Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 26 septembre 2014

Trahisons de Flanby : après avoir armé les islamistes, il raye l'islamisme de son discours…


Flanby persévère dans la trahison : après l'aveu d'avoir armé les islamistes en Syrie, il occulte délibérément l'islamisme dans son discours et intime l'ordre à tous ses séides socialauds d'adopter les mêmes précautions oratoires… Ce n'est évidemment pas par des artifices oratoires que l'on éradiquera l'islamisme… Les Musulmans en sont les premières victimes. Au front, ils doivent être en première ligne. Qu'ils assument en toute clarté leurs responsabilités…


La charte de l'État islamique en Irak et au Levant, distribuée à Mossoul le 13 juin 2014

En arabe, la formule « الدولة الإسلامية في العراق والشام » (ad Daoula al Islamiya fi al ‘Iraq oua ash Sham) signifie littéralement « l'État islamique en Irak et au Levant » (EIIL ou en anglais ISIL). Cette dernière formulation est la plus proche de la syntaxe en arabe, et non « l'État islamique de l'Irak et du Levant ».

Les hommes qui nous gouvernent ont fait allégeance à la novlangue.
Voilà comment ils ont décidé de parler.
Et comment ils voudraient nous imposer de parler.

État Islamique ou Daech ? Travestir les mots, c’est insulter la réalité. C’est faire injure au bon sens. C'est trahir.




Des crimes abominables ont été commis par le Daesh… Les assassins du Daesh ont décapité un otage français… Les barbares du Daesh ont… Les bourreaux du Daesh sont…

Ainsi, depuis quelques jours parlent MM. Hollande, Valls, Cazeneuve, Fabius. Vous savez ce que c’est que le Daesh, vous ? Vraisemblablement non. Eux, si. Le Daesh est l’acronyme arabe de l’État Islamique d’Irak et du Levant.

Mais pourquoi alors disent-ils Daesh ? Peut-être sont-ils tous devenus arabophones ? Vous n’y êtes pas. Ils disent Daesh parce qu’en français, ça ne veut rien dire. Et surtout, parce que ça permet de gommer le mot "islamique".

En effet, toute référence à l’Islam et à l’islamisme est désormais proscrite du discours gouvernemental. Et c’est pourquoi il est formellement interdit de dire "islamiste", le mot "terroriste" sans aucun adjectif qualificatif étant devenu le seul vocable toléré dans les propos officiels. Quels "terroristes" ? Pas le droit de le dire ou de le savoir. On a connu des "terroristes" d’extrême-gauche, des "terroristes" d’extrême-droite, des "terroristes" nationalistes. Mais là, rien : juste des "terroristes".

Nous sommes en revanche autorisés à dire "barbares" ou "assassins". Mais on se doit aussitôt d’ajouter dans le même souffle une phrase obligée : "ça n’a rien à voir avec l’Islam". Mais alors, ça a à voir avec quoi ? Et avec quoi l’Islam a à voir ?

Ceux qui ont tué des milliers d’Américains en 2001 dans les tours du World Trade Center "n’avaient rien à voir avec l’Islam". Peut-être doit-on supposer qu’ils étaient simplement affiliés au Rotary Club ? Ceux qui ont égorgé le journaliste américain Daniel Pearl au Pakistan n’avaient non plus "rien à voir avec l’Islam". Se pourrait-il qu’il s’agisse de fidèles de l’Église Pentecôtiste ? Ceux qui, membres du GIA, ont fait des dizaines de milliers de morts en Algérie (et aussi quelques uns en France où ils ont commis des attentats) n’avaient, tout autant que les autres, "rien à voir avec l’Islam". Faut-il imaginer qu’ils étaient membres des témoins de Jéhovah ? Les talibans qui assassinent et lapident en Afghanistan et au Pakistan, les coupeurs de mains et de bras de Tombouctou, les shébabs somaliens, les Boko-Haram, n’ont, c’est l’évidence, "rien à voir avec l’Islam". Seraient-ils peut-être bouddhistes ou shintoïstes ?

Les bourreaux de Daesh (allez, faisons un peu semblant), qui se filment avec les otages qu’ils décapitent, "n’ont rien à voir avec Islam". Ils rendent leurs "sentences" au nom de Dieu et les oreilles très fines de MM Hollande et compagnie perçoivent qu’ils invoquent selon les lieux et les jours les noms de Toutatis (si cher à Astérix), de Jésus, de Zeus et d’Osiris. Et Mohammed Merah ? Peut-être fréquentait-il un des temples protestants de Toulouse ? Et Mehdi Nemmouche ? Sans doute allait-il faire ses dévotions à l’église paroissiale du coin ? Ainsi, sous notre regard ébahi et incrédule, se joue une pathétique et mauvaise comédie. Travestir les mots, c’est insulter la réalité. C’est faire injure au bon sens qui est encore la chose la mieux partagée. On comprend bien qu’il s’agit de façon sournoise, cauteleuse, et in fine, improductive, de protéger les musulmans de France contre les flots de sang versés au nom du Dieu qu’ils vénèrent pour que ce sang ne retombe pas sur leurs têtes.

