Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

vendredi 26 septembre 2014

Nicolas Sarkozy à Lambersart : "Moi-président… casse-toi pauv'con !"…


Gardons-nous des commentaires moutonniers de politologues auto-proclamés et journaleux impénitents… Allons à l'original… Seule l'écoute attentive de l'original permettra à chacun de se faire son opinion…
Nicolas Sarkozy attaque frontalement la présidente du Front national Marine Le Pen, en dénonçant son immense responsabilité dans le "désastre que subit la France", car elle a donné "un fameux coup de main en 2012 à son ami François Hollande".



Ce jeudi 25 septembre c'était le premier meeting de Nicolas Sarkozy, à Lambersart dans la banlieue de Lille… Le dernier président de la République, sur la voie de la présidence de l'UMP, s'est adressé aux plus 5000 Français enthousiastes qui avaient réussi à trouver une place dans l'enceinte. Une première depuis le second tour de la présidentielle catastrophique de 2012. Nicolas Sarkozy a parlé sans complaisance de l'actuel squatter de l'Élysée, qu'il considère "perdu" et "sonné" [= "Moi-président… casse-toi pauv'con !"]. Il a aussi rappelé le rôle néfaste de la présidente du Front national la Marine Le Pen pour dénoncer son immense responsabilité dans le "désastre que subit la France" par le "fameux coup de main qu'elle a donné à son ami François Hollande en 2012".



Campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidence de l'UMP

Youtube : Campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidence de l'UMP



Jean-Marie Le Pen "monument de l'Histoire de France" nous livre son "Journal de bord"…

Guillaume Faye présente les chiffres éloquents et désastreux de l’économie française…


Pourquoi la France est-elle en crise ?



Dans cette vidéo Guillaume Faye présente les chiffres éloquents et désastreux de l’économie française :
- Les dépenses abyssales unique au monde du service public et des fonctionnaires.
- La sortie de l’euro serait une erreur majeure.
- Les immigrées sont les responsables majeurs d’une dégradation de l’économie française et du niveau de vie.
- « Quand deux bacs+6 quittent le pays, ils sont remplacés par 2 bacs-6 venant du tiers monde »
- Pour une Europe unie intégrant la Russie…

Guillaume Faye - La France est un pays communiste : les chiffres


jeudi 25 septembre 2014

L'ADIMAD rend hommage aux Harkis et rapelle les crimes de l'infâme traître DeGaulle…


MÉMOIRE DE LA RÉSISTANCE ALGÉRIE FRANÇAISE



Calendrier des manifestations organisées, soutenues ou encouragées par l'ADIMAD



Boutique de l'ADIMAD




La voix de la France (celle de l'Honneur) : le bachaga Boualam

Guy Pervillé : À propos de l’OAS d’Oran : réponse à un lecteur oranais (2014)

Oran… 5 juillet 1962 : Les responsabilités




mercredi 24 septembre 2014

Hervé Gourdel enlevé et assassiné en Algérie par des takfiri du pseudo-État islamique…


Monsieur Hervé Gourdel, citoyen français, a été enlevé en Algérie, alors qu’il participait à une randonnée touristique dans le massif de la Djurdjura (Kabylie), région que certains de nos amis, anciens d’AFN ont jadis bien connue pour y avoir traqué jadis des unités de la rébellion FLN actuellement au pouvoir en Algérie. L’organisation terroriste liée à ceux qui se font appeler l’« État islamique » (EI) au Levant et responsable de ce forfait a retenu Hervé Gourdel comme otage pour exercer un chantage sous la forme d’un ultimatum adressé à la France au sujet de son intervention actuelle en Irak.

Le délai imposé par les terroristes s’étant achevé, l’otage a été assassiné (c’est le terme qui s’applique !) par égorgement, selon la tradition. Égorgement suivi, tout naturellement, du décollement de la tête. De la défunte AFN en passant par la Tchétchénie, la tradition perdure…

Cet assassinat a fait l’objet d’un vidéogramme intitulé Message de sang pour le gouvernement français, où l’on voit, tout à tour, M. François Hollande annoncer la participation de la France aux frappes aériennes contre l’EI en Irak, puis Hervé Gourdel agenouillé, les mains liées derrière le dos, entouré de quatre hommes armés et cagoulés dont l’un lit un texte où il dénonce l’intervention des Croisés criminels français (sic) contre les Musulmans en Algérie, au Mali, en Irak, etc.

Ce genre de mise en scène a été pratiqué lors des assassinats récents de journalistes ou membres d’ONG otages au Levant par des membres d’EI.

