Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 6 mai 2013

La Voix de la Russie : "Mur des cons"… c'est tout pourri en Flanbyland…



Bienvenue pour cette nouvelle édition du journal télévisé de La Voix de la Russie…

Au sommaire de cette édition du 6 mai 2013 :

- Le "mur des cons" du Syndicat de la Magistrature : une honte pour la Justice en France
- Il y a quelque chose de pourri en Hollandie : sans doute sa classe politique ?
- Semaine sociale en France : du FN au FG en passant par les syndicats, tous envient la "Manif pour Tous" !
- Russie : une politique de défense ?
- Offensive Paris fête le centenaire de la création du Sacre du Printemps de Stravinsky.

En bref, mais en détail :

- Colloque franco-russe sur la corruption : la Russie a les solutions, Paris les corrompus ?
- Mr Bricolage en Chine : quand une caisse à outils part à la conquête de la manufacture du Monde ?
- Les relations russo-nippones sont au beau fixe
- La Norvège n'apprécie ni les Roms ni les Français.


dimanche 5 mai 2013

5-Mai : Fête du Couronnement - วันฉัตรมงคล : วันที่ 5 พฤษภาคม ของทุกปี



Après le décès accidentel de son frère  âgé de 20 ans, le Roi Ananda Mahinol (Rama VIII), Sa Majesté le Roi Bhumibol Adulyadej (Rama IX), accède au trône le 9 juin 1946 [2489] à l'âge de 18 ans. Encore mineur, le Roi doit donc régner sous un Conseil de régence. Après des études en Suisse, le prince Bhumibol revient en Thaïlande en  1950 où il se mariera avec la princesse Sirikit Kitiyakorn et sera couronné le 5 mai 1950 [5 พฤษภาคม 2493]. La fête Chatmongkol [วันฉัตรมงคล], célèbre le couronnement du roi de Thaïlande le 5 mai de chaque année.

samedi 4 mai 2013

Le Président Andry Rajoelina, 41è candidat sur la liste définitive de la CES




Le Président Andry Rajoelina est le 41è candidat sur la liste définitive de la Cour Électorale Spéciale… En application de la décision n°01-CES/D du 3 mai 2013 par laquelle la Cour Électorale Spéciale a fixé la liste des candidats retenus pour l'élection présidentielle du 24 juillet 2013, le Président Andry Rajoelina devrait démissionner de ses fonctions actuelles au moins 60 jours avant la date de l'élection…
"article 7.- Monsieur Andry Nirina RAJOELINA, Président de la Transition en exercice, candidat, doit démissionner de son poste soixante jours avant la date du 24 juillet 2013."
"En ce qui concerne la candidature de Monsieur Andry Nirina Rajoelina", la CES a précisé qu’elle était "soucieuse du principe de la liberté de tout citoyen de se porter candidat à toutes les élections afin de permettre à tout un chacun de choisir librement celui ou celle qui dirigera leur destinée, pour instaurer un climat d’apaisement permettant de tenir des élections justes, crédibles et acceptées par tous".

Parmi les candidats retenus, figurent l’ancien président Didier Ratsiraka ainsi que l’épouse du fugitif Marc Ravalomanana, affairiste et prosélyte sectaire par qui tous les récents malheurs de Madadagascar sont arrivés…

Dans un contexte politique pollué par la profusion des ambitions et rivalités individuelles, la CES a voulu justifier pourquoi, bien qu’elle soit inéligible selon le code électoral, l'épouse de Marc Ravalomanana était finalement autorisée à se présenter au nom de la "mouvance" de son mari, toujours fugitif en Afrique du Sud.

Elle n’est revenue à Madagascar qu’en mars et ne remplit donc pas l’obligation de six mois de résidence physique avant le scrutin. M. Didier Ratsiraka, au pouvoir de 1975 à 1993 puis de 1997 à 2002, résidant en France, revenu à Madagascar qu'en avril, aurait également dû être disqualifié pour la même raison.

Mais selon la CES, "leur absence sur le territoire malgache résulte de faits et de circonstances indépendantes de leur volonté de rentrer à Madagascar".

Le premier tour de l’élection présidentielle malgache est prévu le 24 juillet et le deuxième le 25 septembre.



vendredi 3 mai 2013

La Guerre eschatologique : pleins feux sur le dernier livre d'Hervé Ryssen



L’eschatologie, c’est l’étude de la fin des temps. Dans les trois grandes religions monothéistes que sont le judaïsme, le christianisme et l’islam, il y a cette croyance que le monde que nous connaissons a été créé par Dieu, mais qu’il doit aussi se terminer.

Les cataclysmes, les guerres et toute sorte d’événements terrifiants qui doivent avoir lieu se retrouvent dans chacune de ces grandes traditions, ainsi que chez les anciens Aryas et dans la mythologie nordique. Du combat final contre les forces du mal – la grande guerre de la fin des temps – naîtra un monde régénéré, d’où seront bannis les incroyants et les hérétiques.

L’histoire a donc un sens : celui que lui donnent les hommes. On voit ici que la ligne de fracture ne se situe pas tant entre les adeptes d’une vision linéaire et les adeptes d’une vision cyclique de l’histoire, qu’entre ceux qui croient à une victoire terrestre et qui s’activent en ce sens, d’un côté, et ceux qui vivent dans la nostalgie d’un Âge d’or passé ou la vague espérance d’un paradis éternel dans l’au-delà.

