Tout Oranais - pas vraiment tout jeune - se souvient du traditionnel match, chaque année, au stade Henri Fouques-Duparc entre le Real Madrid et le Stade de Reims… Couillons que nous étions, alors nous supportions sans restrictions le Stade de Reims ! … Comme les temps changent… Comme nous regrettons à présent de ne pas avoir su tomber d’accord avec nos compatriotes algériens arabes et kabyles pour faire sécession et rompre définitivement avec une prétendue mère-patrie adoptive qui en réalité nous haïssait…
Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.…
mercredi 27 mars 2013
mardi 26 mars 2013
À charge contre un criminel compulsif, DeGaulle : prémisses d'un massacre…
Et voilà que DeGaulle jubile… le sang français coule par sa volonté… et il aime ça par dessus tout…
LE SIÈGE DE BAB-EL-OUED
Vendredi 23 mars 1962, DeGaulle écrit à son premier ministre, Michel Debré, une brève missive :
Mon cher Premier Ministre,
Tout doit être fait sur-le-champ pour briser et châtier l'action criminelle des bandes terroristes d'Alger et d'Oran. Pour cela, j'ai, sachez-le, entièrement confiance dans le Gouvernement, dans le haut-commissaire de la République et dans les forces de l'ordre. Veuillez le dire aux intéressés.
Bien cordialement.
Charles de [sic !] Gaulle.
Le jour même, la transmission et l'exécution de cet ordre sera chose faite.
Ce matin-là, un camion militaire pénétra, à Alger, dans le quartier de Bab-el-Oued. Un commando de l'OAS arrêta le véhicule et demanda aux soldats de leur remettre leurs armes. Soudain, parmi eux, un appelé musulman fit claquer sa culasse en armant son pistolet mitrailleur... et ce fut le drame. La fusillade éclata et pour la première fois dans cette guerre d'Algérie, des militaires et des civils allaient s'affronter directement. L'irréparable était commis annihilant par là-même tous les espoirs de voir l'armée se soulever à nouveau...
Aussitôt - et durant toute la journée - les forces militaires et de police affluèrent. Des milliers de soldats, gendarmes et C.R.S. encerclèrent le quartier. Des barrages de fils de fer barbelés furent dressés. Bab-el-Oued était isolée du reste du monde...
Bab-el-Oued était isolée du reste du monde... plus aucune nourriture |
La Délégation générale était en liesse. Le quartier serait privé de renforts et de ravitaillements. Enfin! le règlement de compte allait pouvoir avoir lieu ! Bab-el-Oued, le symbole de la résistance en Algérie, allait recevoir le châtiment qu'elle méritait depuis longtemps déjà!...
Très vite cependant, les visages des responsables allaient changer d'expression. Loin d'être impressionnés par ce gigantesque déploiement de force, les commandos de l'OAS réagirent énergiquement. Ils se savaient pris au piège et leur résistance allait être farouche...
Face à 20 000 hommes, décidés à mettre au pas ce noyau rebelle, 150 hommes munis d'un armement hétéroclite mais connaissant admirablement chaque pouce de terrain et sachant pouvoir compter sur la complicité de l'habitant, allaient faire mieux que se défendre, à tel point qu'ils allaient prendre l'initiative des opérations et faire reculer sous leurs coups de boutoir les forces de l'ordre.
Ailleret - qui depuis juillet 1961, avait été nommé en remplacement de Gambiez - fulminait. Pour l'encourager dans sa fermeté, l'Élysée lui avait offert sa quatrième étoile. Son prestige était en jeu ainsi que celui de tous ses acolytes : Fouchet, haut commissaire en Algérie, Morin, délégué général, Vitalis Cros, préfet d'Alger, Debrosse, comandant la gendarmerie mobile. On décida alors de faire appel aux blindés et à l'aviation. Cette fois c'était l'engagement total.
Bab-el-Oued, la citadelle populaire du "patahouët", le quartier de la joie méditerranéenne et de la douceur de vivre, allait subir un terrible châtiment par le fer et par le feu. Les premiers chars qui se présentèrent, tirèrent sans discontinuer sur les façades tandis que deux hélicoptères et quatre chasseurs T6 menèrent une vie d'enfer aux tireurs retranchés sur les toits.