Tout en condamnant fermement ces pratiques barbares, les membres du Cercle National des Combattants déplorent que cet état de fait soit le fruit de la politique inconsidérée des gouvernements successifs de la France depuis le début du siècle. En effet, notre pays, visiblement à la remorque de puissances à tendances hégémoniques s’engage dans des interventions dont le but ne semble pas correspondre aux intérêts français bien compris. Il est dommage que des citoyens français en payent les conséquences et que des individus qui n’ont cessé de démolir l’armée française et de la réduire de façon drastique jouent aujourd’hui les va-t-en-guerre surtout qu’il est faux de prétendre que les frappes aériennes seules règleront le problème et l’éradication des ces fous criminels antichrétiens. Le Cercle National des Combattants demande le renforcement de notre armée, le respect pour nos soldats et le rétablissement immédiat du service militaire.


Facebook : Soutien à Hervé Gourdel, guide de haute-montagne niçois enlevé et assassiné en Algérie par des djihadistes, et à sa famille

Réaction de Mgr André Marceau, évêque de Nice, suite à l’exécution d’Hervé Gourdel

The 'Soldiers of the Caliphate': Algerian Militants Execute French Citizen Over Iraq Airstrikes

France Presse Infos - Le Gaulois : Horreur… Malheur… Ah !… Vos cris d’orfraie ne trompent plus personne !




Dans l'enfer d'Alep…

mardi 23 septembre 2014

Jean-Marie Le Pen éditeur sonore : Musique et Politique… Un entretien avec Présent…












"Je n’avais pas préparé de carrière, j’aurais dû être avocat mais je n’avais pas de goût pour cette activité. Ayant perdu mon mandat de député, je me suis trouvé dans l’obligation de faire quelque chose. Nous avons créé la Société d’études et de relations publiques. Évidemment, nous ignorions que des gens comme nous ne pouvaient pas faire de relations publiques, nous étions des parias.


J’avais vu l’album de la plaidoirie de Tixier dans l’affaire Salan, j’ai ainsi réalisé mes deux premiers disques sur le procès Bastien-Thiry. Il est interdit d’enregistrer dans les tribunaux, le procès avait donc été enregistré clandestinement – on peut le dire maintenant, parce qu’il est mort – par Me Le Coroller, qui était un des défenseurs. Nous avons fait du document sonore avec beaucoup de scrupules. C’était un créneau que n’exploitaient pas les grandes sociétés discographiques, parce que ça ne leur rapportait pas assez. Le troisième titre a été le centenaire de Camerone, ensuite un disque sur le maréchal Pétain et un disque avec Pierre Fresnay récitant les Poèmes de Fresnes de Robert Brasillach…"


Entretien - Présent



dimanche 21 septembre 2014

Nicolas Sarkozy au journal de 20 heures de France 2

Jounées du Patrimoine : pourquoi ne pas visiter le site de Nicolas Sarkozy ?…



Facebook Nicolas Sarkozy

Et voilà que clairement Flanby et Bécassine, le staff mariniste et les socialauds, redeviennent comme en 2012 farouchement alliés objectifs contre le danger Nicolas Sarkozy… Danger pour la Bécassine qui, par son obstruction dans le débat politique, n'ambitionne que la stérilisation d'un maximum de voix lors d'une présidentielle pour un encaissement maximum de fonds publics à la faveur des dispositions légales concernant le financement des partis politiques… Danger pour les socialauds qui ne peuvent espérer se maintenir dans leur squat qu'à la faveur d'un second tour d'une présentielle les opposant complaisamment à la Marine… Leur comportement, aux uns et aux autres, ne fera que le confirmer. Comportement dont les ficelles seront immanquablement masquées par la presse, notamment celle de droite avec Présent et Rivarol dont les intérêts financiers se sont récemment liés à l'écho de la propagande mariniste… … Et, par ailleurs, attendons-nous à tous les coups bas du "meilleur d'entre tous", l'inénarrable Juppé
Il est bien évident qu'un combat en faveur de tel ou tel est prématuré, y compris concernant Nicolas Sarkozy… que tout nationaliste rejette "presque" autant que les socialauds ou les gaullo-marinistes… L'irruption de Nicolas Sarkozy dans l'arène politique comble malheureusement un vide qui ne pouvait qu'être favorable au combat nationaliste…
Malgré cela, dans l'état de décomposition de la France, espérons qu'un vrai changement, un changement radical, aura rapidement et avant 2017 une occasion de s'imposer… Fasse la Providence que la France échappe enfin au joug des francs-maçons, de leurs complices mondialistes et de leur avatar républicain…
À défaut, à l'échéance de 2017 que l'on nous embarque plus dans le principe "entre deux maux, on ne choisit pas". Entre deux maux, il y a bien un moindre mal…

*   *    *

Pour éclairer le débat :


Le «  retour » de Nicolas Sarkozy en réjouit certains (Sarko-mania impressionnante chez les « jeunes pop’ UMP »), en terrifie d’autres (à commencer par Fillon), en agace beaucoup, aussi, notamment parmi les militants de la « Manif pour tous ». Mais il ne s’agit pas de réagir avec ses sentiments : il s’agit de prendre le problème à bras le corps et d’exiger des conditions strictes pour qu’un programme de droite voit le jour…