C’est l’eschatologie qui permet de comprendre pourquoi, aux États-Unis, des millions de chrétiens évangéliques sont les plus fervents partisans de l’État d’Israël.

C’est l’eschatologie qui permet de comprendre pourquoi les musulmans sont aujourd’hui leurs ennemis les plus acharnés.

C’est l’eschatologie qui permet de comprendre le triomphe de l’idéologie mondialiste, le long déclin de l’Église catholique et la crise morale que traverse l’Occident.


La Guerre eschatologique

Entretien avec Hervé RYSSEN

extrait de Rivarol n° 3092 du vendredi 3 mai 2013

RIVAROL : Vous faites paraître cette semaine votre neuvième livre. Cette fois-ci, vous traitez d’eschatologie. Pourriez- vous d’abord expliquer aux lecteurs de RIVAROL ce qu’est l’eschatologie ?
Hervé RYSSEN : L’eschatologie, pour faire court, c’est l’étude de la fin des temps. Dans les trois grandes religions monothéistes que sont le judaïsme, le christianisme et l’islam, il y a cette croyance que le monde que nous connaissons doit se terminer un jour. Dans chacune de ces traditions — mais aussi dans la mythologie nordique — des cataclysmes, des guerres et toute sorte d’événements terrifiants doivent se succéder et précéder le combat final contre les forces du mal, duquel naîtra un monde régénéré. On retrouve ce schéma à chaque fois.

R. : Quels enseignements avez-vous tirés de votre étude ?
H. R. : L’eschatologie nous apprend précisément que ces trois religions sont incompatibles les unes avec les autres, pour la simple et bonne raison que leur vision de l’avenir diverge sur ce point fondamental : à la fin des temps, une, et une seule, doit triompher ! Les autres doivent se convertir (chez les chrétiens et les musulmans), ou disparaître purement et simplement. Chez les juifs, en effet, il n’y a pas cette volonté de convertir les autres au judaïsme. Tout le militantisme juif, toute la propagande des intellectuels juifs (à travers leurs discours, leurs films, leurs romans, etc.) consiste à discréditer chez les autres l’idée de religion, de race, de patrie, et tout sentiment d’appartenance, et ce, afin d’élever les juifs au-dessus de la masse des “goys”. Quand toutes les nations auront été détruites, transformées en sociétés multiculturelles, quand toutes les religions auront été anéanties et qu’un gouvernement mondial aura été instauré — sans doute après une grande guerre — une paix « absolue et définitive » régnera sur le monde, pensent-ils. C’est alors que leur messie tant attendu viendra. Les juifs, qui auront su garder leurs traditions, seront alors reconnus par tous comme le “peuple élu de Dieu”.

R. : Le suprématisme juif n’est pas une exception. Les musulmans veulent eux aussi imposer leur domination sur le monde..
H. R. : Il y a effectivement aussi dans l’islam cette idée que toute la terre doit se soumettre et accepter le message du Prophète. Mais, comme je vous le disais, il s’agit ici de convertir les autres, et non de les détruire. L’islam n’est pas une secte fermée, comme le judaïsme, mais une religion ouverte, universaliste, tout comme le christianisme, d’ailleurs. Il ne faut cependant pas perdre de vue qu’on trouve à plusieurs reprises dans le Coran l’idée de combattre les infidèles, les armes à la main, s’il le faut. En tant qu’“infidèle”, ça me gêne un peu au niveau du col !

R. : Certains patriotes français pensent que les juifs, ou au moins certains juifs, peuvent être des alliés face à la poussée de l’islam en Europe. Qu’en pensez-vous ?
H. R. : Depuis une dizaine d’années, une poignée d’intellectuels juifs, qui étaient auparavant de fervents défenseurs de l’immigration, ont effectivement retourné leurs batteries et se sont soudainement transformés, comme par magie, en super-patriotes français, « plus français que les Français », depuis qu’ils se sont aperçu que tous ces immigrés musulmans qu’ils avaient contribué à faire entrer chez nous n’étaient pas forcément leurs amis. Leur objectif n’est pas de renvoyer ces immigrés dans leurs pays d’origine, mais de les intégrer en douceur, en cassant la force de l’islam. Ils l’ont dit et répété. D’autre part, le discours contre le « fascisme islamique » (“fascislamisme”, écrivait déjà Bernard-Henri Lévy en 2006) est un moyen de préparer les esprits à une guerre contre l’Iran, pays qui ne nous menace pas du tout, en tant que Français, mais qui représente un obstacle pour l’État sioniste au Proche-Orient. Cette rhétorique fallacieuse est donc un attrape-nigauds. En ce qui nous concerne, nous sommes foncièrement opposés à l’implantation massive d’immigrés du tiers-monde sur notre sol, qu’ils soient musulmans ou pas ; et sur le plan international, nous sommes totalement du côté de la Syrie, de l’Iran, ainsi que de tous les pays qui s’opposent à l’axe occidentalo-sioniste. Que les juifs fassent leur guerre eux-mêmes, pour une fois !

