Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 24 février 2014

Désinformation, manipulations et exactions occidentales en Ukraine et au Venezuela…




Au sommaire de cette édition du 24 février 2014 :

- L'aéroport de Nantes ne sert à rien, sauf à flatter l'ego de l'endormi de Matignon
- Match retour pour le "Dîner de cons", cette fois c'est lui qui invite à l'Elysée
- François Asselineau, invité de notre émission "Paroles d'Elu" veut en finir avec l'euro, l'union européenne et la soumission aux États-Unis
- M. Bricolage au Salon de l'Agriculture sous haute protection et loin des agriculteurs
- L'Ukraine partagée en deux : à l'Est les russophiles, à l'Ouest, les amis d'Hitler et de Fabius
- Même scénario au Venezuela : désinformation, manipulations et exactions contre le pouvoir légal
- Syrie : un rapport du MIT devrait conduire Laurent Fabius devant la CPI à La Haye et devant la Haute Cour en France
- "Magnifiques" : affranchis des lobbies, c'est le commentaire du président du CIO et des sportifs, sur les JO de Sotchi
- Jean Doucet associe une fois de plus les ballets russes et la mode parisienne à l'Opéra Garnier


dimanche 23 février 2014

Sayed Hassan Nasrallah exhorte les milices à se retirer de la guerre en Syrie…


Le secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah a promis de vaincre les groupes takfiris qui mènent des attentats terroristes contre la banlieue Sud du Liban, et qui cherchent à renverser le pouvoir en Syrie pour semer la discorde dans la région…
Sayed Hassan Nasrallah exhorte les milices à se retirer de la guerre en Syrie…

"Je dis aux gens honorables dans la région : Si vous voulez qu'Israël rate les opportunités et si vous voulez épargner une grande discorde à la région, mettez fin à la guerre contre la Syrie. Faites sortir les miliciens de ce pays, et certes dans ce cas nous n'y resterons pas. Mettez fin à cette guerre en Syrie pour protéger la Palestine et la Liban."



Lire la totalité du discours : Sayed Hassan Nasrallah promet une victoire certaine contre les mécréants au Moyen-Orient

samedi 22 février 2014

Éloge de Flanby pour son intronisation au Panthéon… des cons de la République…


L'église Sainte-Geneviève, dénaturée après le parjure républicain récusant le vœu pieu de notre roi Louis XV
Monsieur le Président,

Il est vrai que votre vie privée ne me regarde pas… Sauf quand elle déteint aussi lamentablement sur la mienne.

Ainsi :
- Pendant que vous exigiez en place publique le mariage pour tous,
vous pratiquiez dans les alcôves la polygamie pour vous.
- Pendant que votre bras gauche ratissait mon bas de laine ,
votre bras droit bourrait le sien dans son coffre en Suisse.
- Pendant que les enfants d’islamistes manient la kalachnikov,
à l’école vous imposez à mon fils comment jouer à la poupée Barbie.
- Pendant que vous discriminez à tout propos le peuple français ,
vous le contraignez, par la préférence étrangère, à s’adapter à des mœurs tribales !

Bref, reconnaissez que vos actes gravissimes par leurs conséquences sur ma vie privée, me donnent le droit de connaître un peu plus la vôtre  !

Pour revenir à l’anecdotique galipette, lorsque je me vois ponctionner d’euros si durement économisés, moi, sujet normal, ne peux m’empêcher de penser qu’ils sont partis en fumée dans la pétarade de votre scooter, lors de vos randonnées nocturnes. Votre garde du corps en chef, aux célèbres coups de menton, n’y a vu paraît-il, qu’un casque non attaché, trop affairé qu’il était à traquer sur les boulevards, « M. Allahdonné » et les familles des années 30, motorisées en dangereuses poussettes.

Après l’opération Serval au Mali ce furent les opérations Services au lit

Vous aviez clamé, réclamé et déclamé être moi-je, président exemplaire. Nul n’a douté que ce fusse pour la bonne cause républicaine. Or, après l’opération Serval au Mali ce furent les opérations Services au Lit. En somme, après le commando, la libido . Toutefois prenez garde aux opérations « casse pipe » comme celle de DSK, cet autre friand du droit de cuissage. Comme une rame de métro, une Nafissatou peut en cacher une autre, en l’occurrence une éventuelle "Juliprétatou", avide de secrets d’état.

