Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 21 janvier 2013

Messes pour Louis XVI… 2013… la Dérévolution de la France, bientôt une réalité


"Louis XVI" 2013 !...

Les Français ont un Roi ! Qu'attendons-nous pour l'appeler ?
« Je suis au service de la France et si les Français le veulent, je serai toujours là », Louis XX

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Les Messes pour Louis XVI, dites partout en France - et à l'étranger - depuis 1793, ne sont plus de pure commémoration. Elles doivent aussi, elles doivent surtout, pour aujourd'hui, nourrir le processus de Dérévolution dont la France a besoin pour renouer avec son Histoire, se replacer dans le droit fil de sa trajectoire historique et, s'il se peut, reprendre, un jour, sa marche en avant.

Pendant bien des années, en effet, tous les 21 janvier, les Messes pour Louis XVI étaient, essentiellement, commémoratives.

Les dernières de cette longue série, que l’Action française était presque seule à maintenir, ne réunissaient plus, du moins en province, malgré une fidélité remarquable des participants, que peu de monde ; elles étaient plutôt tristes ; souvent, le célébrant ne disait pas un mot du roi Louis XVI ; ces Messes avaient un air de naufrage du grand souvenir qui les motivait.

Les choses ont bien changé depuis déjà quelques années.

Il semble qu'elles aient basculé, pour un certain nombre de raisons assez identifiables, autour des années 1987, 1989 et 1993...

1987, c'était le millénaire capétien où le comte de Paris prit l'heureuse décision de titrer, avec solennité, ses petits-fils Jean et Eudes, ducs de Vendôme et d'Angoulême ; de désigner le prince Jean comme devant reprendre le flambeau de la Famille de France et de la tradition royale. Par là, il semble qu'il rouvrait à l'hypothèse monarchique un horizon nouveau...

1989, ce fut l'échec patent des commémorations de la Révolution.

1993, deuxième centenaire de l'exécution de Louis XVI, ce fut, grâce à l'action de quelques uns (Jean Raspail, Marcel Jullian, Jean-Marc Varaut…) l'occasion d'un procès en règle de la Révolution, de ses horreurs, de l’exécution du Roi et de la Reine, du martyre de Louis XVII, de la Terreur, du génocide vendéen...

Quelques uns encore (Jean-Marc Varaut, Alain Besançon, Jean-François Mattéi) ont développé l’idée que cette révolution était la matrice des horreurs révolutionnaires et totalitaires qui ont marqué tout le XXème siècle. Ainsi, le rejet de la Révolution commençait à s’inscrire dans notre modernité. Et aboutissait, de facto, à la remettre en cause. On sait que, depuis, cette remise en cause est pratiquée aussi par des intellectuels issus de la gauche, parmi les plus éminents.

Au cours des années qui ont suivi, la redécouverte progressive de notre histoire monarchique par un certain nombre d’intellectuels, mais aussi dans la presse, les médias, et, finalement, une frange non négligeable de l’opinion française, s’est faite, de plus en plus, de façon non plus négative, mais positive.

Un certain basculement de ce que Barrès nommait « les puissances du sentiment » s’est produit, en France, à partir de 1987 jusqu’à aujourd’hui, l’on ne peut plus parler ni de la Révolution ni de notre passé monarchique, après, comme on en parlait avant…

Ce n’est sûrement pas une coïncidence, si, simultanément, dans toute la France, les Messes du 21 janvier ont pris, de façon a priori surprenante, un nouveau visage. Les assistances sont devenues nombreuses, ferventes, priantes ; les prêtres sont devenus sensibles à l’exemplarité du Roi et de la Reine, au sort indigne infligé à Louis XVII, aux conséquences sociales, politiques et, même, religieuses de la Révolution. Ces Messes ont cessé d’être des Messes d’enterrement. Elles ont retrouvé un sens. La liturgie y est, souvent, redevenue très belle et la présence des Princes, à Paris, comme en Province, donne à ce qu’elles commémorent une incarnation qui pourrait être utile au temps présent.

C’est ainsi que les Messes pour Louis XVI contribuent symboliquement et effectivement au processus de dérévolution. Processus dont la France a besoin pour rompre le cycle schizophrène qui, depuis deux siècles, l’a coupée d’elle-même.

Nous avons la chance historique – pour la première fois depuis fort longtemps – que les Princes de la Maison de France, y soient, à titre éminent, partie prenante.

Si nous savons contribuer à activer et amplifier ce processus, tout simplement, nous serons utiles, non à notre propre plaisir, mais à notre Pays.


Voici une liste, bien loin d'être exhaustive, de ces Messes...

N.B. : Devant la difficulté de recenser, dès à présent, toutes les Messes qui seront dites cette année 2013 en la mémoire du Roi Louis XVI, il peut être opportun de consulter le programme des Messes dites l'an dernier :

Lundi 21 Janvier 2013

(Messes, seulement)

Paris : - 12h15, Saint-Germain-l'Auxerrois.

- 18h, St Nicolas du Chardonnet (5ème).

Saint-Denis : 12h00, en la Basilique Saint-Denis.

Marseille : - 19h, Basilique du Sacré-Coeur, avenue du Prado.

- 18h30, Eglise Saint Pie X, 44, rue Tapis Vert (1er).

Montpellier : 18h, Chapelle des pénitents Bleus, rue des Étuves.

Béziers : 18h, Église des Pénitents, rue du 4 Septembre.

Bordeaux : 19h, Eglise saint-Bruno (tram ligne A).