R. : Comment les théologiens musulmans envisagent-ils la fin de cette confrontation contre le monde occidental et le sionisme ?
H. R. : Un théologien comme Imran Hosein a parfaitement compris que l’Occident “chrétien” est aujourd’hui largement judaïsé, du fait d’une propagande cosmopolite incessante dans les médiats. « L’avortement, l’homosexualité, le lesbianisme, l’adultère sont légalisés aujourd’hui… », écrit-il. Ils sont « devenus juifs », dit-il des Européens, à juste raison. Imran Hosein dénonce aussi avec force les manœuvres occidentales en vue de l’instauration d’un « gouvernement mondial ». Pour lui, en tout cas, les choses sont très claires : Dieu a puni une première fois les juifs avec une armée babylonienne ; il les a punis une deuxième fois avec une armée romaine ; la troisième punition sera le fait d’une armée musulmane ; et cette fois-ci, ce sera la bonne ! Quant aux chrétiens, qui n’ont pas su se préserver du nihilisme juif, ils devront cesser d’adorer Jésus comme s’il était Dieu et « seront contraints de le reconnaître comme Prophète ». On note ici une différence de ton entre les musulmans, qui reconnaissent Jésus comme un prophète, et les juifs, qui, dans leur Talmud, insultent le Christ et considèrent qu’il est le fils d’une prostituée et d’un soldat romain. Dans l’eschatologie musulmane, Jésus est aussi parfois considéré comme le “Mahdi” (Celui qui est guidé par Dieu), qui vaincra l’Antéchrist à la fin des temps. Car il y a aussi un “Antéchrist” chez les musulmans. Ils l’appellent le “Dajjal” ; et comme chez les chrétiens, l’Antéchrist, qui viendra persécuter les fidèles avant d’être finalement vaincu, est issu de la secte juive, ce qui n’est guère étonnant !

R. : Quelles différences voyez-vous entre l’eschatologie chrétienne et l’eschatologie musulmane ?
H. R. : La différence essentielle est que les musulmans croient à un triomphe terrestre, tout comme les juifs, tandis que les chrétiens, et notamment les catholiques, semblent avoir renoncé à toute idée de victoire sur cette terre. L’eschatologie des catholiques est confuse, pour tout vous dire, et n’est pas mobilisatrice, comme chez les juifs ou chez les musulmans chiites, qui travaillent à faire venir leur messie. Dans de rares textes, on peut croire à une évangélisation de toutes les nations. C’est la “sixième période” de l’Église, décrite par le vénérable Barthélémy Holzhauser, qui précède la grande apostasie. À la période suivante, celle de l’Antéchrist, on lit que « la seule victoire possible, pour les chrétiens, en ces jours si terribles, sera d’être vaincus, persécutés, tourmentés et mis à mort, en demeurant fidèles, constants et fermes ». Cet exemple est symptomatique. On voit que les chrétiens sont désarmés, moralement, et les héros qu’ils pourraient être sont transformés en martyrs. Dans l’église conciliaire d’après le concile de Vatican II (1962-1965), l’eschatologie est encore plus démobilisatrice. Cette fois-ci, l’église conciliaire semble avoir épousé la cause du judaïsme. Elle doit être humble, et semble attendre le gouvernement mondial et le règne de l’Antéchrist avec impatience ! La conversion des juifs ? Elle est renvoyée à la fin des temps, et ce n’est jamais du fait du zèle évangélique des catholiques. Il n’y a donc pas ici d’activisme messianique. « Personne ne regrettera les cathédrales gothiques », fruit de notre “orgueil”, écrit un théologien, avec l’imprimatur de l’évêché de Paris. On a vraiment l’impression d’un élan suicidaire. Il n’est donc pas étonnant, dans ces conditions, de constater que nos ennemis avancent, et que nous reculons. Tout nous paraît on ne peut plus normal.

R. : Qu’en est-il de la “Weltanschaung” du milieu païen ? Pouvez-vous nous-en dire un mot ?
H. R. : Le milieu païen en général nourrit une eschatologie qui est assez peu combative. C’est très facile à comprendre : depuis des décennies, le principal penseur de ce courant de pensée, Alain de Benoist, a ressassé cette idée que chez les Européens d’avant le christianisme, l’histoire était cyclique, et non linéaire. Et tous les penseurs de cette mouvance, après lui, on répété à satiété le mot de Nietzsche : « Ce qui doit tomber, il ne faut pas le retenir, mais le pousser ». Ce qui fait que, tout naturellement, nombre de militants de cette mouvance pensent que le mieux à faire est de regarder mourir cette civilisation, et même d’encourager la décadence, convaincus qu’ils sont qu’un nouveau cycle renaîtra une fois que tout aura été détruit. Ils ne se rendent même plus compte qu’à la fin de ce cycle, les hommes blancs seront morts et enterrés, et qu’ils auront laissé le champ libre à leurs ennemis. Les meilleurs d’entre eux se réclament d’un « pessimisme combatif ». Les esprits moins politiques sont les “traditionalistes”, adeptes de René Guénon et de l’Italien Julius Evola. Pour ce courant de pensée, l’histoire est un long déclin, un éloignement progressif de la « Tradition primordiale », et ce, depuis quelques dizaines de milliers d’années (ou quelques centaines de milliers, selon les interprétations !) Après l’Âge d’or, il y eut un Âge d’argent, puis un Âge de bronze. Nous sommes aujourd’hui dans le quatrième et dernier Âge, l’âge de fer, qui dure plus de six mille ans, mais qui doit se terminer prochainement et clore le grand cycle. Ne sentez-vous pas que vous êtes fatigués ? Il faut attendre que tout se termine, affirme Julius Evola ; il est absolument inutile de tenter quoi que ce soit pour lutter contre le courant de décadence ! On comprend mieux, dans ces conditions, pourquoi les juifs et les musulmans ont le vent en poupe ! Tout est question d’eschatologie ! Pour le reste, j’apporte dans la troisième partie du livre quelques éléments de réflexion qui permettent, je crois, de comprendre le fonctionnement de la guerre psychologique que nous devons mener. Pour faire court : pour nous, douter, c’est déjà trahir !

