Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 3 septembre 2012

Vladimir Poutine et Valéry Giscard d'Estaing unis pour un renouveau de l'éducation nationaliste de la jeunesse…


Vladimir Poutine, en présence du président Valéry Giscard d'Estaing, a manifesté patriotisme et fierté nationale :
"Toute la population s'est élevée contre les envahisseurs. Son héroïsme sans précédent, sa force spirituelle et son attachement profond à sa terre ont donné à notre pays une immense force qui n'avait jamais été observée auparavant… La Deuxième guerre mondiale et la bataille de Borodino ont témoigné du patriotisme sans précédent de notre population qui a défendu son pays et lui a garanti un rôle de grande puissance mondiale…"
Si ce 7 septembre 1812, aucune des deux armées n'avait pris l'ascendant sur l'autre, les troupes du tsar Alexandre se sont repliées, pour mieux attirer la Grande Armée dans le piège hivernal de Moscou…
"Notre tâche est de faire de ce bicentenaire glorieux une fête nationale qui inspirerait à notre peuple de la fierté pour le pays et les exploits de nos ancêtres…"
Sergueï Ivanov, chef de l'administration présidentielle russe 



La Grande bataille de Borodino ou de la Moskova : 7 septembre 1812

Va se dérouler la plus grande reconstitution sur le champ de Borodino nommé également Moskowa, théâtre de la fameuse bataille franco-russe de 1812 que les Français appellent la bataille de la Moskova, avec la participation de clubs de l’histoire militaire de France, de Pologne, de Belgique et d’Écosse. Fêtes lancées en juin, qui se prolongeront jusqu’à la fin de l’année, soit une durée équivalente à celle des combats qui ont fait rage en Russie en 1812.

Le 26 août 1812, les deux armées immenses – russe, dirigée par Koutouzov et la Grande Armée de l’Empereur français Napoléon se sont rencontrées face à face. Les Français fonçaient vers Moscou, l’ancienne capitale russe pour frapper la Russie eau cœur. Koutouzov a décidé de donner la bataille générale dans le champ de Borodino, ayant  appliqué avant la politique de la terre brûlée sur près de 2 000 km entre la frontière russe et Moscou.

La bataille prit fin avec la retraite de l’armée russe, qui se retira en bon ordre. La bataille de la Moskova marque la dernière action offensive française sur le sol russe. En se retirant, les Russes sont encore en état de combattre, ce qui leur permettra de bouter les troupes françaises hors de la Russie. Ils ouvrent aussi la route de Moscou que la Grande Armée atteindra une semaine plus tard, le 14 septembre. Elle y restera jusqu’au 19 octobre, jour où commence le retour, bientôt désastreux, de la Grande Armée.

Cheval du Don, ce cheval russe, était la monture des cosaques, vivant sur les rives du Don

Des cosaques russes viendront de Moscou à Fontainebleau  dans le cadre des festivités
 “Nous partirons de la place Rouge le 8 septembre,  juste après un spectacle grandiose. Nous traverserons la Biélorussie, la Lituanie, la Pologne et l’Allemagne pour arriver dans la ville française de Fontainebleau   fin d’octobre“, a déclaré aux journalistes Igor Morozov, directeur adjoint de Rossotroudnitchestvo (Agence fédérale russe chargée des affaires de la Communauté des États indépendants, des Russes à l’étranger et de la coopération humanitaire internationale).

Les préparatifs de cet événement sont en cours depuis dix-huit mois. Les organisateurs envisagent de reconstituer la traversée effectuée par le corps cosaque de l’ataman Matveï Platov en 1812-1814, attirant ainsi l’attention sur l’histoire de la Russie et encourageant l’union des peuples européens.

Le chemin sera long de 2.500 km et comprendra des tronçons où les chevaux devront être transportés. 22 chevaux capables d’effectuer plus de 300 km par jour ont été sélectionnés pour participer à l’événement. Il s’agit des chevaux du Don, monture des cosaques ayant pris part à la poursuite des troupes de Napoléon. Il ne reste que 243 spécimens de cette race en Russie et les organisateurs ont l’intention de favoriser son rétablissement.