Fabrègues : 18h30, Prieuré Saint-François de Sales, 1 rue Neuve des Horts.

Lyon : 18h30, Église Saint-Denis de la Croix-rousse.

Grenoble : 18 h, Collégiale saint-André.

Toulon : 18h30, Paroisse Saint-François de Paule. Messe célébrée par Mgr. Rey, évêque de Fréjus-Toulon.

Mulhouse : 19h30 en l'église Saint-Etienne.

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Manifestations organisées d'autres jours que le 21 janvier

Samedi 19 janvier

Le Planquay (Eure) : 11h, Messe, Église du Planquay.

Louailles (Sarthe) : 11h, Messe, Église de Louailles.

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Dimanche 20 janvier

Amiens : 10h30, Chapelle, 195 rue Léon Dupontreué.

Nice : Journée-hommage (Messe, Déjeuner, Conférence) : renseignements 04 93 81 22 27

Nancy : 9h25, Église Saint Pierre, Avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny.

Fête des Rois de l’U.S.R.L. et de La LORRAINE ROYALISTE à partir de 12 h. Repas suivi de la galette traditionnelle, Restaurant « Chez Maître Marcel » (au coin des rues Raymond Poincaré et de l’Armée Patton à Nancy). Allocutions de Jean-Marie CUNY, Jean-Paul LUPORSI, Philippe SCHNEIDER. Inscrivez-vous dès maintenant à La Lorraine Royaliste, 22 rue Victor Hugo, 54000, Nancy ou téléphonez au 06 19 19 10 69.
Inscription impérativement pour le 15 Janvier au plus tard.

Nantes : * 12h30 : Dépôt de Gerbe en hommage à Louis XVI et aux victimes de la Révolution.

* 13h15 : Repas à la Taverne du Château : 23 Allée Commandant Charcot (PAF : 23 euros. Inscription obligatoire par mail : urbvm@hotmail.fr )
* 15h : Conférence de Gérard Bedel : Louis XVI ou la tragédie de la Vertu. (PAF pour ceux qui ne déjeunent pas sur place : 2 euros).

Belloy (Oise) : 11h, Messe, Église de Belloy.

Paris : Marche aux flambeaux en hommage à Louis XVI. Rendez-vous devant l’église de la Madeleine à 18h00 précises.

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Samedi 26 janvier

Nîmes : 11h, Messe, Église Sainte Perpétue

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Dimanche 27 janvier

Chemillé ( Maine-et-Loire) : 10h30, en la chapelle Saint-Joseph, 14 rue du Presbytère.


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Albert Camus le meurtre du roi-prêtre.pdf
L’homme révolté (La Pléiade, pages 528/529)

"Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Évangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme. Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt, mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau."

Quand les lys blancs refleuriront 1934
Vive Louis, notre Roi légitime !



lundi 14 janvier 2013

La Voix de la Russie était présente à la "Manifestation pour tous" ce dimanche 13 janvier




La Voix de la Russie nous propose cette semaine une émission spéciale consacrée à la "Manifestation pour tous", organisée ce dimanche 13 janvier à Paris, contre le mariage homosexuel et l’adoption par ces couples.

Voici les personnalités qui se sont exprimées au micro de La Voix de la Russie lors de ce défilé ayant rassemblé plus de 800 000 personnes :

• Thierry Mariani, Député de la 11e Circ. Des Français de l’Étranger – Droite Populaire
• Carl Lang, Parti de la France – ancien député européen
• Marc Laffineur, UMP – Ancien secrétaire d’État à la Défense
• Claude Greff, UMP - Secrétaire d'État chargée de la Famille
• Alain Escada, Président de Civitas
• Patrick Balkany, Député de la 5e Circ. des Hauts-de-Seine
• Bruno Gollnisch, Front National - Député européen
• Jean-François Lamour, UMP - Député de la 13e Circ. de Paris
• Alain Chanclu, Président du Collectif France Russie
• Jean-Claude Martinez, ASIREF – ancien député européen
• Henri Guaino, Député de la 3e Circ. des Yvelines
• Jacques Bompard, Député de la 4e Circ. du Vaucluse, Maire d’Orange
• Christian Jacob, Président du groupe UMP à l’Assemblée Nationale


N.B. : Les commentaires qui accompagnent chaque semaine ce journal sont tout aussi édifiants que le journal lui-même… Pour lire ces commentaires reportez-vous sur le site Prorussia.tv… Vous ne serez pas déçus, il existe encore des Français qui ne sont pas des veaux  !

dimanche 13 janvier 2013

Quand Flanby s'en va-t-en guerre… Un zapping spécial Iran : cherchez les terroristes…




Christian  Vanneste : "Stop à l'arrogance des nuls"…



Le duo de nuls Peillon/Vallaud-Belkacemun : "un talent pour les gaffes qui confine au génie"


La gauche liberticide : stop à l'arrogance des nuls

Une règle semble s’établir : plus le gouvernement démontre son incompétence, plus il affiche son mépris pour ceux qui le contestent. Sa suffisance n’a d’égale que ses insuffisances, comme dit la sagesse populaire. Il est logique que le Porte-Parole du gouvernement figure en bonne place dans la série. Prise la main dans le sac pour avoir fait de la propagande en faveur du « mariage » homo dans un collège public, et chacun peut la voir et l’entendre sur une vidéo, elle ose accuser Christine Boutin, qui s’en offusque à juste titre, de « manipulation grossière ». Sa justification consiste à prendre les Français pour des imbéciles. Elle était là dans le cadre de la lutte contre l’homophobie, dit-elle. Traduire : on peut faire la promotion du « mariage » unisexe dans les établissements publics parce que çà rentre dans le cadre de la lutte contre l’homophobie. On ne peut pas l’évoquer dans les établissements catholiques, parce que cela favoriserait l’homophobie, ce que n’a pas manqué de dire l’inénarrable Peillon. Ce déni infantile a le mérite d’un double dévoilement : c’est d’abord l’expression d’un refus de la démocratie et du pluralisme qu’elle exige. La gauche qui sévit en France est idéologique et intolérante. C’est ensuite la démonstration sans doute involontaire que la lutte contre l’homophobie peut être le Cheval de Troie du prosélytisme homosexuel.

Dans le duo Peillon/Vallaud-Belkacem, chacun aura reconnu un morceau d’anthologie : l’arroseur arrosé. L’impayable Peillon, qui n’a rien appris, ni rien oublié depuis Ferdinand Buisson, voulait donner une leçon de laïcité à une école catholique, qui, par définition n’y est nullement tenue et il se prend en pleine figure la démonstration de l’absence de neutralité d’un Ministre de la République dans un établissement de l’enseignement public. Il faut d’ailleurs reconnaître à notre Ministre de l’Éducation Nationale, un talent pour les gaffes qui confine au génie. On peut compter sur lui pour rallumer les mèches ou les pétards qui s’éteignent. C’est ainsi qu’il avait souhaité rouvrir le débat sur la légalisation du cannabis. Dans les deux cas et chez nos deux ministres, les mots sont les mêmes : il faut « avancer », « arracher » les préjugés familiaux de la tête des enfants, la France ne doit pas être « retardataire ». Le bon sens, c’est le cas de le dire, nous enseigne pourtant que la marche arrière est bien utile pour sortir d’un sens interdit dans lequel on s’est engagé par absence de « précaution ». Les propagateurs de la pédophilie libérée des années 70 en sont le vivant témoignage, eux, qui parlent beaucoup, mais refusent qu’on en reparle. Le bon sens familial aura tendance à dire aux Ministres : mêlez-vous de vos affaires et les vaches seront bien gardées. Quant à la France, depuis le temps que la droite et surtout la gauche lui font descendre les marches, elle aurait bien envie d’en remonter quelques-unes.


En pointe de cette vague, il y avait Duflot, cette géographe spécialiste de l’environnement qui situait le Japon et son terrible Tsunami dans l’hémisphère austral. Elle avait, elle aussi, plaidé pour la légalisation du cannabis pour des raisons écologiques mystérieuses et participé à la cathophobie gouvernementale en dénonçant l’égoïsme foncier de l’Église, pourtant engagée au premier chef dans l’aide aux sans-logis. Le Président de la République avait d’ailleurs, sans doute par souci de cohérence dogmatique, fait retirer le portrait de l’Abbé Pierre de la tribune sur laquelle il intervenait lors d’une visite à Emmaüs. Le locataire de Matignon, lui qu’on accuse à tort de ne pas savoir diriger son gouvernement, a pourtant su donner le sens de la marche. Il n’y a personne qui sache, comme lui, se prendre les pieds dans le tapis avec autant d’assurance et de constance. « Minable » avait-il dit de Depardieu à propos du départ de celui-ci pour la Belgique, le pays de Waterloo. Il n’a pas pensé un seul instant que Depardieu était un artiste mondialement connu, et qu’on le veuille ou non, associé à l’image de la France. Il a donc réussi ce coup de la gaffe à trois bandes : d’abord, dire au monde entier que notre matraquage fiscal en constante évolution était un piège qu’il fallait à tout prix éviter, ensuite dire aux Russes soucieux de démocratie que leur système pouvait être jugé préférable au nôtre, enfin susciter chez Gégé ce rôle grandiose du Bouffon, au sens le plus noble du terme, c’est-à-dire de celui qui peut dire au roi qu’il est grotesque quand il l’est. Son exil au pays de la Bérézina est une provocation jubilatoire qui devrait aider le pouvoir à être lucide : il n’est pas à la hauteur de sa prétention.



Communiqué du Rassemblement Pour la France : tous à Paris ce 13 janvier !

Le Rassemblement Pour la France appelle tous ses militants et sympathisants à participer à la manifestation du 13 Janvier à PARIS pour protester contre le Projet de Loi visant à instaurer le « mariage » entre personnes de même sexe et l’adoption par des « couples » homosexuels. La présence massive des Français et des Françaises dans les défilés sera un acte de résistance :

- contre un gouvernement de plus en plus sectaire qui affaiblit, divise notre Pays, et met en péril la Liberté d’expression.

-contre un pouvoir qui par tactique ou par aveuglement idéologique sert les intérêts d’un lobby ultra-minoritaire, et pourtant très puissant au détriment du Bien Commun.

-pour défendre le droit des enfants qui vont naître ou être adoptés de bénéficier de l’accueil équilibré et équilibrant d’un Père et d’une Mère.

-pour mettre en valeur l’écologie humaine du mariage qui unit dans l’égalité et le respect mutuel les deux sexes qui composent l’humanité et la perpétuent.

-pour rappeler que la France, notre Nation a, pour son avenir, d’abord celui de ses enfants, un besoin vital d’une institution familiale solide et que l’État n’est lié à la famille que dans ce but et non pour reconnaître des sentiments privés.

-pour exiger enfin que le Président de la République et le Parlement vérifient par référendum que les Français les ont bien élus pour pratiquer ce contre-sens anthropologique.