Propos recueillis par Jérôme BOURBON
Hervé Ryssen, La Guerre eschatologique, avril 2013, 192 pages
14 rue Pierre Brossolette, 92300 Levallois

jeudi 2 mai 2013

Pinocchio, un conte maçonnique perfide…



Pinocchio, un conte maçonnique perfide

Pinocchio est une œuvre emblématique, pétrie du sentimentalisme de l’époque, point d’appui par antonomase de l’opération de rééducation du peuple enfant qui, avec grand peine, après des siècles de ténébreuse superstition catholique, ouvre les yeux à la nouvelle lumière du progrès et de la paix.
Les aventures de Pinocchio ressembleraient justement à une fable maçonnique magistralement composée – se référer par exemple au livre de N. Coco et A. Zambiano « Pinocchio e i simboli della Grande Opera » (Pinocchio et les symboles de la Grande Œuvre, Roma, Edizioni Atanor, 1984).
Pinocchio est un morceau de bois qui parle, un morceau de nature à l’état pur, une marionnette de naissance virginale qui a pour père adoptif Joseph.
Ses mésaventures le conduisent tout de suite à une incroyable incarnation dans un âne, préfiguration de la matière incréée qui, sous la forme d’un morceau de bois, dans cette histoire, s’élève, même si c’est à travers les douleurs de l’imperfection et de la chute, vers des formes plus évoluées et plus parfaites.
Et pendant trois jours Pinocchio reste prisonnier dans le ventre d’un gros poisson où il rencontre son père (allusion singulière aux trois jours passés par le Christ dans le sépulcre et la descente aux Enfers).
Il ressuscite enfin comme un homme, sommet d’une évolution qui a vu la matière inanimée se spiritualiser et s’incarner en passant de vie en vie, comme suivant la loi du karma, selon les mérites accumulés dans ses diverses phases, jusqu’à s’auto-racheter et à arriver finalement à la perfection.
Autour de Pinocchio tournent divers personnages comme le très célèbre couple du Chat et du Renard, allusion allégorique à la « prêtraille » qui réussit à soutirer de l’argent en exploitant par une escroquerie camouflée l’ignorance des hommes, en leur promettant en échange de leur bien le Champ des Miracles du pays d’Acchiappacitrulli (= attrape-nigauds), le nom métaphorique réservé au paradis chrétien, d’existence tout autant improbable que celle de l’arbre fantomatique des sequins d’or du Champ des Miracles.
Extrait de Epiphanius – Maçonnerie et sectes secrètes (2005) – pages 142-143

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Epiphanius : "Maçonnerie et sectes secrètes : le côté caché de l'histoire"
Prodigieux travail historique de documentation sur l'évolution des mouvements maçonniques depuis l'Égypte ancienne jusqu'au 20e siècle. Chaque page est un émerveillement, tant par la pertinence éclairée - initiée ? - de ses analyses et de ses sources, que par la qualité littéraire de l'ouvrage. Remarquable travail sur la conduite du monde telle que nous ne l'avions que rarement entrevue. Indispensable pour qui souhaite mieux comprendre la complexité apparente de nos sociétés actuelles, la mise en place de démocraties improbables sur fond de révolutions "populaires", de réseaux d'influence millénaires dictant, finalement, les politiques mondialistes d'aujourd'hui, sous fond de cérémonials gnostiques. Osons nous répéter : tout simplement remarquable !
4e de couverture :

Honoré de Balzac, qui lui aussi était martiniste, écrivait dans son roman Les illusions perdues : « il y a deux histoires : l'histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée, l'histoire "ad usum delphini" et l'histoire secrète, où se trouvent les causes véritables des événements, une histoire honteuse ».
"Cette histoire honteuse" souvent ruisselante de sang, est l'objet de ce livre qui décrit de façon détaillée, à partir de documents sûrs, comment depuis plusieurs siècles de puissants cénacles antichrétiens (la maçonnerie, le B'nai Brith, le Bilderberg Group, la Trilatérale...) d'inspiration hermético-cabaliste, s'acharnent de façon efficace à saper et à détruire les fondements mêmes de la civilisation européenne.
Inspirée par la puissance des ténèbres, cette véritable Contre-Église s'est peu à peu emparée de tous les centres de pouvoir religieux, politique, économique et culturel.
Ses caractères sont ceux de la Haute Loge et de la Haute Finance : Haute Loge où domine le mage à travers l'ésotérisme et la magie qui planifie, dirige, impose des corrections de route, et Haute Finance qui, concentrant dans ses mains, chaque jour un peu plus, toutes les richesses mondiales, les oriente dans le but de la domination mondiale que poursuit la Haute Loge.

