Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

lundi 14 novembre 2011

DSK le jeudi 24 novembre au "LC Le Club" de Nantes pour un "Tonus Sans-Culotte"


Une soirée DSK, est-ce possible ? C’est ce que proposent des associations étudiantes nantaises, une idée aussi attendue que festive… C’est à Nantes au LC Le Club, le jeudi 24 novembre…




À Nantes, le monde de la fête sait ne pas sombrer dans l’ingratitude… Les facultés de droit, médecine, sport et de kiné se sont entendues sur une soirée « Tonus DSK ». DSK qui a tant fait rêver les uns, exaspéré les autres mérite bien ce témoignage de reconnaissance… Une initiative qui pourtant fait polémique, surtout auprès de certains syndicats étudiants qui crient au sexisme. À ceux-là opposons Pier Paolo Pasolini :

« Scandaliser est un droit, être scandalisé, un plaisir.
Quiconque refuse le plaisir d'être scandalisé est un blême moraliste. »


« Bein dis donc, on ne te voit plus à l'Hôtel…? »

Le charisme de DSK pète enfin à la gueule de tous les pisse-froid… DSK, notre bien-aimé ex-futur président de la République française, reste bien le meilleur de tous… Le seul digne représentant du PS et de tout le bon peuple sans-culotte…  Celui qui cruellement nous manque à nous tous… Osons avouer notre douleur. C'est pas en l'honneur du triste Hollande qu'une telle fête pourrait être organisée…

Vive la France sans-culotte…

Gageons que cette soirée étudiante sera haut en rut, digne du personnage. Au fait, la bandante participation physique du héros de la soirée est-elle effectivement prévue ?  …  Bons coïts à tous… Et vive la France sans-culotte…

jeudi 10 novembre 2011

J'aime les mots… Connaissez-vous "l’allahisme" ? et l'hallali sioniste ?


« La tromperie, les mensonges, la duperie, l’allahisme despotique et génocidaire n’ont plus de place en Algérie amazighe, et en Kabylie, berceau de la mémoire civilisationnelle amazighe nord africaine ! »
Citation extraite d'un des commentaires de l'article  :
LA KABYLIE : UNE PATRIE INTEGRÉE DANS UN ÉTAT CONVENTIONNEL (en 2 parties)

Un article qui mérite d'être lu ainsi que les très nombreux commentaires largement étoffés qu'il a suscités… Un article publié par le site Tamurt.info et qui me semble significatif des débats au sein de la Kabylie et du peuple amazigh… Tamurt.info, un site très suivi par la communauté kabyle tant en Kabylie que parmi la diaspora amazighe.

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Autant nous respectons le combat kabyle contre un allahisme ambiant, autant nous dénonçons l’hallali israélien et pro-sioniste contre le peuple martyr de Palestine… et contre l'ensemble du monde libre… 


Oran : la rue de la Révolution, à droite en bleu le magasin Darmon

… en France, l'hallali de ces prétendus "patriotes et Franchouillards de souche"… de ceux qui se présentant comme des Oranais patriotes répercutant la mémoire de "L'Écho dOran" et qui ne seraient en fait qu'un groupuscule militant fanatique ghettoïsé,  peut-être issu de "la rue des Juifs" ?  de "la rue de la Révolution à Oran" ? Mais plus vraisemblablement de jeunes irresponsables incultes qui n'ont jamais connu ni Oran ni sa rue des Juifs ni même son journal mais seulement captifs d'une propagande nauséabonde… Davantage gavés d'intox sioniste nourrie des échos, lointains en Algérie, de la Shoah qu'instruits de l'histoire et de l'identité séfarades d'Oranais authentiques, qui eux dans l'exil auraient pour dignité de se refuser à dénigrer aucun des membres de leur communauté, catholiques, musulmans, séfarades…

lundi 7 novembre 2011

La mort violente d’un amoureux de Madagascar, cette île des naufrageurs…


Jean Serres, retraité ancien professeur d'économie et de gestion au lycée de Nevers à Montpellier, avait choisi de vivre à Madagascar. Il s’y était intégré, avait aidé les gens. Il a été assassiné, poignardé, dans des conditions pas encore vraiment élucidées.