Bicentenaire de 1812 : les cosaques russes de passage en Pologne

samedi 1 septembre 2012

Zentroping 28




Crève Tambour : "Prison"





Au fond d'un gouffre
Vivait un humain
En haut du gouffre
Jappait un chien

Le chien était libre
L'homme ne l'était pas
Tous deux étaient ivres
Mais ne le savaient pas

L'un ivre d'immensité
L'autre d'enfermement
L'un baigné de clarté
L'autre de noirs tourments

Roi d'un monde inconnu
Le chien sans but gambadait
Esclave d'un lieu trop connu
L'humain ne pouvait que pleurer

Mais d'espoir d'évasion
L'homme se nourrissait
Quand d'ennui sans passion
Le chien dépérissait

Et le chien bientôt mort
Enviait l'humain enfermé
Capable d'agir sur son sort
Apte à se battre et à rêver.





Crève Tambour : "Plan Social"






Trente ans aux forges courbé
Et un matin juste une lettre
Cher Monsieur vous êtes licencié
Jamais vous ne toucherez votre retraite

Vengeance des machines exécrées
Plus besoin d'hommes pour les servir
Ou des cohortes moins payées
Des lointaines provinces de l'Empire

Cols bleus à jamais remisés
Sur ordre d'un anonyme patron
Au rayon des inutiles antiquités
Le comptable a toujours raison.

Misère et ennui comme horizon
Les mains calleuses sont sacrifiées
Au rebut forçats de la production,
Place au tertiaire et ses minets !

Pays déjà privé de soldats
Et désormais de travailleurs
Ton ciel est décidément bien bas
Qui défendra encore l'honneur ?







vendredi 31 août 2012

Mitt Romney : un combat d’arrière garde, inféodé à Israël… la Russie "principal ennemi géopolitique" des États-Unis…


Fyodor Lukyanov [Фёдор Александрович Лукьянов] is editor in chief of the journal Russia in Global Affairs


Dans "un monde changeant",  les dernières trouvailles des républicains en politique étrangère !

Mitt Romney et Paul Ryan sont officiellement devenus les candidats du parti républicain à l'élection présidentielle et à la vice-présidence. Évidemment, la bataille principale de la campagne électorale aura lieu dans le domaine économique. Après tout, la politique étrangère n'a jamais vraiment intéressé les électeurs américains.

Aujourd'hui, les États-Unis influent plus que jamais sur l'ensemble de la planète, mais en même temps, c'est d'elle qu'ils dépendent, et l'approche traditionnelle selon laquelle la majorité des Américains sont indifférents au monde qui les entoure ne correspond pas à la réalité. Et les particularités de l'équipe républicaine actuelle reflètent l'ambiguïté de la situation.

Par tradition, un des deux membres du duo présidentiel a une grande expérience en matière de politique étrangère ou s'intéresse au moins aux affaires internationales. Cependant, cette fois, ni Romney, ni Ryan ne peuvent le revendiquer.

Romney a entrepris plusieurs tentatives pour prouver que la politique étrangère et les questions stratégiques ne lui sont pas étrangères, et il a récemment notamment tenu un discours devant l'Association de vétérans des guerres à l'étranger et a fait une tournée en Israël et en Europe.

Un positionnement international clair n'a pas été décelé chez Mitt Romney. Il s'est plutôt avéré qu'il se basait sur la notion républicaine moyenne de la fin du XXe et du début du XXIe siècles, la moyenne arithmétique de Ronald Reagan et de George W. Bush. Peu de choses concrètes, principalement des incantations sur la nécessité de rétablir la grandeur absolue des États-Unis et de cesser de gémir au sujet de son déclin, chose que fait Barack Obama, selon les républicains. Romney est convaincu qu'il n'y pas d'alternative au leadership des États-Unis. D'ailleurs, c'est l'axiome de tout homme politique américain, mais la question est celle des moyens qu'ils sont prêts à employer. Le candidat évoque la rigidité et l'intransigeance, car assez récemment, un peu moins d'un quart de siècle en arrière, cette approche a apporté un grand succès aux États-Unis.