Christian VANNESTE, Président du Rassemblement Pour la France.

jeudi 10 janvier 2013

"L'ami du FLN" squattant l'Élysée ajoute à l'ignominie de son discours d'Alger : notre dévoué président de l'ADIMAD, Jean-François Collin déchu de la Légion d'honneur !


Un gag dont la bassesse ajoute à l'imbécillité du pouvoir gaullo-socialiste en place :
que cela soit notre meilleur cadeau en ce nouvel an… afin que tout soit bien clair !
Et notre combat sans merci…

« Je vous promets que je ne porterai jamais cette Croix tant qu'il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l'Élysée !
Jamais je n'aurai la marque du collier ! »

Jean-François Collin a été déchu de sa décoration de chevalier de la Légion d'honneur, obtenue en 2011 à titre militaire comme mutilé de guerre en Algérie, par un décret paru vendredi sur la version papier du Journal officiel.

Selon l'article R96 du code de la Légion d'honneur cité dans le décret, les peines disciplinaires (censure, suspension totale ou partielle, exclusion) "peuvent être prises contre tout légionnaire qui aura commis un acte contraire à l'honneur".

Cette mesure d'exclusion pour "acte contraire à l'honneur" est extrêmement rare, les exclusions étant généralement prononcées contre des légionnaires condamnés à des peines de prison. Jean-François Collin, 73 ans, avait été nommé chevalier de la Légion d'honneur avec traitement, dans la promotion du 5 mai 2011 réservée aux militaires et anciens militaires au titre de mutilé de la guerre d'Algérie, durant laquelle il avait servi comme sous-lieutenant. Jean-François Collin se dévoue de toute son énergie à la présidence de l'Association de défense des intérêts moraux des anciens détenus (Adimad) ayant combattu avec l'OAS.

Interrogé par l'AFP, Jean-François Collin ne s'est pas étonné outre mesure de son exclusion, rappelant le discours qu'il avait prononcé devant la stèle de l'Adimad à Marignane (Bouches-du-Rhône) le 1er novembre 2011, après avoir reçu sa décoration du capitaine Jean Biraud, chef de commandos OAS en Oranie, condamné à mort par contumace par un tribunal d’exception gaulliste.

Il avait dédié sa croix de chevalier "à tous les combattants de l'OAS qui sont morts les armes à la main ou ont été fusillés par le plus grand traître de l'Histoire de France (le général de Gaulle). Ce sont eux, aujourd'hui, qui devraient être honorés à ma place!" "Et pour que les choses soient limpides, je vous promets que je ne porterai jamais cette croix tant qu'il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l'Élysée… Jamais je n'aurai la marque du collier !" s'est-il engagé, fidèle à l'Honneur.

Gravement blessé au combat en Algérie en 1960, Jean-François Collin avait ensuite rejoint l’OAS « Métro » à Paris. Arrêté en février 1962, il avait été condamné à douze années de réclusion criminelle, dont il avait purgé cinq ans avant d’être amnistié, de même que l’ensemble des membres de l’OAS, en juillet 1968 par DeGaulle.

En 1982, le président François Mitterrand avait fait voter une loi permettant aux anciens condamnés de l’OAS de toucher leur retraite.





Jean François Collin, reçoit la Légion d'honneur : "J'ai cru qu'on se fichait de moi"


Le Gaulois : Ancien OAS, les socialistes lui retirent sa Légion d'honneur !
Les bassesses se succèdent. Les socialistes décorent un imam de la Légion d’honneur mais la retirent à Jean-François Collin, un Ancien Combattant mutilé pendant la guerre d’Algérie. Prétexte invoqué par la mafia socialiste : il a appartenu à l’OAS.
Nous avons vraiment à faire à un État pourri jusqu’à la moelle qui patauge en pleine trahison !
Les socialistes et leurs vassaux auront un jour des comptes à rendre ! Et ils le savent. C'est pourquoi "les chacals craignent pour leur peau..."



Car l'heure des comptes viendra bientôt, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.

Les tambours battent le rappel, heia oho
Et pour l'Europe c'est le réveil, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.

Les régimistes, nous les chasserons, heia oho
Et les marxistes nous les pendrons, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.

Des camarades sont tombés, heia oho
Et nous vaincrons pour les venger, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.

Dans la nuit partent nos commandos, heia oho
Déjà parer l'Ordre Nouveau, heia oho.

Oh oh oh oh! Au clocher nous mettrons
Claquant dans le vent notre fanion.


*      *

*

En début d'année Jean-François Collin et l'équipe de l'ADIMAD nous présentaient ainsi leurs vœux :



Chers Camarades, chers Amis,

2013 ne nous rendra pas notre Province trahie et abandonnée à des terroristes vaincus !
2013 continuera de constater que les vainqueurs des vainqueurs, les gaullistes, demeureront, avec leurs alliés, prisonniers à jamais des vaincus !
2013 ne nous rendra pas nos Camarades fusillés par des Tribunaux d’exception, créés par le plus grand traître de l’Histoire de France !
2013 ne nous rendra pas nos Camarades tombés les armes à la main face aux sicaires gaullistes !
2013 ne nous rendra pas nos morts d’El Halia, des Barricades, de la rue d’Isly, d’Oran… !
2013 ne ranimera pas les 26.000 militaires de toutes confessions, tombés pour rien !
2013 ne ressuscitera pas les 150.000 Harkis, Soldats de France, désarmés et livrés, par De Gaulle, à des tueurs sanguinaires reconnus par lui seul comme seuls interlocuteurs !
2013 continuera de voir honorés les porteurs de valises et les « gars pourris » que vous savez ! Nous leur crachons à la gueule notre mépris !
Nos deux derniers présidents pourront continuer à nous insulter, à vilipender l’œuvre de la France dans la province barbaresque turque !
La république continuera d’honorer, par sa représentation officielle, la « Fête de la Victoire » algérienne, les 19 mars !