Jean Serres, naufragé à Madagasacar, est mort : le  25 octobre, il a été tué chez lui à Mahambo, sur la côte est de la Grande île au nord de Tamatave


Ceux qui ont connu Jean Serres racontent, émus… Un homme qui « aimait Madagascar et en parlait toujours avec passion ». Un « homme passionné, désintéressé, qui avait tourné sa vie vers les autres ». Un « excellent professeur », un « homme intègre » ou tout simplement un « bon type ». Jean Serres est mort. Le 25 octobre, il a été tué chez lui à Mahambo sur la côte est de Madagascar près de Tamatave, et découvert dans la soirée par un gardien de nuit venu prendre son service. Il a été tué à l’arme blanche, par deux jeunes hommes qui, arrêtés, seraient passés aux aveux.

Un fils adoptif

Jean Serres avait élu domicile à Madagascar voilà quatre ans. Pas par hasard : cette île, il l’avait connue il y a longtemps, lors de son service militaire en tant que coopérant. Né en Algérie en 1943, Jean Serres a vécu la plus grande partie de sa vie à Montpellier. Jeune homme, il quitte le séminaire pour choisir une autre voie, celle de l’enseignement. Une grande partie de sa carrière se passe au lycée Nevers, un établissement privé de Montpellier. Il y enseigne l’économie, la gestion, des notions de droit. Retraité en 2004, il s'en va vers l’île qu’il aime,  consacre trois années, de 2004 à 2007, à construire une école à Mandritsara, dans le nord de l’île. Hélas ! En 2007, il est agressé. « Il a été victime d’un braquage, mais il ne s’est pas laissé faire », raconte Thierry Serres, son neveu qui vit à Nîmes. Il quitte alors Mandritsara et va s’installer à Fianarantsoa, au sud de Tana, où il séjourne plus d’une année. « C’est là qu’il adopte Oliva, un garçon qui a aujourd’hui environ 20 ans, poursuit Thierry. Il lui a payé ses études d’hôtellerie, a aidé sa famille… »
Il déménage ensuite à Tana… Mais là, on lui empoisonne son chien. Qui ? Impossible de savoir même si, d’après ses proches, Jean soupçonne l’entourage de son fils adoptif. « Cette famille lui demandait beaucoup… Et, dernièrement, il avait confié à l’un de ses anciens collègues qu’il en avait marre, qu’il pensait rentrer en France », témoigne l’un de ses proches. En mars dernier, il s’est marié avec une jeune sœur d’Oliva. « Ce n’est pas un homme très porté sur les femmes, alors s’il a fait ça, c’est sans doute pour qu’elle obtienne la nationalité française », poursuit ce proche. Il avait enfin élu domicile à Mahambo, où il avait ouvert un restaurant.

Meurtre crapuleux ou assassinat minutieusement prémédité ?

L’enquête suit son cours. Par les "aveux" des deux jeunes meurtriers présumés, elle pourrait bientôt aboutir… tout en laissant ignorés les vrais mobiles et une vraisemblable commandite. Acte crapuleux ou commandité ? Personne sera dupe…

Toutefois on peut malgré tout s'interroger… S’agit-il d’un meurtre ou d’un assassinat organisé ? Cet homme, jugé « autoritaire », « pas facile à vivre » malgré sa foi et sa générosité, a-t-il refusé une faveur, a-t-il déplu ? Le ministère des Affaires étrangères assure, lui, être en contact à la fois avec la famille de Jean Serres et avec les autorités malgaches. « Nous leur faisons confiance pour traduire les auteurs en justice », assure un porte-parole du Quai d’Orsay. La diplomatie a ses raisons…

Pourtant la famille de Jean Serres feint encore de croire pouvoir avoir rapidement des réponses . « Nous aurions aimé faire rapatrier son corps, pour une autopsie sérieuse et l’enterrer en France mais, comme il s’est marié là-bas, c’est compliqué », déplore Thierry. Quant à se rendre sur place, Thierry redoute ce pays « à risques » depuis quelque temps. Jean n’avait peur de rien, fréquentait peu les Occidentaux habitant l’île. S’est-il brûlé à toucher de si près une île où il restait un étranger ?

source : France Soir

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Ce n'est vraiment pas un fait  isolé, une semaine après l'assassinat de Jean Serres, le mardi 1er novembre : Matraqué au volant de son véhicule, un quinquagénaire français a été tué dans des circonstances atroces à Nosy Be Helville. Le mobile du crime est nébuleux.

