Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 1 mars 2012

Le 19 mars : un déni d'honneur, un déni de mémoire


Lettre ouverte d’Henri Pinard Legry
président de l’Association Soutien à l’Armée Française (ASAF)
 à
Pierre COHEN, député-maire de la ville de Toulouse

Monsieur le Député-maire,

La lecture du journal « LA DÉPÊCHE » du 1er février 2012 m'apprend que vous avez, à l'occasion d'une manifestation récemment organisée dans votre commune, annoncé votre intention de procéder prochainement au changement de nom du pont BAYARD en le baptisant  « pont du 19 mars 1962 ».

Vous ignorez peut-être que votre geste fait non seulement disparaître de la mémoire collective de votre ville, un héros incontesté de l'Histoire de France dont le nom symbolise à la fois le courage, l'honneur et la générosité, mais qu'il bafoue la mémoire de tous ceux qui sont morts en Algérie après le 19 mars 1962 et piétine l'honneur de ceux qui sont morts avant cette date.

C'est la raison pour laquelle je me permets de vous adresser ci-dessous un texte sur la réalité du 19 mars.

Il vous permettra de mieux comprendre les raisons de ma lettre et vous conduira je l'espère à revenir sur une décision qui constitue un déni de mémoire.

Veuillez agréer monsieur le député-maire, au seul titre des fonctions que vous occupez, l'expression de mes sentiments distingués.


Européens d'Algérie arrêtés par le FLN en 1962 après le 19 mars et les prétendus "accords" d'Évian



Henry-Jean FOURNIER
Officier général en 2ème section

[Les éléments d’argumentation ont été empruntés à un article de M. René MAYER, « Faux anniversaire pour un faux armistice », paru dans la revue de l’été 2009 de l’Association « Secours de France ».]


La date de la commémoration de la fin de la guerre d’Algérie, comme l’appellation elle-même de cette « guerre », longtemps considérée seulement comme « les événements d’Algérie », a aussi longtemps fait débat en France, jusqu’à la décision prise par le Président de la République d’adopter la date du 5 décembre pour la journée nationale d’hommage aux morts de la guerre d’Algérie et des opérations au Maroc et en Tunisie [1].

Le choix de cette date a été le fruit du travail d’une commission, présidée par le Professeur FAVIER, de l’Institut et réunissant les douze associations les plus représentatives d’Anciens Combattants de toutes les guerres pour proposer une date commune. Après discussion et un vote démocratique, 10 associations (représentant 800 000 adhérents [2]) ont opté pour le 5 décembre, date à laquelle avait été inauguré, en 2002, le Mémorial A.F.N. du Quai Branly.

Le 5 décembre 2002, en effet, toutes les associations et fédérations étaient présentes, dans une même communion d’esprit, autour du seul souvenir de ceux qui avaient donné leur vie au service de la Patrie au cours de cette période des combats d’A.F.N. 
La volonté d’apaiser les débats se manifestait ainsi dans un jour qui rassemble, exempt de toute considération politique, philosophique ou religieuse et respectant les sensibilités de chacun. Il ne s’agissait ni de commémorer une date, ni de célébrer une victoire ou de pleurer une défaite, mais tout simplement d’honorer ce jour là, sur l’ensemble du territoire national la mémoire de ceux qui, indépendamment de leurs propres convictions, avaient disparu dans ces combats et ces événements.

On peut certes contester le choix du 5 décembre, mais on ne peut refuser à cette date l’avantage d’être neutre et de n’avoir d’autre but que de rassembler autour de l’hommage aux morts.

Cependant, malgré la quasi unanimité recueillie autour de ce choix, une association continue de militer pour que ce soit à la date du 19 mars que soit célébrée la mémoire des morts en Algérie.

La date du 19 mars est celle du cessez-le-feu décidé, en 1962, lors des entretiens entre le gouvernement français et des représentants du Front de Libération Nationale algérien, à Évian.

C’est là que commence toute une série de malentendus.....

