Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

jeudi 6 juin 2019

"Overlord"… le Suzerain anglo-saxon s'abat sur la France et l'Europe…




… DeGaulle en saisit l'aubaine pour conforter sa Geste !

Alors que la commémoration de ce 75e anniversaire de l’opération "Overlord" nous donnait l’éclatante confirmation d’une opération de vassalisation délibérée de la France puis de l’Europe par le "Suzerain" anglo-saxon… une image circule sur les réseaux sociaux rappelant l’absence de DeGaulle lors du 20e anniversaire d’Overlord…



« La France a été traitée comme un paillasson ! Churchill m’a convoqué comme un châtelain sonne son maître d’hôtel »


Cela appelle clarification… Le problème avec DeGaulle c’est que, comme toujours, dans le cas de ce 20e anniversaire il tient un discours "romancé". Un discours qu’aujourd’hui - a posteriori - nous ne pouvons qu’approuver… au premier degré ! Dans les faits ses véritables réactions au moment de l’action n’étaient que des réactions d’orgueil blessé : « La France a été traitée comme un paillasson ! Churchill m’a convoqué comme un châtelain sonne son maître d’hôtel », se plaint-il. Dans cette phrase il ne faut évidemment pas comprendre que c’est la France qui est maltraitée mais la petite personne de DeGaulle informé d’une opération à laquelle il n’était pas invité.

De la même façon en 1969 il n’a pas démissionné par respect de la démocratie - dont il n’avait rien à branler - mais parce que blessé dans son orgueil.

Orgueil et rancune sont les clefs indispensables pour décrypter tous faits gestes et discours du personnage. Les Français d’Algérie en ont subi les conséquences…

Pour aller plus loin… Toujours se souvenir que les Mémoires de DeGaulle ne sont qu’une œuvre romancée dans laquelle le personnage se met en scène en identifiant sa petite personne à la France… La Geste d’un malade mental. Une œuvre littéraire qui toujours doit donc être interprétée sans se laisser piéger. Une œuvre qui en aucune façon ni traduit une vérité historique ni dresse le portrait d’un personnage. Une idéalisation qui n’a jamais empêché l’auteur de se complaire dans le crime et la trahison.



Pourquoi De Gaulle refusa-t-il toujours de commémorer le débarquement du 6 juin ?





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire