Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 19 février 2014

Hommage sacrilège de Flanby aux soldats musulmans sacrifiés pour la France…


Le tambour du régiment, un officier arabe, l'officier français porte étendard, un soldat indigène, la cantinière
(estampe du Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, datant du 3ème quart du 19e siècle)

La mosquée de Paris inaugurée le 15 juillet 1926 en hommage aux soldats musulmans morts pour la France


L'infâme criminel compulsif DeGaulle était-il "maurassien" ?

En France, "chez les Protecteurs et chez les Vainqueurs"… Il est bien loin ce temps là où les Français pouvaient se croire "Protecteurs et Vainqueurs" (avec majuscules, s'il vous plaît !)… DeGaulle est passé par là… Alors qu'il s'agissait de manifester une gratitude vaillamment méritée à ceux qui, volontaires ou non, avaient servi la France avant et lors de la Première grande Guerre, Mauras se permettait à leur égard des propos aussi ingrats que méprisants… Des propos dont nous entendrons plus tard l'écho répercuté par DeGaulle… en justification de sa politique d'abandon et de ses crimes… Propos "maurassiens", propos renvoyés par DeGaulle qui ne peuvent aujourd'hui qu'être amplifiés par les ashkénazes et leurs larbins exacerbant la haine de l'islam pour consolider un pouvoir pourtant déjà bien incrusté… Alors que répondre aujourd'hui au mépris, plus qu'à la haine, que nombre de jeunes musulmans vouent à cet ancien prétendu "Protecteur et Vainqueur", la France qui depuis n'a connu que la honte de la défaite et de la trahison ?…


Mosquée de Paris le 15 juillet 1926…
Charles Mauras était-il malgré tout dans l'assistance ?
"Quelques rues du centre de Paris sont égayées par les très belles robes de nos visiteurs marocains. Il y en a de vertes, il y en a de toutes les nuances. Certains de ces majestueux enfants du désert apparaîtraient "vêtus de probité candide et de lin blanc" si leur visage basané et presque noir ne faisait songer au barbouillage infernal. Que leurs consciences soient couleur de robe ou couleur de peau, leurs costumes restent enviables ; le plus négligent des hommes serait-il capable des frais de toilette qui aboutiraient à ces magnifiques cappa magna, à ces manteaux brodés de lune et de soleil ? Notre Garde républicaine elle-même, si bien casquée, guêtrée et culottée soit-elle, cède, il me semble, à la splendeur diaprée de nos hôtes orientaux. Toute cette couleur dûment reconnue, il n'est pas moins vrai que nous sommes probablement en train de faire une grosse sottise. Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon. II n'y a peut-être pas de réveil de l'Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l'on fait se trouve être aussi la plus vaine des choses. Mais, s'il y a un réveil de l'Islam, et je ne crois pas que l'on en puisse douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l'Islam représente plus qu'une offense à notre passé : une menace pour notre avenir.

On pouvait accorder à l'Islam, chez lui, toutes les garanties et tous les respects. Bonaparte pouvait se déchausser dans la mosquée, et le maréchal Lyautey user des plus éloquentes figures pour affirmer la fraternité de tous les croyants : c'étaient choses lointaines, affaires d'Afrique ou d'Asie. Mais en France, chez les Protecteurs et chez les Vainqueurs, du simple point de vue politique, la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse. Quelqu'un me disait hier :

- Qui colonise désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ?

J'aperçois, de ci de là, tel sourire supérieur. J'entends, je lis telles déclarations sur l'égalité des cultes et des races. On sera sage de ne pas les laisser propager, trop loin d'ici, par des hauts parleurs trop puissants. Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère.

Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l'amitié. Nous venons de commettre le crime d'excès. Fasse le ciel que nous n'ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse."

Charles Maurras, in L'Action Française du 13 juillet 1926, à la veille de l'inauguration de la Mosquée
La Garde républicaine à la Mosquée de Paris ce 18 juillet 2014



Pathétiques gesticulations d'un Flanby schizophrène en perdition…

Les gesticulations schizophrènes à Flanby ne trompent plus personne… À Alger ou ailleurs, hier ou demain, Flanby rend hommage au FLN coresponsable avec les séides à DeGaulle du massacre de milliers de harkis, soldats musulmans fidèles à la France jusqu'au martyre. Aujourd'hui à la veille d'une débâcle électorale, il se souvient des soldats musulmans sacrifiés au sein des armées françaises… dès 1854 et la guerre de Crimée jusqu'à nos jours… Flanby, récent invité d'un dîner de cons à Washington par le couple Obama, pantin de Netanyahu, pitre de l'Europe, suppléant inattendu de DSK propulsé au squat de l’Élysée par la conjonction des votes musulman et anti-sarkoziste ne sait plus à quel pathétique sketch se livrer pour capter l'attention de Français qui ne rient même plus de son ridicule…    

Création d'une armée coloniale

de l’Islam en France…

77 % des musulmans estiment que le PS est raciste et islamophobe

Et les musulmans morts pour la France entre 1954 et 1962 ?



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