L’intention peut paraître louable. Mais le mensonge incantatoire n’est certainement pas la meilleure façon de la promouvoir. À chaque tête décapitée, à chaque massacre, nos gouvernants ne sont certes pas tenus de dire : "ça a à voir avec l’Islam". Mais quel naufrage de la pensée les pousse à dire l’exact contraire et à répéter sans cesse : "ça n’a rien à voir avec l’Islam" ? Ceux que les djihadistes locaux, et apportés (plus de mille Français parmi eux), exécutent et tuent, sont des nôtres. Les nôtres. Tués parce qu’Occidentaux. Assassinés parce que "croisés". Tout un chacun le sait. Tout un chacun en conçoit de la révolte et réclame, à juste titre, vengeance pour ces martyrs.

Dans la vidéo qui accompagne la décapitation d’Hervé Gourdel, il est dit qu’il s’agit d’un "message de sang" adressé à la France. Nombreux sont ceux qui, instinctivement, exigent que la loi du Talion leur soit appliquée. "Un message de sang" adressé aux djihadistes… Il y a de la colère dans cette revendication. Il y en a tout autant contre ceux qui les assassinent une deuxième fois en bêlant : "ça n’a rien à voir avec l’Islam".

Benoît Rayski pour Atlantico


Les seize commandements de l'État islamique en Irak et au Levant

De nombreux responsables musulmans « réfutent » l’État islamique

Doit-on dire EIIL, Da'ech, ISIS, État islamique en Irak et au Levant, de l'Irak et du Levant ?

Entretien avec Romain Caillet - Qu’est ce que l’État Islamique ?

Daech ou État islamique ? Questions sur un vocable

Comment faut-il appeler les jihadistes en Irak ?

Fabius lance la guerre des mots


Nicolas Sarkozy à Lambersart : "Moi-président… casse-toi pauv'con !"…


Gardons-nous des commentaires moutonniers de politologues auto-proclamés et journaleux impénitents… Allons à l'original… Seule l'écoute attentive de l'original permettra à chacun de se faire son opinion…
Nicolas Sarkozy attaque frontalement la présidente du Front national Marine Le Pen, en dénonçant son immense responsabilité dans le "désastre que subit la France", car elle a donné "un fameux coup de main en 2012 à son ami François Hollande".



Ce jeudi 25 septembre c'était le premier meeting de Nicolas Sarkozy, à Lambersart dans la banlieue de Lille… Le dernier président de la République, sur la voie de la présidence de l'UMP, s'est adressé aux plus 5000 Français enthousiastes qui avaient réussi à trouver une place dans l'enceinte. Une première depuis le second tour de la présidentielle catastrophique de 2012. Nicolas Sarkozy a parlé sans complaisance de l'actuel squatter de l'Élysée, qu'il considère "perdu" et "sonné" [= "Moi-président… casse-toi pauv'con !"]. Il a aussi rappelé le rôle néfaste de la présidente du Front national la Marine Le Pen pour dénoncer son immense responsabilité dans le "désastre que subit la France" par le "fameux coup de main qu'elle a donné à son ami François Hollande en 2012".



Campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidence de l'UMP

Youtube : Campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidence de l'UMP



Jean-Marie Le Pen "monument de l'Histoire de France" nous livre son "Journal de bord"…

Guillaume Faye présente les chiffres éloquents et désastreux de l’économie française…


Pourquoi la France est-elle en crise ?



Dans cette vidéo Guillaume Faye présente les chiffres éloquents et désastreux de l’économie française :
- Les dépenses abyssales unique au monde du service public et des fonctionnaires.
- La sortie de l’euro serait une erreur majeure.
- Les immigrées sont les responsables majeurs d’une dégradation de l’économie française et du niveau de vie.
- « Quand deux bacs+6 quittent le pays, ils sont remplacés par 2 bacs-6 venant du tiers monde »
- Pour une Europe unie intégrant la Russie…

Guillaume Faye - La France est un pays communiste : les chiffres


jeudi 25 septembre 2014

L'ADIMAD rend hommage aux Harkis et rapelle les crimes de l'infâme traître DeGaulle…


MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE



Calendrier des manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD



Boutique de l'ADIMAD




La voix de la France (celle de l'Honneur) : le bachaga Boualam

Guy Pervillé : À propos de l’OAS d’Oran : réponse à un lecteur oranais (2014)

Oran… 5 juillet 1962 : Les responsabilités




mercredi 24 septembre 2014

Hervé Gourdel enlevé et assassiné en Algérie par des takfiri du pseudo-État islamique…


Monsieur Hervé Gourdel, citoyen français, a été enlevé en Algérie, alors qu’il participait à une randonnée touristique dans le massif de la Djurdjura (Kabylie), région que certains de nos amis, anciens d’AFN ont jadis bien connue pour y avoir traqué jadis des unités de la rébellion FLN actuellement au pouvoir en Algérie. L’organisation terroriste liée à ceux qui se font appeler l’« État islamique » (EI) au Levant et responsable de ce forfait a retenu Hervé Gourdel comme otage pour exercer un chantage sous la forme d’un ultimatum adressé à la France au sujet de son intervention actuelle en Irak.

Le délai imposé par les terroristes s’étant achevé, l’otage a été assassiné (c’est le terme qui s’applique !) par égorgement, selon la tradition. Égorgement suivi, tout naturellement, du décollement de la tête. De la défunte AFN en passant par la Tchétchénie, la tradition perdure…

Cet assassinat a fait l’objet d’un vidéogramme intitulé Message de sang pour le gouvernement français, où l’on voit, tout à tour, M. François Hollande annoncer la participation de la France aux frappes aériennes contre l’EI en Irak, puis Hervé Gourdel agenouillé, les mains liées derrière le dos, entouré de quatre hommes armés et cagoulés dont l’un lit un texte où il dénonce l’intervention des Croisés criminels français (sic) contre les Musulmans en Algérie, au Mali, en Irak, etc.

Ce genre de mise en scène a été pratiqué lors des assassinats récents de journalistes ou membres d’ONG otages au Levant par des membres d’EI.

Tout en condamnant fermement ces pratiques barbares, les membres du Cercle National des Combattants déplorent que cet état de fait soit le fruit de la politique inconsidérée des gouvernements successifs de la France depuis le début du siècle. En effet, notre pays, visiblement à la remorque de puissances à tendances hégémoniques s’engage dans des interventions dont le but ne semble pas correspondre aux intérêts français bien compris. Il est dommage que des citoyens français en payent les conséquences et que des individus qui n’ont cessé de démolir l’armée française et de la réduire de façon drastique jouent aujourd’hui les va-t-en-guerre surtout qu’il est faux de prétendre que les frappes aériennes seules règleront le problème et l’éradication des ces fous criminels antichrétiens. Le Cercle National des Combattants demande le renforcement de notre armée, le respect pour nos soldats et le rétablissement immédiat du service militaire.


Facebook : Soutien à Hervé Gourdel, guide de haute-montagne niçois enlevé et assassiné en Algérie par des djihadistes, et à sa famille

Réaction de Mgr André Marceau, évêque de Nice, suite à l’exécution d’Hervé Gourdel

The 'Soldiers of the Caliphate': Algerian Militants Execute French Citizen Over Iraq Airstrikes

France Presse Infos - Le Gaulois : Horreur… Malheur… Ah !… Vos cris d’orfraie ne trompent plus personne !




Dans l'enfer d'Alep…

mardi 23 septembre 2014

Jean-Marie Le Pen éditeur sonore : Musique et Politique… Un entretien avec Présent…












"Je n’avais pas préparé de carrière, j’aurais dû être avocat mais je n’avais pas de goût pour cette activité. Ayant perdu mon mandat de député, je me suis trouvé dans l’obligation de faire quelque chose. Nous avons créé la Société d’études et de relations publiques. Évidemment, nous ignorions que des gens comme nous ne pouvaient pas faire de relations publiques, nous étions des parias.


J’avais vu l’album de la plaidoirie de Tixier dans l’affaire Salan, j’ai ainsi réalisé mes deux premiers disques sur le procès Bastien-Thiry. Il est interdit d’enregistrer dans les tribunaux, le procès avait donc été enregistré clandestinement – on peut le dire maintenant, parce qu’il est mort – par Me Le Coroller, qui était un des défenseurs. Nous avons fait du document sonore avec beaucoup de scrupules. C’était un créneau que n’exploitaient pas les grandes sociétés discographiques, parce que ça ne leur rapportait pas assez. Le troisième titre a été le centenaire de Camerone, ensuite un disque sur le maréchal Pétain et un disque avec Pierre Fresnay récitant les Poèmes de Fresnes de Robert Brasillach…"


Entretien - Présent