En s'appuyant sur des dizaines et des dizaines d'œuvres et de documents rares, le présent ouvrage dénonce le complot mondial, en indiquant finalement les moyens pour lutter et ne pas céder au découragement. Une œuvre de longue haleine, indispensable à tout véritable chercheur de la vérité des faits.

Extraits de la table des matières :

Lettre-préface d'Henry Coston à l'édition française - Existe-t-il des sommets subversifs occultes ? - La Gnose - Sa grande rentrée à la fin du Moyen-Âge. La Cabale - Les Rose-Croix - L'assaut au trône : les Illuminés de Bavière - Action des Illuminés et leur survie - Les révolutions de 1848 - Le "Risorgimento" italien - Les sociétés secrètes européennes - Saint Yves d'Alveydre - Le Socialisme - La voie chrétienne vers la Synarchie - La révolution de 1917 - La longue route du communisme - Crise, guerre, révolution : la Seconde Guerre Mondiale - Les Nations Unies et le gouvernement mondial - Pornographie, drogue, et écologie - Église post-conciliaire et Nations Unies - Le racisme dans la stratégie des hauts initiés - Le Lucis Trust et la Nouvelle Ère du Verseau - L'initiative des Religions Unies - Structures des sociétés secrètes - Les principales associations mondialistes.

mardi 30 avril 2013

Joyeuses fêtes de Camerone ! … 150 ans !



"Legio patria nostra"



La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. Le colonel Jeanningros, qui commandait, apprend, le 29 avril 1863, qu’un gros convoi emportant trois millions en numéraire, du matériel de siège et des munitions était en route pour Puebla. Le capitaine Danjou, son adjudant-major, le décide à envoyer au devant du convoi, une compagnie. La 3ème compagnie du Régiment Étranger fut désignée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, se joignent à lui volontairement.


Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3ème compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères.
Arrivé à la hauteur de l’auberge de Camerone, vaste bâtisse comportant une cour entourée d’un mur de trois mètres de haut, il décide de s’y retrancher, pour fixer l’ennemi, et retarder ainsi le plus possible le moment où celui-ci pourra attaquer le convoi.
Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de cette auberge, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorité du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ». Puis, devant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.
À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge.
Malgré la chaleur et la fumée qui viennent augmenter leurs souffrances, les légionnaires tiennent bon, mais beaucoup d’entre eux sont frappés. À 5 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, ne restent que douze hommes en état de combattre. À ce moment, le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves (un légionnaire qui comprend l’espagnol traduit au fur et a mesure ses paroles). Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi à ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.
L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Léonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »
« Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes.
« On ne refuse rien à des hommes comme vous ! » répond l’officier.
Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.
L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment Étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris.
En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription :

ILS FURENT ICI MOINS DE SOIXANTE
OPPOSÉS À TOUTE UNE ARMÉE
SA MASSE LES ÉCRASA
LA VIE PLUTÔT QUE LE COURAGE
ABANDONNA CES SOLDATS FRANÇAIS
LE 30 AVRIL 1863
À LEUR MÉMOIRE LA PATRIE ÉLEVA CE MONUMENT











Construirán mausoleo en honor a Clement Maudet

Miguel Olvera Caballero
[El Sol de Córdoba, 30 de abril de 2013]

Huatusco, Veracruz.- Un mausoleo en honor al subteniente Clement Maudet, de la Legión Extranjera que murió en la batalla de Camarón de Tejeda, acontecida en 1863, construirá el Ayuntamiento de Huatusco para honrar su memoria y estrechar los lazos de amistad entre Francia y México.

Lo anterior lo anunció la síndica única del Ayuntamiento, Nadia Torres Demuner, en el marco de la conmemoración del 150 aniversario de ese enfrentamiento, donde participaron destacados huatusqueños, como Francisco y Manuel Marrero y cuya madre asistió al sub teniente que posteriormente falleció y fue sepultado en el templo de San Antonio.

Por su parte, el coronel ayudante al general de la Legión Extranjera, Le Cour Maison, destacó que la presencia de la delegación francesa y la conmemoración de la batalla que se desarrolló en Camarón de Tejeda fortalecen la amistad entre México y Francia, pues recuerda a ambas naciones la protección que en Huatusco se dio a los legionarios heridos en el enfrentamiento.

"Para la legión extranjera el nombre de mama Juana es muy importante por la acogida que dio al sub teniente y en la mente de cada legionario mama Juana está presente", remató el coronel de la Legión Extranjera.

Entre los invitados de honor se encontraron el coronel Le Cour Maison; la representante de la embajada francesa, Lygie De Schuyter; Joaquín Talavera Sánchez, presidente de la asociación Camarone, así como veteranos de la Legión Extranjera y funcionarios municipales e invitados como el cronista de la ciudad, Marcelino López Páez.