Mais l’ADIMAD continuera d’honorer la mémoire du juste combat de l’Algérie française, avec votre soutien : « Un Peuple sans racines, sans passé, est appelé à disparaître ».
Ni oubli ni pardon !

Amitiés nationalistes

Semper fidelis


*      *

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Jean-Marie AVELIN, président de Veritas, "Comité pour le rétablissement de la vérité historique sur l’Algérie Française" : Lettre avec A.R. à François Hollande concernant son discours du 20 décembre 2012 à Alger

Objet : Votre discours du 20 décembre 2012 à Alger
Lettre ouverte
Monsieur le Président de la République,
Vous avez déclaré, lors de votre discours visé en marge : « Pendant 132 ans, l’Algérie a été soumise à un système profondément injuste et brutal. Ce système a un nom, c’est la colonisation, et je reconnais ici les souffrances que la colonisation a infligées au peuple algérien. »
Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, car la ville où vous vous trouviez, à ce moment précis, cette ville dont vous admiriez sûrement la somptuosité est l’œuvre des colons français qui l’ont construite de bout en bout et aimée comme ne l’aimeront jamais les Algériens qui l’habitent aujourd’hui, lesquels ont pu devenir des « Algériens » uniquement parce que la colonisation française a pris soin d’eux et leur a construit un beau et prestigieux pays là où il n’y avait que ruines, misère et désolation !
Donc, devant vos yeux se trouvait la preuve que l’œuvre des colons français n’était ni injuste, ni brutale, mais profondément humaniste, et dans cette ville d’Alger, les murs ont dû vous crier la vérité sur l’amour qui l’a bâtie ! Les constructions, et réalisations françaises dans ce pays sont grandioses au point qu’aucun pays arabe ne pouvait prétendre, au moment de l’indépendance, rivaliser, en n’importe quel domaine, avec l’Algérie…
Examinons, l’un après l’autre, les qualificatifs manichéens dont vous avez affublé l’œuvre de nos ancêtres : « injuste » avez-vous déclaré. Vous ignorez peut-être que c’est le concert des nations européennes qui, à Londres en 1816, puis à Aix-la-Chapelle en 1818, incitèrent la France à détruire ce repaire de pirates et d’esclavagistes qui, depuis leur fief d’Alger, régence turque, infestaient la Méditerranée… Vous ignorez aussi les multiples tentatives européennes pour mettre un terme à ce honteux état de fait qui subsistait depuis des siècles ?…
Qui dois-je vous citer pour vous en convaincre ? L’Histoire des Berbères d’Ibn Khaldun (1390) ou bien Voltaire qui s’indignait de voir notre pays s’humilier humblement (déjà !) pour supplier les Barbaresques d’accepter des fortunes en échange de quelques uns des milliers de Français qui subissaient, dans les bagnes, l’esclavagisme, un système profondément injuste et brutal (et c’est un euphémisme !).
La délivrance de 35 000 esclaves européens – dans quel état ! – dont plus de 3 000 Français – n’était-elle pas une raison suffisante pour justifier l’intervention française et le débarquement de nos troupes à Sidi-Ferruch ?
Qu’ont découvert les Français sur cette terre de désolation ? Des êtres humains plongés dans une stagnation et une misère indescriptibles ! Les Français eurent beaucoup de mal à les faire sortir, lentement et progressivement, de cette lamentable situation et, bien évidemment, nos vaillants soldats durent, aussi, faire face à de multiples interventions pacificatrices lors de soulèvements tribaux…
Par piété familiale, j’accorderai une attention particulière au Maréchal Bugeaud dont mon aïeul était officier d’ordonnance, car grâce à la perspicacité et à la ténacité de celui-ci, des milliers d’hommes ont alors cessé d’être à la merci de razzias, de pillages, d’exactions de toutes natures… Les soldats-laboureurs de Bugeaud ont fait disparaître le spectre de la famine pour une population, de plus en plus nombreuse, qui voyait avec bonheur ce pays, jadis indigent et désertique, se couvrir de cultures vivrières…