Sur votre promesse douze fois répétée d’inversion du chômage, je dois reconnaître que vous avez réussi à inverser sa courbe ascendante… par une courbe descendante du couchage, grâce à l’âge de plus en plus jeune de travailleuses intermittentes du spectacle (élyséen). Des emplois d’avenir, mais avec licenciement sec, public et sans appel !

Vu l’état catastrophique du pays, celui ci ne pourra bientôt plus vous offrir que des escapades en trottinette, qui raviront toutefois vos derniers écolos. À cet effet Monsieur le Président, il serait prévoyant de reprendre votre régime interrompu, en suivant un traitement adéquat.

Une cure en thalasso chez les gays

Presque tous vos sujets pousseraient la malice à vous proposer une cure en thalasso chez les gays. Celle-ci aurait deux avantages pratiques : tempérer vos instincts libidineux et tester ad hoc votre théorie du genre.

Enfin sachez que l’amour c’est comme la politique, le contrat repose sur la confiance ; or, tromperies et fourberies ne durent qu’un moment, Et vos coups de foudre fréquents ne peuvent qu’engendrer des coups d’état consternants.


Article original : Monsieur le Président votre vie privée ne me regarde pas… sauf quand elle déteint aussi lamentablement sur la mienne


jeudi 20 février 2014

Les Tirailleurs ont jadis sauvé la France, les citoyens musulmans la sauveront aujourd'hui à nouveau…


Convergence 2014…

Farida Belghoul

Une part des immigrés se détourne des politiciens de gauche pour observer ce peuple français qui n'abdique pas ses racines et son histoire.

Nous constatons, depuis quelques mois, un phénomène renversant qui fait peur aux socialistes et, disons-le, à toute la classe politique. Une part non négligeable des immigrés se détourne des politiciens de gauche pour observer de près ce peuple français qui n’abdique pas ses racines et son histoire. Celui qui veut croire, contre le fameux « progrès immuable », que la famille est encore l’avenir de l’homme et la France celui de l’Europe.

Quelles sont les raisons qui poussent à un rapprochement impossible des gens qui, jusque-là, s’étaient jugés réciproquement infréquentables ? J’en vois quatre…

La première et la plus vieille est une lassitude face à la délinquance qui, comme l’a dit ici même Xavier Raufer, touche en premier les familles des cités. Ce sont elles qui observent les trafics, et si certains en profitent, d’autres sont blessés dans leurs manières de vivre et de s’intégrer. Ceux-là sortant à l’extérieur des quartiers ressentent combien cette délinquance accentue la défiance des « Français de souches » et s’en insurgent.

La deuxième est le démantèlement de la famille traditionnelle entrepris par le gouvernement. Il est évident qu’issue d’une culture où l’on respecte les « chibanis », où le rôle de l’homme et de la femme sont aussi différents, une telle population a du mal à accepter les changements sociétaux qui conduisent au « gender » et à l’euthanasie. Aussi observe-t-elle avec intérêt, quand elle n’y participe pas, les réactions de la Manif Pour Tous face à la mainmise de l’État sur les enfants. Farida Belghoul en est le meilleur exemple.

La troisième, plus ponctuelle, est l’acharnement de Valls contre Dieudonné. On l’a bien vu avec les sondages qui ont fait chuter dans le cœur des Français notre ministre de l’Intérieur. L’humoriste, par son antisionisme frôlant l’antisémitisme, a rallié à lui des jeunes qui, par esprit de clan, se sentent concernés par l’Intifada. Or, Dieudonné s’est bien gardé de confondre l’État et la nation. En proposant à ses affidés de participer à la manif Jour de colère, son message était simple : on vous instrumentalise avec l’antiracisme, les gens de gauche vous utilisent comme piétaille, ouvrez les yeux, vous avez autant le droit que d’autres d’être des patriotes.

Dernier point, plus psychologique. Difficile pour des nouveaux citoyens d’aimer un pays qui se dévalorise lui-même aux yeux de l’étranger. Un pays qui vous apprend que tout devient universel et que la notion de patrie n’est qu’une vieille peau dont il faut se séparer pour participer aux agapes de la mondialisation. Or, depuis un an, les manifestations continuelles de millions de personnes, drapeaux tricolores à la main, ont montré que les Français, attachés à leur terre hexagonale, refusaient ce message. Autant on méprise dans la mentalité d’Afrique (du Nord ou subsaharienne) un pays qui renie racines et histoire, autant on accepte de s’intégrer dans une nation renouant avec son passé glorieux. Cette même idée entraîna tirailleurs spahis ou goumiers à servir, non par pure obligation, mais par fierté dans l’armée française.