 ***

Le premier malentendu tient au fait qu’il n’y a jamais eu d’accords officiels signés entre la France et un quelconque organisme représentant la rébellion algérienne :

1. Ce que l’on appelle « les accords » d’Évian ne porte même pas ce nom dans le document d’origine établi à Évian : les conclusions des entretiens qui se sont déroulés à Évian portent le nom de « déclarations du gouvernement ». 

2.    Cette absence de référence à tout accord de type diplomatique ne confère à ces déclarations aucune valeur juridique au plan international et laissait, d’emblée, la porte ouverte à toutes les remises en cause, puisqu’il ne s’agissait que de déclarations d’intentions.

3.     Ces « déclarations » ont d’ailleurs été immédiatement rejetées par les instances 
dirigeantes de la rébellion, qui ont désavoué les représentants qu’elles avaient elles-mêmes délégués à Évian. 

4.     En l’absence de toute portée juridique, les conclusions des négociations d’Évian 
n’ont jamais pu être utilisées par la France et ses ressortissants vis-à-vis de la juridiction internationale pour faire respecter les clauses essentielles prévues (telles que, par exemple, les droits de propriété des Européens d’Algérie, la participation d’Européens aux affaires publiques, la parité de la mise en valeur du sous-sol saharien, l’usage de la langue française, etc.) 

La mise en œuvre des « déclarations d’Évian » a donc été effectuée de manière strictement unilatérale, par la France seule, sans partenaire.
 Ce fut notamment le cas de ce que l’on a appelé le « cessez-le-feu ».

***

Le second malentendu est en effet la notion de « cessez-le-feu » décrété à partir du 19 mars 1962.

Dans une guerre « normale », cette décision, qui s’apparente à la notion d’armistice entre deux belligérants, est appliquée sur le champ de bataille par les troupes en présence et conduit à une interruption des combats et à la mise en œuvre d’un certain nombre de procédures, permettant notamment de préserver les populations. Cette situation débouche ensuite soit sur la reprise des combats en cas de désaccord entre les diplomates négociant la fin du conflit, soit sur un accord de paix entre les parties.

Dans le cas de l’Algérie, la situation était fort différente de cette procédure : la guerre n’en était pas vraiment une et l’adversaire n’avait pas d’existence internationale légale. En outre, compte tenu du caractère même de la « guérilla », l’ennemi sur le terrain n’obéissait à aucun commandement capable de faire appliquer un tel cessez-le-feu, d’autant plus qu’à l’époque, les combats étaient devenus rares, en raison de la mise hors-de-combat, précisément, de la plupart des rebelles, sur le territoire des départements d’Algérie.

Le cessez-le-feu ne fut donc mis en œuvre que par le commandement français, qui l’imposa à ses troupes, avec toute la rigueur d’une organisation militaire conventionnelle. L’armée française reçut l’ordre de s’enfermer dans ses cantonnements et de n’intervenir qu’en cas de légitime défense d’elle-même.

Le cessez-le-feu fut donc strictement unilatéral et les combattants de « la onzième heure » du F.L.N. eurent alors les mains libres pour se livrer à une application particulière d’un cessez-le- feu, non validé par les instances dirigeantes de la rébellion, réfugiées à Tripoli.

La date du 19 mars 1962 a donc été le signal d’une période particulièrement douloureuse de la tragédie algérienne, puisqu’il y a eu, à partir de cette date et jusqu’à l’exode total des Européens d’Algérie, plus de victimes, (d’origine européenne ou nord-africaine) que durant toute la guerre. Assassinats et enlèvements, qui avaient été pratiquement éradiqués, ont connu une virulence accentuée par la sauvagerie et le caractère irrationnel des actes commis.

Aujourd’hui encore, de nombreuses familles de Pieds-noirs ne savent toujours pas ce que sont devenus ceux des leurs qui ont été enlevés à ce moment-là et qui ont été estimés, pour la seule population d’origine européenne, à 1772 personnes enlevées dont 1423 encore portées disparues à ce jour [3] (contre 2788 tués et 330 disparus pour la période 1954-1962).