C'est de cette "image du passé" que découle également l'attitude particulière et surprenante pour notre époque de Mitt Romney envers Moscou. Il a déjà qualifié à maintes reprises la Russie de "principal ennemi géopolitique" des États-Unis, rendant confus même ses partisans – on peut avoir une attitude négative envers la Russie et son gouvernement autant qu'on veut, mais l'époque où elle était "l'ennemi numéro 1" est irrémédiablement révolue. Les États-Unis doivent faire face à une autre kyrielle de défis et de menaces, et si Moscou pourrait en faire partie, il est loin d'être sur la liste des priorités. Instinctivement, Romney voudrait revenir à l'ancien modèle bipolaire, lorsque tout était clair et simple. Après tout, la principale difficulté aujourd'hui est précisément l'incertitude, la situation stratégique floue, les lignes de fronts effacées. On ignore qui fait partie des siens et qui sont les ennemis, ou plus précisément ils changent rapidement de camp.

Le journaliste néoconservateur Bob Kagan est considéré comme l'idéologue de la politique étrangère de Mitt Romney. Il y a dix ans, il a mis une croix sur la fraternité transatlantique, en dévoilant une divergence idéologique et mentale entre les États-Unis et l'Europe (les Américains viennent de Mars, les Européens viennent de Venus), ce qui a servi à l'époque d'argument pour des actions unilatérales de Washington sur l'arène mondiale. Quatre ans plus tard, ce même Kagan a appelé, au contraire, à l'union du Vieux Continent et du Nouveau Monde face à la croissance du "capitalisme autoritaire", incarné par la Chine et la Russie. En fait, c'était reconnaître l'erreur de l'ancienne affirmation disant que les États-Unis n'ont besoin de personne.

Dans son livre récemment publié intitulé The World America Made (Le Monde que l'Amérique a fait), Kagan n'accorde plus beaucoup d'attention au "capitalisme autoritaire" (depuis le temps, il s'est avéré que c'était une notion inventée artificiellement), mais au développement de pôles alternatifs incarnés par le BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) et la nécessité de contrer les atteintes au leadership américain. Aujourd'hui, Kagan n'est plus aussi déterminé qu'il y a dix ans, lorsqu'il affirmait que la "puissance douce" (soft power) était une autre appellation de la faiblesse, et que la force militaire était une solution à tout. La nouvelle approche -c'est Bush light, est la reconnaissance que les États-Unis ne parviendront pas à atteindre leurs objectifs seulement par la pression brutale, mais qu'un travail est nécessaire pour conquérir les esprits.

Le livre de Kagan n'est pas le programme électoral de Mitt Romney, mais ils s'accordent sur un point central. Il faut faire barrage par tous les moyens à l'idée du déclin des États-Unis qui se répand dans le monde, ce qui implique l'intransigeance. C'est la divergence principale avec le point de vue de Barack Obama sur les affaires internationales, qui estime que les USA doivent faire preuve de souplesse et faire des compromis avec lesdits pôles alternatifs afin d'affirmer leur leadership. Quoi qu'il en soit, ni Romney, ni Kagan n'ont aucune idée claire sur la façon dont les États-Unis doivent atteindre leurs objectifs dans le nouveau monde, et utilisent principalement des slogans.

Le choix du candidat à la vice-présidence est révélateur. Les hommes politiques qui occupaient ce poste depuis les années 80 avaient en général un certain poids et une autorité dans le domaine international – George H. W. Bush, Al Gore, Dick Cheney, Joe Biden. Paul Ryan n'a rien à voir avec cette sphère d'activité, et selon les critiques, il s'intéresse seulement aux chiffres et au budget. Ces qualités pourraient être utiles dans la politique nationale, mais sur la scène internationale, seules les questions financière avec le G7 l'intéresseraient. Bien que cela soit plutôt du ressort du président Romney (s'il était élu), sachant que l'économie est considérée comme son point fort.

