…
Kamel Daoud, né le 17 juin 1970 à Mostaganem, est un écrivain et journaliste algérien d'expression française. Il est le fils d'un gendarme, et le seul enfant de la famille ayant fait des études. En 1994, il entre au Quotidien d'Oran. Il y publie sa première chronique trois ans plus tard, titrée Raïna raïkoum (« Notre opinion, votre opinion »). Il est pendant huit ans le rédacteur en chef du journal. D'après lui, il aurait obtenu, au sein de ce journal « conservateur » une liberté d'être « caustique », notamment envers Abdelaziz Bouteflika même si parfois, en raison de l'autocensure, il doit publier ses articles sur Facebook.
Il est aussi éditorialiste au journal électronique Algérie-focus
Le 12 février 2011, dans une manifestation dans le cadre du printemps arabe, il est brièvement arrêté.
Ses articles sont également publiés dans Slate Afrique.
Le 14 novembre 2011, Kamel Daoud est nommé pour le prix Wepler-Fondation-La Poste, qui échoit finalement à Éric Laurrent.
En octobre 2013 sort son roman Meursault, contre-enquête, qui s'inspire de celui d'Albert Camus L'Étranger : le narrateur est en effet le frère de « l'Arabe » tué par Mersault. Le livre était présent dans la première sélection du prix Goncourt 2014.

Mais revenons plutôt au temps où Meursault et Haroun vivaient heureux, ce temps où l'Algérie était heureuse…
























La Chronique de Kamel DAOUD sur Facebook

« Meursault, contre-enquête » de Kamel Daoud : L'assassinat de « l'Arabe » inconnu de Camus remis sur le tapis

Contreligne - Kamel Daoud : « Meursault, contre-enquête »

La Seybouse - "Mémoire ne nous abandonne pas", une vidéo de notre compatriote Régis Guillem : Oran, 5 juillet 1962

El Estado Islámico se radicaliza y difunde en video su ejecución más salvaje




Le grand secret de l’islam et de sa gestation…


Un internaute, qui a travaillé deux ans avec le père Édouard-Marie Gallez pour rédiger avec lui une synthèse claire et accessible de ses travaux sur l'islam, nous les propose en ligne. Il s'agit d'un ebook gratuit, à consulter ou télécharger.

Il présente la chronologie de l'histoire depuis Jésus et la prédication des apôtres, jusqu'au 10ème siècle, avec forces cartes, photos, sources et documents pour expliquer simplement comment l'islam est apparu à partir de concepts juifs et chrétiens dévoyés par une secte juive ayant fait alliance avec une tribu arabe pour reconquérir Jérusalem (ce que le père Gallez a mis a jour dans sa thèse "Le messie et son prophète").  Un document qui vient fort opportunément compléter et atténuer des conclusions des travaux des pères Gabriel Théry et Joseph Bertuel - très souvent cités sur ce blogue - qui pourraient être ressenties comme blessantes par nos amis musulmans en les considérant comme des "judaïsés de basse classe"… Sans nier les racines judaïques de l'islam, la réalité reste bien plus complexe…

Ce document, diffusé lors du forum "Jésus le Messie" de Steenwerck, pourra vraiment nous aider dans notre mission amicale d'évangélisation des musulmans.

Cette découverte reste encore à ce jour quasi inconnue du public. La faute sans doute à la complexité du sujet et à son caractère très sensible qui l’ont confinée dans les cercles très restreints de la recherche. Comment alors la rendre accessible au plus grand nombre ? Ce petit livre se présente comme une mise en perspective historique des principaux résultats auxquels il a abouti, s’appuyant sur les travaux de l’impressionnante cohorte des chercheurs sur lesquels il se fonde.