En ce qui concerne les Harkis, qui avaient le statut légal de supplétifs de l’armée française, on évalue le nombre de leurs morts, dans des conditions particulièrement atroces (égorgements, ébouillantements, écorchages vivants, émasculations, etc.) à un chiffre officiel compris entre 60 et 70 000 victimes, massacrées sous les yeux de l’armée française dans les rangs de laquelle ils combattaient quelques semaines avant.

Dans ce tragique décompte, il faut aussi avoir une pensée pour les populations d’origine algérienne qui s’étaient engagées aux côtés de la France et qui ont également été impitoyablement massacrées dans leurs douars, au fond des montagnes, sans que l’on puisse avancer un chiffre qui ferait sans doute horreur.

Enfin, et ce n’est pas le moindre fait au regard de la démarche de mémoire que recherchent aujourd’hui les Anciens Combattants de cette époque, la Direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives (DMPA) du ministère de la Défense a recensé 386 militaires français ayant trouvé la mort après le 19 mars 1962.

L’armée française est en effet demeurée en Algérie jusqu’au 2 juillet 1964 [4] et a continué à éprouver des pertes, par attentats ou enlèvements, jusqu’à cette date.

***

Le troisième malentendu est d’origine plus récente, car, dans l’imaginaire populaire français, qui ne connaît pas vraiment l’histoire de cette période, on a facilement tendance à placer la commémoration de la fin de la guerre d’Algérie au même niveau que l’armistice du 11 novembre 1918 (qui a été demandé par l’adversaire en raison de la victoire, sur le terrain, des troupes alliées) ou que la Victoire du 8 mai 1945 (qui a été imposée par les Alliés à l’Allemagne totalement vaincue).

Il est bien compréhensible, en effet, que les deux millions de jeunes Français qui ont été envoyés défendre les couleurs de la France en Algérie veuillent aujourd’hui commémorer la fin d’un événement qui a marqué leur jeunesse.

Mais, après avoir vécu une guerre qui n’a jamais voulu dire son nom, pourquoi faut-il qu’une minorité d’entre eux, certes organisés en une fédération très active, qui occupe puissamment l’espace politico-médiatique, mais qui demeure minoritaire dans le monde combattant, choisisse une date célébrant un faux armistice ?

Pourquoi faut-il, après avoir inutilement sacrifié une partie de leur jeunesse, qu’ils sacrifient aujourd’hui leur honneur en commémorant un faux anniversaire ?

***

La date du 5 décembre n’est sans doute pas très heureuse, mais elle a le mérite de se vouloir apaisante, quelles que soient les opinions.

S’il n’existait qu’une seule raison pour refuser la date du 19 mars, elle ferait appel à la mémoire de tous ceux qui sont tombés là-bas avant le 19 mars et dont la mort n’a servi à rien. Elle ferait surtout appel à la mémoire de tous ceux qui sont morts après le 19 mars, parce que la France avait baissé les armes et les avait abandonnés à leurs tueurs.

Vouloir célébrer le 19 mars est un déni d’honneur à l’égard des premiers et un déni de mémoire à l’égard des seconds.
Le 1er février 2012



1- Par décret n° 203-925 du 26 septembre 2003 le Président de la République a institué le 5 décembre journée Nationale d’Hommage aux « Morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie. Cette date du 5 décembre a été confirmée par l’article 2 de la loi N°2005-158 du 23 février 2005 portant Reconnaissance de la Nation.
2 - Les deux autres associations représentaient environ 400 000 adhérents.

4 - le statut d’ancien combattant a d’ailleurs été accordé aux ayant-droits jusqu’au 2 juillet 1962, prouvant ainsi que la guerre n’a pas cessé le 19 mars 1962.

mercredi 29 février 2012

Élection présidentielle, ah ! la belle déconnade : "Le déconnomètre fonctionne à plein tube"…


Michel Audiard cité par François Bayrou : "Le déconnomètre fonctionne à plein tube"…  
… C'est peu dire : il s'affole le déconnomètre !