En conclusion : jusqu’où peut aller une telle alliance de circonstance ? Peut-elle résister aux méfiances réciproques ? Les mois et années qui viennent nous le diront, mais c’est avec curiosité et sympathie que je constate ce phénomène où le creuset d’une nation rapproche nouveaux et anciens habitants sur un même territoire.

J.-P. Fabre Bernadac


J.-P. Fabre Bernadac chez boulevard Voltaire : L’Alliance qui fait peur au gouvernement ?

Hommage sacrilège de Flanby aux soldats musulmans sacrifiés pour la France…




Convergence 2014: conférence de presse pour le retrait de la théorie du genre à l'école :



















Direct de la conférence de presse de Farida Belghoul, d’Alain Escada, de Béatrice Bourges et de Christine Boutin sur l’interdiction de la théorie du genre à l’école (Vidéo)



Grâce à Farida Belghoul, les catholiques se lâchent et les musulmans se libèrent…
et…  les imams logorrhéiques de Riposte Laïque [Brazon, Csssen, Tassin…] "consternés" (!) avalent leur tapis de prière…

Décidément, l’actuel gouvernement est épatant, obligeant des gens n’ayant pas forcément vocation à se rencontrer à désormais se côtoyer.

Le 19 février dernier, conférence de presse du mouvement Journée de retrait de l’école, menée par Farida Belghoul. Conférence de presse d’un genre inédit, sachant que la « grande presse » n’y était pas conviée, Farida Belghoul, ex-égérie de la seconde Marche des beurs, millésime 1984, n’avait souhaité recevoir que les médias « alternatifs » ; ce qui faisait tout de même pas mal de monde. Pas mal de monde sur la tribune, aussi. Qu’on en juge :

Christine Boutin (présidente d’honneur du Parti démocrate-chrétien), Béatrice Bourges (porte-parole du Printemps français), Alain Escada (président de Civitas), Albert Ali (essayiste, Rassemblement des musulmans souverainistes), Nabil Ennasri (essayiste), Mourad Salah (élu municipal), Ahmed Miktar (président du Conseil des imams de France), Jean-Pierre Dickès (président de l’Association catholique des infirmières et médecins) ainsi que l’abbé Guillaume de Tanoüarn.

Décidément, l’actuel gouvernement est épatant, obligeant des gens n’ayant pas forcément vocation à se rencontrer à désormais se côtoyer. L’occasion aussi de vider quelques abcès. Béatrice Bourges qui houspille le clergé catholique pour sa pusillanimité. Farida Belghoul qui tire les oreilles des imams pour leur tiédeur, alors qu’il y a incendie dans la baraque.

De fait, il y a là le gratin de la galaxie franco-musulmane, allant de la gauche à la droite du spectre en question. Mais aussi la crème des catholiques de tradition, pas toujours d’accord entre eux, comme il se doit. Mais encore des personnalités issues d’autres univers, juifs et protestants. Rencontre improbable mais qui, pourtant, a bel et bien eu lieu. Au cœur du débat, cette fichue théorie du genre. Là, mise en pièces de tout côtés.

D’un point de vue théologique, tout d’abord. Sous le signe de l’entente islamo-chrétienne, l’abbé Guillaume de Tanouärn rappelle à juste titre que le champ sociétal et politique est le seul permettant un véritable dialogue interreligieux, loin d’un vague syncrétisme mou. Ce à quoi les imams présents ne peuvent qu’applaudir ; ce qu’ils font, d’ailleurs.

Cette famille, microsociété, fondement des sociétés humaines, au-delà des frontières et des religions, d’autres l’ont encore défendue, sous l’angle médical, par la voix d’un Jean-Pierre Dickès, assurant à des journalistes en ayant pourtant vu d’autres que 42 % des transsexuels finissaient par se suicider… De douleurs physiques et, surtout, de souffrances morales. À ce titre, la description physique de ces opérations a de quoi faire froid dans le dos, dans le bas des reins et même jusqu’au fond du calbut… Il est bien que de temps à autre les choses soient dites pour de vrai.