Contre Bab-el-Oued assigée, on décida alors de faire appel aux blindés et à l'aviation. Cette fois c'était l'engagement total… |
La puissance de feu était telle que les quelques officiers aguerris qui se trouvaient là, se croyaient revenus à la seconde guerre mondiale. Les habitants se jetaient sous les lits alors que leurs vitres volaient en éclats et que les balles de mitrailleuses 12/7 et les obus occasionnaient dans les murs des trous énormes.
De toute part les blindés affluaient vomissant leurs nappes de feu et d'acier. Ils écrasaient les voitures en stationnement, montaient sur les trottoirs et éventraient les devantures des magasins. Derrière eux, suivaient les forces de l'ordre qui, aussitôt, investissaient maison après maison, se livrant à de sauvages perquisitions : meubles brisés, matelas éventrés et à l'arrestation systématique de tous les hommes en âge de porter une arme. Des milliers d'Européens étaient ainsi arrêtés et regroupés dans les quartiers musulmans, sous les quolibets et les insultes.
Pour compléter l'isolement, on coupa les 8000 téléphones qui reliaient encore les assiégés au reste du monde, ainsi que la lumière. Les habitants furent privés de ravitaillement et le couvre-feu permanent établi sur le champ. Les forces de l'ordre reçurent la consigne de tirer à vue sur "tout ce qui bougeait » et on interdit l'accès du quartier aux médecins.
À 20h, il ne restait plus que 20 hommes qui menaient un héroïque combat d'arrière-garde pour permettre à leurs camarades rescapés de prendre la fuite par les égouts. À 21h, des ambulances quittèrent le ghetto avec, à leur bord, les derniers résistants. La bataille était finie. Comme la Légion à Camerone, l'OAS venait d'écrire là sa plus belle page d'histoire.
Dans les appartements dévastés, on pleurait les morts… |
Dans les appartements dévastés, on pleurait les morts et on s'efforçait de soigner les blessés. Qui saura jamais le nombre des victimes? Car à Bab-el-Oued, on soigne ses blessés et on enterre ses cadavres soi-même...
Beaucoup de ces victimes n’avaient en rien participé au combat. Un gamin de quinze ans, Serge Garcia, fut tué dans son appartement ; une enfant de dix ans, Ghyslaine Grès, fut abattue d’une rafale à l’intérieur de sa maison… C’était la litanie du désespoir : blessés et malades manquant de soins, jeunes enfants saisis de convulsion, femmes enceintes prises par les douleurs… et puis, ce bébé de quarante-cinq jours intoxiqué par la fumée dans son berceau en flammes et cette petite fille blessée à la jambe que la gangrène menace…
Nicolas Loffredo, maire de Bab-El-Oued témoignera à ce sujet :
« Nous sommes intervenus auprès des autorités en faisant remarquer que des bébés étaient en train de mourir. »
Un officier de gendarmerie lui répondit :
« Tant mieux ! Plus il en crèvera, mieux ça vaudra ! Il y en aura moins pour nous tirer dessus ».
Et comme nous demandions qu’on enlève au moins les morts, il a éclaté :
« Vos cadavres, mangez-les ! »
Un goût âcre persistait au fond des gorges, l'odeur de la poudre et du sang stagnait dans les ruelles, des débris de toute sorte donnaient aux ombres habituelles de la rue des contours mystérieux, c'était un monde inconnu qui s'étendait sur chacun. Mais pour autant, le calvaire des habitants Européens n'était pas fini et la fouille systématique se poursuivait avec une hargne et une haine inqualifiable. Après le passage des "forces de l'ordre", il ne restait plus rien d'utilisable : à la place des écrans de téléviseur, apparaissait un grand trou noir comme une image fixe de la mort. Les divans, les fauteuils et les matelas étaient crevés comme des sacs de son. Les meubles n'avaient plus de porte, plus de tiroirs, les gravures et les photographies familiales étaient arrachées des murs et piétinées, les bibelots s'entassaient, le linge traînait de-ci de-là, les réfrigérateurs étaient renversés et le ravitaillement détruit. Les familles étaient abattues, toutes leurs "richesses" étaient là, réduites en détritus et en poussières. Tout le sacrifice d'une vie !...