François Bayrou a déclaré que le "déconnomètre fonctionne à plein tube", à propos d'un des projets annoncé par François Hollande (PS), celui  de taxer à 75% les contribuables les plus riches… Ainsi la Suède - 58 % - serait largement distancée par la France à Hollande…

"Je crois que c'est Audiard, qui avait une phrase un peu rude : le déconnonomètre fonctionne à plein tube", a commenté François Bayrou, interrogé par BFMTV-RMC. 

Alors qu'on lui demandait s'il fallait comprendre que selon lui François Hollande "déconnait", François Bayrou a répondu : "ça, c'est vous qui le dites"… À défaut de le dire, qui ne le pense pas ? Ah ! la belle déconnade que cette élection… Hollande manifestement, mais il serait talonné de très près par la meute… "Déconnade", serait-ce un euphémisme politiquement correct pour nommer la démagogie à bout de souffle ?

Vidéos de la campagne de François Bayrou

*  *
*

Sans déconner (on ne déconne jamais soi-même !)… affirmons un semblant de cohérence :
 

Carl Lang, avec Roger Holeindre, pour témoigner, éduquer, assurer l’avenir… du solide !

Mais dans l’immédiat, puisqu’il faudra bien faire avec ce qui est en magasin…
 

François Bayrou, pour un premier grand coup de balai… François Bayrou, qui s’il accédait au second tour renverrait à coup sûr et Hollande et Sarkozy… refonderait profondément les institutions…

 

mardi 28 février 2012

Homs : les journalistes étrangers retenus en tant que boucliers humains par les rebelles…




Témoin impartial, Thierry  Meyssan répond à 5 questions sur la situation à Homs…

- Que s'est-il passé ce samedi 25 février ?
- La situation à Homs aujourd'hui ?
- Les journalistes pris au piège de l'ASL ?
- Comment s'est déroulée la négociation ?
- Comment sortir les journalistes de cette situation ?

samedi 25 février 2012

Lajos Marton : “Ma vie pour la patrie” sur Méridien zéro, dimanche 26 février à 23 heures


“Ma vie pour la patrie” de Lajos Marton, sur Méridien zéro, dimanche soir



Lajos Marton, héros du Petit-Clamart : "Ma vie pour la Patrie !", un appel au courage, à l’insoumission et à la fidélité…

Ce dimanche 26 février, Wilsdorf et Roger Jolly reçoivent Lajos Marton sur Méridien zéro pour la sortie de son ouvrage autobiographique “Ma vie pour la Patrie”. Lajos Marton est connu en France pour avoir été l’un des trois Hongrois ayant participé à l’attentat du Petit-Clamart, qui manqua de peu le 22 août 1962 d’ôter la vie au Général De Gaulle, alors président d’une France secouée par le drame de la guerre d’Algérie finissante. Pour cela, Lajos Marton sera condamné à mort. Monsieur Marton sera accompagné de son éditeur, un certain Gérard Vaudan, responsable des éditions “Les Amis du Livre Européen“.


Rendez vous ce dimanche 26 février à 23 h (France) sur :

http://meridienzero.hautetfort.com/
http://www.radiobandieranera.org/
http://europaradio.hautetfort.com/

NovoPress.info

jeudi 23 février 2012

Saint-Denis de la Réunion, quartier du Chaudron : sauvage répression des forces gouvernementales… La Syrie demande d'urgence une convocation du Conseil de sécurité de l'ONU…








Malgré la violence de la répression, la situation ne peut qu'empirer à la Réunion si aucune solution n'est apportée au problème du chômage des jeunes et du pouvoir d'achat des populations défavorisées…

Solidarité avec les peuples iranien et syrien !