Je pense que vous ne pouvez pas ignorer tout cela, et j’en viens à votre second qualificatif : « brutal » qui m’affecte profondément car rien n’est plus attristant que celui qui éprouve, envers sa propre famille, des sentiments de mépris, d’hostilité, voire de haine, et lorsqu’une telle attitude est celle d’un chef d’État, elle est aussi abjecte qu’inadmissible ! Ainsi, vos ancêtres et les miens n’auraient fait preuve que de brutalité, et ce, de père en fils, durant 132 ans ???
C’est pourtant bien ce que vous avez exprimé par votre discours du 20 décembre à Alger car, en quelque sorte, vous affirmiez, publiquement, le plus odieux des mensonges : « Nous, les Français, nous sommes des envahisseurs, brutaux et injustes, et nous avons perpétré, sur des innocents opprimés, des massacres… »… Et vous avez fait cette déclaration inique devant des terroristes ayant massacré, depuis le début de la guerre d’Algérie, « des civils désarmés et innocents, et, de ce fait, s’étant placés, eux-mêmes en dehors de l’Humanité » !!! (Je cite là votre discours sur le terrorisme !).
Dois-je vous remémorer, Monsieur le Président de la République, ce qui s’est passé à l’indépendance, cette curée envers tout ce qui était français ou pro-français – et je n’évoque pas seulement les « Européens », mais tous les Musulmans, qu’ils aient été élus de la nation française, ou soldats engagés pour défendre la France ? De l’aveu même de votre homologue algérien, des douars, des mechtas, vieillards, femmes et enfants compris, ont été entièrement et effroyablement massacrés, parce qu’un seul Harki s’y était réfugié !!! Certains historiens chiffrent ces malheureuses victimes à 150 000, mais jamais nous ne saurons la vérité sur cette sanglante, et ô combien brutale, épuration !!!
Est-ce cela que vous appelez « lucidité » ? Évidemment, il y a eu Sétif, Guelma, et Kherrata, nul ne le nie… Mais vous vous êtes bien gardé de préciser qu’en ces lieux, il s’agissait d’une répression, certes aveugle et disproportionnée, mais justifiée par le fait que la France avait été attaquée au travers de centaines de ses citoyens innocents, atrocement massacrés… Et vous avez poursuivi en disant que la France avait manqué, le 8 mai 1945, à ses valeurs universelles… La France ? … Comment pouvez-vous être aussi ambigu ? Votre discours du 20 décembre, c’est bien vous qui l’avez prononcé, et non la France qui, depuis des mois, vous crie : NON À LA REPENTANCE ! La répression des massacres de Sétif et Guelma, ce n’est pas la France qui l’a ordonnée, mais bien celui qui a toujours fait couler le sang, français de préférence, et là il fallait nommer clairement l’ordonnateur de cette répression, le Président du Conseil de l’époque : CHARLES DE GAULLE, aussi responsable de la répression aveugle de Sétif que de l’Épuration en France !
Peut-on humilier davantage le pays dont on est le représentant ? Oui, et c’est une performance que vous aviez déjà accomplie, avant de prononcer ce discours calamiteux, en rendant hommage à Maurice Audin, coupable de haute trahison envers la France, traître à son pays en temps de guerre ! A-t-on jamais vu le chef d’un État rendre hommage à un compatriote ayant collaboré avec l’ennemi, contre son propre pays en guerre ? Combien de soldats français ont trouvé la mort dans ce conflit par la faute de M. Audin et ses semblables ? Même les pires dictateurs n’ont jamais agi de cette manière… Ah ! Oui… Les valeurs universelles de la France ont été bien malmenées, en Algérie, les 19 et 20 décembre 2012, et, malheureusement, par celui qui est censé la représenter, défendre sa dignité et son honneur, mais qui n’a cessé de l’abaisser, de la flétrir et de la souiller…
Vous avez cité des écrivains algériens dont nous ne désavouons pas le talent, mais vous avez, sciemment, oublié le plus célèbre, le plus doué d’entre eux, celui qui rafle tous les prix littéraires à l’heure actuelle, celui dont les qualités de narrateur n’ont qu’un seul défaut : exprimer la vérité ! Alors, juste pour vous rafraîchir la mémoire, j’invoquerai Boualem SANSAL, avec lequel je fraternise depuis longtemps, celui qui affirme à notre déléguée générale Anne CAZAL dont il est très proche : « Tu es plus Algérienne que tous ceux qui vivent dans ce pays ! »… Celui qui a osé écrire, et ce sera ma conclusion : « Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous qui sommes ses enfants ! ».
En vous remerciant de bien vouloir prendre en considération les termes pesés du présent courrier,
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression du respect que je dois à votre haute fonction.
Jean-Marie AVELIN

Et alors, où est l'authentique et flagrant manquement à l'Honneur ? Et ce Flanby-là aura-t-il la décente honnêteté de signer, en application de l'article R96 du code de la Légion d'Honneur, un décret signifiant sa propre déchéance de la Légion d'Honneur ? Ou faudra-t-il qu'un très prochain successeur prenne cette décision pour lui, après un jugement (équitable) auquel certes  il ne manquera pas d'échapper…



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Sur proposition du Conseil de l'Ordre, le Président de la République vient de signer l'exclusion de Jean-François Collin de l'Ordre de la Légion d' Honneur.

Rappelons que notre ami, Jean-François Collin, ancien officier du Groupement de Commandos Parachutistes (GCP), grièvement blessé en Algérie, décoré de la Valeur militaire, a été nommé Chevalier de la Légion d’Honneur à titre militaire en 2011. Il n'a subi aucune condamnation de justice, il n'a commis aucun acte susceptible de justifier une exclusion, selon les intentions des statuts de l'Ordre. Il est sanctionné, sur pure et simple dénonciation d'un certain Gavoury, uniquement pour avoir conservé sa liberté de pensée et exprimé son opinion sur DeGaulle, responsable de l'abandon de l'Algérie, lors de la cérémonie de sa réception dans l'ordre le 1er novembre 2011.