Pour le reste, Alain Escada, président de l’association Civitas, fait en quelque sorte le greffier. Qui, à l’aide de seuls documents administratifs, parfaitement officiels et tous disponibles sur Internet, démonte minutieusement ce qui commence à s’apparenter à un mensonge d’État.

Alors oui, et sans même évoquer la naissance d’un « Front du sacré » dont les contours sont éventuellement encore à définir, quelque chose d’historique s’est passé ce jour-là. Comme une hirondelle qui annoncerait un joli printemps français.



mercredi 19 février 2014

Hommage sacrilège de Flanby aux soldats musulmans sacrifiés pour la France…


Le tambour du régiment, un officier arabe, l'officier français porte étendard, un soldat indigène, la cantinière
(estampe du Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, datant du 3ème quart du 19e siècle)

La mosquée de Paris inaugurée le 15 juillet 1926 en hommage aux soldats musulmans morts pour la France


L'infâme criminel compulsif DeGaulle était-il "maurassien" ?

En France, "chez les Protecteurs et chez les Vainqueurs"… Il est bien loin ce temps là où les Français pouvaient se croire "Protecteurs et Vainqueurs" (avec majuscules, s'il vous plaît !)… DeGaulle est passé par là… Alors qu'il s'agissait de manifester une gratitude vaillamment méritée à ceux qui, volontaires ou non, avaient servi la France avant et lors de la Première grande Guerre, Mauras se permettait à leur égard des propos aussi ingrats que méprisants… Des propos dont nous entendrons plus tard l'écho répercuté par DeGaulle… en justification de sa politique d'abandon et de ses crimes… Propos "maurassiens", propos renvoyés par DeGaulle qui ne peuvent aujourd'hui qu'être amplifiés par les ashkénazes et leurs larbins exacerbant la haine de l'islam pour consolider un pouvoir pourtant déjà bien incrusté… Alors que répondre aujourd'hui au mépris, plus qu'à la haine, que nombre de jeunes musulmans vouent à cet ancien prétendu "Protecteur et Vainqueur", la France qui depuis n'a connu que la honte de la défaite et de la trahison ?…


Mosquée de Paris le 15 juillet 1926…
Charles Mauras était-il malgré tout dans l'assistance ?
"Quelques rues du centre de Paris sont égayées par les très belles robes de nos visiteurs marocains. Il y en a de vertes, il y en a de toutes les nuances. Certains de ces majestueux enfants du désert apparaîtraient "vêtus de probité candide et de lin blanc" si leur visage basané et presque noir ne faisait songer au barbouillage infernal. Que leurs consciences soient couleur de robe ou couleur de peau, leurs costumes restent enviables ; le plus négligent des hommes serait-il capable des frais de toilette qui aboutiraient à ces magnifiques cappa magna, à ces manteaux brodés de lune et de soleil ? Notre Garde républicaine elle-même, si bien casquée, guêtrée et culottée soit-elle, cède, il me semble, à la splendeur diaprée de nos hôtes orientaux. Toute cette couleur dûment reconnue, il n'est pas moins vrai que nous sommes probablement en train de faire une grosse sottise. Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon. II n'y a peut-être pas de réveil de l'Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l'on fait se trouve être aussi la plus vaine des choses. Mais, s'il y a un réveil de l'Islam, et je ne crois pas que l'on en puisse douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l'Islam représente plus qu'une offense à notre passé : une menace pour notre avenir.

On pouvait accorder à l'Islam, chez lui, toutes les garanties et tous les respects. Bonaparte pouvait se déchausser dans la mosquée, et le maréchal Lyautey user des plus éloquentes figures pour affirmer la fraternité de tous les croyants : c'étaient choses lointaines, affaires d'Afrique ou d'Asie. Mais en France, chez les Protecteurs et chez les Vainqueurs, du simple point de vue politique, la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse. Quelqu'un me disait hier :

- Qui colonise désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ?

J'aperçois, de ci de là, tel sourire supérieur. J'entends, je lis telles déclarations sur l'égalité des cultes et des races. On sera sage de ne pas les laisser propager, trop loin d'ici, par des hauts parleurs trop puissants. Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère.

Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l'amitié. Nous venons de commettre le crime d'excès. Fasse le ciel que nous n'ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse."