Ryan est un partisan convaincu et fervent de la réduction des dépenses budgétaires, et compte tenu de la gravité du problème de la dette publique des États-Unis, ce thème sera sûrement une arme contre Obama. La question primordiale pour la politique étrangère est de savoir si les réductions budgétaires affecteront le secteur de la défense. En général, les républicains sont prêts à réduire tous les postes de dépenses, sauf ceux alloués à la sécurité nationale. Dans ce sens, par exemple, le bouclier antimissile est une vache sacrée pour Romney, car c'était la volonté de Reagan. Le candidat à la vice-présidence donne l'impression d'un homme qui prononcera évidemment toutes les incantations nécessaires concernant la sécurité des États-Unis, mais il est à la fois très éloigné de ce problème et il ne s'y intéresse pas. La ligne directrice de cette campagne est claire – elle est déterminée par les points de vue de Kagan mentionnés ci-dessus. Mais l'apparition d'un candidat à la vice-présidence indifférent à la politique étrangère est symptomatique (l'ancienne élection et Sarah Palin ne sont pas une référence, car le candidat de l'époque, John McCain, était un coryphée reconnu des affaires internationales). Cela montre que même dans le milieu républicain, une compréhension larvée s'accroît, du fait qu'au XXIe siècle, l'enjeu d'une domination militaire des États-Unis dans les affaires mondiales pourrait être au-dessus de ses moyens.

Chrétiens assassinés et décapités par les islamistes en Syrie




La confusion ne règne pas qu’à Damas : elle règne dans nos esprits, alimentée par ce qu’il faut désormais qualifier d'intox et de bourrage de crâne par les médias occidentaux. Par exemple, ce qu’on appelle la « guerre civile », me semble être aujourd’hui une guerre que l’étranger (Arabie Saoudite, Qatar, États-Unis, etc…) mène contre le régime syrien – quoi qu’on pense de ce dernier par ailleurs – et pour des buts apparemment contradictoires (ce que souhaite l’Arabie Saoudite n’est pas exactement ce que veulent les États-Unis…). Dans cette confusion qui règne, une chose est sûre : les chrétiens du Proche-Orient vont en faire les frais, et les gros frais ! On voit déjà que les chrétiens irakiens qui s’étaient réfugiés en Syrie pour se protéger des islamistes, doivent désormais fuir la Syrie pour ce protéger de ces mêmes islamistes… Où vont donc pouvoir se réfugier les chrétiens proche orientaux, ceux qui n’auront pas été massacrés ? Voici une dépêche de l’Agence Fides qui apporte de nouvelles informations sur le sort des chrétiens damascènes. Après la Tunisie, l’Égypte et la Libye, c’est la Syrie qui est menacée du joug islamiste.

SYRIE - Attentat à la bombe durant des obsèques et famille entière décapitée - chrétiens et druzes pris pour cible à Damas

Damas (Agence Fides) – Un attentat terroriste a frappé hier, 28 août, des fidèles chrétiens et druzes innocents dans le quartier de Jaramana, un faubourg de Damas. À 14h00, une bombe placée à bord d’une automobile a explosé au passage d’une foule de fidèles – familles, personnes âgées, femmes et enfants – qui se dirigeait vers le cimetière pour procéder à la sépulture de deux jeunes. Ces derniers étaient morts la veille, 27 août, victimes eux aussi d’une bombe artisanale. Alors que la foule, une fois célébrées les obsèques, accompagnait les corps vers le lieu de la sépulture, un taxi a explosé causant 12 morts – d’autres sources parlant même de 27 – dont 5 enfants et plus de 50 blessés graves. A Jaramana, vivent environ 600.000 personnes, presque toutes appartenant aux minorités religieuses. Y vivent en effet 250.000 chrétiens (assyriens, arméniens, chaldéens, melkites, orthodoxes et d’autres confessions) outre à des druzes et à quelques 120.000 réfugiés irakiens ayant fui en Syrie au cours de ces dernières années.

