Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

samedi 15 mars 2014

Les Cosaques, histoire et état d'esprit… présentés par la Voix de la Russie


"Ils vont à la guerre comme ils iraient à la messe !"…


Les Européens, tout à la fois connaissent et ignorent qui sont les Cosaques, ce qu'est être un Cosaque. Prorussia.tv s'est intéressé à la fois à leur histoire, mais également à l'idée de liberté qui les anime. Idée omniprésente à tel point que certains Français se revendiquent d'un esprit cosaque, sans pour autant avoir le moindre lien de filiation avec eux.


Ados, Français et djihadistes… Mais où est l'offre opposée ?… L'Appel de la Russie ?…

Chants cosaques du groupe Бабкины внуки (Babkini vnouki)




Не для меня придёт весна,
Не для меня Дон разольётся,
Там сердце девичье забьётся
С восторгом чувств – не для меня.

Не для меня цветут сады,
В долине роща расцветает,
Там соловей весну встречает,
Он будет петь не для меня.

Не для меня текут ручьи,
Журчат алмазными струями,
Там дева с чёрными бровями,
Она растет не для меня.

Не для меня придёт Пасха,
За стол родня вся соберётся,
"Христос воскрес" из уст польётся,
Пасхальный день не для меня.

Не для меня цветут цветы
Распустит роза цвет душистый.
Сорвешь цветок, а он завянет
Такая жизнь не для меня

А для меня кусок свинца,
Он в тело белое вопьётся,
И слезы горькие прольются.
Такая жизнь, брат, ждёт меня.

Traduction française :

Non pour moi le printemps viendra,
Non pour moi le Don se répandra,
Là le cœur de jeune fille se tapira
Avec le ravissement des sentiments – non pour moi.

Non pour moi fleurissent les jardins,
Dans la vallée le bois s'épanouit,
Là le rossignol rencontre le printemps,
Il chantera non pour moi.

Non pour moi coulent les ruisseaux,
Gazouillent par les courants de diamant,
Là la vierge avec les sourcils noirs,
Elle grandit non pour moi.

Non pour moi Pâques viendront,
Pour la table la parenté tout se réunira,
"Christ воскрес" des bouches coulera,
Le jour de Pâques non pour moi.

Non pour moi fleurissent les fleurs
La rose congédiera la couleur odorant.
Tu arracheras la fleur, а lui завянет
Une telle vie non pour moi

À pour moi le morceau de plomb,
Il au corps blanc s'enfoncera,
Et les larmes amères se répandront.
Une telle vie, le frère, m'attend.


Ados, Français et djihadistes… Mais où est l'offre opposée ?… L'Appel de la Russie ?…

La Voix de la Russie - Europa musica : "La chanson engagée change de camp !"




L'équipe de la Voix de la Russie grandit : nouveaux venus dans l'équipe, Thierry Bouzard et Alix Grabé, dans une émission intitulée « Europa musica » analyseront nos sociétés modernes et passées au travers des chants de combats, qu'ils soient militaires, partisans ou civils, officiels ou interdits, intemporels ou factuels pour mieux décrypter la sociologie de ceux qui les écrivent, les chantent ou les récupèrent. Premier thème de cette première : "la chanson engagée change de camp !".


Ados, Français et djihadistes… Mais où est l'offre opposée ?… L'Appel de la Russie ?…

Roger Holeindre dédicacera ses ouvrages ce samedi 15 mars à la Librairie Française…


Quand le Front National se couche devant les francs-maçons et l'UMPS… Roger Holeindre reste debout ! 




  

  


La Librairie Française  5 rue Auguste Bartholdi  Paris XVème



Présent vous propose un numéro exceptionnel mardi prochain 18 mars…


Soutenons Présent, seul quotidien défendant les valeurs ancestrales françaises…​




Numéro exceptionnel de Présent,  en vente mardi prochain 18 mars…



Le coup de gueule d’Alain Sanders

Ne touchez pas à la cathédrale de Cordoue !



vendredi 14 mars 2014

19 mars : les Toulousains prêts a déboulonner Cohen, assassin du Chevalier Bayard…