Charles Maurras, in L'Action Française du 13 juillet 1926, à la veille de l'inauguration de la Mosquée
La Garde républicaine à la Mosquée de Paris ce 18 juillet 2014



Pathétiques gesticulations d'un Flanby schizophrène en perdition…

Les gesticulations schizophrènes à Flanby ne trompent plus personne… À Alger ou ailleurs, hier ou demain, Flanby rend hommage au FLN coresponsable avec les séides à DeGaulle du massacre de milliers de harkis, soldats musulmans fidèles à la France jusqu'au martyre. Aujourd'hui à la veille d'une débâcle électorale, il se souvient des soldats musulmans sacrifiés au sein des armées françaises… dès 1854 et la guerre de Crimée jusqu'à nos jours… Flanby, récent invité d'un dîner de cons à Washington par le couple Obama, pantin de Netanyahu, pitre de l'Europe, suppléant inattendu de DSK propulsé au squat de l’Élysée par la conjonction des votes musulman et anti-sarkoziste ne sait plus à quel pathétique sketch se livrer pour capter l'attention de Français qui ne rient même plus de son ridicule…    

Création d'une armée coloniale

de l’Islam en France…

77 % des musulmans estiment que le PS est raciste et islamophobe

Et les musulmans morts pour la France entre 1954 et 1962 ?



mardi 18 février 2014

Dîner de cons à Washington : le couple Obama s'offre Flanby en invité d'honneur…

« I have two daughters and they are both gorgeous »
Un con "célébré" à Washington par un Obama ostensiblement narquois






Au sommaire de cette édition du 17 février 2014 :

- Dîner de cons à la Maison blanche : M. Bricolage invité d'honneur du couple Obama
- Rapport de la cour des comptes : tout le monde est au courant et tout le monde s'en fout
- Sacré petit pays que la Suisse, où c'est encore le peuple qui décide, envers et malgré tous
- La culture de mort progresse en Occident qui autorise désormais le meurtre de ses enfants malades
- L'Ukraine est foutue, le vampire des carpettes est dans ses rues
- Genève II se solde par un échec,  l'armée syrienne reprend le contrôle de son territoire et l'Otan essaye de couler les armes chimiques en Méditerranée
- Néo colonialisme en République Centre Africaine, la France refuse aux africains le droit de se prendre en mains
- 1914 année tragique pour la Russie des Tsars : tout commence dans les Balkans

La France est la vassale des États-Unis, voilà la seule chose à retenir de la visite de François Hollande outre-Atlantique



Pour le plaisir : Cérémonie d'ouverture des 22e Jeux Olympiques d'Hiver, à Sotchi




Pour le plaisir… alors que les commentaires affligeants d'incommensurable bêtise et de russophobie des journaleux de France2 ont gâché l'attente et le plaisir de centaines de milliers de téléspectateurs français…




lundi 17 février 2014

Les Traverses du pouvoir… les révolutions et les réseaux secrets depuis 1776




Édition française augmentée d’un chapitre par l’auteur. Traduit du néerlandais au français en 2013 par Christofora Christiaanse avec l’aide de Christiane van Rooyen-Boudart. Après une carrière militaire et familier de Renseignements aux Plans de l’État Major du ministère de la Défense à La Haye, Jean-Jules van Rooyen a fait des recherches pendant 12 ans, sur le monde caché. Derrière le monde artificiel des media et de la politique, il a découvert le grand mensonge, la soif du pouvoir et un monde totalitaire et sans borne ; le terrain de jeu des réseaux secrets qui ont programmé la perte des États de droit européen. De 1990 à 1998, l’écrivain a travaillé comme chroniqueur au "Journal de La Haye". En 2002, il a publié le livre Chrétien-Démocrate "Un mot de trop".