En Métropole cependant, on ignorait ce qu'était réellement Bab-el-Oued. On ignorait que ses habitants étaient tous des ouvriers et de surcroît, les plus pauvres de la terre algérienne. On ignorait que quatre vingt pour cent d'entre eux étaient communistes inscrits au parti et, qu'écœurés par l'attitude du P.C.F, ils avaient tous déchiré leur carte. Pourtant ce sont eux qui fourniront la majeure partie des commandos Delta de l'OAS et c'est parmi eux que se trouveront les plus courageux et les plus tenaces. Pouvait-on, sans faire sourire, les qualifier de nantis et de fascistes ?…
Pendant quatre jours, Bab-el-Oued allait vivre un véritable cauchemar. Pendant quatre jours elle sera isolée du reste du monde, sans ravitaillement et sans soin. Alors, la foule algéroise se pressa devant les fils de fer barbelés qui ceinturaient le quartier et implora le service d'ordre de mettre fin au blocus. Devant le refus systématique des autorités qui tenaient à aller jusqu'au bout de leur vengeance, la solidarité pied-noir allait prendre un acte bien méridional. On collecta des vivres pour les assiégés qui les hissaient à l'aide de couffins tirés par des cordes jusqu'aux étages. Mais bien vite, la préfecture de police interdira les collectes, le couvre-feu intégral sera maintenu et Christian Fouchet, la voix hautaine, auto-satisfaite, adjura sur les ondes de la télévision les Français d'Algérie, de faire confiance à la France (!) et de refuser de suivre les assassins de l'OAS !!!…
… … Lundi 26 mars. Bab-el-Oued avait pris le tragique visage de Budapest. Mais, le blocus était maintenu ; la faim tenaillait les ventres, les perquisitions et les arrestations se poursuivaient et lorsqu'un blessé était découvert, on le traînait par les pieds jusqu'aux camions et là, on le "balançait" par dessus bord.
Tout autour du réduit, la population était toujours amassée tentant l'ultime offensive du cœur :
"Nous voulons rester Français... Vous n'avez pas le droit de nous combattre et de nous livrer... Notre crime le plus grave c'est de trop aimer notre pays..."
Alors des tracts firent leur apparition conviant la population du Grand Alger à se rendre, dès 15h, drapeaux en tête et sans armes à Bab-el-Oued dans le but de tenter d'infléchir le traitement inhumain infligé aux 50. 00 habitants de ce quartier. Le drame couvait…
Lien vers article original : José Castano, Le siège de Bab-el-Oued
26 mars 2013 : Hommage au Général Raoul Salan et Cérémonie du Souvenir de la tragédie de l’Algérie Française, de ses victimes civiles et militaires
- Le siège de Bab el Oued
- Alger - 26 mars 1962 - la tragédie
- Oran - 5 juillet 1962 - le génocide
- Les fusillés de l’Algérie Française
- L’exode
Saint-Seurin-sur-l'Isle - 33660
lundi 25 mars 2013
La Voix de la Russie était ce dimanche des Rameaux à la "Manif pour tous"…
Édition du 18 mars 2013 : numéro spécial dédié à la Manif pour tous du 24 mars 2013, entretiens avec :
- Frigide Barjot, porte-parole de la Manif pour Tous
- Aude Mirkovic, maître de conférence en Droit privé à l'Université d'Évry
- Christine Boutin, député de la 10e Circ. des Yvelines, Présidente du Parti Chrétien Démocrate
- Jean-Jacques Rateau, conseiller PS élu des Français de l'Étranger (Belgique)
- Bruno Gollnisch, député européen du Front National
- Françoise de Panafieu, député de la 16e circ. de Paris (UMP)
- Carl Lang, président du Parti de la France, anc. député européen
- Xavier Lemoine, maire de Monfermeil (UMP)
- Jacques Bompard, député de la 4e Circ. du Vaucluse (Ligue du Sud)
- Monseigneur Aillet, évêque de Bayonne Lescar Oloron
- Philippe Gosselin, député de la 1ère Circ. de la Manche (UMP)
- Frédéric Pichon, avocat à la Cour, président d'Europa Gentes
- Tugdual Derville, porte-parole de la Manif pour Tous
"Le Printemps français" : 1 400 000 manifestants à Paris, très graves agressions policières contre des enfants…
Flanby use à bout portant d'armes chimiques contre de très jeunes enfants…
désormais un seul mot d'ordre : "Hollande dégage !"