Ainsi que l’indiquent des sources de Fides à Damas, les chrétiens subissent une forte pression de la part de groupes armés djihadistes dans les faubourgs de Jaramana (dans le sud-ouest de Damas) et de Zamalka (dans le sud-est de la cité). Aujourd’hui, à Zamalka, une famille de chrétiens arméniens a été retrouvée massacrée, tous les membres de la famille ayant été horriblement décapités. L’exécution fait penser à l’action de radicaux islamiques salafistes.

De tels actes, qui frappent des innocents, ont provoqué l’indignation et le trouble au sein de la communauté chrétienne. Un responsable de la communauté catholique latine de Damas, qui demande à conserver l’anonymat, déclare à Fides : « Il s’agit d’actes terroristes. Nous ne savons pas qui se cache derrière. Dans tous les cas, il s’agit de groupes qui veulent détruire la Syrie. Des bandes armées djihadistes ont commencé à semer la terreur. Le fait est qu’en Occident aussi les chrétiens sont souvent représentés comme des amis du régime ou des collaborateurs de la répression mais il n’en est rien. Les chrétiens vivent avec la population syrienne et veulent seulement la paix. Mais cette propagande fournit aux groupes terroristes, infiltrés parmi les rebelles, un prétexte pour nous attaquer ».

jeudi 30 août 2012

Le blog d'Alexandre Latsa : "Dissonance"… ou la Russie authentique…



Alexandre Latsa : Dissonance


Laissons Alexandre Latsa se présenter :

"En 1999, la guerre contre la Serbie a éclaté, et j'ai activement soutenu le collectif non à la guerre (CNG). J'ai pris part à la constitution d'une association humanitaire privée qui a procédé à des actions de convoyages humanitaires vers le nord de la Serbie, et notamment travaillé avec un orphelinat sur place. J'en ai profité pour apprendre le Serbe et passer mes étés suivants entre la Serbie et la république Serbe de Bosnie. La Serbie m'a directement mis en contact culturel avec la Russie.

J'ai ensuite travaillé quelques années pour la filiale francaise d'un gros groupe international (principalement entre la France, l'Italie et la Chine). Cette expérience professionnellement intéressante m'a conforté dans cette idée que le monde se développe fortement ailleurs qu'en Occident et qu'en Europe, et que cette dernière doit être absolument unie pour faire face aux défis colossaux qui l'attendent dans ce millénaire (mondialisation chaotique et violente, migrations climatiques massives, explosion des groupes transnationaux mafieux, terrorisme généralisé, modifications des frontières, apparitions/disparitions d'états, guerre économique totale..).

En 2008 j'ai déménagé en Russie par choix personnel. La Russie m'est apparue et m’apparaît toujours aujourd'hui comme un grand pays Européen, pièce de voûte fondamentale à tout projet européen digne de ce nom. Je suis persuadé que ce pays jouera un rôle majeur dans ce siècle, et sera le cœur de l'Europe en devenir. Politiquement je me définirais comme un européen, partisan de l'axe Paris-Berlin-Moscou. Je suis un continentaliste convaincu, et également orthodoxe. Frappé par le gap entre la réalité de ma vie en Russie et ce que je pouvais en lire dans les médias français, j'ai décidé de développer le blog Dissonance. Celui ci c'est transformé en une sorte de plateforme destiné à donner un autre regard sur la Russie. Le blog traite tant de l'actualité concernant la Russie, que de géopolitique ou encore de sujets comme la démographie et les phénomènes migratoires du pays. Contrairement à ce que j'ai pu lire, je tiens seul le blog Dissonance.

Aujourd'hui je travaille comme chroniqueur pour l'agence de presse Ria Novosti, chaque mercredi, ma tribune est consultable sur la tribune libre de Ria Novosti. Je collabore également avec l'IRIS, l'un des principaux Think-tank francais.

Je suis aussi collaborateur de l'institut Italien Eurasia-Rivista. Il m'arrive de participer à d'autres publications, vous pouvez me googler pour en savoir plus, ou alors me contacter par email : alexandre.latsa@gmail.com."

mardi 28 août 2012

Algérie-France : OAS, une histoire interdite



Guy Pervillé : À propos de l’OAS d’Oran : réponse à un lecteur oranais (2014)