Ce livre continue et complète les études de Mgr Delassus (1921) dans La Conjuration Antichrétienne, celles de William Carr (1959) dans Des Pions sur L'échiquier, celles de Nesta Webster (1960) dans La Révolution Mondiale, complot contre la civilisation. Tous ceux qui ont lu ces livres seront très intéressés par ce nouveau titre qui n'a pas son pareil à l'heure actuelle dans l'analyse du complot judéo-maçonnique mondial. Commencée en 1789, avec la destruction de L'Église, la couronne, l'autorité, la famille et la propriété, la marche vers l'hégémonie mondiale de la Haute Finance Ashkenaze s'accéléra en 1913, avec la création révolutionnaire de la banque privée Fédérale Américaine (FED). La banque allait devenir l'argentier principal d'un siècle de guerres et de révolutions jusqu'à nos jours. Les peuples américains et anglais ont servi de tremplin pour la destruction de la civilisation judéo-chrétienne et pour l'édification du Nouvel Ordre Mondial satanique et aussi pour satisfaire une soif de pouvoir sans limites. En 1917, Lénine et Trotski ont donné naissance au premier empire pharisien, depuis plus de mille ans. À Yalta, en 1945, deux « frères rabbiniques », Roosevelt et Staline, se sont partagés le monde. Même l'Église n'a pas échappé à l'attentat du Concile en 1962, œuvre des maçons Jean XXIII et Paul VI.

Bruxelles, capitale de l'Union Européenne, promoteur d'une immigration de masse, de perversions culturelles, d'un continent perméable, sans frontières et déchristianisé, devint le centre maçonnique d'une nouvelle Union Soviétique. Mais en 2005, les peuples ont pris leur revanche, ils ne sont pas morts. Le naufrage de la « Constitution » Européenne, signifiait l'arrêt de la marche ininterrompue d'un monde luciférien opprimant les nations. Depuis lors, toutes les offensives ont échoué. En 2008, la crise bancaire n'a pas débouché sur une déstabilisation des nations européennes. En 2009 à Copenhague, le mythe du climat fut démasqué et en 2013, le « Printemps arabe » a échoué en Égypte et en Syrie, le chaos absolu a été évité.

Après 12 ans de recherches, l'écrivain fait découvrir le grand mensonge d'un monde totalitaire, un monde sans Dieu, régit par Lucifer à travers de nombreux réseaux secrets maçonniques, pour programmer la perte des peuples et la destruction des États de droit.

vendredi 14 février 2014

Saint-Valentin : le Taj Mahal, pèlerinage universel des amoureux…




14 février 2014 : le Taj Mahal vu depuis l'autre rive de la Yamuna, le Mehtab Bagh (jardin du Clair de Lune)


D’une vie d’errance et de voyages, sans doute une seule vraie très grande douleur… C’était pour Noël 1974, je me faisais un immense plaisir à l’idée de me recueillir pour la naissance de Jésus au village chrétien de Bethléem, bien qu’en Palestine occupée… Malheureusement cela ne fut possible qu’au prix de brimades administratives et la contrainte d'affronter l'arrogance de l’envahisseur juif en sollicitant un laissez-passer !… Blessure et humiliation qui jamais ne s’effaceront… Réfutons donc définitivement les infamantes calomnies colportées sur l’islam par nos ennemis de l’ombre les sionistes, calomnies confortées par  leurs complices idiots-utiles exhibitionnistes islamistes niais propagateurs de métastases du cancer "israélien", dès lors incurable dans toute son ampleur terroriste… … En cette Saint-Valentin retrouvons les plus belles heures passées et célébrons les amours éternelles telles que nous les suggèrent de somptueuses pages de l’histoire de l’islam…


Mohabbat the Taj : la saga de l'amour



En l'an 1607, par un bel après-midi une grande fête anime le bazar royal… Les nobles pensionnaires du harem royal s'affairent à leurs achats… huiles, parfums, soieries… Les hommes sont strictement interdits au bazar de Meena, attenant au harem. Si l'un d'eux se faisait prendre, le bourreau lui trancherait les mains. Mais il y a des exceptions, des jours très particuliers où les rôles s'inversent, comme lors de notre carnaval catholique. Le bazar de Meena ouvre alors ses portes, la foule s'y presse, seigneurs et humbles, toutes classes confondues. Les courtisanes d'ordinaire si réservées, deviennent bruyantes, interpellent les uns et les autres. La musique et la danse sont de la fête. Les jeunes gens de l'aristocratie rivalisent en des joutes oratoires, c'est à qui trouvera la meilleure rime, qui sera le plus spirituel pour mieux capter l'attention des jeunes filles.

