Qui ne risque rien n'est rien… sur le chemin de Damas, alors que les opinions ont cédé face aux faits…
on ne le dit assez : un âge n'en chasse pas un autre, tous les âges qu'on a vécu coexistent à l’intérieur de soi, ils s'empilent, et l'un prend le dessus au hasard des circonstances.

mercredi 11 mars 2015

Comment le parjure DeGaulle a rendu inéluctable l'opération du Petit Clamart…





Sur TV Libertés : Nous c'est Vous, les invités de Bernard Coll sont Alain Sanders et Louis de Condé, un des derniers témoins de l’opération du Petit-Clamart.


Face au malheur de centaines de milliers de ses victimes,
comment peut-on être plus cynique ?


C'était le 22 août 1962 à Clamart… La France par la lâcheté de son vote a entériné l'infâme capitulation DeGaulle… et ses dramatiques conséquences… Des centaines de milliers de Harkis sont égorgés en terre d'Algérie, plusieurs milliers d'Européens ont été enlevés à Oran et ailleurs, égorgés ou réduits en esclavage, près d'un million de Français d'Algérie sont contraints à l'exil… et, comble de l'ignominie, objets des sarcasmes du traître DeGaulle… « Qu'est-ce que c'est que tous ces Fernandez, ces Lopez et autres Segura qui se voudraient français ?… »« Ce sont bien des vacanciers, jusqu'à ce que la preuve du contraire soit apportée » ou de l'hostilité clairement proclamée d'un Gaston Defferre, maire de Marseille où accostent la plupart des bateaux des exilés… « Français d'Algérie, allez vous faire réadapter ailleurs »« il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… »…  Telle était la France en ce mois d'août 1962…  lorsque, le 22 août, DeGaulle et sa conjointe quittent l’Élysée pour l’aéroport de Villacoublay. Le traître est alors attendu sur une route départementale par des hommes d'honneur, le colonel Jean Bastien-Thiry et ses compagnons…



L'Auberge espagnole



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