Le site officiel de l'Ordre de la Légion d'honneur publie la liste des membres de son Conseil de l'Ordre qui a instruit "ce procès d'opinion" et soumis au Président de la République cette sanction d'exclusion, dérisoire par sa bassesse mais scandaleuse quant à ses motivations…

Le grand chancelier de la Légion d’honneur, aujourd’hui le général d’armée Jean-Louis Georgelin, préside le Conseil de l’Ordre, ainsi composé :

M. Hubert BLANC, préfet de région honoraire
M. Gérard PÉLISSON, ancien président du conseil de surveillance d'un groupe hôtelier
M. Elrick IRASTORZA, général d'armée
Mme Hélène GISSEROT, procureur général honoraire près la Cour des comptes
M. Bertrand DUFOURCQ, ambassadeur de France
M. François DAVID, président d'honneur d'une compagnie d'assurance
Mme Michèle GENDREAU-MASSALOUX, ancien recteur de l'Agence universitaire de la francophonie
M. Xavier EMMANUELLI, ancien ministre, président du SAMU social international
M. Pierre DEVAUX, vice-amiral d'escadre
M. Hugues GALL, ancien conseiller d'État, membre de l'Institut
M. Jean-Marie COULON, premier président honoraire de la Cour d'appel de Paris
M. Bruno GENEVOIS, ancien président de la section du contentieux au conseil d'État
M. Jean-Pierre MARTIN, général d'armée aérienne
Mme Dominique MEYER, médecin, universitaire, membre de l'Académie des sciences
Mme Martine CLÉMENT, vice-présidente d'un organisme coopératif, ancienne présidente-directrice générale de société
Mme Marion GUILLOU, présidente du conseil d'administration de l'École polytechnique
Mme Marie-Claude KERVELLA, ancienne secrétaire générale d'une organisation syndicale


Riposte à la mesure d'exclusion de la légion d'honneur :

1- Envoyez des messages de soutien à Jean-François Collin ; 

2 - Envoyez des messages d'indignation à Georgelin le grand chancelier : lettres, courriels,  fax, téléphone. 

http://www.legiondhonneur.fr/shared/fr/ordresdecorations/fordredecoration.html

Grande Chancellerie de la Légion d'Honneur
1, rue de Solférino
75700 PARIS 07 SP – FRANCE
Tél. : 01 40 62 84 00
Fax : 01 45 56 02 98



Le Comité VERITAS invite le Président de la République et les personnalités qui ont instruit ce PROCÈS D’OPINION, à méditer sur les textes immuables suivants : 

- Article 11 de la déclaration des Droits de l’Homme de 1789 : La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme.  Tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.

- Déclaration universelle des Droits de l’Homme de 1948 : Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

- Constitution Française 1958 : La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances...

Le Comité VERITAS, devant cette sanction pour délit d’opinion, annonce la prochaine parution d’une revue hors série de 40 pages dédiée à M. Jean-François COLLIN et aux martyrs de l’Algérie Française et apportant les preuves de toutes les vérités enfouies sur LA RÉSISTANCE FRANÇAISE EN ALGÉRIE !



Georgelin se cassera la gueule dans les Pyrénées le 18 août 2023… De ce salopard rien d'autre à retenir que cette radiation de la Légion d’Honneur de notre ami Jean-François Collin, président de l’Adinad…


À propos de la Légion d'honneur décernée par Flanby à l'imam Tareq Oubrou


Voici reproduit intégralement un article de Dreuz.info, auquel renvoie Novopress.info, article au sujet de l'attribution de la Légion d'honneur à l'imam Tareq Oubrou… Réactions violentes, tout à fait logiques de la part de représentants de la communauté juive militante de France… Mais, il y a ce qui est dit et ce qui est délibérément omis… Tout lecteur aura noté une censure systématique de la part de ces deux sites, Dreuz.info et Novopress.info de la radiation d'un serviteur et amoureux incontestable et exemplaire de la France, Jean-François Collin… Jean-François Collin radié pour trop aimer la France ! Une omission qui abaisse à sa juste dimension la crédibilité de l'information donnée par chacun de ces deux sites qui voudraient s'afficher comme défenseurs zélés de certaines valeurs qui seraient classées pas de gauche… À chacun d'apprécier… Une frénésie populiste anti-islam totalement incompatible avec les sentiments profonds de tous ceux qui ont sincèrement combattu pour l'Algérie française et avec l'OAS…


Le CRIF mal à l’aise avec la Légion d’honneur de Tareq Oubrou

La nouvelle de la remise de la Légion d’honneur à l’imam Tareq Oubrou a provoqué une vague d’indignation sur Internet. Comme nous vous l’annoncions, ce membre de l’une des organisations les plus radicales de l’islam en France (UOIF : Union des organisations islamiques de France), dont la devise est « Le Coran est notre Constitution », fait partie des 681 personnes distinguées cette année par le gouvernement socialiste.

Vendredi, le CRIF (Conseil Représentatif des Institutions juives de France), publiait sur son site Internet une tribune intitulée : « Qu’a donc fait l’islamiste Tareq Oubrou pour mériter la Légion d’Honneur ? ».


Depuis, ce texte a été censuré, mais on peut encore le lire sur Dreuz.info. Membre de la communauté juive, l’auteur (Jean-Patrick Grumberg) y adresse une critique sévère de l’imam de Bordeaux, mais également des pouvoirs publics.

Qu’a donc fait l’islamiste Tareq Oubrou pour mériter la légion d’honneur (à part vouloir instaurer la charia bien entendu) ?


Flanby, Grand Maître de la Légion d'honneur


Tareq Oubrou, récipiendaire de la Légion d'honneur

Tareq Oubrou est membre d’une des organisations les plus radicales de l’islam en France, l’UOIF, dont la devise est « Le Coran est notre Constitution ».

Lors d’une conférence publique, il déclarait : « L’Islam touche à tous les domaines de la vie. Comme le veut le Coran, C’est un État, c’est un pays, dans le sens géographique, c’est à dire qu’il regroupe toute la communauté dans une géographie où il n’y a pas de frontières. La frontière entre deux pays musulmans est une hérésie méprisable par l’Islam… La politique des Musulmans ce n’est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge ».