Le Prince Khurram, petit-fils d'Akbar, fils de l'empereur moghol régnant Jahangir, est un bien beau jeune homme de 16 ans, ses talents s'affirment déjà depuis plusieurs années… Au bazar Meena, soudain il tombe en arrêt, son regard vient de croiser celui de la belle princesse Arjumande Banu Begam, 15 ans. Une jeune fille tout aussi belle et talentueuse que le jeune prince. Coup de foudre. Dès l'aube, le lendemain, le prince sollicite de l'empereur son père l'autorisation d'épouser Arjumande. Jahangir accepte, mais diffère la date. L'année suivante, cependant le Prince Khurram est marié, non pas à sa désirée, mais à une autre princesse perse. Grâce au Ciel, la coutume musulmane n'exige pas la monogamie ; au contraire, les princes monghols se doivent d'entretenir de nombreuses concubines. Les apparences seront sauvées.

Les amoureux attendront encore cinq ans, sans droit ni de se parler ni se rencontrer… L'astrologue de la cour a fixé la date du mariage au 27 mars 1612. La cérémonie se déroule chez la fiancée comme l'exige la coutume musulmane. À minuit, le roi convie ses invités à partager un somptueux festin, honneur fort rare. Fasciné par le charme de sa nouvelle belle-fille, Jahangir lui accorde de nombreux privilèges dont celui de changer son nom. Désormais, elle serait "Mumatz Mahal" autrement dit "La Préférée du Palais".

Après le mariage, les jeunes époux restent des amants inséparables. Mumtaz Mahal allie beauté et élégance à des qualités de cœur appréciées de tous, elle est présentée comme modèle de la femme idéale. Le prince est devenu, quand à lui un homme accompli… Mais ce n'est que 16 ans plus tard, le 4 février 1628, qu'il accède au trône et devient le cinquième empereur moghol, Shah Jahan.

En dix-neuf années de vie commune, Mumtaz Mahal donna à l'empereur Shah Jahan quatorze enfants dont seulement sept vécurent. En 1630, alors que Shah Jahan dû aller réprimer la rébellion de Khan-e-Jahan Lodi à Burhanpur, dans le Deccan, Mumatz Mahal l'accompagna bien qu'elle fut enceinte. La naissance de l'enfant était annoncée et l'Empereur en reçut la nouvelle : leur quatorzième enfant, Gauhar Ara Begun, une fille en bonne santé venait de naître, mais aucune information quant à la santé de la mère. Des messagers furent envoyés et ce n'est que tard dans la nuit que l'Empereur apprit les mauvaises nouvelles : Mumtaz Mahal était au plus mal et le demandait. Shah Jahan se rendit immédiatement au chevet de sa bien-aimée, et ne la quitta plus. Au matin, elle s'endormit à tout jamais. L'Empereur se retira une semaine entière dans ses appartements, et quand il en sortit, il ordonna la construction d'un grandiose mausolée en mémoire de Mumtaz Mahal.

L'on dit que Mumatz Mahal aurait formulé deux souhaits avant de mourir, que son époux n'ait plus jamais d'autres enfants, qu'il fasse construire un monument à sa mémoire, un édifice capable de défier le temps pour proclamer l'éternité de leur amour. Les travaux débutèrent en 1632, et durèrent plus de vingt-deux ans. On fit appel aux meilleurs architectes, ouvriers et artisans venus de Perse, d'Europe, de l'Empire Ottoman…



Déposé et prisonnier de son fils Aurangzeb, de cette fenêtre du fort d'Agra
Shah Jahan a pu contempler le Taj Mahal  jusqu'à sa mort…
La qualité d'un amour n'implique pas la loyauté de la progéniture…

Sur la rive de la Yamuna, le Taj Mahal [تاج محل : "la couronne du palais", nom abrégé de celui de Muntaz] bâti de marbre blanc abrite la tombe de Mumtaz Mahal. Il a été imaginé et conçu comme un véritable joyau et, selon la lumière, se reflète sous des couleurs changeantes tout au long du jour, rappelant souplesse et changements d'humeur de la femme : rose à l'aurore, éclatant de blancheur à midi, doré au couchant, mystérieusement lumineux sous la clarté lunaire. L'harmonie des formes, l'élégance des lignes, la richesse des décors… toute la construction symbolise le caractère intemporel de l'amour et la beauté de Mumtaz Mahal. Le rêve universel de tous les amoureux…





Mohabbat the Taj : la saga de l'amour

a contrario :

La Saint-Valentin, un cadeau empoisonné pour la jeunesse thaïlandaise : "Valentine’s Day" ou "Losing Virginity Day" ?

Et encore, des amours tragiques au Taj Mahal…