En débaptisant le pont dédié au Chevalier Bayard, Cohen, maire de Toulouse, a osé avec une clique de quillards communistes célébrer le 19 mars 1962, jour de la capitulation de l'Infâme criminel compulsif DeGaulle devant le FLN… Capitulation du 19 mars 1962 qui fera encore du sang versé pour la plus grande satisfaction haineuse de DeGaulle… Le sang de centaines de milliers de Français d'Algérie, soldats harkis et leurs familles pour la plupart, trahis par une France parjure… aussi celui de Fernandez, Gomez, Pérez et encore de Toledano, Bensoussan, Lévy… et Cohen… Oui, des Cohen ont également été assassinés en Algérie par le FLN après ce 19 mars 1962… Des Cohen, Français d'Algérie, portant le même patronyme que vous, infâme maire de Toulouse… 

Et voilà que le grand jour de la revanche arrive.  Les Toulousains se préparent à mettre un grand coup de pied au cul de ce maire indigne,  compagnon des socialauds squatteurs du pouvoir républicain… Une défaite, celle de cet infâme maire, qui sera alors célébrée dans la joie… Une défaite qui sera la victoire des Toulousains… Une victoire à laquelle les Français d'Algérie, très nombreux dans cette bonne ville de Toulouse, auront apporté toute leur contribution lors de cette campagne électorale. Et répondront massivement présents le jour où sera déposé leur bulletin dans l'urne fatale à Cohen… 







Quand Cohen assassine le Chevalier Bayard… avec l'outrecuidance des Quillards du 19-Mars1962

"19 mars 1962" : Pierre Cohen maire socialiste de Toulouse s'obstine…

Toulouse : Le pont de l'Infâmie… 19 mars 1962,  un "maire" ose célébrer une capitulation !!!

Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire

Toulouse : le pont du Chevalier Bayard lavé des outrages infligés par le socialaud Cohen…

Sur le "Pont Bayard" Toulouse érige la statue de l'infamie dédiée à son maire Pierre Cohen…

"Pont Bayard" de Toulouse : capitulation de Cohen, député-maire-pas-longtemps-encore !

Ce samedi, Pierre Cohen inaugure le pont du 19 mars 1962 : article édifiant par ses commentaires lucides à l'égard de Cohen  et ses commanditaires communistes de la FNACA, les Gavoury, Dandelott, Pouillot, des "bataillons de la quille du 19 mars"

Guillaume Zeller : Le 19 mars ne peut pas célébrer la « paix en Algérie »

Manuel Gomez : "Accords d’Évian : fin de la protection des Français en Algérie"…

Sous l'éclairage de Saint Thomas d’Aquin : "Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide"


Une excellente étude historique et morale, pour marquer les 50 ans de l'assassinat du colonel Jean Bastien-Thiry.

« Le 22 août 1962, à Clamart, un attentat visait le chef de l’État et manquait de peu son objectif. Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre de DeGaulle.

Le 11 mars 1963, son instigateur, le colonel Jean Bastien-Thiry, était fusillé. Il est le dernier en France à avoir été victime de ce procédé.

« Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d’un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? » se demanda la presse de l’époque.

Quant au motif de « tyrannicide » que Jean Bastien-Thiry a avancé pour justifier moralement « l’opération Charlotte Corday », était-il acceptable ?

L’auteur répond ici à ces questions. En s’appuyant sur les réflexions de Saint Thomas d’Aquin – le « Docteur commun » de l’Église –, il étaye solidement son analyse par d’utiles et implacables rappels historiques.

Nous sommes invités ici à réouvrir un douloureux procès, qui souleva des interrogations morales et politiques de la plus haute importance. »


Abbé Olivier Rioult : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide - « Aspect moral d'un acte politique » - 62 p. - Éd. des Cimes, 2013.


4e de couverture :
« Le 22 août 1962, à Clamart, un attentat visait le chef de l’État et manquait de peu son objectif. Ce fut la plus fameuse tentative de meurtre à l’encontre du général De Gaulle.

Le 11 mars 1963, son instigateur, le colonel Jean Bastien-Thiry, était fusillé. Il est le dernier en France à avoir été victime de ce procédé.

« Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d’un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? » se demanda la presse de l’époque.

Quant au motif de « tyrannicide » que Jean Bastien-Thiry a avancé pour justifier moralement « l’opération Charlotte Corday », était-il acceptable ?

L’auteur répond ici à ces questions. En s’appuyant sur les réflexions de Saint Thomas d’Aquin – le « Docteur commun » de l’Église –, il étaye solidement son analyse par d’utiles et implacables rappels historiques.