La question qui entoure le retour de Nicolas Sarkozy n’est pas de savoir pourquoi il revient, mais surtout comment il revient. Et là les choses apparaissent clairement : il revient, ou tente de revenir, comme rassembleur d’un parti divisé, ainsi qu’en témoigne son communiqué de presse sur Facebook (ce qui, en passant, ramène la presse à n’être plus qu’une coquille vide bonne qu’à agréger des subventions)…
« J’ai senti chez beaucoup de Français la tentation de ne plus croire en rien ni en personne, comme si tout se valait, ou plutôt comme si plus rien ne valait quoi que ce soit. Cette absence de tout espoir si spécifique à la France d’aujourd’hui nous oblige à nous réinventer profondément ».
Une réinvention ? Je me méfie des « réinventions »… Il n’y a rien à inventer en France, la voie économique est toute tracée par une réduction de l’archi-présence de l’État dans tous les domaines, à cause d’une gestion catastrophique de l’argent public, et la voie « sociétale » est entièrement prise dans le mouvement de sinistrogyre, ce mouvement du « progrès » qui penche à gauche, et même bien à gauche. On ne réinvente pas dans ces conditions. On refonde complètement et on édifie, c’est-à-dire qu’on fait une tabula rasa - celle-là même qu’ont entrepris les révolutionnaires, mais dans le mauvais sens - du mouvement général de la société, puis on édifie quelque chose de positif pour contrecarrer la déconstruction opérée depuis plus d’un siècle. C’est à partir de cette édification collective qu’il faut repenser le politique.

De la liberté

Une doctrine économique viable, qui ne pompe pas tout l’argent des Français pour le redistribuer aux régimes spéciaux, aux artistes de l’art d’État, aux médias du pouvoir et aux amis politiques. Une réduction drastique des dépenses, qui va de pair avec une réduction drastique des impôts.

La souveraineté, par exemple, n’est pas celle qu’exerce l’État sur la vie des gens, des entreprises et du monde culturel. La souveraineté, c’est d’abord celle de la personne. Souveraineté sur ce qu’elle pense, sur ce qu’elle veut, sur ce qu’elle fait, sans qu’on lui oblige à rentrer dans le cadre « théologique » des valeurs dites républicaines, ou de la bien-pensance médiatique et culturelle. Nous exigeons la mise en place urgente de conditions qui puisse permettre une liberté pleine et complète de la personne.

Nous exigeons des mesures concrètes pour mettre en place ces conditions de possibilité : le chèque scolaire, un immense plan de simplification administrative, une réduction drastique du train de vie de l’État, la suppression totale des subventions aux médias, la fin de l’intervention de l’État dans la vie économique (afin qu’il conserve un rôle de régulateur en dernière instance), et la suspension immédiate de toute intervention de l’État dans les questions morales et idéologiques.

Pour faire simple, nous exigeons la fin de l’idéologie de l’État-providence, de cet État-nounou qui prend votre argent pour le redistribuer à ses fins, qui éduque vos enfants avec des valeurs contraires à celle des parents, qui organise une propagande via les médias publics et l’art subventionné. Nous exigeons un moins-d’État, nous exigeons un minarchisme, nous exigeons qu’un Président avoue qu’il veut avoir moins de pouvoir sur la vie des gens.

De l’identité

Nicolas Sarkozy avait proposé un débat salvateur sur l’identité nationale, mais il a reculé devant la pression médiatique. Nous exigeons d’un président qu’il aille au bout de ce qu’il entreprend selon la ligne qu’il a proposé dans son programme et ses discours. Face à la France entière, un type comme François Hollande tient bon et impose toutes ses idées délirantes envers et contre tous.

Nous ne sommes pas sans savoir qu’il a perdu les dernières présidentielles parce que les médias avaient fait de lui un terrible « fasciste », selon les méthodes propres à la gauche. La note de Terra Nova (l’axe UMP-FN) avait donné le ton de toute la campagne ; on y retrouvait déjà tout ce qui a pu animer le « débat » : « droitisation », « ligne Buisson », etc. Que Nicolas Sarkozy n’en vienne pas à penser qu’il a perdu parce qu’il a été trop à « droite ». Vu ses dernières sorties à consonance politique (meeting de NKM, fusion avec l’UDI, raout de BHL) il y a tout lieu de craindre qu’il n'ait fait son bilan, et qu’il ne soit pas celui que nous attendions.

Nous exigeons la réduction drastique de l’immigration, la tenu d’une immense concertation sur l’identité nationale de laquelle puisse sortir une doctrine claire et précise de ce qui nous est ennemi (tout ce qui s’oppose à la liberté et à la souveraineté de la personne) et de ce qui nous est ami (les pays de liberté, notamment religieuse). Nous attendons d’un Président qu’il protège la France, non qu’il la saccage, volontairement (Hollande) ou involontairement (Sarkozy 2007-2012).





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Goldofaf : Le Combat de Demain… à la 8e Journée de Synthèse nationale !