La France est sabotée, blessée, humiliée… Ses valeurs fondatrices sont bafouées…
Cette répression violente d’une manifestation pacifique et familiale, des armes chimiques ayant été braquées à bout portant sur de très jeunes enfants, jette un éclairage implacable sur la force brutale d’un pouvoir définitivement coupé du peuple.
Ce pouvoir est irresponsable… Ce pouvoir est immoral… Ce pouvoir est illégitime…
Comment en cette veille du 26 mars, cinquante et un ans après, ne pas établir un parallèle entre cette agression sauvage contre des familles et des enfants et l’agression délibérée de l’infâme criminel compulsif DeGaulle, le 26 mars 1962, contre le petit peuple de Bab-el-Oued…
Flanby nous cacherait-il des pulsions aussi sauvages, criminelles, sanguinaires que DeGaulle ?
1 400 000 manifestants sur plus de 5 KM, de la Défense à la place de l'Étoile |
Victime d'armes chimiques : Lancelot, 14 ans, gazé à deux reprises par les CRS |
Violences policières : "Hollande, démission !" fleurit sur Facebook
Une des nombreuses pages qui fleurissent sur Facebook appelant Flanby à dégager… |
Lancelot, 14 ans, a été gazé à bout portant et à deux reprises par les forces de l'ordre ce dimanche. Un bébé de dix mois a également été victime d'armes chimiques. Un tel scandale doit entraîner la démission, sur le champ, de François Hollande et du Gouvernement.
Lancelot, gazé à 14 ans : « Écœuré », son père demande la démission de Valls et Taubira
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Vous découvrirez dans cette vidéo comment les débordements policiers ont commencé à la Place de l'Étoile sur la droite du podium de la "Manif pour tous".
Écoutez les commentaires de Claude Guéant, des organisateurs et de certains élus témoins en direct des tensions.
Découvrez également un entretien avec de Christine Boutin, retrouvée évanouie quelques minutes après pendant ces débordements.
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Communiqué des Cercles nationalistes français du 26 mars 2013
La manifestation contre le mariage homosexuel a été un triomphe en dépit d’une nouvelle ponction sur le portefeuille des familles venues avec leurs enfants. En outre contrairement aux manifestants homosexuels montés à Paris du 27 janvier, ils n’ont pas bénéficié de tarifs de faveur, le patron de la SNCF étant comme on le sait des leurs.
Lorsque l’on réunit tous les documents et témoignages sur le déroulement de la manifestation, on ne peut que constater :
1° Le mensonge du ministère de l’Intérieur, sur le nombre dérisoire de manifestants annoncés officiellement, 300 000, alors que l’on sait par des indiscrétions des services de police, que les photos prises par hélicoptère, avaient compté au bas mot 1 800 000 manifestants. Question : Pourquoi ces vues aériennes ont elles été confisquées, si ces chiffres sont faux… ?! Le mensonge sur le nombre de manifestants du 23 mars, est encore plus flagrant qu’à l’occasion de celle du 13 janvier avec 400 000 manifestants avoués alors que le million était largement dépassé. M. Valls de ce fait, apparaît savoir mieux mentir, que protéger les citoyens, comme en témoigne la progression de la criminalité impunie dont le dernier avatar aura été la prise d’assaut du RER B à Grigny…
2° Le déni de la plus élémentaire démocratie de la part de ceux qui se proclament démocrates, refusant l’évidence des chiffres de toute une population hostile au projet du mariage homosexuel, par rapport à l’infime minorité militante homosexuelle. Ce déni de démocratie, aggravé par le refus d’organiser un référendum sur le sujet qui du fait de cette levée en masse devrait permettre, dans leur prétendue logique démocratique, de peser l’opinion publique sur ce problème de société.