Agora Vox : Autour du livre « Le Messie et son prophète »

Édouard-Marie Gallez
«Le messie et son prophète. Aux origines de l’Islam»
«Le messie et son prophète. Aux origines de l’Islam» (suite)

Tome 1, 524 pages ; Tome 2, 582 pages


El Estado Islámico se radicaliza y difunde en video su ejecución más salvaje


jeudi 23 octobre 2014

vendredi 17 octobre 2014

Marie d’Herbais s'entretient avec Jean-Marie Le Pen pour son Journal de bord…









Qui est Marine Le Pen ?   Minute rapporte un incident qui en dit long quant à la bêtise et la bassesse de la Bécassine procréée par Jean-Marie Le Pen. La Marine en juin dernier, suite à une plaisanterie mal interprétée, a eu l'impudence d'inviter son papa, fondateur et président d’honneur du FN, à aller se faire voir et entendre ailleurs que sur le site officiel du parti dont elle a hérité. Depuis Jean-Marie Le Pen a dû ouvrir son propre site pour continuer à s'exprimer librement, - souvent avec beaucoup de condescendance à l'égard d'une gamine qui ne se sent plus pisser. C'est Marie d’Herbais qui assurait les entretiens hebdomadaires de Jean-Marie Le Pen sur le site du Front national à présent jalousement squattérisé par la Marine. Marie d’Herbais, qui fut une amie intime de la Marine, a suivi Jean-Marie Le Pen et continue à mener avec brio ses entretiens hebdomadaires, sur le blog personnel du fondateur du Front national. Cela serait ressenti dans la petite cervelle de la Marine comme de la haute trahison. Du coup, Marie d’Herbais, qui avait déposé sa candidature au comité central du FN pour le renouvellement de fin novembre, vient de renoncer, avec cette explication donnée sur Facebook : « Je retire ma candidature au comité central du Front national. J’ai croisé […] notre "présidente" qui a refusé de me saluer. Il est bien entendu que je continue le blog de Jean-Marie Le Pen. Amen. »


Journal de bord de Jean-Marie Le Pen


Serge Moati : "Adieu Le Pen"
(Un "documentaire" de France 2 basé sur les infâmes propos d'une taupe)














Le parcours de François Duprat, en réponse à M. Moati qui affirme qu’il a été numéro 2 du FN

Jean-Marie Le Pen "monument de l'Histoire de France" nous livre son "Journal de bord"…


jeudi 16 octobre 2014

Hommage à Marie-Antoinette, Reine de France, lâchement assassinée…




La souveraine qui répond à ses juges en déclinant son identité et en parlant d'elle-même déjà à l'imparfait – « Je m'appelais Marie-Antoinette Lorraine d'Autriche » – a sans doute elle aussi conscience du simulacre de justice.

Une fin d' après-midi nuageuse tombe sur Paris en ce 16 octobre… Dans le cimetière de la Madeleine, abandonné, à demi dénudé et gisant dans l'herbe, la tête placée entre les jambes, le corps d'une femme : celui de la fille des Césars !

Après l'acharnement dans les privations, dans les supplices et les tourments, pareille vexation était-elle encore nécessaire pour abattre la ci-devant reine de France ?

« Pire que le régicide », jugera Napoléon !

À plus de deux siècles de distance, le procès des 14, 15 et 16 octobre 1793, condamnant Marie-Antoinette à la peine de mort, n'est pas clos. On attend toujours le verdict de la justice et de l'équité.
De nombreuses messes à la mémoire de la Reine Marie-Antoinette seront célébrées dans toute la France, à la Basilique Royale de Saint-Denis, à Lyon, Nîmes, Grenoble et dans de nombreuses autres villes.


Hommage à Marie-Antoinette, Reine de France

Messes à la Mémoire de la famille royale

Maurice Talmeyr : La Franc-maçonnerie et la Révolution française



En 1770, à 14 ans à peine, l'archiduchesse d'Autriche, Maria Antonia Anna Josepha Joana de Habsbourg-Lorraine, devient Dauphine de France, après son mariage par procuration avec Louis XVI. Le 16 octobre 1793, le tribunal révolutionnaire reconnaît Marie-Antoinette coupable de coopération avec les puissances étrangères : elle est condamnée à la peine de mort. Qu'est-ce qui l'a conduite à l'échafaud ? Marie-Antoinette était-elle réellement coupable des crimes dont on l'accusait ? Qui était réellement Marie-Antoinette, condamnée sans preuve pour intelligence avec l'ennemi ? Et comment les mensonges de la franc-maçonnerie en ont fait la femme la plus détestée du Royaume de France. [Une émission du service public français à interpréter avec toutes les réserves qui s'imposent.]

L'ombre d'un doute : Fallait-il condamner Marie-Antoinette ?

Quand l’anti-France reconnaît les vertus de la Monarchie

Marie-Antoinette, reine et mère