Une pétition internationale à lire, approuver et faire circuler sans modération…

Lancé à l’initiative de Domenico Losurdo, cet appel international, paru en plusieurs langues et destiné au gouvernement respectif de chaque pays concerné, a déjà reçu le soutien de plusieurs députés au Bundestag, du philosophe et député européen Gianni Vattimo, et de nombreux citoyens…

Pour signer la version française de cette pétition, envoyez vos nom et confirmation à :

stopperlaguerre@gmail.com

N’hésitez pas à faire circuler ce texte.

Stopper les préparatifs de guerre ! Mettre fin à l’embargo !


InfoSyrie : Agence de réinformation sur l'actualité en Syrie


Le texte de la pétition contre la guerre en Iran et en Syrie :
Solidarité avec les peuples iranien et syrien !
Des dizaines de milliers de morts, une population traumatisée, des infrastructures largement détruites et un État désintégré : c’est là le résultat de la guerre menée par les États-Unis et l’OTAN pour s’approprier les richesses libyennes et recoloniser le pays. À présent, ces derniers préparent éhontément la guerre contre l’Iran et la Syrie, deux pays stratégiquement importants, riches en matières premières et qui refusent, en toute indépendance politique, de se soumettre à leurs diktats. Une attaque de l’OTAN contre la Syrie ou l’Iran pourrait provoquer un conflit direct avec la Russie et la Chine, ce qui aurait des conséquences inimaginables.

De continuelles menaces de guerre, le déploiement de troupes aux frontières de l’Iran et de la Syrie, sans parler des actions terroristes et de sabotage de la part d’« unités spéciales » infiltrées, tout cela fait partie de l’arsenal avec lequel les États-Unis et autres membres de l’OTAN imposent un état d’exception aux deux pays pour les épuiser. Les États-Unis et l’Union européenne tentent de façon cynique et inhumaine de paralyser par l’embargo le commerce extérieur et les transactions financières de ces pays. De manière délibérée, ils veulent précipiter les économies iranienne et syrienne dans une crise grave, augmenter le nombre de chômeurs et compromettre l’approvisionnement de la population. Pour trouver un prétexte à leur intervention militaire planifiée depuis longtemps, ils cherchent à attiser les conflits ethniques et sociaux internes et à provoquer une guerre civile. L’Union européenne ainsi que le gouvernement italien collaborent grandement à cette politique d’embargo et de menaces de guerre contre l’Iran et la Syrie.

Nous appelons tous les citoyens, églises, partis, syndicats, mouvements pacifistes à s’opposer énergiquement à cette politique de guerre.

Nous demandons au gouvernement français :

-de stopper sans conditions et immédiatement l’embargo contre l’Iran et la Syrie ;
-de déclarer qu’il ne participera en aucune sorte à une guerre contre ces États et qu’il n’autorisera pas l’utilisation de sites français pour une agression de la part des États-Unis et de l’OTAN ;
-de s’impliquer au niveau international pour mettre fin à la politique des chantages et des menaces de guerre contre l’Iran et la Syrie.

Les peuples iranien et syrien ont le droit de décider par eux-mêmes et souverainement de l’organisation politique et sociale de leur pays.
Le maintien de la paix exige que soit respecté rigoureusement le principe de non-ingérence dans les affaires internes des autres États.

Domenico Losurdo
Gianni Vattimo
Manlio Dinucci

La version allemande de ce texte a été notamment signée par les élus :
Eva-Bulling-Schroeter
Sevim Dagdelen
Dr. Diether Dehm
Heike Hänsel Ulla Jelpke

Faire circuler…

InfoSyrie


Pour que ces Rafale - photographiés au-dessus de la Libye - ne violent jamais l'espace aérien syrien

Parallèlement, certains voudront peut-être écrire directement au chef de l’État… pourquoi pas ?  lui écrire en masse, pas besoin de timbrer… En cette période de renouvellement de bail pour le palais de l'Élysée, il pourrait y être sensible…

Président de la République
Palais de l’Élysée
55, rue du Faubourg-Saint-Honoré,
75008 Paris