3° Le recours aux gaz lacrymogènes y compris sur des familles avec des enfants en bas âge, ou des vieillards, y compris sur des représentants du peuple comme la malheureuse Christine Boutin. De plus, comme lors des manifestions envers des pièces de théâtre blasphématoires à Paris cars de CRS (Compagnie républicaine de sécurité), les prétoriens de la République maçonnique, a sciemment écrasé une manifestante comme on le voit sur plusieurs photos. Cela démontre à quel point ce pouvoir se trouve débordé et prend peur.
Le précédent du 6 février 1934 est encore dans les mémoires. Le peuple de France qui manifestait déjà contre les scandales financiers de la IIIème République et le vol de leurs économies, fut mitraillé pour que les abus des prétendus représentants du peuple perdurent.
Aujourd’hui, nous nous trouvons devant un contexte qui non seulement rejoint le motif de 1934, mais comporte une dimension idéologique philosophique qui va aboutir au bouleversement et à l’inversion de la société par refus satanique de l’ordre naturel, auquel croyants comme non-croyants, adhèrent.
Nous sommes devant une lutte à mort entre un pouvoir aux ordres des lobbies qui veulent bouleverser la société, pour mieux avilir l’homme et le domestiquer, et ceux qui conscients du processus réagissent devant cette nouvelle révolution dite française.
Le combat est politique, pas seulement contre les socialistes, mais contre les lobbies qui tiennent tous les partis, car cet aboutissement d’aujourd’hui, n’est que la suite d’un long processus, commencé à la Révolution dite française, jusqu’à DeGaulle, Giscard d’Estaing, Chirac, Sarkozy et François Hollande.
Nous devons réimposer les principes constitutifs de la société et de la nation, contre les faux principes de 1789, dont la pourriture politique et l’inversion voulue de la société, n’est que l’aboutissement.
Président des Cercles Nationalistes Français
Société de Philosophie Politique BP 30030 - 83952 La Garde cedex
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Communiqués de l'Action française sur "La Manif pour tous" du dimanche des Rameaux
L’Action française en première ligne…
L’ACTION FRANÇAISE SE RÉJOUIT DE LA MARÉE HUMAINE QUI, CE DIMANCHE 24 MARS, DÉJOUANT LES PRONOSTICS DES MEDIA SERVILES ET D’UNE PRÉFECTURE DE POLICE QUI A PERDU TOUTE CRÉDIBILITÉ, A ENVAHI L’OUEST DE PARIS : PRÈS DE 1,5 MILLION DE FRANÇAIS POUR RÉCLAMER LE RETRAIT DE L’INFÂME PROJET DE LOI.
LE PAYS RÉEL ÉTAIT CET APRÈS-MIDI dans les rues de Paris.
TOUTEFOIS, L’ACTION FRANÇAISE CONDAMNE avec la dernière énergie les exactions commises par les mercenaires du régime, sur l’ordre de Manuel Valls, sur des manifestants pacifiques, principalement sur des femmes et des enfants dont le seul crime était d’être présents ! Quand un régime en arrive à agresser les plus faibles, c’est que ses représentants ont perdu tout repère moral et qu’il S’EST COUPÉ RADICALEMENT ET DÉLIBÉRÉMENT DU PEUPLE. C’est pourquoi, demander des démissions, serait lui faire trop d’honneur en donnant naïvement à penser qu’il peut encore se réformer.
L’ACTION FRANÇAISE REGRETTE ÉGALEMENT le contraste de plus en plus saisissant entre le discours lénifiant de Frigide Barjot et les exigences d’un pays réel qui demande, par-delà le retrait du projet de loi, l’arrêt de toute politique d’agression contre les valeurs fondatrices de notre société.