El evento se efectuó la mañana de ayer en los bajos del Palacio Municipal, donde se leyó una breve reseña de la batalla entre las fuerzas francesas y mexicanas el 30 de abril de 1863 y donde cayeron abatidos la mayoría de soldados franceses.

Posteriormente, la representación francesa, incluidos varios veteranos de guerra, escoltada por elementos de la Secretaría de Marina Armada de México, se trasladó al panteón municipal, donde se colocó la primera piedra del mausoleo en honor al subteniente Clement Maudet.

EL MITO DE CAMARÓN

Tan importante e impactante fue la batalla de Camarón de Tejeda para los franceses, en especial para la Legión Extranjera, que cada año se recuerda ese enfrentamiento de manera solemne. El relato oficial de "Camerone" se lee cada 30 de abril delante de las tropas en cualquier parte del mundo donde se encuentren.

La Legión tenía por misión asegurar en 120 kilómetros, la circulación y seguridad de convoyes. El coronel Jeannigros, que estaba al mando, se enteró que un gran convoy que llevaba 3 millones en efectivo, material de sitio y municiones está en camino hacia Puebla. El capitán Danjou le convenció de enviar una compañía, designándose la tercer Compañía del Regimiento extranjero. A falta de oficiales disponibles, Danjou tomó el mando y los sub oficiales Mauder, portabandera y Vilain, pagador, se unieron al grupo voluntariamente.

El 30 de abril, a la una de la madrugada, la tercera compañía con tres oficiales y sesenta y dos hombres, se puso en marcha y cerca de las siete de la mañana, cerca de Palo Verde, se detuvieron para tomar café. En ese momento el enemigo se desplegó y se inició el combate inmediatamente. El capitán Danjou hizo cerrar el cuadrado y batiéndose en retirada, rechazó victoriosamente varias cargas de caballería, infligiendo al enemigo unas primeras pérdidas graves.

Al llegar a la altura de la posada de Camerone, amplio edificio que contenía un patio rodeado de un muro de tres metros de alto, decidió pertrecharse allí para inmovilizar al enemigo y retrasar de esa forma durante el mayor tiempo posible el momento en que este pudiera atacar al convoy.

Mientras sus hombres organizaban con celeridad defensa de esta posada, un oficial mexicano, haciendo valer la enorme superioridad numérica intimó al capitán Danjou para que se rinda. Este hizo contestar, "tenemos cartuchos y no nos rendiremos". Luego, levantando la mano, juró defenderse hasta la muerte y hace prestar a sus hombres el mismo juramento. Son las diez y desde esa hora y hasta las seis de la tarde, esos sesenta hombres, que no habían comido ni bebido desde la víspera, a pesar del sofocante calor, el hambre y la sed, resistieron a dos mil mexicanos, ochocientos de ellos jinetes y un mil doscientos infantes.

A medio día, el capitán Danjou murió a causa de una bala en medio del pecho. A las dos, el subteniente Valían cayó por una bala en la frente, en ese momento, el coronel mexicano consiguió prender fuego a la posada. A pesar del calor y el humo que venían a aumentar sus sufrimientos, los legionarios siguieron aguantando pero muchos resultaron heridos. A las cinco, alrededor del subteniente Maudet solamente quedaron 12 hombres en estado de combate. En ese momento, el coronel mexicano reunió a sus hombres y les dijo que se iban a cubrir de vergüenza si ni conseguían abatir a ese puñado de valientes (un legionario que comprendía el español iba traduciendo mientras hablaba). Los mexicanos se dispusieron a dar el asalto general por las brechas que consiguieron abrir, pero anteriormente, el coronel Milán dirigió un nuevo requerimiento al subteniente, que lo rechazó con desprecio.

Ya consumado el asalto final, no quedaron alrededor de Maudet mas que cinco hombres, el cabo Maine, los legionarios Cattau, Wenzel, Constantin y Leonhart. Cada uno de ellos conservó un cartucho, con la bayoneta a punto y refugiados en una esquina del patio plantaron cara. A una señal, descargaron sus fusiles a boca jarro sobre el enemigo y se precipitaron sobre ellos a bayoneta.

El subteniente Maudet y dos legionarios cayeron mortalmente heridos, Maine y sus dos camaradas estaban a punto de ser masacrados cuando un oficial mexicano se precipitó hacia ellos y los salvó gritándoles, "ríndanse". Como repuesta, recibieron un, "no nos rendiremos si no nos prometen coger y cuidar a nuestros heridos y si no nos dejan las armas" sus bayonetas seguían amenazadoras. Al final, como respuesta del oficial obtuvieron un "no se les niega nada a unís hombres como ustedes".

Los sesenta hombres del capitán Danjou mantuvieron su juramento hasta el final, durante once horas resistieron a dos mil enemigos, de los que abatieron a trescientos y herido a otros tantos. Con su sacrificio, salvando el convoy, cumplieron la misión que les fue confiada.

Para los mexicanos la lucha no fue menos cruenta, el soldado Barrientos, que fue el primero en entrar al patio de la Hacienda avanzó sin mirar atrás, creyendo que el enfrentamiento había terminado, lo primero que le sorprendió al entrar fue el suelo, que tenía un color oscuro, el tapiz de la sangre derramada en ese lugar.