En 2011, il a soutenu le mouvement « les fils de France » dont Camel Bechikh est le représentant. Bechikh, rapporte l’AFP en 2008, collectait, au travers du CBSP  « des fonds pour les familles des terroristes-suicide du Hamas » par le biais de l’UOIF.

Son double langage, spécialité des Frères musulmans, est caché sous une fine pellicule, si fine que personne ne me fera croire que le meilleur d’entre nous, son principal sponsor, ne l’a pas remarqué.

Ainsi, il déclare à l’Express, pour amadouer cette gauche si lente à la détente : « Quant au voile, je n’ai trouvé aucun texte qui oblige la femme à se couvrir la chevelure ».

Alors qu’à la page 216 de son livre entretien avec la sociologue Leïla Babès : "Loi d’allah, loi des hommes", il écrit : « Le khimâr (cachant les cheveux et le cou) et le jilbâb (qui cache le reste du corps) sont des prescriptions vestimentaires divines qui ne sont abrogées par aucun autre texte. Objectivement, s’il y avait le moindre soupçon sur cette norme, je serais le premier à prôner sa levée. »

Vous avez compris ? On appelle cela la Taqiya, la dissimulation, ordonnée par le Coran, pour tromper celui qu’on projette de vaincre.

Choqué par le massacre commis par Merah ? Pas du tout !

A-t-il dénoncé la sauvagerie de la tuerie antisémite de Toulouse et antifrançaise de Montauban, commise par un musulman qui suit les mêmes préceptes religieux que lui ?

Pas du tout ! Interrogé par Libération  qui lui demande ce qu’il a ressenti, il répond : « Un choc. Tout le monde était choqué ». Ah tout de même… mais attendez… contre quoi a-t-il été choqué ? Par le massacre ? Pas du tout ! Ce qui l’a choqué, ce sont les conséquences pour les musulmans : « On savait qu’on allait en subir longtemps les conséquences. Une affaire comme celle-ci laisse des séquelles dans l’esprit de nos concitoyens, qui risquent de voir en chaque musulman un terroriste potentiel. »

Contre qui s’est-il élevé ? Contre la christianophobie qui a fait 100 000 morts en 2012, ou bien contre l’islamophobie qui a offensé quelques personnes ?

A t-il dénoncé de toutes ses forces, et appelé les musulmans de France à dénoncer le terrorisme, le jihad ?

A t-il demandé à l’UOIF, dont il fait partie, de ne pas inviter de prêcheurs violemment antisémites, homophobes, favorables à la lapidation des femmes, à donner des conférences en France ?

Non et non et encore non.

Une de nos lectrices [de Dreuz.info] témoigne :

Je le connais (JPG: Oubrou), l’ayant rencontré à plusieurs reprises dans le cadre de rencontres de l’amitié judéo-musulmane, auxquelles j’ai décidé de ne plus participer. Ce type est un “faux-derche”, un hypocrite mielleux. Je pense effectivement que Mr Juppé se fait avoir par lui, ou alors… Sa sympathie, et plus, pour les Frères Musulmans ne fait pas de doute.

En revanche, toujours dans Libération il explique qu’ « il faut que l’histoire de la France soit réécrite à la lumière de la présence musulmane aujourd’hui ».

Pour un gouvernement qui trouve l’histoire de France « contestable idéologiquement », cela valait bien les honneurs de la légion.

L’islamiste Tareq Oubrou, nommé Chevalier de la Légion d’honneur

Le CBSP, organe de collecte du HAMAS en France

Tareq Oubrou, grand imam de Bordeaux : « Cette affaire va laisser des séquelles »

Aurélie Filippetti déclare l’histoire de France « contestable idéologiquement » et annule le projet de la Maison de l’Histoire de France

© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info



Le CRIF mal à l’aise avec la Légion d’honneur de Tareq Oubrou

Ouma.com : Tareq Oubrou nommé Chevalier de la Légion d’Honneur :
"Si la Légion d’Honneur continue d'attiser les convoitises, d’autres la refusent catégoriquement, à l’instar du célèbre auteur de BD Jacques Tardi qui l’a récemment balayée d’un revers de main au nom de la préservation de son indépendance, rejoignant ainsi la liste des refus illustres, tels que ceux de Louis Aragon, Albert Camus, Claude Monet, Hector Berlioz, sans oublier Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Des vetos, aux motivations diverses, qui n'ont pas manqué de panache, auxquels celui d’un homme de foi aurait ajouté une autre dimension, celle de l’humilité pleine de grandeur."

La haine destructrice à Flanby est sans bornes : voilà qu’il s'acharne contre le bon goût…



DSK avait au moins la pudeur, lui, de très vite savoir retrouver une tenue correcte…
Le vrai scandale n'est pas ce qui ce passe dans l'intimité d'une chambre d'hôtel
mais dans ce que l'on affiche en public… Le suppléant à DSK en a-t-il conscience ?
… Aussi indécent et ridicule qu'un mariage gay…


Flanby, braguette ouverte, cravate en queue de cochon, chemise débraillée… mine lubrique… c'était le 19 décembre en Algérie… Une pissotière bien fréquentée pas loin ? … On comprend ainsi bien mieux ses désordres verbaux… Et ses affinités ?


M. Hollande, vous n’avez aucune conscience, et je ne vous considère pas comme mon président…
« Le nœud de cravate tire-bouchonné, la chemise qui sort du pantalon, la braguette ouverte.  La prochaine fois que vous allez en Algérie, monsieur le président, portez donc une djellaba ! »