L’ACTION FRANÇAISE DÉNONCE AUSSI la tentative de récupération par la droite parlementaire de La Manif pour tous. Cet après-midi, le monopole de sa présence sur le podium et de ses interventions est d’autant plus inqualifiable qu’à plusieurs reprises, Jean-François Copé, le président de l’UMP, a fait comprendre, au cours de ses interventions à la radio et à la télévision, que la "droite" française si elle revenait au pouvoir, imitant en cela la lâcheté de la "droite" espagnole, ne reviendrait pas sur le "mariage" homo, si celui-ci était adopté. De plus, comment ne pas dénoncer le double discours de l’UMP alors que ce sont deux sénateurs UMP qui ont permis l’adoption du projet de loi en commission au Sénat ? Cette tentative de récupération ne peut que nuire à la spontanéité et à la sincérité d’un mouvement historique, qui dépasse les clivages politiciens.
L’ACTION FRANÇAISE APPELLE LES CITOYENS FRANÇAIS à ouvrir les yeux sur la véritable nature d’un régime qui non content de vouloir dénaturer le mariage et instaurer une filiation-fiction, gaze des citoyens désarmés, choisissant de préférence les femmes et les enfants. La République a définitivement perdu le socle des valeurs qu’elle avait hérité de la monarchie capétienne et chrétienne. Elle n’a plus aucune légitimité. OUI, CE DIMANCHE SOIR 24 MARS 2013, LE PRINTEMPS FRANÇAIS EST NÉ !
Aussi, L’ACTION FRANÇAISE SALUE-T-ELLE COMME UN SIGNE D’ESPÉRANCE POLITIQUE la présence, ce jour comme le 13 janvier dernier, de Mgr le Dauphin de France parmi les manifestants.
Olivier Perceval,
secrétaire général de L'Action Française
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La jeunesse d’Action Française en première ligne pour défendre les familles !
La jeunesse d’AF s’était mobilisée ce dimanche pour ce qui nous semblait être une marche bon enfant, familiale et festive. Nous avions prévu des tentes et des duvets pour camper dans Paris et continuer la lutte.
Imaginez quelle fut notre surprise lorsque des amis arrivèrent à notre hauteur pour nous apprendre que de jeunes enfants, des familles entières, des étudiants et nombre de nos anciens avaient été aspergés de gaz lacrymogène par les forces de la ripoublique. Nous nous sommes alors dirigés vers l’Arc de Triomphe et le haut de l’avenue afin de protéger les manifestants des violences policières en faisant barrage de nos corps, un groupe restant au milieu de la manifestation pour maintenir le campement.
Plus tard, nous tenions le pavé avenue des Champs-Élysées contre les mercenaires du régime, rejoints par de nombreux militants et sympathisants trentenaires, quadras, quinquagénaires et au-delà ! Nous avons eu l’occasion de déployer nos tentes pendant la soirée.
À l’issue de ces affrontements, nous comptons encore 7 militants en garde à vue...
Honneur à ceux qui sont dans les geôles de la république, le combat continue !