Segundos después el soldado cayó abatido por tres disparos, lanzados por el puñado de legionarios que resistían con sus uniformes ya grises y el rostro casi negro por la pólvora y sociedad. El soldado Barrientos murió solo, frente a los sitiados.

Al término de la batalla y volver a Huatusco, la celebración se transpiraba en el aire en el peso de la madrugada se oyeron cascos de caballos que llegaban presurosos y voces de hombres que casi gritaban: ¡Ganamos!, ¡Vencimos!, ¡Les dimos en la madre a los franceses!. Y así terminó la batalla de Camarón, de la que hoy, se festejará su 150 aniversario.



El Novio de la muerte



Himno de la Legión española. El Novio de la muerte.
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Nadie en el Tercio sabía
quien era aquel legionario
tan audaz y temerario
que a la Legión se alistó.

Nadie sabía su historia,
más la Legión suponía
que un gran dolor le mordía
como un lobo, el corazón.

Más si alguno quien era le preguntaba
con dolor y rudeza le contestaba:

Soy un hombre a quien la suerte
hirió con zarpa de fiera;
soy un novio de la muerte
que va a unirse en lazo fuerte
con tal leal compañera.

Cuando más rudo era el fuego
y la pelea más fiera
defendiendo su Bandera
el legionario avanzó.

Y sin temer al empuje
del enemigo exaltado,
supo morir como un bravo
y la enseña rescató.

Y al regar con su sangre la tierra ardiente,
murmuró el legionario con voz doliente:

Soy un hombre a quien la suerte
hirió con zarpa de fiera;
soy un novio de la muerte
que va a unirse en lazo fuerte
con tal leal compañera.

Cuando, al fin le recogieron,
entre su pecho encontraron
una carta y un retrato
de una divina mujer.

Y aquella carta decía:
"...si algún día Dios te llama
para mi un puesto reclama
que buscarte pronto iré".

Y en el último beso que le enviaba
su postrer despedida le consagraba.

Por ir a tu lado a verte
mi más leal compañera,
me hice novio de la muerte,
la estreché con lazo fuerte
y su amor fue mi ¡Bandera!

lundi 29 avril 2013

La Voix de la Russie : entretien en direct et sans tabous avec le président Vladimir Poutine


Fuyons la propagande des journaleux empaffés du PAF…
et informons-nous avec La Voix de la Russie…



Au sommaire de cette édition du 29 avril 2013 :

- 11ème édition de "ligne directe" : le président Poutine répond en direct et sans tabous aux questions des citoyens russes
- Le mouvement Rossiya témoigne de la nouvelle vitalité de la démocratie russe
- Boston : attentat ou nouveau complot ?
- Syrie : entretien exceptionnel avec la représentation diplomatique syrienne à Paris
- Exclusivité Prorussia.tv grâce à l'agence fédérale Gosconcert : le festival du Kremlin musical depuis la Galerie des Armures

samedi 27 avril 2013

Toulouse : Le pont de l'Infamie… 19 mars 1962, un "maire" ose célébrer une capitulation !!!


Attentat contre le Chevalier Bayard fomenté par Cohen qui prétend débaptiser le pont dédié à l'honneur du Chevalier pour y inscrire la date infâme de la capitulation d'Évian du 19 mars 1962…
En 1504, Pierre Teillard, dit le chevalier Bayard, accomplit un de ses plus hauts faits d’armes sur le Garigliano … Sa vaillance, son adresse et son endurance font merveille…  440 ans plus tard, en mai 1944, la bataille du Garigliano permit aux troupes du Corps Expéditionnaire Français du général Juin de déborder puis d’enfoncer les lignes allemandes permettant ainsi aux Alliés de reprendre leur progression vers Rome, interrompue depuis janvier 1944, corps Expéditionnaire composé de soldats issus de l’Armée d’Afrique et donc d’une grande partie de Pieds-noirs, le maréchal Juin étant lui-même le plus célèbre d’entre eux. Bayard était donc tout le contraire d'un DeGaulle, ce dernier ayant été un soldat contesté, un résistant contesté, un général contesté. Dès lors, comment peut-on débaptiser le pont Bayard à Toulouse pour lui donner celui de "pont du 19 mars 1962", ou une victoire militaire fut transformée en capitulation politique par Charles le Mauvais, le traître DeGaulle et infâme criminel compulsif ?
Le pont de la Honte… 19 mars 1962 : Cohen, ce prétendu maire insulte effrontément la mémoire de dizaines de milliers de Harkis, Pieds-noirs et Métropolitains assassinés après la capitulation d'Évian… 



Après les insultes publiques proférées ce 27 avril contre les victimes de la capitulation d'Évian, André Aussignac, soldat métropolitain capturé par le FLN en juillet 1962, s'adresse au "maire" de Toulouse, Cohen :





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LE CERCLE ALGÉRIANISTE DE TOULOUSE AVAIT DONNÉ RENDEZ-VOUS AUX FRANÇAIS PATRIOTES, HARKIS, PIEDS-NOIRS, MÉTROPOLITAINS CE SAMEDI 27 AVRIL UN PEU AVANT DIX HEURES AU PONT BAYARD POUR MANIFESTER LEUR INDIGNATION

Le maire socialiste de Toulouse avec la complicité du communo-quillard Darmanin de la sinistre FNACA persiste dans son intention de radier le nom du chevalier Bayard pour y substituer la date de l'infâme capitulation de DeGaulle face au FLN applaudie par tous les lâches quillards,  traîtres et ennemis communistes de la France… 

Ainsi le Pont Bayard serait débaptisé pour devenir "pont  du 19 mars 1962"

Une ignominie face à laquelle les nationalistes et patriotes ne peuvent rester sans réaction… Donc rendez-vous est pris pour demain samedi 27 avril avant 10 heures, Pont du Chevalier Bayard, pour manifester notre indignation. Nous ne devons pas laisser faire et ne pas réagir vivement.