Nous sommes invités ici à réouvrir un douloureux procès, qui souleva des interrogations morales et politiques de la plus haute importance. »



mercredi 12 mars 2014

Rivarol… à lire et diffuser sans modération !


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Le Printemps Français - Newsletter n°41 du 11 mars 2014



Newsletter du Printemps Français.
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Newsletter n°41 - 11 mars 2014
Printemps Français

L’article de la semaine
Philosophie de la dette ou revendication locales ? C’est le même sujet, celui des individus face aux puissances de l’argent.








L'action de la semaine

« Les sentinelles ne lâchent rien ! »

Ce vendredi 7 mars, veille du bilan du Grenelle de la famille, plusieurs centaines de sentinelles se sont mobilisées,
Bravo à eux !

Éditorial

Éducation
Comme les grande écoles françaises ne sont plus très prisées et nos universités ne sont pas très bien notées dans les classements qui se succèdent, comme l’Éducation nationale fabrique des illettrés et laisse s’installer la violence, ainsi que le rabâchent enquêtes et études, comme l’enseignement libre paraît fonctionner mieux et comme l’enseignement hors contrat redonne aux parents le rôle que devrait leur garantir la déclaration des droits de l’homme (article 26-3) – eh bien, pour toutes ces bonnes raisons, l’État a décidé, comme tout bon organisme fasciste :
• d’éduquer les enfants dès leur plus jeune âge à son idéologie perverse, tout en prétendant qu’il n’y a pas de problème
• d’empêcher les parents d’accomplir leur devoir, tout en prétendant développer une relation de confiance
• de stigmatiser toute opposition, tout en prétendant respecter les opinions (quitte à diffuser d’aberrants messages).
• de dénoncer toute critique, tout en prétendant être ouvert au dialogue
• de restreindre la liberté d’enseignement, tout en prétendant assurer un service public.
En ces temps de concertation et de consensus si prisés qu’il paraît légitime que des ouvriers bloquent des usines et des manifestants ravagent une ville sans être inquiétés, retirer symboliquement son enfant de l’école ou même simplement essayer de discuter avec les équipes enseignantes sur des œuvres qui, au minimum, sont militantes et non pas neutres, est d’emblée suspect, condamné et blâmé.
Nous sommes donc, en France, avec un système éducatif qui a failli sur ses missions principales (bien avant que l’actuel gouvernement n’aggrave les choses) et qui se constitue en bastion idéologique contre les parents tout en prétendant, admirable tartufferie, qu’il ne faut pas instrumentaliser les enfants dans le débat ! Autrement dit, qu’il faut leur livrer nos enfants sans réagir, pour le principe totalitaire que l’État, par nature, sait mieux que l’individu ce dont les citoyens en herbe ont besoin.
Cette question de l’éducation, c’est notre combat premier : toute la génération qui s’est levée en masse fin 2012, toute la génération qui est en train d’apprendre à se libérer des carcans idéologiques de la bienpensance, qu’aurait-elle été si on lui avait seriné dès la maternelle de ne pas écouter les parents, de ne pas croire les religions, et d’obéir aveuglément à la parole sacrée des enseignants ?… Si l’État veut arracher les enfants à leurs parents, ce n’est pas pour leur apprendre à penser, c’est pour leur apprendre à obéir. Nous devons tous réagir, même ceux d’entre nous qui se croient protégés.

On ne lâche rien !

Printemps Français
 

La question de la semaine

« Et pour les municipales, vous conseillez quoi ? » [bis]

C’est une bonne question. Nous avons la réponse : participez. Engagez le débat avec les candidats en participant aux chats, et surtout préparez vos arguments en fonction des vrais enjeux : libertés individuelles ou État omniprésent ? Si vous vous sentez critique ou sceptique (comme pour les européennes), méfiez-vous de la popularité digitale des candidats et diffusez de faux tracts pour dénoncer les propositions toutes faites (d’ailleurs, même les vrais sont mal faits ou  très mal faits).

Le conseil de la semaine

Racontez votre vie (et vivez-la).

Parce que la vie n’est pas si simple, ou parce que vous avez l’impression qu’on ne vous écoute pas, ou parce que vous avez envie de raconter votre expérience. Votre témoignage est forcément important, partagez-le. Et partagez le reste : vos compétences, votre nouvel enthousiasme, toute l’économie.




© 2014 Printemps Français.