Antoine Desonay,
secrétaire général des Jeunes d’Action Française
Centre royaliste d'Action française
10 rue Croix-des-Petits-Champs 75001 Paris
communication@actionfrancaise.net
www.actionfrancaise.net
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Communiqué du Renouveau français suite à la manifestation du 24 mars
Le Renouveau français se réjouit du grand succès populaire de la manifestation de ce 24 mars contre le délirant projet de loi Taubira.La forte mobilisation ne s’est pas essoufflée depuis janvier et l’immense foule, d’au moins un million de personnes, représente bien la colère de la France réelle face à une petite oligarchie, forte seulement de ses médias et de ses matraques.Nous regrettons qu’à nouveau les discours et les mots d’ordre des organisateurs officiels aient trop souvent été des apologies des « valeurs républicaines » – qui nous ont pourtant menées là où nous en sommes - , ou aient été d’une mollesse et d’une naïveté déconcertantes face au cynisme du gouvernement.Nous sommes choqués que la parole ait été donnée complaisamment à des pontes de la droite libérale, co-responsable depuis des dizaines d’années du pourrissement moral de notre société.Quoiqu’il en soit, le RF a eu le plaisir de constater que des milliers de personnes ont bravé les consignes de soumission des organisateurs et les oukases de la préfecture, pour gagner les Champs-Élysées qui leur avaient été injustement et dédaigneusement refusés par les autorités.Le RF félicite en particulier ses dizaines de jeunes – et moins jeunes – militants qui ont su courageusement résister et faire face à la violence policière, pendant plusieurs heures, en première ligne. La rue nous appartient, nous sommes le peuple !Le RF présente ses vœux de prompt rétablissement aux blessés.Il est temps pour tout le monde de bien comprendre que face à l’extrémisme d’un gouvernement autiste et aveuglé par son idéologie, l’heure n’est plus au compromis ni à la mollesse.Il doit désormais être clair pour le peuple que le gouvernement en place, sous des aspects de légalité, n’a aucune légitimité. En recourant injustement à la violence (en dépit des mensonges de Valls), il a dépassé toutes les bornes. L’urgence pour notre pays est de se débarrasser de cette clique de malfaisants qui l’asservit !Il est plus que temps de passer du conservatisme à la révolution.Une révolution nationale, politique, morale, sociale, économique et spirituelle que le RF s’engage à servir de son mieux et jusqu’au bout !
Le Comité directeur du Renouveau français
dimanche 24 mars 2013
Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine : prédication du dimanche des Rameaux
« Je te remercie pour cette belle branche d'olivier que tu m'as offerte ! »
Les victoires de l'Amour
Le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine à la Basilique nationale du Sacré-Cœur de Koekelberg (Belgique)
La prédication du P.Michel-Marie Zanotti-Sorkine à la Basilique nationale du Sacré-Cœur de Koekelberg (Belgique) le samedi 9 mars 2013 sur le thème « La guérison du cœur humain » dans le cadre du Mouvement international œcuménique de prière pour la guérison de l’humanité Maranatha !
Samedi 9 mars 2013,
15h 15… près de 3 000 personnes sont à la Basilique du Sacré-Cœur de Koekelberg à l’invitation de Mgr Léonard qui annonce en deux langues que l'homme et le prêtre va mettre le feu… et lui donne la parole. Avec simplicité, mais le geste est digne et beau, il plie humblement le genoux devant son hôte qui le bénit, et comme à Marseille le Père Michel Marie Zanotti-Sorkine monte au pupitre qui lui tient lieu de chaire… Le temps est alors suspendu pendant près de 50 minutes. De sa voix mélodieuse, aussi convaincante que convaincue, où les accents de la Vérité lui donnent ce ton qui séduit tant, le Père Michel-Marie va véritablement enflammer son auditoire qui lui est sans doute par avance acquis, mais qui sera subjugué par ce prédicateur hors du commun. Il ne s’agit pas simplement d’ouvrir ses oreilles pour entendre le « témoignage », c’est notre cœur qu’il prend, c’est au chevet de nos cœurs malades qu’il est venu… c’est notre cœur qu’il soigne : son unique remède le Christ. Maranatha ! Seigneur viens !
Et alors que le feu de son verbe embrase tout l’auditoire, les applaudissements crépitent comme autant d’étincelles de lumière. Il demandera avec humour et douceur qu’on le laisse parler… sinon on n’y arrivera pas… et le train de 17 h 13 est un butoir absolu car demain il doit être avec ses paroissiens ! Bienheureux marseillais !
Prier, et surtout imiter le Christ voilà les deux lignes force de l’enseignement, voilà la clé de notre guérison.