Merci de diffuser ce message le plus largement possible. 

Ghislaine Delmond
Présidente du Cercle algérianiste de Toulouse
Présidente du CEFANOM


Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire

Quand Cohen assassine le Chevalier Bayard… avec l'outrecuidance des Quillards du 19-Mars1962

"Pont Bayard" de Toulouse : capitulation de Cohen, député-maire-pas-longtemps-encore !

19 mars : Honte à DeGaulle et à Flanby… Que vive à jamais l'exemple de Jean Bastien-Thiry !


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Michel Delenclos : "19 mars 1962 ? Waterloo !"
"Une véritable mine d'or pour les chercheurs" (Maurice Faivre)

Michel Delenclos : "19 mars 1962 ? Waterloo !
Conséquences et interprétations des accords d'Évian
Préface du général Maurice Faivre
Éditions L'Harmattan

Le livre - L'auteur revient ici sur les "Déclarations gouvernementales du 19 mars 1962 relatives à l'Algérie", au sujet desquelles certains entretiennent encore la confusion. L'emploi fréquent des référendums, le scrutin d'autodétermination, les disparitions, les enlèvements, les prisonniers et les massacres collectifs de civils et de militaires... tous les évènements qui ont précédé cet accord en expliquent le dénouement tragique. "Une véritable mine d'or pour les chercheurs", selon le général et historien Maurice Faivre.

Le mot de l’auteur

Ce livre ouvert à « Monsieur le président de la République, Mmes, MM. les Députés et Sénateurs, Maires et Citoyens de France », redonne toute sa place à l'Histoire car, comme le soulignait l'ancien président de la République, Jacques Chirac : « ... le moment est venu pour nous tous, Français, de porter un regard de vérité sur une histoire méconnue, une histoire déformée, une histoire effacée... ».

« "L'accord de cessez-le-feu" devait mettre fin aux opérations militaires et à toute action armée sur l'ensemble du territoire en Algérie le 19 mars 1962 à 12h00 ». Il n'en fut rien. Le FLN poursuivit sa guerre révolutionnaire : les disparitions, enlèvements et les assassinats collectifs programmés vont se multiplier chez les civils comme chez les militaires jusqu'en juillet 1964. Au point même que l'ancien négociateur, Robert Buron, face à cette folie meurtrière, laissera tomber : « Le passage des Huns ! » (L'Aurore du 17.05.1962).

L'emploi fréquent du référendum pour l'Algérie est avéré anticonstitutionnel par les juristes comme par les parlementaires, comme le clame le député du Nord, Paul Reynaud, le 26 avril 1962 : « Toutes les grandes questions sont réglées en passant par-dessus la tête des représentants du peuple. On soumet à ce dernier, par la voie référendaire, des matières qu'on enlève au Parlement… Là où la Constitution n'est plus respectée, il n'y a plus de République ».

L'après 19 mars 1962 deviendra champ de bataille du présent et objet de marchandage : à l'Assemblée nationale, au Sénat, au sein des mouvements et associations pour ou contre la célébration du 19 mars. Mais les discours et les communiqués politiques comme la propagande n'occulteront pas les données historiques.

Cet ouvrage donne la parole aux Algériens comme aux Français qui se sont affrontés durant plus de sept ans. Le lecteur découvrira, au fil des chapitres : l'origine historique de l'Accord du 1er novembre 1954, la crise du FLN depuis 1961 et après le "cessez-le-feu", les analyses et commentaires des journalistes, observateurs et juristes, les promesses et discours de tout bords, la chronologie des faits, l'utilisation des référendums et de l'autodétermination, les travaux et analyses des historiens pour comprendre la finalité des accords, les effectifs et pertes militaires et des harkis, les civils disparus, les actions en faveur des prisonniers français, le devenir des sépultures françaises, les gouvernements successifs durant la guerre de 1954 à 1962, etc.

Michel Henri Delenclos
Chercheur en Histoire

Concours de circonstances : alors que l'ignare imbécile Cohen tague son pont de l'Infâmie, le prix d’Histoire récompense Michel Delenclos pour son ouvrage « 19 mars 1962 ? Waterloo ! », au « Salon national des artistes et écrivains » d'Antibes.

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En guise d'avertissement au socialo Cohen et au communard-quillard Darmanin…






NotreJournal - Toulouse : "Pont du 19 mars" ? N’est-ce pas un peu tard ?

Le Pilori : Lettre ouverte contre le 19 mars 1962

Marcel Berthomé, maire de Saint-Seurin-sur-l’Isle : un Homme d'Honneur