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Ceux nombreux qui ont vécu à Madagascar, se sont laissé envoûter, ne s'étonneront pas de cette "mésaventure", vraiment pas tellement extra-ordinaire… Tout simplement, un de plus ! Et, soyons assuré que cette longue série sera sans fin, chaque nouvelle proie dans son éblouissement se croit plus futée que les malheureux "qui n'ont pas su s'y prendre"Paroles de rescapé… Une excellente occasion d'exhumer une tribune libre publiée le 27 janvier 2003 par L'Express de Madagascar et judicieusement intitulée "L'île des naufrageurs"…  Des réflexions signées par un Malgache lucide qui restent certainement toujours très actuelles : les régimes sont toujours "nouveaux",  les gens et les cupidités toujours les mêmes…

Une réputation de “naufrageurs”

La lutte contre la corruption, volet essentiel de la promesse de changement du nouveau régime [à l'époque celui de Marc Ravalomanana, à présent piteusement débusqué !], sera un thème éditorial récurrent et un travail de longue haleine.

L’opinion attend, bien sûr, les premiers signaux forts et concrets que le combat est réellement engagé contre ce mal social qui gangrène certainement le développement mais sape, aussi et surtout, les meilleures bonnes volontés d’investissement et de faire des affaires normalement.
Pour l’instant, les échos que l’on a des pratiques de l’administration et des usages commerciaux, ou judiciaires, sont très exactement identiques à ce qu’ils étaient avant la crise !
Il y a même des localités, comme Nosy Be par exemple, où les dysfonctionnements de la justice, sous la forme d’un racket organisé au détriment des étrangers bien évidemment, s’étalent au grand jour et sont notoirement connus de toutes les autorités locales mais également centrales.
D’un peu partout remontent des plaintes, des interrogations - sur tel tarif de visa qui a brusquement augmenté, par exemple - qui conduisent à penser que la bataille contre la corruption et les abus de pouvoir de quelques despotes locaux va constituer le plus gros handicap du nouveau régime et du gouvernement qui le sert.
C’est sans doute, en définitive, un handicap énorme, une tare ancienne que d’être un pays attrayant ! On sait à quel point les “vahaza” succombent à ses attraits naturels pour les investissements, tout ce qu’il y a à y entreprendre, même quand il ne s’y ajoutent pas pour les “vahiny” les charmes tout aussi attachants et tentants de la population.
Que faire quand on est trop belle, pour se protéger des convoitises de l’étranger, pour repousser les avances, et qu’un savoir-faire ajouté, le plus souvent, à des capitaux en volume suffisants laissent à penser à des rêves de conquête, même dans les meilleures dispositions d’esprit possibles ?
Il est clair que l’on se protège comme on peut, en usant de toutes les ruses et traquenards possibles pour dissuader le nouveau venu, et parfois l’ancien quand il s’agit de le spolier de ses biens, de “flasher” sur Madagascar.
Aux discours officiels d’invitation permanente, et comme rituelle, aux investisseurs étrangers répondent sur les terrains administratif et judiciaire notamment, un arsenal de dispositions réglementaires et de décisions de justice, de nature à faire fuir le mieux disposé des “vahaza”.
C’est si vrai que l’on finit par se demander si cette promotion permanente du pays ne constitue pas, finalement, un piège - comme celui des sirènes de la mythologie - dans lequel le voyageur imprudent est appelé à tomber ?
Une chose est certaine : ce ne sont ni les salons internationaux de promotion des investissements, pas plus que les missions de “patrons” étrangers qui changeront la réputation de “naufrageurs” du pays et de sa population.
L’Express de Madagascar : EXPRESSions du lundi 27 janvier 2003



L'Info Réunion : Deux bénévoles français tués à Madagascar

Madagascar, funeste île de Naufrageurs… nouvel épisode tragique d'une série sans fin…

Madagascar… île des Naufrageurs… Défense de s'échapper…

Suicide, mode d’emploi : allez "vivre" à Madagascar !

Madagascar, île de naufrageurs : encore un Français assassiné par des cambrioleurs

Madagascar, île de naufrageurs (suite sans fin) : Français assassiné et incinéré dans sa villa

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