Depuis le sein de Marie, notre mère d’éternité, en passant par la crèche signe de pauvreté, l’atelier de Joseph reflet de notre quotidien laborieux, la vie de famille, valeur absolue, puis sa vie publique près des pauvres, des malades, des publicains, sans oublier la Samaritaine et Marie Madeleine, pour finir au Golgotha signe suprême de son Amour, toute la vie de Jésus est revisitée par le Père Zanotti-Sorkine, qui sait aller chercher à la source de chacune de ces divines séquences, l’essentiel que nous avons oublié et qui nous est si nécessaire.
L’Évangile, rien que l’Évangile, mais tout l’enseignement du Christ toujours d’une brûlante actualité avec lequel il n’y a pas lieu de composer ni de trouver de petits arrangements.
Maximilien Kolbe, Bernanos, Lacordaire, Thibon, Delbrêl et même Malraux… viennent par petites touches et belles citations agrémenter, illustrer, étayer le propos, et pour finir Bruxelles oblige, une magnifique envolée sur Verhaeren, le poète qui comme tous les poètes ne peut qu’être qu’au ciel !
Le temps était suspendu car on ne le voyait pas passer. Le message, lui, passait si bien qu’on aurait voulu encore et toujours l’entendre. Mais il doit nous quitter… On le suivrait bien jusqu’à la gare… mais le souvenir de Verhaeren nous l’interdit !
Il ne nous reste plus qu’à suivre les prescriptions de la sainte ordonnance qu’il nous a délivrée… et c’est ce qu’il y a de meilleur !
Maranatha !
Maranatha !
Habemus Papam : le Père Michel-Marie Zanotti Sorkine avait déjà trouvé son héros !
Avec le Pape François, le Père Michel-Marie Zanotti Sorkine n'est plus seul…
Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine « Le Figaro Magazine », 22 mars 2013 |
Les victoires de l'Amour : les vidéos mises en ligne par le Père Michel-Marie Zanotti Sorkine
Bachar-el-Assad, ce héros…
Les merdiats, précisément israéliens, jouent la désinformation… en propageant la rumeur, démentie par Damas, de la mort de président Bachar-el-Assad… Rumeur que s'est bien sûr empressé de reprendre "en information exclusive en France" [!!!] JSSnews… ainsi que Dreuz.info : "Alerte : Bachar el Assad aurait été abattu par son garde du corps".
Selon des informations qui auraient été publiées dans la presse arabe (intensément reprises par la presse israélienne), des informations que les journalistes affirment avoir « vérifiées », le président Bachar el Assad aurait été assassiné ce matin par un de ses gardes du corps. Un important dispositif de sécurité aurait été mis en place à l’hôpital du Damas.L’assassin serait un officier iranien nommé Mehdi Jakoby qui était en charge de la sécurité présidentielle…Selon diverses sources, on signalerait d’importants combats armés dans tout Damas. Les routes qui mènent à l’hôpital seraient fermées.Les locaux des TV syriennes auraient été abandonnées.
Propagation d'une rumeur, intox qui confirment l'attente d'Israël et de ses complices… Un assassinat qui serait une victoire incontestable pour les islamistes et leurs alliés israélien, qatari, étasunien, français… acharnés à déstabiliser et à détruire la Syrie. Nul ne sait ce qu'il en serait demain du martyre de la Syrie si son valeureux président Bachar el Assad était réellement assassiné.
Tunisie - Des dizaines de manifestants crient leur soutien à Bachar El Assad
Des milliers de personnes se sont rassemblées, samedi 23 mars 2013 à la Place des Droits de l’Homme à Tunis, en signe de soutien au régime syrien.
Les manifestants, représentant plusieurs associations ainsi que des membres de la société civile, ont scandé des slogans favorables au président syrien Bachar El Assad et contre le gouvernement tunisien pour exprimer leur refus du phénomène de la mobilisation des jeunes tunisiens partant en Syrie pour le djihad.
Cette marche vient suite aux déclarations aux médias de présumés jihadistes tunisiens rentrés de Syrie et qui ont confirmé la présence de milliers de jeunes tunisiens, hommes et femmes, qui se mettent à la disposition des rebelles sous le prétexte du jihad accusant, de même, le gouvernement tunisien de n’avoir rien fait pour mettre un terme à cette hémorragie.
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